Barbara 3
Récit érotique écrit par Mimi68 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-06-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Barbara 3
Michel et Barbara regagnèrent le parking où la voiture était garée un peu à l’écart. Quand ils arrivèrent à la voiture, Barbara se retourna vers Michel.
- Merci Michel pour ce repas.
- Mais de rien ma chérie.
- Michel, j’ai envie de toi.
- Maintenant ? ici ? Tu es insatiable mais j’aime.
Michel.
Barbara s’agenouilla devant moi et défit ma braguette. Elle sortit mon sexe pour le branler et le décalotter. Elle lécha mon gland avant de me prendre en bouche. Elle commença à me pomper.
- Oh chérie, c’est trop bon.
- Hummmm- Vas-y continue.
Michel.
Après quelques minutes, je sentais mon sexe qui grossissait, je n’allais pas tenir longtemps. Je le dit à Barbara qui se releva.
Elle se tourna et posa les deux mains sur le capot de la voiture.
- Baise moi Michel.
- Comment, ici ?
- Oui je n’en peux plus, j’ai trop envie.
Barbara.
Michel retroussa ma jupe et baissa mon string. Je sentis sa langue sur l’entrée de ma grotte. Mon ventre s’enflammait de nouveau. Je le voulais en moi, j’avais envie de son sexe, j’étais trop frustrée de ne pas pu avoir celui du serveur.
Michel.
Barbara m’offrait son corps dans ce parking. Je bandais comme un âne. J’approchais mon sexe de l’entrée de son vagin après l’avoir frotté sur sa raie. Je l’enfonçais dans sa chatte qui était trempée, ouverte.
- Vas-y chéri, prends moi fort.
- Humm ma chérie, j’aime quand tu me parles comme ça.
Barbara.
Michel commençait à baiser ma chatte plus rapidement. Il me tenait aux hanches. Il me prenait profondément allant jusqu’à forcer mon col. Je sentais son sexe qui remplissait mon vagin, faisant mouiller mes parois vaginales qui épousaient la forme de son sexe. Je gémissais sous ses assauts. Mes seins bougeaient dans tous les sens. Michel me prenait avec force en vrai mâle qu’il était. J’étais sa femelle. Je sentais son éjaculation qui arrivait ainsi que mon orgasme. Nous allions jouir ensemble. Il me poussait contre la voiture, nous criâmes tous les deux. Je m’écroulais sur le capot avec le sexe de Michel toujours en moi. Je sentais son sperme qui coulait dans mon vagin.
Je me redressais et me retournais pour nettoyer le sexe de Michel avec ma langue.
- Merci ma chérie, tu es divine.
- Merci à toi mon cœur pour tout ce que tu me donnes.
- On va faire ce shopping ?
- Oui .
Michel.
J’aidais Barbara pour remettre sa jupe en place. J’en profitais pour lui donner un baiser qu’elle me rendit avec passion. Cette femme, ma maitresse, vivait ses rêves et ses fantasmes et sortait de sa routine qu’elle vivait depuis son divorce. Elle était heureuse.
Barbara.
J’étais sur une autre planète, j’avais enfin trouvé l’amant qui comprenait ma soif de plaisir sans me juger. Mieux, il m’aidait à assouvir mes fantasmes et mes envies d’une femme de soixante ans, qui avait été négligée. Je m’offrais entièrement à lui, je voulais être à lui quoi qu’il me demande de faire. Je savais qu’il me respectait et j’avais envie de lui donner tout ce dont j’étais capable de donner à un homme comme lui.
Michel gara sa voiture dans le quartier commerçant de la ville.
- Tu veux acheter quoi ma chérie ?
- J’aimerais une robe courte et légère, un peu sexy.
- Un peu ?
- Oui, enfin tu vois ce que je veux dire.
- Tiens regarde, il y a un sexe shop.
- Heu, tu crois que c’est le bon endroit ?
- Si on ne trouve pas de robe sexy ici, où la trouvera-t-on ?
- On peut toujours rentrer pour regarder.
Barbara.
Michel m’ouvrit la porte du magasin.
- Madame, Monsieur, soyez les bienvenus. Est-ce que je peux vous renseigner ?
- J’aimerais acheter une robe pour mon amie. Une robe plutôt sexy.
- Bien sûr, suivez-moi.
Barbara.
Le vendeur me regardait avec envie. J’avais l’impression d’être déshabillée du regard, ce qui me plaisait je dois l’avouer. C’était un homme très musclé, dans les 1m85. Très séduisant.
- Nous avons plusieurs modèles, mais je pense qu’avec la poitrine de madame, il faudrait se concentrer sur ces trois modèles qui mettent bien en valeur les belles poitrines comme celle de votre amie.
- Qu’en dis-tu ma chérie ?
- J’aime bien ce modèle avec la lanière qui descend entre les seins pour arriver dans un anneau central.
- Vous avez parfaitement raison madame, vos seins seront bien séparés, et comme ils sont assez denses, ils seront parfaitement mis en valeur.
- Je peux l’essayer ?
- Bien sûr, venez nos cabines sont par là.
- Tu viens chéri ?
- J’arrive, je fais un tour du magasin. Va avec monsieur, je vous rejoindrai.
Barbara.
Je compris tout de suite que Michel me laissait volontairement seule avec le vendeur. Celui-ci ouvrit le rideau d’une cabine qui était relativement vaste.
- Allez-y madame, prenez votre temps. Vous avez des cintres disponibles pour vos vêtements.
- Merci monsieur vous êtes adorable. Vous restez dans le coin si jamais j’ai besoin d’aide.
- Oui, ne vous inquiétez pas. Je suis là pour vous rendre service.
- Merci.
Barbara.
Je tirais le rideau qui ne se ferma pas complètement. Une fente restait ouverte. Par un jeu de miroir, je voyais le vendeur qui regardait dans ma direction. Je mouillais instantanément. J’enlevai mon chemisier en dentelle et mon soutif demi-seins. J’enlevais ma jupe. Je restais en string, bas et porte jarretelles. J’enfilai la robe avec un peu de difficulté car elle était très moulante.
- Monsieur ?
- Oui madame, j’arrive.
- Pouvez-vous m’aider à ajuster ma robe, j’ai de la peine.
- Bien sûr.
Barbara.
Le vendeur ouvrit un peu plus le rideau et pénétra dans la cabine. Il y avait des miroirs partout.
- Madame, vous avez une poitrine magnifique.
- Merci, vous êtes gentil, mais avec l’âge, mes seins tombent un peu, surtout qu’ils sont lourds.
- Beaucoup de femmes de votre âge aimeraient avoir votre poitrine.
- Merci
Barbara.
Le vendeur positionna mes seins dans la robe en les séparant par la lanière. Je sentais ses doigts jouer avec mes tétons qui se dressèrent et qui devenaient bien durs.
- Hummmm, c’est bon ce que vous me faites.
- Je vois que madame a des tétons réactifs.
- Oh il n’y a pas que les tétons.
- Oui, je m’en doute.
- Barbara.
Aussitôt je sentis une main descendre dans mon string pour caresser mon clitoris. Je rougis. Allais-je le repousser ? Non, je me mis à onduler sur ces doigts en gémissant. Je commençais à mouiller, surtout qu’il restait encore du sperme de Michel dans mon vagin.
- Je vois que madame a eu une activité récente.
- Oui, en effet.
- Peut-être pas assez ?
- Vous croyez ?
Barbara.
Je me regardais dans la glace, dans cette robe, je faisais vraiment salope. J’avais envie de ce vendeur. Il rentra deux doigts par derrière dans mon vagin trempé de cyprine et de sperme. Je me cambrais pour lui offrir ma chatte par derrière. J’entendis le zip de sa braguette et vit dans le miroir son sexe hyper tendu et gros, certes moins que celui du serveur noir, mais plus imposant que celui de Michel. Il se positionna derrière moi et me prit d’un coup. Je posais mes mains sur le miroir pour résister aux assauts du vendeur.
- Oh oui c’est bon, allez-y, plus fort.
- Oui, la vache, votre vagin est un appel au sexe.
- Merci, oui en ce moment, j’ai des besoins multiples.
- Je vois ça, la vache vous êtes une sacrée salope vous.
- Oui, on peut dire ça. J’ai besoin de sexe. J’ai besoin d’être baisée.
- Oh putain, vous êtes bonne. Je viens.
Barbara.
Le vendeur me défonçait la chatte par derrière. Je me mis à râler de plaisir. J’eus un orgasme d’une rare violence. Je ne pouvais retenir un cri lorsque le vendeur déchargea son sperme dans mon vagin. Une fois de plus, Michel m’avait laissée libre de mes fantasmes. Quel homme adorable, je commençais à l’aimer vraiment, pourtant je m’étais juré qu’il ne serait que mon amant. Je décidais de donner mon adresse et mon numéro de téléphone au vendeur. Je sorti de la cabine pour faire voir la robe à Michel.
- Regarde Michel, qu’en penses-tu.
- Elle te va à ravir, tu es super sexy.
- Je crois que je vais la prendre.
- D’accord, tu en veux une autre ?
- Non pas tout de suite, il faut que je m’habitue à celle-là, elle est quand même très sexy.
- A priori tu as plu à monsieur.
- La robe de madame lui va super bien. Sa poitrine est bien mise en valeur.
- Tu veux la garder sur toi ?
- Tu crois que je peux sortir dans la rue comme ça ?
- La voiture est juste devant. Comme ça je pourrais t’admirer en te ramenant chez toi.
- D’accord Michel. Merci.
Michel.
Pendant que Barbara se refaisait une beauté dans la cabine, je décidai de lui payer sa robe.
- Votre Amie est vraiment TOP.
- Oui, elle est très disponible.
- Ah ça pour être disponible, elle est vraiment incroyable.
Barbara.
Je voyais de loin Michel et le vendeur en grande discussion. J’étais sûre qu’ils parlaient de moi.
- Combien je vous dois monsieur ?
- Votre Ami a payé.
- Oh non Michel, je peux payer tu sais.
- Je sais ma chérie, mais j’avais envie de te l’offrir.
- Tu es un amour.
- Toi aussi.
- On y va ?
- Oui.
- Au revoir cher monsieur, peut-être à un de ces jours ?
- Bien sûr cher Madame.
Barbara.
Je sorti du magasin sans aucune appréhension. J’étais totalement libérée grâce à Michel.
Michel.
Durant le voyage, je pu admirer la poitrine de Barbara qui était soutenue par sa robe. Quant à ses jambes, je pouvais admirer la dentelle de ses bas. J’avais très envie de ma maitresse, je sentais que je bandais à nouveau.
- Merci Michel pour ce repas.
- Mais de rien ma chérie.
- Michel, j’ai envie de toi.
- Maintenant ? ici ? Tu es insatiable mais j’aime.
Michel.
Barbara s’agenouilla devant moi et défit ma braguette. Elle sortit mon sexe pour le branler et le décalotter. Elle lécha mon gland avant de me prendre en bouche. Elle commença à me pomper.
- Oh chérie, c’est trop bon.
- Hummmm- Vas-y continue.
Michel.
Après quelques minutes, je sentais mon sexe qui grossissait, je n’allais pas tenir longtemps. Je le dit à Barbara qui se releva.
Elle se tourna et posa les deux mains sur le capot de la voiture.
- Baise moi Michel.
- Comment, ici ?
- Oui je n’en peux plus, j’ai trop envie.
Barbara.
Michel retroussa ma jupe et baissa mon string. Je sentis sa langue sur l’entrée de ma grotte. Mon ventre s’enflammait de nouveau. Je le voulais en moi, j’avais envie de son sexe, j’étais trop frustrée de ne pas pu avoir celui du serveur.
Michel.
Barbara m’offrait son corps dans ce parking. Je bandais comme un âne. J’approchais mon sexe de l’entrée de son vagin après l’avoir frotté sur sa raie. Je l’enfonçais dans sa chatte qui était trempée, ouverte.
- Vas-y chéri, prends moi fort.
- Humm ma chérie, j’aime quand tu me parles comme ça.
Barbara.
Michel commençait à baiser ma chatte plus rapidement. Il me tenait aux hanches. Il me prenait profondément allant jusqu’à forcer mon col. Je sentais son sexe qui remplissait mon vagin, faisant mouiller mes parois vaginales qui épousaient la forme de son sexe. Je gémissais sous ses assauts. Mes seins bougeaient dans tous les sens. Michel me prenait avec force en vrai mâle qu’il était. J’étais sa femelle. Je sentais son éjaculation qui arrivait ainsi que mon orgasme. Nous allions jouir ensemble. Il me poussait contre la voiture, nous criâmes tous les deux. Je m’écroulais sur le capot avec le sexe de Michel toujours en moi. Je sentais son sperme qui coulait dans mon vagin.
Je me redressais et me retournais pour nettoyer le sexe de Michel avec ma langue.
- Merci ma chérie, tu es divine.
- Merci à toi mon cœur pour tout ce que tu me donnes.
- On va faire ce shopping ?
- Oui .
Michel.
J’aidais Barbara pour remettre sa jupe en place. J’en profitais pour lui donner un baiser qu’elle me rendit avec passion. Cette femme, ma maitresse, vivait ses rêves et ses fantasmes et sortait de sa routine qu’elle vivait depuis son divorce. Elle était heureuse.
Barbara.
J’étais sur une autre planète, j’avais enfin trouvé l’amant qui comprenait ma soif de plaisir sans me juger. Mieux, il m’aidait à assouvir mes fantasmes et mes envies d’une femme de soixante ans, qui avait été négligée. Je m’offrais entièrement à lui, je voulais être à lui quoi qu’il me demande de faire. Je savais qu’il me respectait et j’avais envie de lui donner tout ce dont j’étais capable de donner à un homme comme lui.
Michel gara sa voiture dans le quartier commerçant de la ville.
- Tu veux acheter quoi ma chérie ?
- J’aimerais une robe courte et légère, un peu sexy.
- Un peu ?
- Oui, enfin tu vois ce que je veux dire.
- Tiens regarde, il y a un sexe shop.
- Heu, tu crois que c’est le bon endroit ?
- Si on ne trouve pas de robe sexy ici, où la trouvera-t-on ?
- On peut toujours rentrer pour regarder.
Barbara.
Michel m’ouvrit la porte du magasin.
- Madame, Monsieur, soyez les bienvenus. Est-ce que je peux vous renseigner ?
- J’aimerais acheter une robe pour mon amie. Une robe plutôt sexy.
- Bien sûr, suivez-moi.
Barbara.
Le vendeur me regardait avec envie. J’avais l’impression d’être déshabillée du regard, ce qui me plaisait je dois l’avouer. C’était un homme très musclé, dans les 1m85. Très séduisant.
- Nous avons plusieurs modèles, mais je pense qu’avec la poitrine de madame, il faudrait se concentrer sur ces trois modèles qui mettent bien en valeur les belles poitrines comme celle de votre amie.
- Qu’en dis-tu ma chérie ?
- J’aime bien ce modèle avec la lanière qui descend entre les seins pour arriver dans un anneau central.
- Vous avez parfaitement raison madame, vos seins seront bien séparés, et comme ils sont assez denses, ils seront parfaitement mis en valeur.
- Je peux l’essayer ?
- Bien sûr, venez nos cabines sont par là.
- Tu viens chéri ?
- J’arrive, je fais un tour du magasin. Va avec monsieur, je vous rejoindrai.
Barbara.
Je compris tout de suite que Michel me laissait volontairement seule avec le vendeur. Celui-ci ouvrit le rideau d’une cabine qui était relativement vaste.
- Allez-y madame, prenez votre temps. Vous avez des cintres disponibles pour vos vêtements.
- Merci monsieur vous êtes adorable. Vous restez dans le coin si jamais j’ai besoin d’aide.
- Oui, ne vous inquiétez pas. Je suis là pour vous rendre service.
- Merci.
Barbara.
Je tirais le rideau qui ne se ferma pas complètement. Une fente restait ouverte. Par un jeu de miroir, je voyais le vendeur qui regardait dans ma direction. Je mouillais instantanément. J’enlevai mon chemisier en dentelle et mon soutif demi-seins. J’enlevais ma jupe. Je restais en string, bas et porte jarretelles. J’enfilai la robe avec un peu de difficulté car elle était très moulante.
- Monsieur ?
- Oui madame, j’arrive.
- Pouvez-vous m’aider à ajuster ma robe, j’ai de la peine.
- Bien sûr.
Barbara.
Le vendeur ouvrit un peu plus le rideau et pénétra dans la cabine. Il y avait des miroirs partout.
- Madame, vous avez une poitrine magnifique.
- Merci, vous êtes gentil, mais avec l’âge, mes seins tombent un peu, surtout qu’ils sont lourds.
- Beaucoup de femmes de votre âge aimeraient avoir votre poitrine.
- Merci
Barbara.
Le vendeur positionna mes seins dans la robe en les séparant par la lanière. Je sentais ses doigts jouer avec mes tétons qui se dressèrent et qui devenaient bien durs.
- Hummmm, c’est bon ce que vous me faites.
- Je vois que madame a des tétons réactifs.
- Oh il n’y a pas que les tétons.
- Oui, je m’en doute.
- Barbara.
Aussitôt je sentis une main descendre dans mon string pour caresser mon clitoris. Je rougis. Allais-je le repousser ? Non, je me mis à onduler sur ces doigts en gémissant. Je commençais à mouiller, surtout qu’il restait encore du sperme de Michel dans mon vagin.
- Je vois que madame a eu une activité récente.
- Oui, en effet.
- Peut-être pas assez ?
- Vous croyez ?
Barbara.
Je me regardais dans la glace, dans cette robe, je faisais vraiment salope. J’avais envie de ce vendeur. Il rentra deux doigts par derrière dans mon vagin trempé de cyprine et de sperme. Je me cambrais pour lui offrir ma chatte par derrière. J’entendis le zip de sa braguette et vit dans le miroir son sexe hyper tendu et gros, certes moins que celui du serveur noir, mais plus imposant que celui de Michel. Il se positionna derrière moi et me prit d’un coup. Je posais mes mains sur le miroir pour résister aux assauts du vendeur.
- Oh oui c’est bon, allez-y, plus fort.
- Oui, la vache, votre vagin est un appel au sexe.
- Merci, oui en ce moment, j’ai des besoins multiples.
- Je vois ça, la vache vous êtes une sacrée salope vous.
- Oui, on peut dire ça. J’ai besoin de sexe. J’ai besoin d’être baisée.
- Oh putain, vous êtes bonne. Je viens.
Barbara.
Le vendeur me défonçait la chatte par derrière. Je me mis à râler de plaisir. J’eus un orgasme d’une rare violence. Je ne pouvais retenir un cri lorsque le vendeur déchargea son sperme dans mon vagin. Une fois de plus, Michel m’avait laissée libre de mes fantasmes. Quel homme adorable, je commençais à l’aimer vraiment, pourtant je m’étais juré qu’il ne serait que mon amant. Je décidais de donner mon adresse et mon numéro de téléphone au vendeur. Je sorti de la cabine pour faire voir la robe à Michel.
- Regarde Michel, qu’en penses-tu.
- Elle te va à ravir, tu es super sexy.
- Je crois que je vais la prendre.
- D’accord, tu en veux une autre ?
- Non pas tout de suite, il faut que je m’habitue à celle-là, elle est quand même très sexy.
- A priori tu as plu à monsieur.
- La robe de madame lui va super bien. Sa poitrine est bien mise en valeur.
- Tu veux la garder sur toi ?
- Tu crois que je peux sortir dans la rue comme ça ?
- La voiture est juste devant. Comme ça je pourrais t’admirer en te ramenant chez toi.
- D’accord Michel. Merci.
Michel.
Pendant que Barbara se refaisait une beauté dans la cabine, je décidai de lui payer sa robe.
- Votre Amie est vraiment TOP.
- Oui, elle est très disponible.
- Ah ça pour être disponible, elle est vraiment incroyable.
Barbara.
Je voyais de loin Michel et le vendeur en grande discussion. J’étais sûre qu’ils parlaient de moi.
- Combien je vous dois monsieur ?
- Votre Ami a payé.
- Oh non Michel, je peux payer tu sais.
- Je sais ma chérie, mais j’avais envie de te l’offrir.
- Tu es un amour.
- Toi aussi.
- On y va ?
- Oui.
- Au revoir cher monsieur, peut-être à un de ces jours ?
- Bien sûr cher Madame.
Barbara.
Je sorti du magasin sans aucune appréhension. J’étais totalement libérée grâce à Michel.
Michel.
Durant le voyage, je pu admirer la poitrine de Barbara qui était soutenue par sa robe. Quant à ses jambes, je pouvais admirer la dentelle de ses bas. J’avais très envie de ma maitresse, je sentais que je bandais à nouveau.
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