Barbie existe vraiment, je l’ai rencontrée.
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-05-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Barbie existe vraiment, je l’ai rencontrée.
Sûr que quand, après quelques mots échangés à ce cocktail sur la plage de Bélisaire, elle m’a demandé mon nom ... j’ai hésité avant de lui dire, moi c’est Ken.
Mais Dieu que je bandais en matant ses yeux bleus presque turquoise. Étonnant comme couleur des yeux peut avoir effet sur la bite des mecs. Enfin sur la mienne... En toute modestie.
Son slip blanc de maillot était marqué de camel toe sous pubis charnu. Elle avait non seulement taillé et rasé sa touffe en intégral mais encore décousu et viré le gousset pour mieux que soit dessinée sa vulve et les grandes lèvres encadrant le papillon ouvert de son offrande.
Elle était sympa, vraiment très sympa, cette fille.
Enfin, moi je trouvais. Et manifestement je n’étais pas le seul à penser ainsi. Tous les mecs du cocktail étaient là autour de la donzelle, avec moi, à baver sans retenue aucune leur libido exacerbée.
La fille on sentait bien qu’elle était partante. C’était pas une fille qui chauffe les garçons et qui, après, fait sa timide. Non, on voyait bien que cette fille-là n’avait pas froid aux yeux non plus qu’ailleurs, manifestement.
On sentait bien que ses bras étaient longs et qu’elle avait capacité à embrasser tous ces prétendants et même plus encore, si par bonheur un prompt renfort venait rejoindre le gros des troupes.
On sentait bien que ses hanches larges s’élargiraient encore pour accueillir entre ses cuisses ouvertes et ses jambes haut levées tout l’amour que nous avions, nous les garçons, à lui donner.
On a filé en douce, après s’être abreuvé d’un verre d’entre-deux-mers, en groupe serré autour d’elle comme pour la protéger, jusqu’à la plage dite des Américains. Au Cap Ferret tout le monde connaît la plage des Américains.
Là tous on a voulu goûter l’eau chaude de juillet au descendant, eau chargée de varech, d’algues vertes et sombre des infusions de sa stagnation dans le bassin toute l’après midi durant à l’étal de la marée.
Tous garçons on était nus et quelques filles égarées avec nous aussi. L’odeur, l’épaisseur de l’eau salée était comme bain moussant de spa de salon parisien exotique oriental ou même extrêmement oriental.
Mais fi de petite Thaïlandaise à la vulve fine et au vagin étroit, c’était ici une fille de chez nous chaleureuse, aux chairs fermes et ouvertes, qui nous accueillait entre ses bras, nous tous, tant que nous étions. Et plus encore, même.
Barbie avait tombé son bikini de poupée. Ses yeux turquoise nous faisaient tous bander et chacun a voulu la prendre dans ses bras et communier d’un bitos très raide à plein fond de ses villosités onctueuses. Les hoquets de nos giclées la contentait et on le sentait bien aux contractions multiples de son ventre sur notre engin inquisiteur qui n’était pourtant qu’en simple visite.
Après les accouplements aquatiques, elle a voulu doubler avec chacun d’entre nous sur la plage. Fesses au sable, bassin haut en attente. Son cœur était trempé des multiples offrandes précédentes et nous trouvions simplement, nous, qu’elle était accueillante, diablement accueillante.
Quand elle a changé de position, la tête enfouie dans un énorme paquet de varech sec sur le sable et les fesses haut levées cambrées ouvertes, on a tous pensé, non ce ne sera pas possible une fois encore.
Tripler n’est pas habitude chez nous, Bordelais.
Mais l’invite était de celle que l’on ne peut refuser.
Sa craque profonde toute lisse sans un poil, pas un, dans la raie fessière, était irrésistible et pas un de nous n’a résisté.
Les mains à ses hanches, chacun de nous a lutiné cette croupe ouverte, luisante de ses propres sécrétions de femelle mais surtout inondée des décharges lourdes des gars qui s’y étaient succédés.
Barbie, je t’ai rencontrée, et j’en suis bien aise.
Et même, si c’est possible, j’y reviendrai.
Encore et encore
Encore et toujours.
Mais Dieu que je bandais en matant ses yeux bleus presque turquoise. Étonnant comme couleur des yeux peut avoir effet sur la bite des mecs. Enfin sur la mienne... En toute modestie.
Son slip blanc de maillot était marqué de camel toe sous pubis charnu. Elle avait non seulement taillé et rasé sa touffe en intégral mais encore décousu et viré le gousset pour mieux que soit dessinée sa vulve et les grandes lèvres encadrant le papillon ouvert de son offrande.
Elle était sympa, vraiment très sympa, cette fille.
Enfin, moi je trouvais. Et manifestement je n’étais pas le seul à penser ainsi. Tous les mecs du cocktail étaient là autour de la donzelle, avec moi, à baver sans retenue aucune leur libido exacerbée.
La fille on sentait bien qu’elle était partante. C’était pas une fille qui chauffe les garçons et qui, après, fait sa timide. Non, on voyait bien que cette fille-là n’avait pas froid aux yeux non plus qu’ailleurs, manifestement.
On sentait bien que ses bras étaient longs et qu’elle avait capacité à embrasser tous ces prétendants et même plus encore, si par bonheur un prompt renfort venait rejoindre le gros des troupes.
On sentait bien que ses hanches larges s’élargiraient encore pour accueillir entre ses cuisses ouvertes et ses jambes haut levées tout l’amour que nous avions, nous les garçons, à lui donner.
On a filé en douce, après s’être abreuvé d’un verre d’entre-deux-mers, en groupe serré autour d’elle comme pour la protéger, jusqu’à la plage dite des Américains. Au Cap Ferret tout le monde connaît la plage des Américains.
Là tous on a voulu goûter l’eau chaude de juillet au descendant, eau chargée de varech, d’algues vertes et sombre des infusions de sa stagnation dans le bassin toute l’après midi durant à l’étal de la marée.
Tous garçons on était nus et quelques filles égarées avec nous aussi. L’odeur, l’épaisseur de l’eau salée était comme bain moussant de spa de salon parisien exotique oriental ou même extrêmement oriental.
Mais fi de petite Thaïlandaise à la vulve fine et au vagin étroit, c’était ici une fille de chez nous chaleureuse, aux chairs fermes et ouvertes, qui nous accueillait entre ses bras, nous tous, tant que nous étions. Et plus encore, même.
Barbie avait tombé son bikini de poupée. Ses yeux turquoise nous faisaient tous bander et chacun a voulu la prendre dans ses bras et communier d’un bitos très raide à plein fond de ses villosités onctueuses. Les hoquets de nos giclées la contentait et on le sentait bien aux contractions multiples de son ventre sur notre engin inquisiteur qui n’était pourtant qu’en simple visite.
Après les accouplements aquatiques, elle a voulu doubler avec chacun d’entre nous sur la plage. Fesses au sable, bassin haut en attente. Son cœur était trempé des multiples offrandes précédentes et nous trouvions simplement, nous, qu’elle était accueillante, diablement accueillante.
Quand elle a changé de position, la tête enfouie dans un énorme paquet de varech sec sur le sable et les fesses haut levées cambrées ouvertes, on a tous pensé, non ce ne sera pas possible une fois encore.
Tripler n’est pas habitude chez nous, Bordelais.
Mais l’invite était de celle que l’on ne peut refuser.
Sa craque profonde toute lisse sans un poil, pas un, dans la raie fessière, était irrésistible et pas un de nous n’a résisté.
Les mains à ses hanches, chacun de nous a lutiné cette croupe ouverte, luisante de ses propres sécrétions de femelle mais surtout inondée des décharges lourdes des gars qui s’y étaient succédés.
Barbie, je t’ai rencontrée, et j’en suis bien aise.
Et même, si c’est possible, j’y reviendrai.
Encore et encore
Encore et toujours.
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