Baiseuse intégrale
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-08-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Baiseuse intégrale
Je fréquente une fille tellement blonde qu’elle en parait blanche. Elle a des yeux verts, une poitrine qui me convient bien, pas grosse, même assez petite. Ses fesses parfaites surmontent des jambes du tonnerre. Rien que de penser à elle me fait déjà bander. Nous nous retrouvons souvent dans un seul but, nous donner du plaisir: je ne pense même pas qu’un sentiment quelconque nous unisse: une seule chose compte: baiser et jouir.
Son mari, chauffeur routier international est absent la plus part du temps. Je sais, parce qu’elle me l’a dit. Quand il est avec elle, d’abord il se repose un moment pendant qu’elle se prépare: elle prend un bain, agrémenté de masturbations. Elle retourne le voir toujours nue ou alors vêtue comme une pute. Pour un réveil en douceur, elle le découvre, prend la bite dans la bouche pour le faire bander: il ne se réveille que quand il est en pleine forme. A ce moment elle lui lèche le gland et le prend totalement dans sa bouche. Elle arrête toujours avant qu’il jouisse. Là commence une baise qui dure au moins 2 heures.
Elle m’explique tout ce qu’ils font, depuis la fellation, jusqu’à la sodomie, en passant par les intermédiaires.
Son mari ne rentre pas affamé: il s’arrange toujours pour trouver un couple avec qui il passe du bon temps. Elle sait ainsi qu’il aime se faire mettre dans le cul pendant qu’il baise ou encule la femme. Mon amie ne le supporte pas quand il lui dit qu’il jouit bien ainsi.
C’est ma principale raison de notre liaison. Il faut dire que je possède un petit quelque chose de plus que la plus part des hommes: j’ai un gourdin à la place qu’une queue, et justement elle aime ce type de bite.
Nous nous sommes rencontré par hasard dans le rue: elle faisait des courses et j’ai trouvé le moyen, habile comme je suis, de lui faire tomber son cabas. Je l’aidais à ramasser ses provisions. Pour me faire pardonner, je portais chez elle son cabas. Elle m’a fait entrer et là tout c’est passé très vite: elle a voulu me donner une bise qui s’est transformé en véritable baiser. Nos bouches ont fait amies amies aussitôt. Entrainé je ne pouvais faire autrement, sinon je passais pour un goujat, de continuer. J’ai commencé à la peloter. Je me suis aperçu qu’elle avait une poitrine très dure. J’ai continué un moment: quand j’ai posé ma main sur ses fesses et que j’ai levé le bas de sa jupe, l’affaire était dans le sac. Elle se laissait faire sans histoire, au contraire, même elle posait une main bien curieuse sur la bosse de mon pantalon.
Il était déjà trop tard pour une partie de jambes en l’air. Je lui donnais rendez vous chez moi pour le début d’après midi: nous aurions le temps de nous épancher.
Je me demandais même si elle allait venir, comme ça de son plein gré se faire mettre. Elle est venue. Notre aventure commençait, elle continue encore 3 ans plus tard.
Nous n’avons rien dit; nos lèvres avec les langues dans la bouche de l’autre parlaient à notre place. Je l’ai encore pelotée. Elle se laissait faire, surtout quand je passais une main sous son t-shirt pour aller dégrafer le soutien gorge. Je pouvais lui prendre un sein qui durcissait encore plus. Je sentais son téton durcir. Je voulais en voir d’avantage: d’elle-même elle se mettait torse. Je pouvais admirer un galbe rare: deux seins avec de larges aréoles, le tout en forme de poire. Il semblait que les mamelons remontaient l’ensemble. Je posais ma bouche une des pointes pour la sucer. Ma langue trouvais un nouveau terrain de jeu, et quel jeu: elle m’offrait totalement sa poitrine. Elle posait sa main à nouveau sur ma bite. Elle ne faisait que la masser, c’était suffisant pour me faire bander encore plus: ma queue se trouvait bien prisonnière dans mon slip. Pour un instant j’oubliais ses seins fabuleux. Je passais ma main sous sa jupe, remontait vers son entre jambe. J’arrivait doucement sur un string minuscule. Je pouvais passer facilement mes doigts vers ma cible. Elle écartait juste ce qu’il fallait pour que j’arrive sur son bouton. Encore une bonne découverte, son clitoris se classe parmi les longs. Je pouvais facilement masturber: je ne m’attendais pas à une telle réaction: elle jouissait, ce qui était le but recherché, mais devait s’accrocher à mon cou pour ne pas tomber en poussant un petit cri.
Je n’en pouvais plus. Je la prenais dans mes bras pour la porter dans ma chambre. Je finissais de la déshabiller pour la coucher.
J’avais posé sur mon lit une œuvre d’art, un peu érotique, mais d’une beauté éclatante. Faire la statue ne lui plaisait pas particulièrement. Il lui fallait de l’action. J’étais vite nu à mon tour:
- Mon Dieu que tu en a une grosse et longue.
- J’en suis fière.
- Je ne sais si tu pourra tout me faire avec cet engin.
- T’en fais pas-tu ne sera pas la première qui l’aura dans le cul et qui en jouira.
- J’ai peur, fais attention.
- Je n’ai jamais fait de mal à une fille, je ne vais pas commencer avec toi.
- Viens, embrasse moi encore.
Je me couche près d’elle, je pose ma bouche sur la sienne, ma main revient caresser un sein. Elle prend la main pour que j’aille encore vers son clitoris.
- Tout à l’heure je te mordrai ton bouton.
- Alors je te mordrai la bite.
- Chiche, mais avant ou après t’avoir enculée ?
- Après bien sur.
En attendant je fait aller et venir deux doigts sur son bouton. Elle recommence à gémir sans fin. Elle cri en jouissant. Heureusement qu’elle a un dérivatif, elle peut jouer avec ma bite: elle la tâte partout, en fait le tour, baisse le prépuce pour caresser juste le haut du gland, remonte la peau, avant d’aller caresser mes couilles. Je continu à passer ma main sur sa chatte. Je ne peux m’empêcher de toucher son anus. Elle force à peine pour l’ouvrir et faciliter mon passage. J’y glisse juste un doigt. Je peux le faire entrer jusqu’au bout en le faisant aller et venir:
- Oui, continu, tu me fais du bien.
- Tout à l’heure je t’y mettrai ma bite.
- Oui, j’en ai envie. Tu me fais jouir. Que tu sais bien baiser.
- Je ne t’ai pas encore baiser: je vais te planter ma queue dans ton ventre: tu le veux.
- Oui, baise moi.
Je me mets sur elle qui a gardé les jambes ouvertes: elle prend ma bite plus pour la vérifier encore que pour la mettre en place. J’avoue avoir quelques difficultés à entrer en elle: elle se crispe réduisant ainsi son petit con. J’arrive à la détendre en l’embrassant encore et en lui caressant les seins, enfin elle s’ouvre normalement. Je peux la pénétrer facilement.
- Tu m’a tout mis ?
- Non, je ne peux pas, je suis trop long, mais tu en a le principal.
‘ Dommage, je l’aurai voulu toute;
- Arrête de dire des bêtise, baisons.
Elle se tait, si on excepte les soupirs et les cri de jouissance. Je suis assez long à jouir, elle pas. Nous pouvons baiser ainsi longtemps. Je n’arrête de la lui mettre que quand elle me le demande.
- Arrête, s’il te plais: tu me fais trop jouir.
- J’arrête un moment, je croyais que tu baise plus fort avec ton mari.
- Il ne m’a jamais baisée comme toi.
- Attends un peu et je vais t’enculer.
Nous nous remettons sur le lit, cote à cote. Je suis sur le ventre et peux l’embrasser continuellement. J’ai remis une main entre ses jambes. J’ai posé un doigt sur son anus. J’attends maintenant qu’elle me demande de la lui remettre.
Ca y est, elle mouille fort à nouveau:
- Encules moi maintenant.
- Mouilles toi bien le cul.
- Bien sur mon chéri.
Me voila son chéri, ce que je ne veux surtout pas être: on baise et on jouit ensemble, je veux bien, par contre aucun sentiment autre que la reconnaissance du ventre après une bonne baise.
- Mets toi en position, en levrette, si tu veux.
Elle se tourne sur le ventre d’abord, juste pour que je vois la raie et ses fesses que je caresse un peu, puis se met à quatre pattes. Son cul est juste à ma portée. Je n’ai pas l’intention de la sodomiser rapidement. Je passe une main sous elle, pour aller à la rencontre de sa chatte dans laquelle j’entre trois doigts pour la remplir. Je la fait jouir ainsi encore. Evidemment elle pousse son cri habituel. Ma queue a grossi depuis un moment, depuis cet instant où elle m’a demande de la sodomiser.
Je pose à peine le bout de mon gland, juste le méat sur son anus qu’elle tient ouvert à deux mains.
Je la sens se détendre entièrement: elle est plus que prête pour se faire mettre. J’entre petit à petit dans son ventre. Je sens mon gland glisser avec mon plaisir qui arrive doucement. Je sens quand le bout de mon gland a passé son anus. Je suis en elle, je peux la lui mettre à fond.
- Mon Dieu que c’est bon ta queue dans mon cul.
- C’est bon d’être avec ma bite dans ton cul. Je vais la mettre le plus possible.
- Oh, oui, le plus profond possible. Je jouis déjà.
Elle pousse son cri. Elle cri ainsi 5 ou fois avant que je décharge tout mon sperme dans son cul.
Je me retire d’elle. Elle passe sa main sur l’anus pour recueillir un peu de semence.
Elle se couche à nouveau sur le dos. Prend à nouveau la bite et pour la remercier, l’embrasse juste au bout.
- N’oublie pas que tu dois me sucer.
- Je sais, mais je pensais que tu débandais.
- tu me vois débander ?
- Non, tu l’a toujours bien grosse.
- Alors vas-y, suce moi.
Elle le fait (c’est rare de trouver une fille qui accepte de sucer un mec qui vient de l’enculer). Elle le fait très bien même. Si sa langue commence le bal, elle sait se servir efficacement des lèvres. Il me semble être encore dans son cul, surtout quand elle me prend en gorge profonde. Je ne me retiens même plus, après tout c’est elle qui a demandé à me sucer, autant jouir dans sa bouche. C’est bien meilleur de jouir ainsi que dans le vide. Et quand ça part, mon, sperme gicle longuement dans sa bouche qui en est pleine. <elle se relève, tire sa langue pleine de ma semence et l’avale.
Nous nous séparons pour aujourd’hui: son mari doit rentrer ce soir. Il la baisera et elle me dira ce qu’il lui a fait.
Dès son départ elle revient chez moi:
- Mon mari est parti: nous avons une bonne quinzaine à baiser.
- Tu veux passer la nuit avec moi ?
- Plus que la nuit.
- Tu veux quoi exactement aujourd’hui?
- Ta queue, rien d’autre que ta queue dans mon cul.
- il n’y a que ma queue qui t’intéresse ?
- Bien sur, tu sais bien me la mettre.
Nous sommes amants depuis 5 ou 6 mois quand elle me demande de trouver un autre homme ou une autre femme pour baiser en trio. Je sais comment m’arranger avec un copain, par contre pour une autre femme je ne sais pas. Elle se contentera d’une baise avec deux hommes. Quand je lui propose la chose, au fond d’elle je sens qu’elle est satisfaite. Son mari se fait enculer en baisant une fille, elle en fera autant, avec deux hommes. Nous voilà réunis chez moi, avec mon ami qui est aussi membré que moi, sinon plus.
Elle ne fait pas la difficile, elle l’accepte aussitôt, elle fait mieux que ça: elle l’embrasse dès qu’elle le voit et lui prend la bite qu’elle arrive, difficilement à sortir. Elle la compare à la mienne:
- Enfin j’ai droit à deux bites aussi grosses l’une que l’autre.
- Soit contente tu les aura ensemble.
- C’est bien vrai vous allez me faire une double pénétration avec vos grosses bites.
- C’est ce que tu voulais, non ?
- Oui, mettez vous nus que je choisisse lequel viendra dans mon cul.
- Tu ne nous demande pas notre avis.
- Non, je choisirai.
Nous voilà comme à la foire aux bestiaux où les marchand viennent faire leur choix. Pour nous c’est une belle femme sexy nue, pleine de désir de sodomie qui choisi. Au fond ça m’est égal, devant ou derrière je connais son corps à fond, sauf que aujourd’hui il n’y a pas de préliminaires: elle l’a ainsi décidé. Directement les pines là où elle veut.
Elle me fait coucher sur le lit, sur le dos: elle vient me sucer à peine, s’embroche sur ma bite qu’elle s’est mise sans la chatte. Elle se couche presque totalement sur moi. Elle appelle mon copain, pour qu’il vienne sur nous. Elle lui demande du cracher beaucoup sur son anus ouvert. Il le fait et sans demander son reste, vient lui coller la bite juste à l’entrée. Avec les mouvement de baise qu’elle me fait, elle arrive à se faire mettre une autre bite dans le cul. Ces gémissements sont plus forts que les autres fois. Son plaisir monte très vite et très fort comme son cri de jouissance. Elle reste ainsi avec ma chatte occupé et l’anus occupé part une autre queue. Elle se démène comme jamais.
- Retenez vous, ne jouissez pas trop vite.
- Continuez à bander pour que j’en profite au maximum.
L’éternité n’est pas avec nous. Arrive le moment où je sens la jouissance de l’autre bite qui entraine la mienne. Je sens les spasmes de mon copain à travers les faibles séparations de ma maitresse qui finalement est heureuse.
- J’ai bien jouis. Vous m’avez faite jouir comme une reine.
- Tu veux recommencer ?
- Non, je voulais savoir comment ça faisait avec deux queue dans mon ventre, simplement.
Depuis, elle est plus sage; elle se contente de ma bite, de ses doigts, des miens, de ma langue et le dernier venu: un gode vibrant pour la satisfaire encore plus. Elle est devenue nymphomane: ce qui n’est pas pour me déplaire, au contraire: elle invente toujours des jeux nouveaux: son dernier, quand nous faisons des 69, elle veux que je la tienne pour que je la suce debout, elle pendue pour que je la fasse jouir ainsi, avec le gode dans le cul.
Son mari, chauffeur routier international est absent la plus part du temps. Je sais, parce qu’elle me l’a dit. Quand il est avec elle, d’abord il se repose un moment pendant qu’elle se prépare: elle prend un bain, agrémenté de masturbations. Elle retourne le voir toujours nue ou alors vêtue comme une pute. Pour un réveil en douceur, elle le découvre, prend la bite dans la bouche pour le faire bander: il ne se réveille que quand il est en pleine forme. A ce moment elle lui lèche le gland et le prend totalement dans sa bouche. Elle arrête toujours avant qu’il jouisse. Là commence une baise qui dure au moins 2 heures.
Elle m’explique tout ce qu’ils font, depuis la fellation, jusqu’à la sodomie, en passant par les intermédiaires.
Son mari ne rentre pas affamé: il s’arrange toujours pour trouver un couple avec qui il passe du bon temps. Elle sait ainsi qu’il aime se faire mettre dans le cul pendant qu’il baise ou encule la femme. Mon amie ne le supporte pas quand il lui dit qu’il jouit bien ainsi.
C’est ma principale raison de notre liaison. Il faut dire que je possède un petit quelque chose de plus que la plus part des hommes: j’ai un gourdin à la place qu’une queue, et justement elle aime ce type de bite.
Nous nous sommes rencontré par hasard dans le rue: elle faisait des courses et j’ai trouvé le moyen, habile comme je suis, de lui faire tomber son cabas. Je l’aidais à ramasser ses provisions. Pour me faire pardonner, je portais chez elle son cabas. Elle m’a fait entrer et là tout c’est passé très vite: elle a voulu me donner une bise qui s’est transformé en véritable baiser. Nos bouches ont fait amies amies aussitôt. Entrainé je ne pouvais faire autrement, sinon je passais pour un goujat, de continuer. J’ai commencé à la peloter. Je me suis aperçu qu’elle avait une poitrine très dure. J’ai continué un moment: quand j’ai posé ma main sur ses fesses et que j’ai levé le bas de sa jupe, l’affaire était dans le sac. Elle se laissait faire sans histoire, au contraire, même elle posait une main bien curieuse sur la bosse de mon pantalon.
Il était déjà trop tard pour une partie de jambes en l’air. Je lui donnais rendez vous chez moi pour le début d’après midi: nous aurions le temps de nous épancher.
Je me demandais même si elle allait venir, comme ça de son plein gré se faire mettre. Elle est venue. Notre aventure commençait, elle continue encore 3 ans plus tard.
Nous n’avons rien dit; nos lèvres avec les langues dans la bouche de l’autre parlaient à notre place. Je l’ai encore pelotée. Elle se laissait faire, surtout quand je passais une main sous son t-shirt pour aller dégrafer le soutien gorge. Je pouvais lui prendre un sein qui durcissait encore plus. Je sentais son téton durcir. Je voulais en voir d’avantage: d’elle-même elle se mettait torse. Je pouvais admirer un galbe rare: deux seins avec de larges aréoles, le tout en forme de poire. Il semblait que les mamelons remontaient l’ensemble. Je posais ma bouche une des pointes pour la sucer. Ma langue trouvais un nouveau terrain de jeu, et quel jeu: elle m’offrait totalement sa poitrine. Elle posait sa main à nouveau sur ma bite. Elle ne faisait que la masser, c’était suffisant pour me faire bander encore plus: ma queue se trouvait bien prisonnière dans mon slip. Pour un instant j’oubliais ses seins fabuleux. Je passais ma main sous sa jupe, remontait vers son entre jambe. J’arrivait doucement sur un string minuscule. Je pouvais passer facilement mes doigts vers ma cible. Elle écartait juste ce qu’il fallait pour que j’arrive sur son bouton. Encore une bonne découverte, son clitoris se classe parmi les longs. Je pouvais facilement masturber: je ne m’attendais pas à une telle réaction: elle jouissait, ce qui était le but recherché, mais devait s’accrocher à mon cou pour ne pas tomber en poussant un petit cri.
Je n’en pouvais plus. Je la prenais dans mes bras pour la porter dans ma chambre. Je finissais de la déshabiller pour la coucher.
J’avais posé sur mon lit une œuvre d’art, un peu érotique, mais d’une beauté éclatante. Faire la statue ne lui plaisait pas particulièrement. Il lui fallait de l’action. J’étais vite nu à mon tour:
- Mon Dieu que tu en a une grosse et longue.
- J’en suis fière.
- Je ne sais si tu pourra tout me faire avec cet engin.
- T’en fais pas-tu ne sera pas la première qui l’aura dans le cul et qui en jouira.
- J’ai peur, fais attention.
- Je n’ai jamais fait de mal à une fille, je ne vais pas commencer avec toi.
- Viens, embrasse moi encore.
Je me couche près d’elle, je pose ma bouche sur la sienne, ma main revient caresser un sein. Elle prend la main pour que j’aille encore vers son clitoris.
- Tout à l’heure je te mordrai ton bouton.
- Alors je te mordrai la bite.
- Chiche, mais avant ou après t’avoir enculée ?
- Après bien sur.
En attendant je fait aller et venir deux doigts sur son bouton. Elle recommence à gémir sans fin. Elle cri en jouissant. Heureusement qu’elle a un dérivatif, elle peut jouer avec ma bite: elle la tâte partout, en fait le tour, baisse le prépuce pour caresser juste le haut du gland, remonte la peau, avant d’aller caresser mes couilles. Je continu à passer ma main sur sa chatte. Je ne peux m’empêcher de toucher son anus. Elle force à peine pour l’ouvrir et faciliter mon passage. J’y glisse juste un doigt. Je peux le faire entrer jusqu’au bout en le faisant aller et venir:
- Oui, continu, tu me fais du bien.
- Tout à l’heure je t’y mettrai ma bite.
- Oui, j’en ai envie. Tu me fais jouir. Que tu sais bien baiser.
- Je ne t’ai pas encore baiser: je vais te planter ma queue dans ton ventre: tu le veux.
- Oui, baise moi.
Je me mets sur elle qui a gardé les jambes ouvertes: elle prend ma bite plus pour la vérifier encore que pour la mettre en place. J’avoue avoir quelques difficultés à entrer en elle: elle se crispe réduisant ainsi son petit con. J’arrive à la détendre en l’embrassant encore et en lui caressant les seins, enfin elle s’ouvre normalement. Je peux la pénétrer facilement.
- Tu m’a tout mis ?
- Non, je ne peux pas, je suis trop long, mais tu en a le principal.
‘ Dommage, je l’aurai voulu toute;
- Arrête de dire des bêtise, baisons.
Elle se tait, si on excepte les soupirs et les cri de jouissance. Je suis assez long à jouir, elle pas. Nous pouvons baiser ainsi longtemps. Je n’arrête de la lui mettre que quand elle me le demande.
- Arrête, s’il te plais: tu me fais trop jouir.
- J’arrête un moment, je croyais que tu baise plus fort avec ton mari.
- Il ne m’a jamais baisée comme toi.
- Attends un peu et je vais t’enculer.
Nous nous remettons sur le lit, cote à cote. Je suis sur le ventre et peux l’embrasser continuellement. J’ai remis une main entre ses jambes. J’ai posé un doigt sur son anus. J’attends maintenant qu’elle me demande de la lui remettre.
Ca y est, elle mouille fort à nouveau:
- Encules moi maintenant.
- Mouilles toi bien le cul.
- Bien sur mon chéri.
Me voila son chéri, ce que je ne veux surtout pas être: on baise et on jouit ensemble, je veux bien, par contre aucun sentiment autre que la reconnaissance du ventre après une bonne baise.
- Mets toi en position, en levrette, si tu veux.
Elle se tourne sur le ventre d’abord, juste pour que je vois la raie et ses fesses que je caresse un peu, puis se met à quatre pattes. Son cul est juste à ma portée. Je n’ai pas l’intention de la sodomiser rapidement. Je passe une main sous elle, pour aller à la rencontre de sa chatte dans laquelle j’entre trois doigts pour la remplir. Je la fait jouir ainsi encore. Evidemment elle pousse son cri habituel. Ma queue a grossi depuis un moment, depuis cet instant où elle m’a demande de la sodomiser.
Je pose à peine le bout de mon gland, juste le méat sur son anus qu’elle tient ouvert à deux mains.
Je la sens se détendre entièrement: elle est plus que prête pour se faire mettre. J’entre petit à petit dans son ventre. Je sens mon gland glisser avec mon plaisir qui arrive doucement. Je sens quand le bout de mon gland a passé son anus. Je suis en elle, je peux la lui mettre à fond.
- Mon Dieu que c’est bon ta queue dans mon cul.
- C’est bon d’être avec ma bite dans ton cul. Je vais la mettre le plus possible.
- Oh, oui, le plus profond possible. Je jouis déjà.
Elle pousse son cri. Elle cri ainsi 5 ou fois avant que je décharge tout mon sperme dans son cul.
Je me retire d’elle. Elle passe sa main sur l’anus pour recueillir un peu de semence.
Elle se couche à nouveau sur le dos. Prend à nouveau la bite et pour la remercier, l’embrasse juste au bout.
- N’oublie pas que tu dois me sucer.
- Je sais, mais je pensais que tu débandais.
- tu me vois débander ?
- Non, tu l’a toujours bien grosse.
- Alors vas-y, suce moi.
Elle le fait (c’est rare de trouver une fille qui accepte de sucer un mec qui vient de l’enculer). Elle le fait très bien même. Si sa langue commence le bal, elle sait se servir efficacement des lèvres. Il me semble être encore dans son cul, surtout quand elle me prend en gorge profonde. Je ne me retiens même plus, après tout c’est elle qui a demandé à me sucer, autant jouir dans sa bouche. C’est bien meilleur de jouir ainsi que dans le vide. Et quand ça part, mon, sperme gicle longuement dans sa bouche qui en est pleine. <elle se relève, tire sa langue pleine de ma semence et l’avale.
Nous nous séparons pour aujourd’hui: son mari doit rentrer ce soir. Il la baisera et elle me dira ce qu’il lui a fait.
Dès son départ elle revient chez moi:
- Mon mari est parti: nous avons une bonne quinzaine à baiser.
- Tu veux passer la nuit avec moi ?
- Plus que la nuit.
- Tu veux quoi exactement aujourd’hui?
- Ta queue, rien d’autre que ta queue dans mon cul.
- il n’y a que ma queue qui t’intéresse ?
- Bien sur, tu sais bien me la mettre.
Nous sommes amants depuis 5 ou 6 mois quand elle me demande de trouver un autre homme ou une autre femme pour baiser en trio. Je sais comment m’arranger avec un copain, par contre pour une autre femme je ne sais pas. Elle se contentera d’une baise avec deux hommes. Quand je lui propose la chose, au fond d’elle je sens qu’elle est satisfaite. Son mari se fait enculer en baisant une fille, elle en fera autant, avec deux hommes. Nous voilà réunis chez moi, avec mon ami qui est aussi membré que moi, sinon plus.
Elle ne fait pas la difficile, elle l’accepte aussitôt, elle fait mieux que ça: elle l’embrasse dès qu’elle le voit et lui prend la bite qu’elle arrive, difficilement à sortir. Elle la compare à la mienne:
- Enfin j’ai droit à deux bites aussi grosses l’une que l’autre.
- Soit contente tu les aura ensemble.
- C’est bien vrai vous allez me faire une double pénétration avec vos grosses bites.
- C’est ce que tu voulais, non ?
- Oui, mettez vous nus que je choisisse lequel viendra dans mon cul.
- Tu ne nous demande pas notre avis.
- Non, je choisirai.
Nous voilà comme à la foire aux bestiaux où les marchand viennent faire leur choix. Pour nous c’est une belle femme sexy nue, pleine de désir de sodomie qui choisi. Au fond ça m’est égal, devant ou derrière je connais son corps à fond, sauf que aujourd’hui il n’y a pas de préliminaires: elle l’a ainsi décidé. Directement les pines là où elle veut.
Elle me fait coucher sur le lit, sur le dos: elle vient me sucer à peine, s’embroche sur ma bite qu’elle s’est mise sans la chatte. Elle se couche presque totalement sur moi. Elle appelle mon copain, pour qu’il vienne sur nous. Elle lui demande du cracher beaucoup sur son anus ouvert. Il le fait et sans demander son reste, vient lui coller la bite juste à l’entrée. Avec les mouvement de baise qu’elle me fait, elle arrive à se faire mettre une autre bite dans le cul. Ces gémissements sont plus forts que les autres fois. Son plaisir monte très vite et très fort comme son cri de jouissance. Elle reste ainsi avec ma chatte occupé et l’anus occupé part une autre queue. Elle se démène comme jamais.
- Retenez vous, ne jouissez pas trop vite.
- Continuez à bander pour que j’en profite au maximum.
L’éternité n’est pas avec nous. Arrive le moment où je sens la jouissance de l’autre bite qui entraine la mienne. Je sens les spasmes de mon copain à travers les faibles séparations de ma maitresse qui finalement est heureuse.
- J’ai bien jouis. Vous m’avez faite jouir comme une reine.
- Tu veux recommencer ?
- Non, je voulais savoir comment ça faisait avec deux queue dans mon ventre, simplement.
Depuis, elle est plus sage; elle se contente de ma bite, de ses doigts, des miens, de ma langue et le dernier venu: un gode vibrant pour la satisfaire encore plus. Elle est devenue nymphomane: ce qui n’est pas pour me déplaire, au contraire: elle invente toujours des jeux nouveaux: son dernier, quand nous faisons des 69, elle veux que je la tienne pour que je la suce debout, elle pendue pour que je la fasse jouir ainsi, avec le gode dans le cul.
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Les avis des lecteurs
superbe j ai adorée a m en faire jouir