Baise filmée avec mon mari dans un parking souterrain : III. Samedi Soir - histoire érotique

Ce soir-là, mon tendre mari a bien décidé qu'avant notre nouvelle nouvelle vidéo pornographique, nous allons nous rendre en discothèque...
Sans rechigner, je l'ai donc suivie à sa discothèque favorite, son bras entourant ma taille comme la plupart du temps.
J'ai mis une robe blanche avec des escarpins de cuir blanc.
J'ai laissé ma crinière blonde détachée et n'ai strictement rien enfilé dessous ma robe...
Mon mari est pas mal habillé non plus ; pour l'occasion, il s'est assorti à moi : chemise blanche, écharpe et jean blanc, tennis assorties...
Très bel homme, comme d'habitude, pour résumé !
En boîte, nous avons pas mal dansés et après deux ou trois Martini, nous avons pris place sur une banquette de cuir aussi blanc là où nous nous sommes embrassés au son de Careless Whisper ...
Au bout d'un certain temps, j'ai sentis la main de mon homme se glisser dans mon décolleté, il a délicieusement tirés sur mes tétons tandis que sa main toujours libre s'est mise à caresser tout aussi délicieusement mon sexe.
À ce moment-là, nos baisers sont devenus davantage passionnés, je me suis allongée contre lui, sentant son sexe déjà plus dur que jamais contre ma hanche, à mesure que sa bouche dévore la mienne, entre deux baisers, le souffle rauque, il essaye de me pénétrer.
Je le repousse tant bien que mal, en ayant tout autant envie que lui...
— Allons dans les toilettes !, m'écriais-je.
— Non c'est écœurant, ici on est tellement bien !
— Mais, tout le monde va nous voir ! Tu es cinglé ou quoi ?
Il m'adresse un sourire irrésistible.
— Cinglé de toi, plutôt !
À mon tour, je souris, charmée.
Je lis l'heure sur sa montre ; il est près de deux heures...
— Tu te rappelle la fois où en pleine nuit, dans l'herbe, au parc nous avons fait l'amour ?
— Ah oui, c'était tellement bon ! Ce bon cunnilingus auquel tu as eue droit sur le banc !
— Tu m'en fera un à l'arrière de la voiture d'ici une heure, n'est-ce pas ?
— Hum, bien sûr !
— Bon allez viens mon chéri, sortons enfin d'ici ! Dans une heure, nous devons être au parking !
— Juste un dernier cocktail Reine, et on y va promis...
— Bon d'accord, concédais-je.
Je ne sais décidément pas dire non à mon propre mari !
Notre dernier cocktail achevé, nous voici enfin partis...
Puisque nous sommes en avance d'une trentaine de minutes, nous marquons une halte au parc, là où sans piper mot, nous nous allongeons sur l'herbe fraîche et contemplons main dans la main les étoiles, en échangeant de temps en temps un tendre regard.
Une fois, bien ressourcés, nous regagnons la Porsche, direction le fameux parking souterrain qui sait pertinemment nous mener tout droit au septième ciel.
Nous décidons de nous déshabiller entièrement cette fois-ci, soigneusement, nos habits sont rangés dans le coffre...
Suivant le plan érotique élaboré dans ma tête, je m'allonge donc à moitié à l'arrière de la Porsche, la portière est ouverte sur mon cher et tendre superbement nu, qui est fièrement redressé tel un coq.
Pour rajouter un peu d'excitation, je plonge une main sous le siège pour en ressortir notre fidèle paire de menottes que nous avons pris à un de nos amis qui est policier...
J'attache un poignet de mon mari et puis de l'autre menotte le mien, ainsi nous sommes enchaînés tous les deux, hahah.
Comme prévu, il se penche donc et ses lèvres commencent à me lécher de haut en bas, il se met très vite à me laper tel un chien.
Une fois, qu'il juge qu'il m'a suffisamment léché, sa langue se fraie un chemin en moi, c'est divin !
Je ne vais pas tarder à éprouver un orgasme, il me connaît que trop bien ah lala !
Tout à coup, il me demande avec autorité non maîtrisée, de me laisser s'allonger à ma place, pour qu'ensuite il puisse me savourer juste en dessus de son visage.
Encore plus excitée que prévu, je m'empresse d'ouvrir nos menottes, et le laisse faire, impatiente...
Presque assise sur son beau visage carré, il me savoure comme prévu, je me frotte contre sa mâchoire où sa barbe d'un jour me titille agréablement, un contact viril & érotique auquel je ne pourrais jamais résister !
Ainsi choyée, je ne tarde pas à manifester ce fulgurant orgasme tant attendu, je suis toute mouillée déjà par la salive de mon fidèle amant et puis maintenant le liquide de ma victorieuse jouissance s'y ajoute et il l'essuie goulûment de quelques coups de langues bien sensuels qui me font hurler de plaisir...
Je me redresse, tandis que mon cher et tendre s'assoit sur le siège, tout sourire en me soufflant :— C'était bon, incroyablement bon, même... J'ai bien envie de te pénétrer maintenant et de te montrer à mon tour ma surprise, conclut t'il, drôlement amusé.
Je l'encourage donc, à son tour, il cherche sous l'autre siège et ressort quelques secondes plus tard ; une bien longue chaîne étincelante au bout de laquelle est fixé un sorte de très gros collier fait pour entourer le cou en intégralité de cuir noir où scintille ce qui me paraît être de véritables diamants d'un bleu aussi saisissant que les yeux de mon mari...
— Oh, ce sont des diamants ?
Au fond, je connaît déjà la réponse...
Il sourit et m'affirme que oui, en effet, il s'agit bel et bien de diamants.
Je reste subjuguée pendant encore pas mal de temps, jusqu'à ce qu'il m'attire à lui pour me passer le collier tout en m'expliquant d'une voix infiniment douce :— Même si tu bouge énormément, il n'y a pas le moindre danger que tu finisse étrangler, d'accord ? Il n'est conçu que pour donner une impression de masochisme, c'est tout...
Je lui fais confiance et il le sais pertinemment, si bien que d'un geste expérimenté il me l'attache avant que j'ai pu dire quoique ce soit.
— Hum, tu es très sexy comme ça !, affirme t'il avec un large sourire.
Il me laisse m'allonger de tout mon long sur les sièges arrières puis reviens aussitôt, me redresse en attrapant la chaîne, tire dessus d'abord doucement puis ensuite avec une certaine vigueur excitante.
À mesure qu'il me pilonne, maître de nos ébats, il tire donc sur la chaîne en même temps ce qui bien entendu rend notre explosion finale encore meilleure que d'ordinaire.
Même quand nous nous apprêtons tout bonnement à retourner chez nous, je renfile ma robe, la chaîne pourvue du collier toujours à leur place c'est à dire sur moi, serrant mon cou, signalant ainsi mon appartenance à mon propre époux...
Cette nuit là, je fais tout un tas de rêves érotiques entre les bras de mon mari chéri.
Et je me demande bien si demain soir, tout cela va être t'il encore plus redoutablement passionné et unique entre nos deux corps qui font si facilement plus qu'un ?Ce soir-là, mon tendre mari a bien décidé qu'avant notre nouvelle vidéo pornographique, nous allons nous rendre en discothèque...
Sans rechigner, je l'ai donc suivie à sa discothèque favorite, son bras entourant ma taille comme la plupart du temps.
J'ai mis une robe blanche avec des escarpins de cuir blanc.
J'ai laissé ma crinière blonde détachée et n'ai strictement rien enfilé dessous ma robe...
Mon mari est pas mal habillé non plus ; pour l'occasion, il s'est assorti à moi : chemise blanche, écharpe et jean blanc, tennis assorties...
Très bel homme, comme d'habitude, pour résumé !
En boîte, nous avons pas mal dansé et après deux ou trois Martini, nous avons pris place sur une banquette de cuir aussi blanc là où nous nous sommes embrassés au son de Careless Whisper…Au bout d'un certain temps, j'ai senti la main de mon homme se glisser dans mon décolleté, il a délicieusement tiré sur mes tétons tandis que sa main toujours libre s'est mise à caresser tout aussi délicieusement mon sexe.
À ce moment-là, nos baisers sont devenus davantage passionnés, je me suis allongée contre lui, sentant son sexe déjà plus dur que jamais contre ma hanche, à mesure que sa bouche dévore la mienne, entre deux baisers, le souffle rauque, il essaye de me pénétrer.
Je le repousse tant bien que mal, en ayant tout autant envie que lui...
— Allons dans les toilettes !, m'écriais-je.
— Non, c'est écœurant, ici on est tellement bien !
— Mais, tout le monde va nous voir ! Tu es cinglé ou quoi ?
Il m'adresse un sourire irrésistible.
— Cinglé de toi, plutôt !
À mon tour, je souris, charmée.
Je lis l'heure sur sa montre ; il est près de deux heures...
— Tu te rappelles la fois où en pleine nuit, sur l'herbe, au parc nous avons fait l'amour ?
— Ah oui, c'était assurément bon ! Ce bon cunnilingus auquel tu as eu droit sur le banc !
— Tu m'en feras un à l'arrière de la voiture d'ici une heure, n'est-ce pas ?
— Hum, bien sûr !
— Bon allez viens mon chéri, sortons enfin d'ici ! Dans une heure, nous devons être au parking !
— Juste un dernier cocktail Reine, et on y va promis...
— Bon d'accord, concédais-je.
Je ne sais décidément pas dire non à mon propre mari !
Notre dernier cocktail achevé, nous voici enfin partis...
Puisque nous sommes en avance d'une trentaine de minutes, nous marquons une halte au parc, là où sans piper mot, nous nous allongeons sur l'herbe fraîche et contemplons main dans la main les étoiles, en échangeant de temps en temps un tendre regard.
Une fois, bien ressourcés, nous regagnons la Porsche, direction le fameux parking souterrain qui sait pertinemment nous mener tout droit au septième ciel.
Nous décidons de nous déshabiller entièrement cette fois-ci, soigneusement, nos habits sont rangés dans le coffre...
Suivant le plan érotique élaboré dans ma tête, je m'allonge donc à moitié à l'arrière de la Porsche, la portière est ouverte sur mon cher et tendre superbement nu, qui est fièrement redressé tel un coq.
Pour rajouter un peu d'excitation, je plonge une main sous le siège pour en ressortir notre fidèle paire de menottes que nous avons pris à un de nos amis qui est policier...
J'attache un poignet de mon mari et puis de l'autre menotte le mien, ainsi nous sommes enchaînés tous les deux, haha.
Comme prévu, il se penche ainsi et ses lèvres commencent à me lécher de haut en bas, il se met très vite à me laper tel un chien.
Une fois, qu'il juge qu'il m'a suffisamment léché, sa langue se fraie un chemin en moi, c'est divin !
Je ne vais pas tarder à éprouver un orgasme, il me connaît que trop bien ah la la !
Tout à coup, il me demande avec autorité non maîtrisée, de me laisser s'allonger à ma place, pour qu'ensuite il puisse me savourer juste en dessus de son visage.
Encore plus excitée que prévu, je m'empresse d'ouvrir nos menottes, et le laisse faire, impatiente...
Presque assise sur son beau visage carré, il me savoure comme prévu, je me frotte contre sa mâchoire où sa barbe d'un jour me titille agréablement, un contact viril & érotique auquel je ne pourrais jamais résister !
Ainsi choyée, je ne tarde pas à manifester ce fulgurant orgasme tant attendu, je suis toute mouillée déjà par la salive de mon fidèle amant et puis maintenant le liquide de ma victorieuse jouissance s'y ajoute et il l'essuie goulûment de quelques coups de langues bien sensuels qui me font hurler de plaisir...
Je me redresse, tandis que mon cher et tendre s'assoit sur le siège, tout sourire en me soufflant :— C'était bon, incroyablement bon, même... J'ai bien envie de te pénétrer à présent et de te montrer à mon tour ma surprise, conclut-il, drôlement amusé.
Je l'encourage donc, à son tour, il cherche sous l'autre siège et ressort quelques secondes plus tard ; une bien longue chaîne étincelante au bout de laquelle est fixé une sorte de très gros collier fait pour entourer le cou en intégralité de cuir noir où scintille ce qui me paraît être de véritables diamants d'un bleu aussi saisissant que les yeux de mon mari...
— Oh, ce sont des diamants ?
Au fond, je connais déjà la réponse...
Il sourit et m'affirme que oui, en effet, il s'agit bel et bien de diamants.
Je reste subjuguée pendant encore pas mal de temps, jusqu'à ce qu'il m'attire à lui pour me passer le collier tout en m'expliquant d'une voix infiniment douce :— Même si tu bouges énormément, il n'y a pas le moindre danger que tu finisses étrangler, d'accord ? Il n'est conçu que pour donner une impression de masochisme, c'est tout...
Je lui fais confiance et il le sait pertinemment, si bien que d'un geste expérimenté il me l'attache avant que j'ai pu dire quoique ce soit.
— Hum, tu es très sexy comme ça !, affirme-t-il avec un large sourire.
Il me laisse m'allonger de tout mon long sur les sièges arrière puis reviens aussitôt, me redresse en attrapant la chaîne, tire dessus d'abord doucement ensuite avec une certaine vigueur excitante.
À mesure qu'il me pilonne, maître de nos ébats, il tire donc sur la chaîne en même temps ce qui bien entendu rend notre explosion finale encore meilleure que d'ordinaire.
Même quand nous nous apprêtons tout bonnement à retourner chez nous, je renfile ma robe, la chaîne pourvue du collier toujours à leur place c'est-à-dire sur moi, serrant mon cou, signalant ainsi mon appartenance à mon propre époux...
Cette nuit-là, je fais tout un tas de rêves érotiques entre les bras de mon mari chéri.
Et je me demande bien si demain soir, tout cela va être t'il encore plus redoutablement passionné et unique entre nos deux corps qui font si facilement plus qu'un ?