Barcelone 8 - histoire érotique

Je suis allé m'assoir sur une chaise sans aucune à coté , toutes en vis à vis et j'ai souri à Julia.
Va le chercher et dis à mon frère de s'occuper de Juan.
Je les ai entendu parler et le bel éphèbe est entré. Il ne devait pas être plus vieux que moi et a un instant été surpris par la pénombre de la cuisine avant de me découvrir. Il est resté bouche bée.
Tu parles français?
Pas muy bien!
Moi je suis Fred et toi?
Manuelo senor.
J'ai tendu la main, approche.
Il a obéi intimidé et les yeux fixé sur ma bite raide.
Tu aimes?
Si!
J'ai pris une chaise et l'ai approchée de moi. Assieds toi, mes gestes étaient assez expressifs et il s'est assis. Julia a posé deux tasses à coté de nous. Elle était restée nue mais il ne la regardait pas. Je voyais sa gorge avaler comme si il avait la bouche sèche.
Tu peux te mettre nu si tu veux. La j'ai vu qu'il comprenait pas et c'est Julia qui a traduit.
Il est devenu pivoine mais d'un geste brusque il s'est relevé pour ôter son short. J'ai découvert ce que je n'attendais pas, un string fémininin rouge qui retenait à grands peines son sexe et ses couilles, disparaissant entre ses cuisses.
Je lui ai souri. Joli!
Il a eu un soupir et un mot français. Merci.
Je comprenais mieux les fesses moulées que j'avais vue sus le short. J'ai passé la main sur sa cuisse, il a frissonné sans tenter de l'ôter. Je l'ai fait lever, visiblement il était soit glabre naturellement soit épilé . J'ai approché mes lèvres, il n'a pas reculé et quand ma langue a touché ses lèvres il les a entrouvertes me laissant le plaisir de les forcer. De même il n'a pas creusé le ventre pour ne pas sentir mon sexe tendu mais au contraire s'est collé contre. Il était non seulemment mignon mais prêt comme une chèvre à aller au bouc.
On a bu un peu de café, j'en ai profité pour demander à Julia si un mec comme lui pouvait être plus ouvert au sexe. Elle a souri.
Je n'ai pas l'expérience pour ça mais "on" m'a dit qu'ils acceptaient fort bien les grosses queues mais pouvaient aussi parfois devenir actifs dans certains cas. A toi de le découvrir si tu en as envie et je pense que c'est le cas. Elle a effleuré mon gland. Monte dans ma chambre je vais occuper les deux autres.
Elle a parlé deux minutes au garçon qui approuvait , rougissant moins et même un sourire au coin des lèvres. Elle est partie dans le jardin et me levant j'ai pris la main du mec pour le guider vers la chambre. Le faisant passer devant moi, j'avais le spectacle de ses deux lobes fessiers ou disparaissait la ficelle du string. Et ma queue était douloureuse d'être tendue comme elle l'était. Je l'ai embrassé, cette fois il rendait bien le baiser et j'ai collé mes mains sur ses fesses, elles étaient fermes mais sans forcer je pouvais les écarter. Il n'était pas farouche du tout et me caressait la queue du gland à la base , soupesant les couilles. Il a pris un petit air coquin et s'est laissé glisser contre moi. Sa langue a remplacé ses mains qui elles se sont posées sur mes fesses. Il m'a poussé doucement en arrière jusqu'à basculer sur le lit et a entrepris une pipe d'enfer qui m'a arraché de petits gémissements pour ne pas jouir. Une main caressait mes boules, l'autre passait sur ma poitrine, faisant pointer le bout des tétons. Je l'ai renversé, dos sur le lit pour ôter son string. Il avait une bite mignonne assez longue mais fine que j'ai sucé sans problème tellement il faisait fille (c'était ma première) et de lui même il a écarté les cuisses en grand en les soulevant un peu. Je voyais son anus un peu ouvert palpiter et j'ai sorti une capote de la table de nuit. C'est lui qui a déchiré l'emballage pour la poser. Je ne pensais plus mon cerveau était comme descendu au niveau de mon sexe et il m'a guidé mais j'ai enfoncé, enfoncé malgrès sa grimace, m'arrêtant quand les couilles ont tapées contre le bord de son anus. Il avait un cul de rêve pour ma queue.
Il a posé ses chevilles sur mes épaules et se caressant la poitrine d'une main il a joué avec sa queue de l'autre. Je labourais son cul doucement mais de lui même il le tendait vers moi à chaque fois et j'ai fini dans une cadence infernale ou nos gémissements et nos respirations se mêlaient J'ai du jouir et pas qu'une fois sans m'en apercevoir tellement c'était bon. Lui bavait du gland comme une fille et Quand je me suis retiré il a eu un sourire et a pris une capote vierge. Son regard interrogatif m'a interpelé puis bon il m'avait tellement fait plaisir que je pouvais en donner aussi. J'ai glissé la capote sur sa tige. Un peu angoissé quand même . On a inversé les places et il a été merveilleux de douceur, forçant mon trou à petits coups très doux mais quand même impératifs. Une fois le gland passé je me suis décrispé et il a pu lentement baiser mon cul vierge. J'ai à peine senti quand il a joui ayant moi même arrosé mon ventre de foutre avec plaisir.
Il est resté en moi un moment, que je m'habitue en m'embrassant comme un amoureux le fait. Je n'aurais jamais rêvé meilleur moment. Il s'est retiré délicatement et a oté la capote. Je l'ai observé. Il avait le sourire au lèvres la bite encore raide alors j'ai fini son plaisir en prenant le mien avec son jus. J'avais entendu gratter à la porte et pendant qu'il se douchait j'ai ouvert, c'était Julia.
A elle j'ai tout dis puisque le garçon ne parlait pas français lui disant qu'il devait savoir qu'il était mon premier et que j'avais adoré sa façon de faire.
J'ai envoyé les deux baiser dans la chambre de Juan. Si ils ont entendu ils croiront que tu me baisais , t'as été un peu plus bruyant qu'avec moi!
Je ne referais surement pas avec n'importe qui mais lui, ça a été du pur plaisir. Pour lui je pense comme pour moi. J'ai découvert des choses et il faut que je les assimile. Tu as surement son numéro de portable et tu lui diras que tu l'appelleras peit être de ma part, mais ne laisse pas trop d'espoir.
Allons , je te connais pas mal Fred et t'es pas homo parce qu'une bite t'as fait du bien! Tu prends aussi ton pied dans une chatte je le sais. Je lui dirais ce que tu m'a dis mais je pense que lui va comprendre comme moi ce que tu veux dire. Je suis sure que tu ne va pas tarder à me dire de le joindre.
Au fait, il fait le job chez nous mais il est en vacances et il a une petite voiture si tu as des idées. Sinon il bosse pas loin de chez toi avec Erasmus. Il est revenu, cheveux humides frisés, a souri et me donnant sa bouche m'a poussé vers la douche. Par je ne sais quel réflexe je bandais de le voir. Une fois sous la douche bien sur mon premier réflexe a été de toucher mon anus et j'ai découvert qu'il était aussi fermé que quand je me lavais avant. Personne ne remarquerais la perte de mon pucelage anal. J>e me suis lzvé plus tranquillement, utilisant même la douchette de Julia avant de me sécher rapidement et de les retrouver. Ils souriaent tous deux visiblement satisfait de leur conversation.
Alors Julia, dis moi tout.
Bon alors déjà son français. Il le comprend sauf les mots crus et se sent géné d'utiliser une langue qu'il ne maitrise pas assez. J'ai eu un sourire. Sa langue est perf aitement compréhensible. Il a souri et m'a tendu ses lèvres.
Arretez de m'interrompre vous deux!
Ensuite donc il est vraimentt pas loin de là ou vous vivez.
Tertio il était presque puceau, il a seulement tenté une fois mais le mec lui plaisiat pas et il a eu mal. Avec toi il a apprécié du début à la fin.
Il dit aussi de ne pas tarder pour le joindre. Il va tenter de se retenr jusque la. T'es content? C'est plus une touche ça! Je dirais que ça ressemble à un éclair sans le bruit. Il a lui aussi besoin de réaliser et de se voir comme il va être.
Je bandais nu pas conscient de ma nudité mais on ne se quitait pas des yeux et je lisais tellement de chose dans ses yeux que j'en frissonnais.
Bon aller les garçons reprenez vous il faut qu'il finisse la piscine je n'entends plus les autres. On s'est embrassé sur les lèvres et il a remis son short me laissant le string en souvenir et il a disparudans l'escalier. Peu après il chantait en bossant, levant parfois la tête vers la fenêtre.
Je suis retombé sur terre grâce à Julia. Ben dis donc il faut le voir pour le croire. T'as même pas débandé! Elle s'est accroupie devant le lit pour me piper. La encore grâce à elle je planais et je n'ai pas refusé son bonheur avant de m'allonger et de la faire monter sur moi. Elle s'est elle même enfilé ma queue et s'est ramonée, criant son plaisir ce qui n'arrêtait pas le chant de Manuelo. Il savait et ça ne le gênait pas. J'en ai joui plus vite que d'habitude.