Barbara 7
Récit érotique écrit par Mimi68 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-07-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Barbara 7
Barbara.
J’attendais mon Maitre, nue comme toujours. Il venait prendre l’apéritif avant de m’emmener pour une soirée spéciale d’après ce qu’il m’avait dit. J’avais toujours mon plug pour conserver le sperme de Théo. Je me sentais tellement salope. Mais j’étais si exitée.
Michel.
J’arrivais chez Barbara, je lui réservais une surprise agréable.
- Bonjour Barbara.
- Bonjour mon Maitre. Comment allez-vous ?
- Ça va, mais là tout de suite, tu peux m’appeler Michel. Je suis très content de toi tu sais, et pour te récompenser, avant de partir pour la soirée, considère-toi comme mon amante non soumise.
- Oh Maitre, quel honneur vous me faites.
- Michel…- Oui, oui, Michel merci du plaisir que tu m’offres.
- Tu es très belle ma chérie, tes seins sont magnifiques.
- Merci Michel, tu es séduisant et tu sembles si viril.
- Merci ma belle.
Michel.
Je prenais Barbara dans mes bras pour l’embrasser. Son corps nu se collait à moi. Elle m’ouvrait sa bouche pour que lui donne ma langue. Ses tétons pointaient, quel bonheur d’être habillé et de tenir une femme nue dans mes bras.
Barbara.
J’étais toute excitée de la surprise de Michel. Mon cœur s’emballait.
- Michel ?
- Oui ?
- J’ai très envie de faire l’amour avec toi.
- Je suis là pour ça ma belle. Aujourd’hui, c’est toi qui choisis. Je suis à toi.
- C’est vrai ?
- Oui, je ferai tout ce que tu veux, ou plutôt tu feras tout ce que tu veux.
Barbara.
Je pris Michel par la main et nous montions l’escalier pour entrer dans ma chambre. Devant le lit je retirais sa chemise, redécouvrant sa belle poitrine assez musclée. Et je ne pus m’empêcher de caresser ses tétons qui réagissaient bien en pointant. Puis ce fut au tour des chaussures et des chaussettes. Il levait une jambe après l’autre. Et j’ouvris et lui descendis le pantalon que je retirais.
J’avais devant moi un homme uniquement vêtu d’un beau string masculin noir. Une surprise bien agréable, surtout que ce string était bien rempli, il était tout gonflé. Des parties de ses bourses débordaient. Cela me faisait sourire mais je sentais aussi mes tétons qui allongeaient et mes aréoles, bien larges et brunes, qui se fripaient. En passant ma main sur le string je vis apparaitre son gland. Son sexe dur n’avait plus assez de place dans ce mini slip. Il sortait de son écrin de tissu. C’était d’un érotisme torride qui me fit couler de la cyprine sur mes cuisses.
Michel.
Barbara m’avait déshabillé, je bandais comme un âne. Cette femme était d’une délicatesse admirable. Elle savait exciter son partenaire progressivement. Je me laissais faire par cette femme mûre qui redécouvrait le plaisir depuis qu’elle m’avait demandé sa soumission, et là le fait de retrouver une position d’égale à égale, elle me donnait une envie irrésistible de faire l’amour avec elle.
Barbara.
Je poussais légèrement Michel qui s’allongea sur le lit, sur le dos. Alors je retirais doucement son string et, surprise, sa « queue » dure, longue et grosse se dressa fièrement.
Je restais à la regarder, à l’admirer avant de la prendre en main et de la masturber doucement. Je décalottais ce beau sexe. Michel fermait les yeux.
Michel.
Je sentais la main de Barbara s’emparer de mon sexe bandé. Je lui laissais l’initiative, je savais qu’elle avait envie de moi et moi d’elle. Je l’acceptais de n’importe quelle façon qu’elle décida de faire l’amour.
Barbara.
Michel ne me vit pas me pencher et sortir la langue pour tourner autour de son gland. Mais il appréciait car il gémissait.
Je le suçais je le prenais en bouche je lui faisais, et ce n’était pas facile vue la taille, une gorge profonde. Il semblait endurant, ce que j’apprécie chez un homme. Alors je me mis moi aussi sur le lit. Place-toi bien au milieu du matelas dis-je à Michel et ainsi confortablement installé je passais mes jambes de part et d’autre de son bassin, je pris son sexe en main et je le plaçais devant ma fente. Mes lèvres étaient trempées, ouvertes. Il entra en moi sans effort.
C’est moi, en montant et en descendant, qui faisait coulisser ce sexe dans mon vagin. Et mes mamelles - oui mamelles car je suis une femme mûre qui a des seins assez gros, denses qui ballotent facilement – bougeaient dans tous les sens. Je les pris en main et tout en continuant ma masturbation je pinçais en même temps mes tétons épais et durs. Michel avait les yeux grands ouverts. Il me regardait fixement. Il se crispait. Moi aussi j’ouvris la bouche et je me mis à hurler mon plaisir, ma jouissance, avec mes orgasmes qui se succédaient, un, deux, trois et que ses jets puissants et chauds remplissaient mon vagin.
Michel.
Je sentais le vagin de Barbara qui aspirait mon sexe. Ses lèvres dodues se moulaient autour de mon vit. Ses parois vaginales épousaient la forme de mon sexe. Je me laissais faire, je sentais nos orgasmes mutuels nous envahir. Barbara se mit à hurler de plaisir, je sentais son corps se raidir, son vagin se contracta sur mon sexe provoquant ma jouissance provoquant l’expulsion de mon sperme au fond de son vagin.
Barbara.
Je m’effondrais et m’allongeais à côté de mon amant, rassasiée, comblée, heureuse. Michel aussi semblait serein, apaisé. Nous nous sommes endormis, moi ma tête sur son torse, lui sa main à ma chatte toute gluante.
Je rêvais déjà à la soirée qui allait venir. Mon Maître ne m’avait pas encore vue dans la tenue que j’avais prévue de mettre pour sortir avec luiQu’allait-il penser de moi ?
Michel.
Après cette petite sieste je redevenais le Maître de Barbara. Elle dormait toujours allongée sur le dos, la chatte dégoulinant de mon sperme. Cette femme qui était dorénavant toute à moi par sa volonté d’être soumise pour que je lui impose de vivre ses propres fantasmes que je devinais. Je ne pensais pas qu’elle se serait livrée à moi de cette façon. Elle avait une entière confiance en moi, je pouvais lui demander ce que je voulais, elle le faisait. Elle n’avait plus d’interdits. Elle qui avait été si négligée par le passé, voulait plaire, séduire, mais surtout vivre pleinement sa sexualité, elle voulait jouir à outrance, sans aucune retenue, elle voulait se donner aux hommes que je lui choisirais. Est-ce que j’arriverais à la satisfaire tout en la dominant, en lui ordonnant sa façon de se donner, de s’offrir, de jouir de s’abandonner au plaisir ? Je me dis qu’il fallait que je profite de cette opportunité pour lui faire vivre des moments d’intense érotisme, pour qu’elle jouisse comme jamais mais aussi pour que cela m’excite au maximum.
J’allais la réveiller pour lui imposer cette soirée que je lui avais réservée, une soirée de prostitution gratuite où elle serait obligée de se faire baiser par des hommes en manque de sexe.
A bientôt
J’attendais mon Maitre, nue comme toujours. Il venait prendre l’apéritif avant de m’emmener pour une soirée spéciale d’après ce qu’il m’avait dit. J’avais toujours mon plug pour conserver le sperme de Théo. Je me sentais tellement salope. Mais j’étais si exitée.
Michel.
J’arrivais chez Barbara, je lui réservais une surprise agréable.
- Bonjour Barbara.
- Bonjour mon Maitre. Comment allez-vous ?
- Ça va, mais là tout de suite, tu peux m’appeler Michel. Je suis très content de toi tu sais, et pour te récompenser, avant de partir pour la soirée, considère-toi comme mon amante non soumise.
- Oh Maitre, quel honneur vous me faites.
- Michel…- Oui, oui, Michel merci du plaisir que tu m’offres.
- Tu es très belle ma chérie, tes seins sont magnifiques.
- Merci Michel, tu es séduisant et tu sembles si viril.
- Merci ma belle.
Michel.
Je prenais Barbara dans mes bras pour l’embrasser. Son corps nu se collait à moi. Elle m’ouvrait sa bouche pour que lui donne ma langue. Ses tétons pointaient, quel bonheur d’être habillé et de tenir une femme nue dans mes bras.
Barbara.
J’étais toute excitée de la surprise de Michel. Mon cœur s’emballait.
- Michel ?
- Oui ?
- J’ai très envie de faire l’amour avec toi.
- Je suis là pour ça ma belle. Aujourd’hui, c’est toi qui choisis. Je suis à toi.
- C’est vrai ?
- Oui, je ferai tout ce que tu veux, ou plutôt tu feras tout ce que tu veux.
Barbara.
Je pris Michel par la main et nous montions l’escalier pour entrer dans ma chambre. Devant le lit je retirais sa chemise, redécouvrant sa belle poitrine assez musclée. Et je ne pus m’empêcher de caresser ses tétons qui réagissaient bien en pointant. Puis ce fut au tour des chaussures et des chaussettes. Il levait une jambe après l’autre. Et j’ouvris et lui descendis le pantalon que je retirais.
J’avais devant moi un homme uniquement vêtu d’un beau string masculin noir. Une surprise bien agréable, surtout que ce string était bien rempli, il était tout gonflé. Des parties de ses bourses débordaient. Cela me faisait sourire mais je sentais aussi mes tétons qui allongeaient et mes aréoles, bien larges et brunes, qui se fripaient. En passant ma main sur le string je vis apparaitre son gland. Son sexe dur n’avait plus assez de place dans ce mini slip. Il sortait de son écrin de tissu. C’était d’un érotisme torride qui me fit couler de la cyprine sur mes cuisses.
Michel.
Barbara m’avait déshabillé, je bandais comme un âne. Cette femme était d’une délicatesse admirable. Elle savait exciter son partenaire progressivement. Je me laissais faire par cette femme mûre qui redécouvrait le plaisir depuis qu’elle m’avait demandé sa soumission, et là le fait de retrouver une position d’égale à égale, elle me donnait une envie irrésistible de faire l’amour avec elle.
Barbara.
Je poussais légèrement Michel qui s’allongea sur le lit, sur le dos. Alors je retirais doucement son string et, surprise, sa « queue » dure, longue et grosse se dressa fièrement.
Je restais à la regarder, à l’admirer avant de la prendre en main et de la masturber doucement. Je décalottais ce beau sexe. Michel fermait les yeux.
Michel.
Je sentais la main de Barbara s’emparer de mon sexe bandé. Je lui laissais l’initiative, je savais qu’elle avait envie de moi et moi d’elle. Je l’acceptais de n’importe quelle façon qu’elle décida de faire l’amour.
Barbara.
Michel ne me vit pas me pencher et sortir la langue pour tourner autour de son gland. Mais il appréciait car il gémissait.
Je le suçais je le prenais en bouche je lui faisais, et ce n’était pas facile vue la taille, une gorge profonde. Il semblait endurant, ce que j’apprécie chez un homme. Alors je me mis moi aussi sur le lit. Place-toi bien au milieu du matelas dis-je à Michel et ainsi confortablement installé je passais mes jambes de part et d’autre de son bassin, je pris son sexe en main et je le plaçais devant ma fente. Mes lèvres étaient trempées, ouvertes. Il entra en moi sans effort.
C’est moi, en montant et en descendant, qui faisait coulisser ce sexe dans mon vagin. Et mes mamelles - oui mamelles car je suis une femme mûre qui a des seins assez gros, denses qui ballotent facilement – bougeaient dans tous les sens. Je les pris en main et tout en continuant ma masturbation je pinçais en même temps mes tétons épais et durs. Michel avait les yeux grands ouverts. Il me regardait fixement. Il se crispait. Moi aussi j’ouvris la bouche et je me mis à hurler mon plaisir, ma jouissance, avec mes orgasmes qui se succédaient, un, deux, trois et que ses jets puissants et chauds remplissaient mon vagin.
Michel.
Je sentais le vagin de Barbara qui aspirait mon sexe. Ses lèvres dodues se moulaient autour de mon vit. Ses parois vaginales épousaient la forme de mon sexe. Je me laissais faire, je sentais nos orgasmes mutuels nous envahir. Barbara se mit à hurler de plaisir, je sentais son corps se raidir, son vagin se contracta sur mon sexe provoquant ma jouissance provoquant l’expulsion de mon sperme au fond de son vagin.
Barbara.
Je m’effondrais et m’allongeais à côté de mon amant, rassasiée, comblée, heureuse. Michel aussi semblait serein, apaisé. Nous nous sommes endormis, moi ma tête sur son torse, lui sa main à ma chatte toute gluante.
Je rêvais déjà à la soirée qui allait venir. Mon Maître ne m’avait pas encore vue dans la tenue que j’avais prévue de mettre pour sortir avec luiQu’allait-il penser de moi ?
Michel.
Après cette petite sieste je redevenais le Maître de Barbara. Elle dormait toujours allongée sur le dos, la chatte dégoulinant de mon sperme. Cette femme qui était dorénavant toute à moi par sa volonté d’être soumise pour que je lui impose de vivre ses propres fantasmes que je devinais. Je ne pensais pas qu’elle se serait livrée à moi de cette façon. Elle avait une entière confiance en moi, je pouvais lui demander ce que je voulais, elle le faisait. Elle n’avait plus d’interdits. Elle qui avait été si négligée par le passé, voulait plaire, séduire, mais surtout vivre pleinement sa sexualité, elle voulait jouir à outrance, sans aucune retenue, elle voulait se donner aux hommes que je lui choisirais. Est-ce que j’arriverais à la satisfaire tout en la dominant, en lui ordonnant sa façon de se donner, de s’offrir, de jouir de s’abandonner au plaisir ? Je me dis qu’il fallait que je profite de cette opportunité pour lui faire vivre des moments d’intense érotisme, pour qu’elle jouisse comme jamais mais aussi pour que cela m’excite au maximum.
J’allais la réveiller pour lui imposer cette soirée que je lui avais réservée, une soirée de prostitution gratuite où elle serait obligée de se faire baiser par des hommes en manque de sexe.
A bientôt
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