Baise entre hommes au dessus du jardin de la ville - histoire érotique

J'ai peu raconté d'anecdote sur le lieu ou s'est déroulé celle-ci.
J'avais 26 ans, j'en paraissais 20, enfin, ça devenait un avantage!
Toute la journée, le besoin de subir une sodomie m'a tiraillé.
J'ai raccompagné Lisa, qui approche les 18 ans à l'époque, à son bus.
Lorsque, je me décide de succomber à mes envies irrésistibles, il est déjà 21h30.
Je pense alors à cet endroit, si particulier, fréquenté par des hommes mariés jusqu'à 2h du matin.
Je traverse la ville, puis, je marche le long de ce boulevard en côte.
Je remarque déjà des voitures qui ralentissent pour me dévisager.
Mais, il me faut monter jusqu'en haut de cette route, pour pouvoir faire des rencontres discrètement.
Tout en haut, se trouve une cour d'école (abandonnée?), dont le portail reste toujours ouvert.
Puis au dessus, un jardin de 50 m2 environ, derrière lequel se situe une entreprise avec portail non fermé aussi.
A coté de tout ça, un immeuble de 10 étages environ, et une voie ferrée.
J'entre dans la cour d'école, pour le moment, elle est vide!
Je suis déçu, puis je marche, en tournant autour de l'entreprise et le long de la voie ferrée.
En revenant vers le jardin, je croise un homme qui vient de sortir de son véhicule, et marche vers moi.
J'entre dans le jardin, puis je vais m'assoir sur le seul banc qu'il possède.
L'inconnu se pose à mes cotés. Il caresse discrètement sa queue, à travers son jean.
Il voit que je ne quitte pas des yeux, son visage et sa main.
"T'es charmant! Tu viens souvent ici?".
"Pas trop!".
Il libère son sexe de sa prison de tissu, je découvre un sexe large, d'une longueur moyenne.
"Elle te plait? Ca me plairait que tu la suces!".
Je jette un coup d'œil vers les fenêtres de l'immeuble, pour vérifier que l'on ne nous épie pas.
Il sent mon hésitation et passe son bras derrière ma nuque.
Je ne résiste pas plus longtemps et lui recouvre la bite de ma gorge humide et chaude.
La présence de sa grosse queue dans ma bouche, et ses premiers gémissements, calment déjà cette dépendance que j'ai développé envers les belles bites.
Enfin, je passe à l'acte, j'aime l'avoir dans ma bouche et je vais lui faire partager mon plaisir!
"Oh! La vache, ce qu'elle est bonne ta bouche! Jeune! Oh, tu suces bien!".
Ma fellation est gourmande, je sens déjà au bout de cinq minutes que l'homme est au bord de l'explosion.
J'entends un bruit d'aspiration et son gland se gonfle, puis j' ai un gout de poivre dans la gorge.
L'homme respire du poppers, c'est la première fois que cela m'arrive, et franchement, c'est pas très agréable pour celui qui suce!
Cela doit lui retarder le plaisir, puisque je dois le sucer plus de vingt minutes en respirant ce gout poivré plusieurs fois.
Enfin, il se laisse aller et éjacule abondamment dans ma gorge.
Il me parle crûment en m'inondant de sperme.
J'avale avec gourmandise pendant qu'il râle son plaisir entre ces mots vulgaires qui m'excitent.
Je relève la tête, pour regarder l'inconnu, il prend un air ahuri.
"Putain mec! On m'a rarement bouffé la bite comme ça! T'es doué! J'ai bien joui!".
"Merci! J'aime beaucoup ça, moi aussi!".
"Ca se voit! Ne changes rien!".
Il me quitte peu de temps après. Je reprends mes déambulations, j'arrive dans la cour d'école.
Une voiture s'est garée, dans le fond, mais le véhicule est vide.
En m'enfonçant, j'approche vers l'obscurité crée par l'ombre de la lune.
Je suis surpris par la présence d'un homme assez grand et mince de 35 ans environ.
"Bonsoir, je te cherche depuis un moment, tu sais! Je t'ai vu monter tout à l'heure!".
"Bonsoir, j'étais dans le jardin à coté!".
"Tu me plais! T'as un beau cul! Mais je suis surement pas le premier à te le dire! Et moi, je te plais?".
Il a sorti son membre qui est la copie conforme du précédent en plus long.
"Non, c'est vrai! (J'ai posé ma main sur sa bite pour l'entourer de mes doigts) Oui, elle me plait beaucoup!".
Il m'attire à lui et m'embrasse goulûment en me malaxant les fesses de ses mains larges et fermes.
Il me retourne en m'appuyant contre le mur, je défais la ceinture et les boutons de mon jean, pour lui autoriser l'accès à ce qu'il désire de moi, mon cul!
"Tu la veux dans le cul? Parce que moi, dès que je t'ai vu, j'ai eu envie de t'enculer!".
"Oui, je la veux! Baises-moi! Prends ton temps, On est pas pressé!".
"T'inquiètes! Je vais te baiser longtemps, tu me plais trop pour gâcher ce plaisir!".
Il ajoute:"Tends ton cul! Montres-moi comme tu la veux ma bite!".
Je me cambre, mon anus touche son gros gland lubrifié de salive.
Sa pression écartèle lentement mon œillet.
"Vas--y, enfonces-toi sur ma queue! T'aimes la bite toi, ça se voit!".
Je pratique plusieurs ondulations de mon cul en reculant, mon anus s'ouvre et son gros membre m'envahit d'une traite en me faisant râler de plaisir.
"Oh, ouais, jeune, comme ça! Oh, il est bon ton cul! Je vais me régaler à te défoncer, maintenant!".
Ses mains agrippent mes hanches et je sens ses premiers assauts profonds.
J'ai le souffle coupé par la soudaineté de sa défonce anale, je mords mes lèvres, submergé par le plaisir.
Je râle très vite, mon anus lubrifie déjà sa longue bite, Il ne s'attendait pas à mes gémissements.
"Putain, t'aimes ça! Tu vas jouir du cul, ma parole!".
"Arhhhhhhhhh, oui! Continues! Encore!".
Je dois lutter pour m'écarter assez loin du mur, sous la puissance de ses assauts, pour ne pas me blesser.
Chaque pénétration est un délice d'écartèlement au plus profond de moi.
Je manifeste mon orgasme anal.
"Ahhh, ça y est, tu me fais jouir! Arhhhhhhhhhhhh!".
"Putain, c'est bon ça! Moi, j'ai pas encore joui, je peux continuer?".
"Oui, bien sur, je vais surement jouir encore!".
Il me défonce encore presque dix minutes, avant d'annoncer, alors que je suis au bord d'un troisième orgasme:"Ahhhh, ça vient jeune! Je vais te remplir le cul! Arhhhhhhhhhhhhhh".
Ses derniers assauts m'emmènent avec lui dans la communion d'un plaisir extrême.
Cet orgasme commun l'étonne.
"Ouf! J'ai rarement eu autant de plaisir en enculant un jeune comme toi! Ton plaisir est communicatif!".
"Merci, mais tu m'as bien baisé, toi aussi! C'était très bon!".
"Oh, je suis trop bien dans ton cul, j'ai pas envie de sortir de là!".
Je souris, puis gémis sous les derniers mouvements de son sexe, qu'il prend plaisir a m'imposer.
"Humm, c'est trop bon! En plus! Je sens que t'as le cul remplit de tout mon foutre! Ca m'excite!".
Il m'encule lentement ainsi encore presque cinq minutes, puis son sexe dégonfle et il me laisse me rhabiller enfin, après un petit nettoyage.
Il m'embrasse une dernière fois et me quitte.
Je ne le reverrai jamais, et c'est vraiment dommage!
Je sors de la cour d'école, puis quelques minutes plus tard, je remarque un homme qui me suit aux alentours du jardin.
En regardant derrière moi, je le vois s'engouffrer dans la pénombre de la cour d'entreprise.
Je le rejoins doucement, en m'approchant de l'endroit ou il devrait m'attendre, je réalise qu'il n'est pas seul.
Un autre homme se tient à ses cotés, ils ont, tous les deux, leur queue à la main.
Mes doigts remplacent les leurs. Leurs mains m'attirent ensemble au niveau de leurs bites.
L'un des deux a donc servi de rabatteur, je les devinent très complices.
Ils s'amusent à me baiser la bouche ensemble, puis chacun me saisit à tour de rôle entre ses mains pour me défoncer en gorge profonde, Ensuite, ils me renvoient sur l'autre queue.
Ce jeu me semble interminablement délicieux, leur vice et leurs commentaires salaces m'excitent.
L'un d'eux lance:"Bon, moi j'ai envie de le baiser maintenant!".
"Moi aussi!".
Le premier passe derrière moi, en me soulevant les fesses.
Il me libère de mon pantalon et mon slip qui tombent sur mes pieds.
Ses mains attrapent mes hanches et dirige mon anus lubrifié de salive sur son gland.
Mon œillet s'écartèle lentement, mais sans résistance. Son sexe me pénètre jusqu'à la garde.
"Hmmm! Oh, tu vas te régaler, il est aussi bon que beau!".
"Ah, ouais, j'ai hâte alors! Baises le un peu et tu me le passes!".
L'homme joue avec mon anus en me baisant lentement d'abord, puis avec fougue, puis il entre et sort plusieurs fois en cognant puissamment au fond de mon cul.
Je prends un premier orgasme enfoncé sur la bite de son copain au niveau de la gorge.
L'homme derrière moi, vient se faire sucer, pendant que l'autre se met à m'enculer de toutes les manières possibles.
Je connais à nouveau une autre envolée de plaisir anal.
Leur jeu de défonce anale à tour de rôle, les rend endurants, je jouis beaucoup avec mon anus.
L'éjaculation de l'un d'eux dans ma bouche donne le signal au second qu'il peut se déchainer pour l'accompagner.
Je prends du sperme par les deux extrémités, j'ai déjà joui, mais cérébralement, je suis au paradis du sexe, j'aime cette situation.
J'apprécie ses spasmes d'éjection de foutre dans ma gorge pendant que l'autre se cramponne à mes fesses en râlant son plaisir.
Ils me complimentent sur mes "exploits" en me remerciant.
Tout le monde se remet en place.
Ils s'éloignent, l'un d'eux dit à l'autre:"C'était un bon coup, le jeune, comment il s'appelle déjà?".
"Je sais pas! Il nous l'a pas dit!".
Je devine qu'il se fait tard, je prends la direction du retour, et m'arrête par curiosité dans la cour d'école.
Je reconnais un homme qui m'a déjà baisé, il y a quelque mois.
J'avoue que je ne l'apprécie pas beaucoup, la taille de son sexe n'est pas exceptionnelle.
Mais surtout, je n'aime pas son regard vicieux avec des petits yeux fixes.
Je le croise de temps en temps en ville, avec sa femme à son bras. Ca ne le gêne pas pour me faire sentir qu'il aimerai encore m'enculer.
Il fait partie de ces hommes qui parlent beaucoup, mais qui n'arrivent pas à me faire ressentir, ce dont ils parlent.
Exemple:"Tu la sens ma grosse queue?". (Ben non! En fait!).
Mais revenons au présent, il m'attrape par le bras, en me disant:"Viens, je te baise!".
Il caresse fermement mon cul en me donnant sa bite à branler, puis me retourne pour me l'enfoncer dans la gorge.
Il me baise en gorge profonde, et me dominant avec ses mots crus directifs.
"Je vais te défoncer encore salope!".
Il me pose des questions sur ce que j'ai fait avant de le rencontrer.
Il s'excite en écoutant mes aventures sexuelles.
Puis il me demande, si j'ai déjà baisé avec des blacks et des magrébins (En des termes péjoratifs, que je n'aime pas!).
Je lui dis; une fois avec un black et plusieurs avec les magrébins.
Il me redresse et m'enfonce sa queue dans le cul, puis se met à m'enculer en prenant son temps.
Un magrébin d'une cinquantaine d'années, sorti de, je ne sais ou, vient devant moi.
Il nous regarde timidement. L'homme lui dit:"Viens! Il va te sucer la bite!".
Il s'approche en me donnant sa queue à sucer, je constate que j'aurai préféré l'avoir dans le cul, à la place de l'autre homme.
Celui qui m'encule, s'excite comme un dingue en me voyant sucer, il me traite de pute, salope, chienne, etc...
Il attend de me voir avaler le sperme de l'inconnu, pour lui aussi éjaculer dans mon cul.
Le magrébin me remercie du plaisir que je lui ai donné.
Je me rhabille, vite fait, puis je disparais.
Je me pose des questions, pourquoi me suis-je laissé faire? Je n'ai presque pas pris de plaisir avec lui.
Je l'ai recroisé ensuite, toujours avec sa femme. J'étais avec Lisa, elle a remarqué son regard sur moi.
"Tu le connais? Il t'as regardé bizarrement, je trouve! Je l'aime pas ce mec, il me fait peur!".
"Oui, il m'a baisé deux fois, mais je l'aime pas non plus, il est un peu trop dominateur, sans en avoir les moyens, pour moi!".
Deux mois plus tard environ, il m'a attiré dans le couloir d'un vieil immeuble, puis il m'a enculé rapidement pour se vider dans mon anus, sans me faire jouir.
Après cela, j'ai enfin eu le cran de lui dire non!
A lui comme à d'autres ensuite, je m'étais rendu compte que je ne m'écoutais pas assez, et offrait mon corps à qui le voulait.