BARBECUE
Récit érotique écrit par Tamalou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-09-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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BARBECUE
Ma femme est retournée sur le marché du travail après plusieurs années de coupure. Le retour n’a pas été glorieux.
Après de nombreuses rebuffades ou essais non-concluants, elle a fini par trouver un job de secrétariat dans un garage. Après quelques mois de ce nouveau travail, elle a invité son patron à un barbecue pour le remercier.
Il est arrivé pour l’apéro et il m’a semblé assez cordial. La cinquantaine grisonnante, baraqué et sûr de lui. Je supposais que c’était le cocktail idéal pour être un bon patron.
Après lui avoir servi une boisson, je me suis concentré sur les braises du barbecue. Franck a suivi ma femme Caroline dans la maison pour continuer la conversation qu’ils venaient de commencer. Ensuite, je suis entré pour demander la viande qu’elle avait préparé pour le barbecue.
Caroline était penchée en avant sur la table, appuyée sur ses deux mains. Derrière elle, son patron avait son pubis plaqué contre les fesses de ma femme. Ils étaient tous les deux entièrement et correctement vêtus, et ils se sont rapidement séparés lorsque je suis entré. Franck était très décontracté, souriant, Caroline gardait les yeux baissés.
Je ne suis pas fou, et je sais ce que j'ai vu. Sans être vicieux, je les ai surveillés pendant tout le repas. Chaque fois qu'ils s’effleuraient, ou que leurs mains disparaissaient sous la table, et les regards qu’ils échangeaient. Deux bouteilles de vin plus tard, au moment du dessert, nous étions tous très détendus.
Mais quand le patron de Caroline s'est levé, a dégrafé son pantalon et a sorti sa bite, ça m'a vraiment dégrisé.
"Qu'est-ce que vous foutez ?" J'ai demandé.
"Je vais juste présenter mes hommages à votre charmante épouse."
Il n’a pas eu besoin d’en dire plus, d’insister, ou de la forcer en aucune manière. Elle s’est inclinée vers lui et l’a prise en bouche. Au début, hésitante, les yeux baissés, les cheveux devant le visage, évitant mon regard, léchant timidement le gland. Puis rapidement, semblant y prendre goût, ou simplement à cause de mon manque de réaction, elle a glissé sa main sous les bourses pleines pour les masser. En même temps, elle a gobé sa bite, et sa bouche a commencé à monter et descendre sur sa colonne de chair.
Au début, Franck l’a regardé œuvrer, puis il a posé ses deux mains sur la tête de ma femme, et il a commencé à baiser son visage, juste devant moi. Je n'ai pas fait un geste pour empêcher quoi que ce soit, j'ai juste regardé, ébahi, ne sachant rien des qualités de suceuse de Caroline.
Franck poussait profondément dans la gorge de Caroline. Elle s'étouffait de temps en temps, mais elle n’a rien fait pour l’empêcher, ni se plaindre, encore moins lui échapper. Elle laissait son patron lui baiser la bouche, docile et stoïque, ne semblant éprouver ni plaisir ni gêne.
Il n'a pas fallu si longtemps, même si cela m’a paru une éternité, avant que Franck éjacule dans la bouche de ma femme. Il grogna un peu au moment où il jouissait, en lui ordonnant de tout avaler. Ce qu'elle a fait. Elle a essuyé les commissures de ses lèvres avec ses doigts, qu’elle a sucé pour ne rien laisser perdre.
"Voilà, je voulais que vous le sachiez. Je n’aime pas le mensonge. J’avais demandé à votre femme de tout vous raconter, mais elle a eu peur de votre réaction. Chaque jour, après le repas, elle a son dessert. Elle voulait tellement ce travail, nous avons conclu un accord. Elle est géniale, elle ne recule devant aucun effort."
"Parfois, lorsqu’un mécano mérite une récompense, elle s’offre à lui. Je peux vous garantir que mes gars travaillent dix fois mieux, maintenant. Et ils sont beaucoup plus assidus. Elle a fait des progrès sensationnels en quelques semaines, vous savez ?"
Je restais silencieux, stupéfait, mais surtout avec une érection gênante.
"Je suppose que vous l’ignoriez. Eh bien, nous l’avons baisée dans les toilettes, sur mon bureau, sur la banquette arrière d’une voiture, non, de plusieurs voitures. Et même, hier, elle a baisé le comptable. Il vient une fois par semaine, valider notre comptabilité, et il était si content d’elle qu’il a voulu la remercier. Caroline l'a pris dans le cul, presque sans aucune plainte, pourtant il en a une grosse. N'est-ce pas, ma chérie ?"
Caroline a acquiescé d’un hochement de tête, tête basse, joues rouges, mais ses yeux brillants d’excitation, ses mamelons dardés et sa respiration rapide démentaient son attitude soumise. Franck a troussé sa courte robe pour glisser une main entre les jambes de ma femme.
"Ça m’excite de raconter tes exploits à ton mari, je vais te baiser maintenant, bébé. Tu veux que je te baises ici à table, devant lui, ou tu préfères aller dans ta chambre conjugale, sur ton lit ?"
Encore une fois, personne d’autre que Franck n’a parlé. La parole lui appartenait, c’était le patron. Il enleva complètement son pantalon, puis il fit signe à Caroline de se lever. Elle lui obéit et se laissa déshabiller par cet homme dominateur. Il caressait chaque centimètre de peau qu’il découvrait.
Il massa ses seins et suça ses tétons. Passant de l'un à l'autre. Je pouvais voir l'éclat humide de sa salive scintiller sur chaque mamelon. Sa main était occupée entre ses jambes, doigtant sa chatte, la préparant à l’assaut. Ma femme gardait la tête baissée, mais écarta légèrement ses jambes pour permettre un meilleur accès à Franck.
Il la fit pivoter et la positionna penchée en avant sur la table, dans la position où je l’avais trouvée ce matin. Il lui a ordonné d’écarter ses fesses, ce qu'elle a fait. Il s’est déplacé derrière elle, et je l'ai regardé frotter sa bite dans la raie de son cul.
"Approche, Emmanuel, je ne voudrais pas que tu penses que nous faisons semblant. Ça t’embête si je t’appelles Minou. Tu es tellement doux, tellement gentil !"
J’ai acquiescé d’un hochement de tête, ça ne me dérangeait pas qu’il m’appelle Minou, c’est mon surnom, tout le monde m’appellait comme ça. Je me suis approché d’eux en contournant la table. Je l'ai regardé frotter sa bite entre les fesses de ma femme, glissant légèrement entre les lèvres de sa chatte humide.
"Tiens, prends ma bite, Minou, et aligne-la en face du trou que tu veux que je baise."
J'avais toujours eu ce fantasme de baiser ma femme dans le cul, et je pensais que la meilleure chose à faire était de regarder Franck le faire, alors j'ai aligné sa bite sur son trou du cul. Elle n'était pas lubrifiée, alors quand il a poussé en avant, même si elle s'est un peu ouverte, il ne pouvait pas aller bien loin.
Il attrapa le pot de margarine, me le tendit en disant : "Il faudrait un peu de lubrifiant."
J’ai plongé deux doigts dans la margarine et j’ai badigeonné son sexe. J’en ai profité pour le masturber un peu, j’en avais tellement envie. Ensuite, j’ai renouvelé l’opération avec l’anus de Caroline. Quand je lui ai mis un doigt dans le cul, elle a frissonné. Vicieux et pervers, je lui ai mis deux doigts, et je l’ai masturbée avec. Mais elle est restée stoïque.
Puis j’ai saisi et placé à nouveau sa bite contre son trou du cul, et je l’ai regardé, avec étonnement, entrer aisément en elle. Des gémissements ont échappé à ma femme, mais pas très véhéments, juste quelques encouragements. D’une seule poussée, il avait rentré environ le tiers de sa bite à l'intérieur de son rectum. Puis, il a commencé à la baiser, progressant avec de petits coups rapides jusqu’à enterrer, devant mes yeux incrédules, la totalité de sa queue.
"Jette un coup d’œil, Minou, elle a pris toute ma bite. Tu ignorais ses dons, hein ?"
Puis, s’adressant à Caroline : "Cramponne-toi à la table, chérie, je vais te baiser, maintenant."
Sur ce, il attrapa ses hanches et commença à la baiser fort et vite. Sortant sa bite presque tout du long, puis la bourrant rudement. Ma femme laissait échapper un râle douloureux à chaque fois qu'il la baisait. Il ne fallut pas longtemps avant qu'ils ne se laissent envahir tous les deux par leur délire coïtal.
Il n'y avait plus de discours de Franck, et Caroline se doigtait la chatte à la vitesse de l'éclair. Franck lui a murmuré quelque chose à l’oreille, puis s’est soudé au fond d’elle. Ses fesses se crispèrent tandis qu'il se pressait contre elle. Il fit quelques petits coups secs en avant, en vidant ses couilles dans le cul de ma femme.
Cela a déclenché l’orgasme de Caroline, elle a posé la nuque sur l’épaule de son amant, ses lèvres cherchant sa bouche. Frémissante et gémissante, elle réclamait sa bouche à son amant. Lorsqu’il l’a embrassé, le regard éperdument amoureux de ma femme m’a fait mal. Je l’avais toujours traitée comme une princesse, et ce type qui l’enculait debout, à poil, au milieu de sa cuisine, la rendait follement amoureuse.
"Bien" dit Franck. "Bonne baise. Je ne pensais pas que ça me ferait autant d’effet de te baiser devant ton mari, mais toi aussi cela t’as motivée. Je crois que c’est la meilleure baise que nous ayons eu, nous devrons recommencer.''
Ils allèrent ensemble à la salle de bain et je restais seul à la table, encore assez confus. Quand ils sont réapparus, Caroline avait l'air un peu moins craintive, et elle a pu croiser mon regard. Elle m'a dit qu'elle m'aimait et m’a charmé avec un petit sourire très sexy. Franck s’est rhabillé.
"Bien, je vais devoir m’en aller. Ça ne me dérangerait pas de rester pour baiser encore ta femme, mais je pourrai la baiser au travail demain. Et je suis sûr que vous avez beaucoup à vous dire. Ne l’épuise pas !"
Franck a pris congé et aucun mot n'a été prononcé entre ma femme et moi pendant près d'une heure. Nous nous sommes redécouverts, nous avons exploré le corps de l’autre, nous avons baisé comme si nous venions de faire connaissance.
Même devant son trou du cul récemment baisé, je voulais toucher le sperme en elle et le sentir. Elle était si heureuse que je ne sois pas en colère. Nos rapports sexuels ont changé à partir de ce jour-là.
Connaissant ses capacités, et l’utilisation quotidienne de ses orifices par son patron et toute l’équipe pendant sa journée de travail, je pouvais me montrer plus exigeant avec ses performances chaque soir.
Nous avons convenu tous les deux qu’il serait profitable d’inviter ses collègues de travail pour un barbecue. Je pourrais m’occuper des braises, pendant qu’elle les occuperait dans la cuisine.
Je mourais d'envie de la voir gérer trois bites à la fois. Bientôt ...
Après de nombreuses rebuffades ou essais non-concluants, elle a fini par trouver un job de secrétariat dans un garage. Après quelques mois de ce nouveau travail, elle a invité son patron à un barbecue pour le remercier.
Il est arrivé pour l’apéro et il m’a semblé assez cordial. La cinquantaine grisonnante, baraqué et sûr de lui. Je supposais que c’était le cocktail idéal pour être un bon patron.
Après lui avoir servi une boisson, je me suis concentré sur les braises du barbecue. Franck a suivi ma femme Caroline dans la maison pour continuer la conversation qu’ils venaient de commencer. Ensuite, je suis entré pour demander la viande qu’elle avait préparé pour le barbecue.
Caroline était penchée en avant sur la table, appuyée sur ses deux mains. Derrière elle, son patron avait son pubis plaqué contre les fesses de ma femme. Ils étaient tous les deux entièrement et correctement vêtus, et ils se sont rapidement séparés lorsque je suis entré. Franck était très décontracté, souriant, Caroline gardait les yeux baissés.
Je ne suis pas fou, et je sais ce que j'ai vu. Sans être vicieux, je les ai surveillés pendant tout le repas. Chaque fois qu'ils s’effleuraient, ou que leurs mains disparaissaient sous la table, et les regards qu’ils échangeaient. Deux bouteilles de vin plus tard, au moment du dessert, nous étions tous très détendus.
Mais quand le patron de Caroline s'est levé, a dégrafé son pantalon et a sorti sa bite, ça m'a vraiment dégrisé.
"Qu'est-ce que vous foutez ?" J'ai demandé.
"Je vais juste présenter mes hommages à votre charmante épouse."
Il n’a pas eu besoin d’en dire plus, d’insister, ou de la forcer en aucune manière. Elle s’est inclinée vers lui et l’a prise en bouche. Au début, hésitante, les yeux baissés, les cheveux devant le visage, évitant mon regard, léchant timidement le gland. Puis rapidement, semblant y prendre goût, ou simplement à cause de mon manque de réaction, elle a glissé sa main sous les bourses pleines pour les masser. En même temps, elle a gobé sa bite, et sa bouche a commencé à monter et descendre sur sa colonne de chair.
Au début, Franck l’a regardé œuvrer, puis il a posé ses deux mains sur la tête de ma femme, et il a commencé à baiser son visage, juste devant moi. Je n'ai pas fait un geste pour empêcher quoi que ce soit, j'ai juste regardé, ébahi, ne sachant rien des qualités de suceuse de Caroline.
Franck poussait profondément dans la gorge de Caroline. Elle s'étouffait de temps en temps, mais elle n’a rien fait pour l’empêcher, ni se plaindre, encore moins lui échapper. Elle laissait son patron lui baiser la bouche, docile et stoïque, ne semblant éprouver ni plaisir ni gêne.
Il n'a pas fallu si longtemps, même si cela m’a paru une éternité, avant que Franck éjacule dans la bouche de ma femme. Il grogna un peu au moment où il jouissait, en lui ordonnant de tout avaler. Ce qu'elle a fait. Elle a essuyé les commissures de ses lèvres avec ses doigts, qu’elle a sucé pour ne rien laisser perdre.
"Voilà, je voulais que vous le sachiez. Je n’aime pas le mensonge. J’avais demandé à votre femme de tout vous raconter, mais elle a eu peur de votre réaction. Chaque jour, après le repas, elle a son dessert. Elle voulait tellement ce travail, nous avons conclu un accord. Elle est géniale, elle ne recule devant aucun effort."
"Parfois, lorsqu’un mécano mérite une récompense, elle s’offre à lui. Je peux vous garantir que mes gars travaillent dix fois mieux, maintenant. Et ils sont beaucoup plus assidus. Elle a fait des progrès sensationnels en quelques semaines, vous savez ?"
Je restais silencieux, stupéfait, mais surtout avec une érection gênante.
"Je suppose que vous l’ignoriez. Eh bien, nous l’avons baisée dans les toilettes, sur mon bureau, sur la banquette arrière d’une voiture, non, de plusieurs voitures. Et même, hier, elle a baisé le comptable. Il vient une fois par semaine, valider notre comptabilité, et il était si content d’elle qu’il a voulu la remercier. Caroline l'a pris dans le cul, presque sans aucune plainte, pourtant il en a une grosse. N'est-ce pas, ma chérie ?"
Caroline a acquiescé d’un hochement de tête, tête basse, joues rouges, mais ses yeux brillants d’excitation, ses mamelons dardés et sa respiration rapide démentaient son attitude soumise. Franck a troussé sa courte robe pour glisser une main entre les jambes de ma femme.
"Ça m’excite de raconter tes exploits à ton mari, je vais te baiser maintenant, bébé. Tu veux que je te baises ici à table, devant lui, ou tu préfères aller dans ta chambre conjugale, sur ton lit ?"
Encore une fois, personne d’autre que Franck n’a parlé. La parole lui appartenait, c’était le patron. Il enleva complètement son pantalon, puis il fit signe à Caroline de se lever. Elle lui obéit et se laissa déshabiller par cet homme dominateur. Il caressait chaque centimètre de peau qu’il découvrait.
Il massa ses seins et suça ses tétons. Passant de l'un à l'autre. Je pouvais voir l'éclat humide de sa salive scintiller sur chaque mamelon. Sa main était occupée entre ses jambes, doigtant sa chatte, la préparant à l’assaut. Ma femme gardait la tête baissée, mais écarta légèrement ses jambes pour permettre un meilleur accès à Franck.
Il la fit pivoter et la positionna penchée en avant sur la table, dans la position où je l’avais trouvée ce matin. Il lui a ordonné d’écarter ses fesses, ce qu'elle a fait. Il s’est déplacé derrière elle, et je l'ai regardé frotter sa bite dans la raie de son cul.
"Approche, Emmanuel, je ne voudrais pas que tu penses que nous faisons semblant. Ça t’embête si je t’appelles Minou. Tu es tellement doux, tellement gentil !"
J’ai acquiescé d’un hochement de tête, ça ne me dérangeait pas qu’il m’appelle Minou, c’est mon surnom, tout le monde m’appellait comme ça. Je me suis approché d’eux en contournant la table. Je l'ai regardé frotter sa bite entre les fesses de ma femme, glissant légèrement entre les lèvres de sa chatte humide.
"Tiens, prends ma bite, Minou, et aligne-la en face du trou que tu veux que je baise."
J'avais toujours eu ce fantasme de baiser ma femme dans le cul, et je pensais que la meilleure chose à faire était de regarder Franck le faire, alors j'ai aligné sa bite sur son trou du cul. Elle n'était pas lubrifiée, alors quand il a poussé en avant, même si elle s'est un peu ouverte, il ne pouvait pas aller bien loin.
Il attrapa le pot de margarine, me le tendit en disant : "Il faudrait un peu de lubrifiant."
J’ai plongé deux doigts dans la margarine et j’ai badigeonné son sexe. J’en ai profité pour le masturber un peu, j’en avais tellement envie. Ensuite, j’ai renouvelé l’opération avec l’anus de Caroline. Quand je lui ai mis un doigt dans le cul, elle a frissonné. Vicieux et pervers, je lui ai mis deux doigts, et je l’ai masturbée avec. Mais elle est restée stoïque.
Puis j’ai saisi et placé à nouveau sa bite contre son trou du cul, et je l’ai regardé, avec étonnement, entrer aisément en elle. Des gémissements ont échappé à ma femme, mais pas très véhéments, juste quelques encouragements. D’une seule poussée, il avait rentré environ le tiers de sa bite à l'intérieur de son rectum. Puis, il a commencé à la baiser, progressant avec de petits coups rapides jusqu’à enterrer, devant mes yeux incrédules, la totalité de sa queue.
"Jette un coup d’œil, Minou, elle a pris toute ma bite. Tu ignorais ses dons, hein ?"
Puis, s’adressant à Caroline : "Cramponne-toi à la table, chérie, je vais te baiser, maintenant."
Sur ce, il attrapa ses hanches et commença à la baiser fort et vite. Sortant sa bite presque tout du long, puis la bourrant rudement. Ma femme laissait échapper un râle douloureux à chaque fois qu'il la baisait. Il ne fallut pas longtemps avant qu'ils ne se laissent envahir tous les deux par leur délire coïtal.
Il n'y avait plus de discours de Franck, et Caroline se doigtait la chatte à la vitesse de l'éclair. Franck lui a murmuré quelque chose à l’oreille, puis s’est soudé au fond d’elle. Ses fesses se crispèrent tandis qu'il se pressait contre elle. Il fit quelques petits coups secs en avant, en vidant ses couilles dans le cul de ma femme.
Cela a déclenché l’orgasme de Caroline, elle a posé la nuque sur l’épaule de son amant, ses lèvres cherchant sa bouche. Frémissante et gémissante, elle réclamait sa bouche à son amant. Lorsqu’il l’a embrassé, le regard éperdument amoureux de ma femme m’a fait mal. Je l’avais toujours traitée comme une princesse, et ce type qui l’enculait debout, à poil, au milieu de sa cuisine, la rendait follement amoureuse.
"Bien" dit Franck. "Bonne baise. Je ne pensais pas que ça me ferait autant d’effet de te baiser devant ton mari, mais toi aussi cela t’as motivée. Je crois que c’est la meilleure baise que nous ayons eu, nous devrons recommencer.''
Ils allèrent ensemble à la salle de bain et je restais seul à la table, encore assez confus. Quand ils sont réapparus, Caroline avait l'air un peu moins craintive, et elle a pu croiser mon regard. Elle m'a dit qu'elle m'aimait et m’a charmé avec un petit sourire très sexy. Franck s’est rhabillé.
"Bien, je vais devoir m’en aller. Ça ne me dérangerait pas de rester pour baiser encore ta femme, mais je pourrai la baiser au travail demain. Et je suis sûr que vous avez beaucoup à vous dire. Ne l’épuise pas !"
Franck a pris congé et aucun mot n'a été prononcé entre ma femme et moi pendant près d'une heure. Nous nous sommes redécouverts, nous avons exploré le corps de l’autre, nous avons baisé comme si nous venions de faire connaissance.
Même devant son trou du cul récemment baisé, je voulais toucher le sperme en elle et le sentir. Elle était si heureuse que je ne sois pas en colère. Nos rapports sexuels ont changé à partir de ce jour-là.
Connaissant ses capacités, et l’utilisation quotidienne de ses orifices par son patron et toute l’équipe pendant sa journée de travail, je pouvais me montrer plus exigeant avec ses performances chaque soir.
Nous avons convenu tous les deux qu’il serait profitable d’inviter ses collègues de travail pour un barbecue. Je pourrais m’occuper des braises, pendant qu’elle les occuperait dans la cuisine.
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