Baise normale - histoire érotique

Elle est blonde, blonde comme on en fait rarement, sa poitrine proéminente attire toujours mes mains, même si elle est habillée. Sa taille mince contraste avec ses hanches. Les jambes longues encadrent en haut, un sexe fabuleusement sensuel. Elle est nue, couchée sur le divan, entre les coussins. Ses vêtements sont par terre, comme à chaque fois, tous les après midi qu’elle en a envie: elle commence toujours à peu près un quart d’heure avant que j’arrive.
Je la trouve allongée entre les coussins, les mains caressant ses seins. Je sais qu’elle attend que j’arrive pour se caresser plus longuement. Je n’ai pas l’autorisation de la toucher. Je peux me déshabiller, bander, ma branler en même temps qu’elle. Par contre je n’ai pas la permission jouir: mon sperme lui est réservé. Elle ne porte sur elle qu’une paire de bottes blanches.
Je me plie volontiers à ses exigences, connaissant la suite.
Elle se caresse longuement la poitrine, fait ressortir ses tétons. Je sais que ses seins sont durs comme de la pierre. Enfin elle glisse lentement sa main droite vers son pubis en s’arrêtant un instant au nombril. Elle fait un dernier arrêt sur son pubis qu’elle caresse comme un chat. Enfin elle n’hésite pas à poser sa main droite entière sur sa chatte. Elle la laisse ainsi, immobile plusieurs minute.
Je bande comme un âne: je ne peux toujours me pas me branler. J’en ai mal à la bite.
Enfin elle commence le rituel: sa main gauche descend ^pour écarter ses lèvres et faire bien ressortir son bouton. Quand il est dehors, elle prend un peu de salive pour mouiller les trois doigts qui vont la caresser. Elle se masturbe toujours avec les trois même doigts: pour elle c’est mieux pour assurer un bon contact plus long entre sa main er son sexe. Elle entame le va et vient lentement, très lentement. Son autre main remonte sur son seins gauche pour caresser le téton. Les doigts s’ agitent de plus en plus vite: elle ferme les yeux en gémissant doucement.
A ce moment là je lui raconte des histoires osées, très osées même: elle baise avec plusieurs hommes qui la pénètre dans tous ses trous. Ou alors, elle baise avec une amie que je nomme pour qu’elle la voit bien: elle se fait sucer et mettre des doigts dans le cul. J’ajoute quelques fois qu’elle lui urine dessus.
Ca ne manque pas: elle jouit.
C’est à moi de jouer maintenant. Je vas vers elle: elle prend ma bite dans sa main droite, la branle un instant lentement pour que je ne jouisse pas encore. Ensuite elle se relève pour prendre ma queue dans sa bouche: elle me suce et me branle à la fois. Sa langue lèche le gland, l’entoure, le suçote avant de le mettre tout entier dans sa bouche qu’elle fait aller et venir comme si c’était son con.
Je peux caresser ses seins comme je l’entend, en lui faisait toujours des caresses légères. Elle apprécie toujours, je le sens quand elle me mordille la queue. Elle va de plus en plus vite pour me faire jouir. Elle sait fort bien ce qu’elle fait: je jouirai plus longtemps après. Quand je sens que l’éjaculation est proche je le lui dit: elle vas encore plus vite. Je lui donna tout le sperme que j’ai en réserve. Elle attend avec ma pine toujours dans la bouche que je lui donne la dernière goutte.
Quand elle se relève un peu quelques fois je vois une petite goutte qu’elle n’a pas avalé. Je la prélève avec ma langue pour la lui donner dans sa bouche.
Elle me veux en elle pour bien jouir. Elle prend ma queue dans ses deux mains, la traite comme elle ferai avec de la pâte de gâteaux: elle roule la bite entre ses deux mains, le gland toujours dehors. Je ressent de drôles de frissons quand elle me fait bander ainsi. Ca ne manque jamais, je bande encore plus fort. Nous avons envie tous les deux de baiser « normalement ». Elle se met en levrette, me donne sa chatte et je peux enfin la baiser longuement. Maintenant que j’ai joui une fois, je peux la faire jouir plusieurs fois avant de partie encore une fois.
Elle connais parfaitement mon mode de fonctionnement.
Je suis à genoux derrière elle. Elle prend ma bite pour la diriger vers son con. Elle se cabre bien pour qu’avant d’entrer je passe partout dans sa fente depuis le clitoris jusqu’à son cul. Je sens toute sa fente bien mouillée. J’entre dans son ventre très lentement pour bien profiter de son vagin étroit et chaud.
Je suis maintenant le maitre de cérémonie. C’est à mi d’assurer mon, rôle de mâle. Je dois bien mettre deux minutes avant d’être au fond de son vagin. J’y reste immobile et quand elle n’en peux plus je reprends mon, rôle en la baisant de plus en plus vite. Elle gémit quand le plaisir l’inonde. Quand je prends ces deux seins dans mes mains, elle hurle sa jouissance. Je la laisse faire et continue: elle jouit encore une fois.
Quand je sors d’elle, elle se retourne pour me sucer encore une fois, elle aime retrouver le goût de sa cyprine sur ma pine.
Je ne la laisse pas longtemps, même si j’éprouve toujours le plaisir de sa langue sur ma bite.
Je la fait remettre comme elle était juste avant.
Elle se mouille le cul avec sa cyprine et s’il en manque avec sa salive. Je pose ma queue sur son cul. Comme souvent j’entre relativement vite pour être au fond de son cul rapidement. Je ne reste immobile que le temps pour nous deux de profiter elle de ma queue et moi de son cul. C’est toujours elle qui entame les va et vient. Elle accompagne la sodomie d’une masturbation de son clitoris.
Je sens plusieurs fois son cul autour de ma bite quand elle jouit. Et enfin je jouis à mon tour, longuement, plus que dans sa bouche.
Je sors de son cul: elle est satisfaite de cette fin d’après midi. Elle se lève, m’embrasse longuement pour finir par me dire un merci du fond du cœur. Elle part mettre la table et toujours nue nous mangeons notre repas avant d’aller dans la chambre recommencer à baiser. Cette fois elle se sert de godes comme de boutre en train.
Je lendemain matin elle sera habillée comme une femme honorable, ce qu’elle est par ailleurs