Baises avec nos voisins
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-01-2015 dans la catégorie Plus on est
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Baises avec nos voisins
Nous sommes perdus dans ce nouveau quartier. Heureusement que presque tous les habitants sont comme nous. Aménager dans un nouveau lotissement est toujours la même pagaille. Le printemps arrivant nous sortons beaucoup dans les jardins pour bricoler. C’est ainsi que lentement nous nous connaissons au moins de vue. Claire ma femme est satisfaite le jour où elle bavarde avec une voisine, comme moi qui peut commencer à échanger quelques propos avec un autre voisin. A l’arrivée de l’hiver nous nous connaissons tous ou presque. Presque parce que certains partent au travail très tôt pour en revenir tard.
Claire est devenue amie avec Aline, la plus proche voisine, à tel point qu’elles se rencontrent souvent soit chez nous, soit chez l’autre. Au fond j’en suis satisfait : nous nous sommes bien intégrés. Un dimanche, Aline décide d’inviter le couple voisin. Lui, Henri je ne le connaissais que de vue, elle Aline je la rencontrais des fois chez moi. Assis ensemble, il forme un couple assorti. Elle me plait bien avec sa poitrine bien montée et ses longs cheveux noirs. Ses yeux verts me fascinent.
Lui, Henri est du genre play boy sans prétention. Pour mes yeux de mâle je le trouve pas mal. Claire est un peu prise par son allure fière. En gros, il lui plait.
Ma femme est-ce qu’on peut appeler un cordon bleu. Le repas se présente bien, juste après un apéritif peu alcoolisé nous entamons le repas en bavardant. La seule chose qui cloche est la chaleur : à cause de l’hiver le chauffage est à fond. Les femmes se découvrent un peu laissant apercevoir des dessous affriolant. Claire en se penchant un peu laisse voir ses tétons. Bien sur le voisin les zieute sans vergogne. J’en fais autant pour sa femme dont je vois plus clairement la forme des seins.
A partir de là la conversation devient plus salée. Les femmes font semblant d’être scandalisées alors qu’elles ne demandent pas mieux. Après le café, Henri passe sa main sous la jupe de son épouse qui pousse en cri de surprise. Elle nous regarde en rougissant un peu. Nous voyons bien, avec Claire que la main de son mari est sur sa chatte. Visiblement il la masturbe. Elle se laisse faire en fermant les yeux, non pas par honte mais pour le plaisir.
Claire prend ma main pour que j’en fasse autant : elle est excitée de voir une autre qu’elle se faire masturber dans sa propre maison. Je suis moins discret qu’Henri, je pose d’abord ma bouche sur celle de ma femme avant de la branler. Nous entendons parfaitement les gémissements d’Aline. Ce n’est pas pour nous calmer : Claire sort ma bite du pantalon pour me branler en même temps qu’elle. Je me trouve seul avec la queue dehors : Aline la voit et sans pudeur la détaille.
Henri prend la direction des opérations : il se lève, donne sa queue à sa femme qui s’en empare pour le manger. Si elle n’a pas joui, elle ne devait pas en être loin, comme Claire qui abandonne ma queue pour la prendre en bouche.
Nous arrêtons juste un instant pour nous mettre nus. Henri a une belle queue plus grosse que la mienne. Les seins d’Aline sont moins gros que je le croyais.
Les deux femmes déploient toute leur science de l’amour. Si Henni reste debout pendant la fellation, c’est que sa femme passe une main entre les cuisses de son mari, elle court vite vers l’anus pour y planter un doigt qu’elle enfonce profondément.
Claire se contente de ce que nous faisons ensemble assez souvent : sa langue lèche ma colonne des couilles au gland avant de la mettre en entier dans la bouche. Elle caresse mes couilles longuement. Elle sait arrêter souvent les mouvements de sa langue pour que je ne jouisse pas.
Il n’en est pas de même dans le couple des voisins : elle le suce jusqu’au moment où il lui donne son sperme qu’elle déguste avant de le partager avec lui. Aline se lève en faisant assoir Henri qui doit lui lécher la chatte. C’est excitant de voir une langue lécher le sexe de cette voisine. Elle est le ventre en avant, son minou ouvert grâce à ses mains. Les yeux fermée, elle se laisse lécher avec grand plaisir.
Claire en voudrait autant. Elle finit la fellation plus rapidement que d’habitude. Elle me demande de me pencher pour mieux lui prendre l’abricot : il est déjà juteux, sa cyprine m’attire comme le miel les abeilles. J’aime tellement son liquide que je ne m’en lasse pas. Je lèche tout ce qui est à porté de ma bouche, particulièrement le clitoris. Là elle ne tient pas longtemps. Elle se laisse aller en gémissant au plaisir.
Nous sommes sur le point de changer de partenaire, même si Aline fait quelques réticences. Claire que je connaissais réservée veut se faire mettre par la queue d’Henri. Celui-ci connaissant bien sa femme propose que les filles se contentent entre elle. Cette perspective l’enchante à tel point qu’elle vient embrasser ma femmes sur la bouche. Etonnée Claire la laisse faire. Voyant ce couple de femmes je suis d’accord avec Aline : qu’elles baisent ensemble avant de prendre une autre bite.
Aline couche Claire sur le divan, lui fait écarter les jambes pur la masturber. Claire manifeste d’abord son désaccord avant d’accepter et de jouir d’une autre main féminine. Je pire dans son cas est qu’à son tour elle branle Aline qui la guide. Après une première jouissance lesbienne elles se lèchent les seins et descendent vers la chatte de l’autre.
C‘est un véritable plaisir de voir nous épouses s’aimer ainsi. Bien sur nous bandons fortement. C’est encore mieux quand elles se mettent en 69. Nous pouvons bien voir les langues accomplir les vœux des deux filles.
Mais voilà, si Henri a joui en se faisant faire une fellation, je reste sur ma faim pour avoir fait un cunnilingus à ma propre épouse aux prises maintenant avec une autre femme. Je peux les faire descendre du divan : elles recommencent sur le tapis. Cette fois je peux les faire mettre sur le coté. Je me mets du coté d’Aline, ses fesses m’attire, en plus ma bite sera à peu de distance des yeux de ma femme. Elle pourrait me guider en cas de besoin. Henri lui vise aussi le cul de ma femme. Elle aime la sodomie, elle ne râlera pas d’avoir un gourdin dans le cul.
J’approche ma queue de l’anus d’Aline. Claire me voyant venir prend la cyprine du con de son amante pour la mettre sur le postérieur où j’entends aller pour jouir. Elle ajoute à mon excitation. Aline ouvre à peine un peu plus ses cuisses : j’ai accès à son entrée secrète. Je ne force même pas pour entrer : elle connait bien l’enculage. J’entre jusqu’au fond de son ventre : elle gémit encore plus : il faut la comprendre, elle est léchée et enculée à la fois.
Je ne perds pas mon temps : ma femme qui regarde de près ma bite entrer en sortir me caresse également les couilles. Elle aussi se trouve léchée et enculée. Je sais qu’elle adore se faire mettre par le petit trou. Elle doit être servie par la grosseur de la bite qui l’encule.
J’entre et sort plusieurs fois de cet endroit si accueillant. A chaque fois je ressens un nouveau plaisir. J’aime sentir ses spasmes de jouissance en me disant que j’y suis pour quelques choses, comme la langue de ma femme.
Aline pousse un hurlement quand elle a l’orgasme final. Nous en sommes effrayés. Je sors de son cul. Claire continue de se faire sodomiser. Elle aime trop cette pratique pour abandonner. D’elle-même elle se tourne pour être sur le ventre d’Henri, la bite toujours dans l’anus. Je sais maintenant ce qu’elle désire. Je vais sur elle qui prend ma bite pour la diriger vers sa chatte. Elle me guide jusqu’à, l’entrée de son con.
Elle est tellement mouillée que je la pénètre facilement. Elle gémit déjà d’avoir deux bites dans son ventre. Je sens à travers ses fines parois la bite de l’autre qui me donne un autre plaisir. Claire prend un drôle de pied en jouissant continuellement.
Aline s’excite aussi en nous regardant : elle se met bien en vue pour ouvrir sa chatte et se masturber. Si nous l’excitons, elle aussi nous excite aussi. Notre double pénétration dure plus longtemps que prévu. Je sens qu’Henri jouit un peu avant moi. Le con de ma femme est plein de spasmes, comme ma bite nous jouissons tous les deux ensemble comme souvent.
Nous baisons comme des bête jusqu’au lendemain. Inutile de dire que nous sommes
Dans un autre monde. Pour nous quatre les rendez vous se passent de principe. Il m’arrive de baiser Aline chez elle ou chez moi, comme Claire se fait mettre chez nous ou chez lui.
Jusqu’à présent les voisins de se doutent de rien. Les deux femmes sont des amantes fidèles. Nous pouvons continuer à nous amuser longuement comme nous le faisons. Rares deviennent les fois où nous baisons réellement en couple. Pour nous l’amour est devenu un plaisir partagé.
Claire est devenue amie avec Aline, la plus proche voisine, à tel point qu’elles se rencontrent souvent soit chez nous, soit chez l’autre. Au fond j’en suis satisfait : nous nous sommes bien intégrés. Un dimanche, Aline décide d’inviter le couple voisin. Lui, Henri je ne le connaissais que de vue, elle Aline je la rencontrais des fois chez moi. Assis ensemble, il forme un couple assorti. Elle me plait bien avec sa poitrine bien montée et ses longs cheveux noirs. Ses yeux verts me fascinent.
Lui, Henri est du genre play boy sans prétention. Pour mes yeux de mâle je le trouve pas mal. Claire est un peu prise par son allure fière. En gros, il lui plait.
Ma femme est-ce qu’on peut appeler un cordon bleu. Le repas se présente bien, juste après un apéritif peu alcoolisé nous entamons le repas en bavardant. La seule chose qui cloche est la chaleur : à cause de l’hiver le chauffage est à fond. Les femmes se découvrent un peu laissant apercevoir des dessous affriolant. Claire en se penchant un peu laisse voir ses tétons. Bien sur le voisin les zieute sans vergogne. J’en fais autant pour sa femme dont je vois plus clairement la forme des seins.
A partir de là la conversation devient plus salée. Les femmes font semblant d’être scandalisées alors qu’elles ne demandent pas mieux. Après le café, Henri passe sa main sous la jupe de son épouse qui pousse en cri de surprise. Elle nous regarde en rougissant un peu. Nous voyons bien, avec Claire que la main de son mari est sur sa chatte. Visiblement il la masturbe. Elle se laisse faire en fermant les yeux, non pas par honte mais pour le plaisir.
Claire prend ma main pour que j’en fasse autant : elle est excitée de voir une autre qu’elle se faire masturber dans sa propre maison. Je suis moins discret qu’Henri, je pose d’abord ma bouche sur celle de ma femme avant de la branler. Nous entendons parfaitement les gémissements d’Aline. Ce n’est pas pour nous calmer : Claire sort ma bite du pantalon pour me branler en même temps qu’elle. Je me trouve seul avec la queue dehors : Aline la voit et sans pudeur la détaille.
Henri prend la direction des opérations : il se lève, donne sa queue à sa femme qui s’en empare pour le manger. Si elle n’a pas joui, elle ne devait pas en être loin, comme Claire qui abandonne ma queue pour la prendre en bouche.
Nous arrêtons juste un instant pour nous mettre nus. Henri a une belle queue plus grosse que la mienne. Les seins d’Aline sont moins gros que je le croyais.
Les deux femmes déploient toute leur science de l’amour. Si Henni reste debout pendant la fellation, c’est que sa femme passe une main entre les cuisses de son mari, elle court vite vers l’anus pour y planter un doigt qu’elle enfonce profondément.
Claire se contente de ce que nous faisons ensemble assez souvent : sa langue lèche ma colonne des couilles au gland avant de la mettre en entier dans la bouche. Elle caresse mes couilles longuement. Elle sait arrêter souvent les mouvements de sa langue pour que je ne jouisse pas.
Il n’en est pas de même dans le couple des voisins : elle le suce jusqu’au moment où il lui donne son sperme qu’elle déguste avant de le partager avec lui. Aline se lève en faisant assoir Henri qui doit lui lécher la chatte. C’est excitant de voir une langue lécher le sexe de cette voisine. Elle est le ventre en avant, son minou ouvert grâce à ses mains. Les yeux fermée, elle se laisse lécher avec grand plaisir.
Claire en voudrait autant. Elle finit la fellation plus rapidement que d’habitude. Elle me demande de me pencher pour mieux lui prendre l’abricot : il est déjà juteux, sa cyprine m’attire comme le miel les abeilles. J’aime tellement son liquide que je ne m’en lasse pas. Je lèche tout ce qui est à porté de ma bouche, particulièrement le clitoris. Là elle ne tient pas longtemps. Elle se laisse aller en gémissant au plaisir.
Nous sommes sur le point de changer de partenaire, même si Aline fait quelques réticences. Claire que je connaissais réservée veut se faire mettre par la queue d’Henri. Celui-ci connaissant bien sa femme propose que les filles se contentent entre elle. Cette perspective l’enchante à tel point qu’elle vient embrasser ma femmes sur la bouche. Etonnée Claire la laisse faire. Voyant ce couple de femmes je suis d’accord avec Aline : qu’elles baisent ensemble avant de prendre une autre bite.
Aline couche Claire sur le divan, lui fait écarter les jambes pur la masturber. Claire manifeste d’abord son désaccord avant d’accepter et de jouir d’une autre main féminine. Je pire dans son cas est qu’à son tour elle branle Aline qui la guide. Après une première jouissance lesbienne elles se lèchent les seins et descendent vers la chatte de l’autre.
C‘est un véritable plaisir de voir nous épouses s’aimer ainsi. Bien sur nous bandons fortement. C’est encore mieux quand elles se mettent en 69. Nous pouvons bien voir les langues accomplir les vœux des deux filles.
Mais voilà, si Henri a joui en se faisant faire une fellation, je reste sur ma faim pour avoir fait un cunnilingus à ma propre épouse aux prises maintenant avec une autre femme. Je peux les faire descendre du divan : elles recommencent sur le tapis. Cette fois je peux les faire mettre sur le coté. Je me mets du coté d’Aline, ses fesses m’attire, en plus ma bite sera à peu de distance des yeux de ma femme. Elle pourrait me guider en cas de besoin. Henri lui vise aussi le cul de ma femme. Elle aime la sodomie, elle ne râlera pas d’avoir un gourdin dans le cul.
J’approche ma queue de l’anus d’Aline. Claire me voyant venir prend la cyprine du con de son amante pour la mettre sur le postérieur où j’entends aller pour jouir. Elle ajoute à mon excitation. Aline ouvre à peine un peu plus ses cuisses : j’ai accès à son entrée secrète. Je ne force même pas pour entrer : elle connait bien l’enculage. J’entre jusqu’au fond de son ventre : elle gémit encore plus : il faut la comprendre, elle est léchée et enculée à la fois.
Je ne perds pas mon temps : ma femme qui regarde de près ma bite entrer en sortir me caresse également les couilles. Elle aussi se trouve léchée et enculée. Je sais qu’elle adore se faire mettre par le petit trou. Elle doit être servie par la grosseur de la bite qui l’encule.
J’entre et sort plusieurs fois de cet endroit si accueillant. A chaque fois je ressens un nouveau plaisir. J’aime sentir ses spasmes de jouissance en me disant que j’y suis pour quelques choses, comme la langue de ma femme.
Aline pousse un hurlement quand elle a l’orgasme final. Nous en sommes effrayés. Je sors de son cul. Claire continue de se faire sodomiser. Elle aime trop cette pratique pour abandonner. D’elle-même elle se tourne pour être sur le ventre d’Henri, la bite toujours dans l’anus. Je sais maintenant ce qu’elle désire. Je vais sur elle qui prend ma bite pour la diriger vers sa chatte. Elle me guide jusqu’à, l’entrée de son con.
Elle est tellement mouillée que je la pénètre facilement. Elle gémit déjà d’avoir deux bites dans son ventre. Je sens à travers ses fines parois la bite de l’autre qui me donne un autre plaisir. Claire prend un drôle de pied en jouissant continuellement.
Aline s’excite aussi en nous regardant : elle se met bien en vue pour ouvrir sa chatte et se masturber. Si nous l’excitons, elle aussi nous excite aussi. Notre double pénétration dure plus longtemps que prévu. Je sens qu’Henri jouit un peu avant moi. Le con de ma femme est plein de spasmes, comme ma bite nous jouissons tous les deux ensemble comme souvent.
Nous baisons comme des bête jusqu’au lendemain. Inutile de dire que nous sommes
Dans un autre monde. Pour nous quatre les rendez vous se passent de principe. Il m’arrive de baiser Aline chez elle ou chez moi, comme Claire se fait mettre chez nous ou chez lui.
Jusqu’à présent les voisins de se doutent de rien. Les deux femmes sont des amantes fidèles. Nous pouvons continuer à nous amuser longuement comme nous le faisons. Rares deviennent les fois où nous baisons réellement en couple. Pour nous l’amour est devenu un plaisir partagé.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Quand on est à quatre, c'est surtout le regard des suceurs qui commande :'histoire. Un peu de jalousie : tu crains que l'autre suceur fasse une meilleure fellation, alors il est fouettant de constater, qu'il n'en est rien. Mais il de faut pas manquer de faire de la sorte, que tout le monde puisse voir jaillir les foutres.....ég
j'aime bien faire l'amour a 4!mais surtout lorsque les mecs finissent
par s'enculer.nous sommes 2 couples qui pratiquons mais mon mari est plus voyeur il se branle en nous regardant.Et un jour notre ami lui a mis sa bite dans les mains pour se faire faire une petite masturbation et la contre toute attente mon mari pris cette belle bite pleine bouche et passa sa main entre les fesses et lui mis 2 doigts dans le cul puis
retourna notre ami et lui glissa sa bite dans le cul!Pour nous les femmes se fut phénoménale .
par s'enculer.nous sommes 2 couples qui pratiquons mais mon mari est plus voyeur il se branle en nous regardant.Et un jour notre ami lui a mis sa bite dans les mains pour se faire faire une petite masturbation et la contre toute attente mon mari pris cette belle bite pleine bouche et passa sa main entre les fesses et lui mis 2 doigts dans le cul puis
retourna notre ami et lui glissa sa bite dans le cul!Pour nous les femmes se fut phénoménale .