Balade au parc (1)

- Par l'auteur HDS Arya Stark -
Récit érotique écrit par Arya Stark [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Balade au parc (1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-01-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Balade au parc (1)
Ta copine et toi vous baladez en ville, quand elle te pose une question :
« - Dis, mon cœur, si tu pouvais faire tout ce dont tu avais envie, là, maintenant : tu ferais quoi ?
Mhhh, tu réponds, étonné de cette question, tu vois ce petit parc là ? Eh bien je pense que je t'y emmènerais. Puis on trouverait un endroit un peu sympa, un peu caché, et on parlerait et rigolerait sans nous arrêter. Puis, quand le soleil laissera sa place au crépuscule et que les gardiens viendront fermer ce parc, on se cacherait. On attendrait quelques instants, et on baiserait sauvagement au milieu de la nature. Chaque banc goûtera à la chaleur de nos peaux brûlantes de désir. Chaque brin d'herbe de la pelouse entière chatouillera nos côtes. Chaque arbre nous tiendra debout le temps de s'y accrocher fermement et de nous mettre en osmose. Qu'est-ce que tu en dis ?
Tu en as, de l'imagination ! J'aime ton côté coquin et toujours novateur, te répond-t-elle avec un sourire malicieux. »

Une semaine passe. Entre le boulot et la maison à s'occuper, vous êtes crevés et vous endormez dès que vous vous glissez dans le lit. Rapidement, le week-end arrive. Comme ta copine et toi ne travaillez pas, vous avez décidé de prendre du temps ensemble. Cinéma, restaurant, promenade en bord de mer,... la journée que vous passez est remplie d'amour et de romantisme. En rentrant, ta copine te propose une dernière balade.

Étrangement, elle ressemble presque au mètre près à celle que vous aviez fait la dernière fois. Mais au lieu de passer devant le parc qui avait servi de terrain de jeu à ton histoire, ta copine te pousse pour y entrer.

Vous n'habitez pas ici depuis très longtemps, et vous n'avez pas encore eu l'occasion de découvrir cette bulle calme au beau milieu du stress de la ville. En y entrant, vous êtes directement submergés par la beauté du lieu. Il ne paie pas de mine de l'extérieur, mais en y entrant, vous vous retrouvez dans une nouvelle dimension. Les arbres vous accueillent en jouant de la musique avec leurs feuilles, les oiseaux gazouillent comme pour vous souhaiter la bienvenue, les écureuils dansent comme pour accompagner leurs amis à plumes. C'est magique. Vous en profitez pour flâner, regarder les canards nager et attraper des morceaux de pain que vous leur lancez, comme si leur vie en dépendait. Une pensée coquine te traverse l'esprit : tu aimerais bien, toi aussi, te jeter sur ta copine pour la dévorer comme si ta vie en dépendait. Mais tu te reprends : vous êtes entourés de passants, et il serait malvenu que vous en fassiez profiter les autres, même si ça ne vous déplairait pas forcément d'être vus...

Le temps passe, et vous ne pouvez pas détacher vos regards des animaux qui se baladent çà et là, de toute cette nature qui vit sous vos yeux. Les frissons de ta copine te sortent de ta torpeur : le froid a sérieusement détrôné les rayons de soleil de l'après-midi. Tu regardes ta montre : 17h55. Le parc ferme à 18h, donc il est temps de partir.

Vous vous levez, et tu te diriges vers la porte par laquelle vous êtes entrés. Mais ta copine te prend le bras pour t'emmener à l'opposé : vous n'avez pas encore visité tout le parc, vous n'avez qu'à prendre l'autre porte pour sortir, comme ça vous en verrez un peu plus avant de rentrer.

Même si vous essayez de prendre le temps d'observer le paysage, vous marchez rapidement pour arriver à la porte avant la fermeture du parc et ne pas embêter les gardiens chargés de la fermeture. Quand vous arrivez à l'autre bout, vous vous arrêtez net : la porte de sortie est fermée. Vous essayez de l'ouvrir, en vain : elle est bel et bien verrouillée. Vous vous mettez à courir vers l'autre porte, pour tenter de sortir avant que le gardien ne la ferme elle aussi. Mais à peine êtes vous arrivés que le gardien tournait déjà les talons, la musique à fond dans son casque.

Pendant quelques secondes, vous ne dites rien. Puis, en même temps, vous levez la tête et vous regardez : d'un œil complice, elle te prend la main, et te dit d'une voix douce « Tant pis, viens bébé ».
Tu la suis, et elle t'emmène sur la pelouse fraîche et humide de rosée. Elle dépose son écharpe pour ne pas sa mouiller, et vous vous allongez. C'est fou comme la pelouse est encore plus confortable qu'un lit !

Allongés, blottis l'un contre l'autre, vous observez le ciel et le soleil se coucher. Vous arrivez même à apercevoir quelques étoiles.
Puis ta copine se glisse pour te monter dessus. Elle commence à t'embrasser avec passion, un baiser comme si sa vie en dépendait. Comme si elle voulait, sans les mots, te montrer à quel point elle t'aime et te désire.
Vous aviez suffisamment marché pour ne pas être trop proches de la rue et ne pas vous faire remarquer par d'éventuels passants, mais pas assez pour empêcher un ou une curieuse de vous regarder s'il ou elle se plaçait derrière les barreaux. Cette situation t'excite au plus haut point, car même si l'idée de pouvoir te faire voir est très agréable, la peur de se faire remarquer l'emporte le plus souvent. Ici, c'est toujours possible mais les probabilités sont réduites, alors tu peux t'imaginer tout ce que tu veux en sécurité.

Dans ce petit coin de paradis si peu ordinaire, tu te sens bien. La fraîcheur de la nuit et l'humidité du crépuscule contrastent avec la chaleur moite de vos peaux si désireuses d'entrer en contact, la douceur des brins d'herbe avec la fouge avec laquelle vous vous embrassez.

Ta copine pose avec vigueur sa main sur ton érection incontrôlable. Elle est tellement excitée que son élan te fait presque mal. Mais le plaisir du contact avec sa main est infiniment plus grand, et tu émets un minuscule gémissement. Ta copine prend ce signe comme une validation de ses actes, et commence à relever son t-shirt, faisant apparaître ses seins surmontés de ses tétons roses et gonflés par le froid. Pour ton plus grand bonheur, elle ne porte pas de brassière. Encouragé par les mouvements de bassin qu'elle entame, tu agrippes fermement ses seins. Dans ta main, ils sont si chaux, si doux, si parfaits. Tu les caresses tendrement, puis tu te rapproches de ses pointes. Avec la plus grande des douceurs, tu caresses l'extrémité de ses seins, qui se redressent immédiatement comme pour te supplier de continuer. Alors tu t'exécutes. De plus en plus fermement, tu joues avec ses petites pointes. Accaparé par la beauté de son visage qui exprime tout son plaisir, tu ne t'es pas rendu compte tout de suite qu'elle avait arrêté de te caresser. Tu raffermis la prise sur ses tétons, et l'attire vers toi. Tu ramènes sa bouche vers la tienne, et te mords les lèvres pour te préparer à lui offrir le baiser de sa vie. Mais quand tu t'approches de ses lèvres humides de désir, elle s'écarte doucement. Elle voulait te frustrer ? C'est ce qu'elle allait voir...

Vexé par cette provocation alors que tu t'apprêtais à l'embrasser, tu reprends ses seins dans tes mains. Tu prends ton air le plus séducteur, et tu recommences à te mordiller les lèvres avec sensualité. Cette mimique, tu sais qu'elle fait vriller de nombreuses femmes, mais surtout ta copine. Et c'est ça qui compte en ce moment.

En voyant ta langue humidifier tes lèvres, ta copine se rua sur toi pour t'embrasser. Trop tard ! Elle n'avait qu'à pas te faire ce coup-là tout à l'heure ! Tu la retiens par les cheveux, et lui lance un regard espiègle.

Elle comprend directement que ça ne sera pas facile de te faire craquer, mais elle accepte le défi. Elle se lève et retire son t-shirt. Le torse nu, ta copine te prends la main pour te relever, et t'emmène un peu plus loin. Arrivés près d'un arbre, elle te pousse contre son tronc. Tu frissonnes à cause du froid de la mousse, de la douleur des brindilles qui te rentrent dans la peau, mais tu frissonnes surtout d'excitation, car quand on lance un défi à ta copine, elle est prête à tout pour gagner.

Tu es coincé entre l'arbre et ta copine. Elle se colle à toi, comme si elle voulait fusionner avec ton corps. Ses doigts se baladent dans ton cou, sur ta nuque, dans tes cheveux. Sa langue suit le même chemin, et dévie vers tes oreilles, te mordillant avec passion. De temps à autre, elle s'arrête pour te susurrer des mots excitants :
« Tu imagines si quelqu'un nous observait ? »
« Je veux ton corps, je veux être à ton entière disposition »
Et à d'autres moments, elle t'aiguille vers ce qu'elle attend de toi :
« Qu'est-ce que tu attends, attrape moi le cul »
« Glisse ta main sur ma poitrine »

Alors tu t'exécutes. C'est si bon. Sa peau contre la tienne, sa langue qui caresse ton corps. Tu sens ta queue grossir de plus en plus. Elle commence à te faire mal : va-t-elle s'arrêter de grandir ? Tu ne penses qu'à une chose. Tu veux la prendre, ta copine. Là, maintenant, tout de suite. Contre l'arbre. C'est presque une question de vie ou de mort.

Mais elle ne semble pas être du même avis... Ta bien-aimée sent que tu te contractes, et sait qu'elle est sur le point de te faire craquer et de gagner. Alors tu n'en peux plus et, en la regardant dans les yeux, tu la supplies d'aller plus loin : « Bébé... retire tous tes vêtements.. allez... » murmures-tu entre deux soupirs.
Elle te répond par un sourire narquois qui veut tout dire. En même temps, tu ne peux pas lui résister longtemps.

Ta copine te prend de nouveau par la main, et te rapproche de l'entrée. Tu es réticent : elle veut déjà rentrer ?
Mais elle tourne sur le chemin juste avant la grille d'entrée. Vous êtes maintenant à quelques mètres seulement des grilles, soumis à n'importe quel regard qui s'aventurerait par delà les barrières. Il ne suffit plus de chercher, n'importe qui peut vous voir. Poussé par un nouvel élan, tu retires tous les vêtements qui lui restent. Mais tu lui laisses son joli tanga. Tu veux encore profiter de cette vue paradisiaque qu'est celle de son cul. Et tu voudrais que celles et ceux qui passent puissent également en profiter... c'est vrai, à cette heure tardive, il n'y a plus d'innocents dans la rue.

C'est à ton tour de coller le doux corps de ta copine contre ce grand arbre dur et humide. Tu te mets derrière elle, et tu te déshabilles aussi. Tu presses ton corps contre le sien, et prends garde à bien poser ta bite contre son cul. Tu adores cette sensation, c'est comme si tu étais déjà un peu à l'intérieur d'elle. Tu savoures les premiers moments.
Mais la douceur, le romantisme, ça va deux minutes. Tu n'en peux plus, tu la veux. Tout en continuant de lui caresser le cou et de passer doucement ta main dans ses cheveux, ta deuxième main se fait plus brutale. Elle baisse son tanga et laisse apparaître ses jolies fesses galbées à souhait. Tu les prends dans tes mains : quelle douceur ! Puis tu les écartes doucement, crache un peu sur ta queue – même si elle est trempée de mouille – puis tu pénètres ta copine. Tu commences en douceur, mais c'est trop bon, alors tu accélères. Sa chatte est si accueillante, si douce que tu aimerais y rester toute la vie. Tu as déjà envie de glicler, c'est trop bon.

Tu accélères, et enfouis ton visage dans son cou. Vos deux respirations haletantes s'unissent, et tu as envie de crier à quel point elle est bonne, à quel point ce qu'elle te fait est bon.
Soudain, tu entends un bruit derrière toi. En prenant soin de ne pas te retirer, tu tournes la tête. C'était comme le bruit d'une branche qui craque sous le pied de quelqu'un. Mais lorsque tu te retournes, tu ne vois personne. Pourtant, tu aurais juré. Mais ce n'est pas grave, ça rend la chose encore plus excitante. Et si quelqu'un est là, c'est peut-être qu'il se joindra à vous... Tu laisses alors ton imagination travailler, et tu fermes les yeux.
Trop concentrée, ta copine ne semble pas avoir entendu les bruits. Tu la prends à nouveau dans tes bras, et tu accélères la cadence.

Tout en la poussant contre l'arbre, tu te dégages une main que tu viens coller sur sa chatte mouillée. Avec fermeté et en continuant de la pénétrer, tu viens lui écarter les lèvres, laissant son clitoris à l'air libre. Tu penses aux sensations que doit lui procurer l'air frais du soir, sur son clito tendu. Tout en continuant de lui écarter sa chatte, d'autres doigts viennent rencontrer son bouton de rose. Tu le tapotes, le pince, le frotte, le caresse, en changeant d'intensité. Tu sens son souffle s'accélérer, alors tu accélères aussi.

Tu es sur le point de jouir, tu le sens. Ta copine semble aussi bien montée. Alors tu dégages tes deux mains, et tu lui attrapes les seins. Tu tires doucement sur ses petites pointes bien ressorties avec le froid et l'excitation. Elle tente de faire pareil sur tes tétons, mais tu la retires aussitôt : ça te ferait jouir directement !
Elle se replace, et cambre son cul pour que ta queue s'enfonce encore plus profondément. Alors d'une main, tu lui prends le cul et de l'autre, tu repars à la rencontre de son clito.

Tu accélères de partout : tes mouvements de reins, tes doigts, ta respiration,...
Tu sens le plaisir monter, tu sens la passion s'emparer de ton corps.
Tu sens le corps de ta copine se tendre, et son clito suit le même chemin. Alors tu t'autorises la jouissance.
Ensemble, ta copine et toi jouissez. Vous explosez de sensations si pleines, si intenses. Elle se retourne pour t'embrasser, et vous tombez par terre. Vous vous enlacez, et profitez des sensations.

Ton corps est engourdi par cet orgasme, l'un des plus intense qui ne t'a jamais parcouru. Tu trembles, tu as l'impression d'être encore en train de jouir. Ta copine semble dans le même état de transe.

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