Bastien 10
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-05-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Bastien 10
Je suis remonté vers mes maîtres et la péniche a accélérée dépassant vite celle du mec crade.
Au fur et à mesure que le temps passait j’ai sucé l’un ou l’autre, profitant des accalmies pour m’endormir entre deux écluses où je devais soit rester en bas, soit rester bien visible et servi l’éclusier on avançait et on a vu au loin les flèches de la cathédrale. J’ai dû descendre à la pointe du bateau et rester un temps que je ne pouvais calculer. Moteur arrêté il y a eu du bruit dans la cale, des raclements puis le roulement des panneaux sur les cales et j’ai dû sortir.
Deux mecs ont eu un sourire en me voyant. Ils m’ont demandé avec un accent à couper au couteaux mon prénom et mon nom. A leur tenue j’ai compris qu’ils étaint allemandétaient allemands et sur un naturlich d’Ali je suis allé dans la cabine les pomper. Queue normale mais jus épais. Ils sont repartis sur une vedette en souriant.
On était en Allemagne !
La descente du Rhin fut longue mais le courant nous aidait. Heureusement Ali connaissait le coin et avec le GPS des canaux on a pu avancer assez vite jusqu’au lieu de livraison imprononçable pour moi. Dans une grande coté industrielle où Ali m’a donné la tenue que je devais porter et nettoyer nu quand ce serait nécessaire.
J’ai eu honte quand j’ai vu le pantalon. Il laissait les fesses et l’entrejambe libres, en cuir noir, on ne voyait que la cage sur ma queue et mes fesses blanches. Un gilet cuir ouvert sur les pinces crocos complétait ma tenue on voyait la chaîne entre mes tétines. Aux pieds des grosses chaussures lacées et ferrées au bout, voilà le tout. J’avis
Je préviens le string rose entre les fesses et la cage gonflait le string.patron, on arrive à Hambourg qu’il nous informe ou amarrer. La discussion fut longue car il parlait avec ma direction du port qui elle-même parlait avec la société. Il a eu enfin une réponse précise. Un petit remorqueur nous a interpelé en Allemand, Ali a répondu et on a suivi le petit truc. Un mec a accosté du remorqueur pour prendre la barre, guidant habilement la péniche vers un quai. Il me jetait des regards furieux.allait nous mener au bon endroit.
Il a parlé et je n’ai compris que la réponse d’Ali
-Ya naturlich.
Le reste je n’ai pas compris. Ali m’a expliqué qu’il y avait des ventes tous les soirs et lui avait donné l‘adresse.
Des ventes Maître ?
-Hé oui tu nous quitteras si les enchères sont bonnes et si vous n’êtes pas nombreux comme bâtards. On verra bien. Bon il faut qu’on amarre. Ne refuse rien au mec qui nous a guidé.
J’avais oublié que depuis le début le but du voyage en péniche vers l’Allemagne était une vente aux enchères d’esclaves mâles et femelles et que je serais vendu comme une marchandise. Je flippais à mort.
Dans un français incertain le mec à la barre m’a fait signe et indiqué son entrejambe.
-Toi suce !
Je me suis glissé entre la barre et lui et j’ai défait le zip, baissé le slip et trouvé une bite dans ses poils. J’allais la dégager de la main quand le mec a appuyé ma tête de la main sur ses poils et son sexe. C’était baveux et j’ai trouvé une petite bite raide qui mouillait dans les poils. On n’est pas tous pareil mais je comprends que même une petite queue ait besoin de se faire sucer et j’ai serré les lèvres sur le gland. A peine dans ma bouche il a joui un foutre épais dans ma bouche, me tenant toujours il a attendu que j’avale pour me virer de côté. Ali était là et me voyait tout rouge, il a parlé en allemand et j’ai ramassé une baffe.
-Il voulait que tu ailles doucement !
Mais je…Une baffe plus appuyée m’a fait taire.
-Tu dois te plier aux désirs du mec quel qu’il soit !
L’allemand a eu un sourire et ils ont parlé un moment entre eux.
-Ok je ne savais pas qu’il en avait une petite mais c’est à toi de deviner leurs plaisirs. Pendant qu’ils déchargent on va boire un coup. Il a mis une chaîne à mon collier et m’a fait passer sur le quai.
Je ne savais plus comment me tenir et j’ai suivi, tiré par la chaîne. Plusieurs mecs ont souri et maté ma tronche et entre mes cuisses sans gênes. Le tuyau dans l’urètre laissait passer un peu de bave. Dans le bistro du coin il s’est assis sur un tabouret et a commandé une bière et un bol d’eau. Le patron un grand et gros mec a posé la bière sur le comptoir et le bol sur le sol. En me baissant pour boire il m’a passé la main entre les fesses.
-Il sera en vente ce soir ? Ouais mais pas donné il est français.
Il a appuyé de sa godasse sur mes reins, faisant glisser le bol.
-Il bave ta lopette de la cage.
-Normal il a le trou de la bite ouvert.
-Je viendrais à la salle On va y voir de beaux spécimens mâles ou femelles.
Tout était dit en Allemand et je ne comprenais rien.
La bière finie Ali m’a tiré vers les pissotières à l’allemande. Vaste cuvette contre un mur où chacun se soulageait. Je suppose qu’ils n’ont pas voulu tacher le cuir mais tête baissée j’ai été arrosé par plusieurs mecs de pluie chaude et odorante. Dans un coin un lavabo et un gros rouleau de papier marron avec quoi j’ai pu sécher mes cheveux. Après avoir traversé la salle on est sorti et j’ai pu remonter à bord.
Éric attendait dans la cabine nu cuisses ouvertes.
-Tu pues salope mais pour tailler une pipe je me fous de ton odeur de pisse. Au travail.
Pendant que je pompais Éric, Ali lui a raconté le bistrot et dit aussi que ce soir il y avait une vente mâle et femelle dans un hangar nommé H23.
-Bon ça ne devrait pas être difficile à trouver.
Cette fois j’ai arrêté de sucer. Il y aura des nanas ?
-Et alors il n’y a pas que des chiennes mâles. J’ai pris une baffe et me suis remis à sucer.
-On va t’expliquer. Tous les maîtres ne sont pas gays ou bi. Certains aiment les filles pour es former et les déformer pour en faire des putes comme toi peut-être. Ici en Allemagne c’est plus cool côté sexe. T’as même des très jeunes qui veulent se faire du blé. Tu verras tout ça. Éric a giclé au fond de ma gueule. J’ai avalé.
Je n’ai jamais vu ni été vu par une fille nue moi !
-Et alors comme ça tu verras des chattes, ça fera bien de t’annoncer n’ayant jamais été vu nu par une femme ni vu de femmes nues. Ce sera amusant les réactions. Bon la nuit risque d’être longue, tout le monde dort.
J’ai été long à m’endormir et réveillé par Éric.
-Va te plonger dans le canal prends ce savon et nettoie partout.
Au réveil, l’eau froide m’a fait un choc Il faisait sombre et seuls quelques hangars avaient une lumière. Sachant ce qui m’attendait j’ai bien nettoyé mes parties intimes sauf ma queue dans la cage mais je n’y pouvais rien et je suis remonté par la corde à nœuds qui pendait le long de la coque.
-Reste dehors, on doit déplacer la péniche pour une autre et là où ça se passe on sera plus près.
Ali défaisait déjà les bouts et on s’est laissé dériver vers d’autres péniches.
Bon je bloque la roue et prends les clés. On va se changer. Toi ce sera plus rapide. Quand ils sont remontés le changement de tenue était évident. Tous deux en cuir noir moulant Moi j’ai eu droit à un string cuir noir passé sur la cage et aux pinces à tétons fortement serrées. Enfin des menottes dans le dos et une cape large sur moi.
Au fur et à mesure que le temps passait j’ai sucé l’un ou l’autre, profitant des accalmies pour m’endormir entre deux écluses où je devais soit rester en bas, soit rester bien visible et servi l’éclusier on avançait et on a vu au loin les flèches de la cathédrale. J’ai dû descendre à la pointe du bateau et rester un temps que je ne pouvais calculer. Moteur arrêté il y a eu du bruit dans la cale, des raclements puis le roulement des panneaux sur les cales et j’ai dû sortir.
Deux mecs ont eu un sourire en me voyant. Ils m’ont demandé avec un accent à couper au couteaux mon prénom et mon nom. A leur tenue j’ai compris qu’ils étaint allemandétaient allemands et sur un naturlich d’Ali je suis allé dans la cabine les pomper. Queue normale mais jus épais. Ils sont repartis sur une vedette en souriant.
On était en Allemagne !
La descente du Rhin fut longue mais le courant nous aidait. Heureusement Ali connaissait le coin et avec le GPS des canaux on a pu avancer assez vite jusqu’au lieu de livraison imprononçable pour moi. Dans une grande coté industrielle où Ali m’a donné la tenue que je devais porter et nettoyer nu quand ce serait nécessaire.
J’ai eu honte quand j’ai vu le pantalon. Il laissait les fesses et l’entrejambe libres, en cuir noir, on ne voyait que la cage sur ma queue et mes fesses blanches. Un gilet cuir ouvert sur les pinces crocos complétait ma tenue on voyait la chaîne entre mes tétines. Aux pieds des grosses chaussures lacées et ferrées au bout, voilà le tout. J’avis
Je préviens le string rose entre les fesses et la cage gonflait le string.patron, on arrive à Hambourg qu’il nous informe ou amarrer. La discussion fut longue car il parlait avec ma direction du port qui elle-même parlait avec la société. Il a eu enfin une réponse précise. Un petit remorqueur nous a interpelé en Allemand, Ali a répondu et on a suivi le petit truc. Un mec a accosté du remorqueur pour prendre la barre, guidant habilement la péniche vers un quai. Il me jetait des regards furieux.allait nous mener au bon endroit.
Il a parlé et je n’ai compris que la réponse d’Ali
-Ya naturlich.
Le reste je n’ai pas compris. Ali m’a expliqué qu’il y avait des ventes tous les soirs et lui avait donné l‘adresse.
Des ventes Maître ?
-Hé oui tu nous quitteras si les enchères sont bonnes et si vous n’êtes pas nombreux comme bâtards. On verra bien. Bon il faut qu’on amarre. Ne refuse rien au mec qui nous a guidé.
J’avais oublié que depuis le début le but du voyage en péniche vers l’Allemagne était une vente aux enchères d’esclaves mâles et femelles et que je serais vendu comme une marchandise. Je flippais à mort.
Dans un français incertain le mec à la barre m’a fait signe et indiqué son entrejambe.
-Toi suce !
Je me suis glissé entre la barre et lui et j’ai défait le zip, baissé le slip et trouvé une bite dans ses poils. J’allais la dégager de la main quand le mec a appuyé ma tête de la main sur ses poils et son sexe. C’était baveux et j’ai trouvé une petite bite raide qui mouillait dans les poils. On n’est pas tous pareil mais je comprends que même une petite queue ait besoin de se faire sucer et j’ai serré les lèvres sur le gland. A peine dans ma bouche il a joui un foutre épais dans ma bouche, me tenant toujours il a attendu que j’avale pour me virer de côté. Ali était là et me voyait tout rouge, il a parlé en allemand et j’ai ramassé une baffe.
-Il voulait que tu ailles doucement !
Mais je…Une baffe plus appuyée m’a fait taire.
-Tu dois te plier aux désirs du mec quel qu’il soit !
L’allemand a eu un sourire et ils ont parlé un moment entre eux.
-Ok je ne savais pas qu’il en avait une petite mais c’est à toi de deviner leurs plaisirs. Pendant qu’ils déchargent on va boire un coup. Il a mis une chaîne à mon collier et m’a fait passer sur le quai.
Je ne savais plus comment me tenir et j’ai suivi, tiré par la chaîne. Plusieurs mecs ont souri et maté ma tronche et entre mes cuisses sans gênes. Le tuyau dans l’urètre laissait passer un peu de bave. Dans le bistro du coin il s’est assis sur un tabouret et a commandé une bière et un bol d’eau. Le patron un grand et gros mec a posé la bière sur le comptoir et le bol sur le sol. En me baissant pour boire il m’a passé la main entre les fesses.
-Il sera en vente ce soir ? Ouais mais pas donné il est français.
Il a appuyé de sa godasse sur mes reins, faisant glisser le bol.
-Il bave ta lopette de la cage.
-Normal il a le trou de la bite ouvert.
-Je viendrais à la salle On va y voir de beaux spécimens mâles ou femelles.
Tout était dit en Allemand et je ne comprenais rien.
La bière finie Ali m’a tiré vers les pissotières à l’allemande. Vaste cuvette contre un mur où chacun se soulageait. Je suppose qu’ils n’ont pas voulu tacher le cuir mais tête baissée j’ai été arrosé par plusieurs mecs de pluie chaude et odorante. Dans un coin un lavabo et un gros rouleau de papier marron avec quoi j’ai pu sécher mes cheveux. Après avoir traversé la salle on est sorti et j’ai pu remonter à bord.
Éric attendait dans la cabine nu cuisses ouvertes.
-Tu pues salope mais pour tailler une pipe je me fous de ton odeur de pisse. Au travail.
Pendant que je pompais Éric, Ali lui a raconté le bistrot et dit aussi que ce soir il y avait une vente mâle et femelle dans un hangar nommé H23.
-Bon ça ne devrait pas être difficile à trouver.
Cette fois j’ai arrêté de sucer. Il y aura des nanas ?
-Et alors il n’y a pas que des chiennes mâles. J’ai pris une baffe et me suis remis à sucer.
-On va t’expliquer. Tous les maîtres ne sont pas gays ou bi. Certains aiment les filles pour es former et les déformer pour en faire des putes comme toi peut-être. Ici en Allemagne c’est plus cool côté sexe. T’as même des très jeunes qui veulent se faire du blé. Tu verras tout ça. Éric a giclé au fond de ma gueule. J’ai avalé.
Je n’ai jamais vu ni été vu par une fille nue moi !
-Et alors comme ça tu verras des chattes, ça fera bien de t’annoncer n’ayant jamais été vu nu par une femme ni vu de femmes nues. Ce sera amusant les réactions. Bon la nuit risque d’être longue, tout le monde dort.
J’ai été long à m’endormir et réveillé par Éric.
-Va te plonger dans le canal prends ce savon et nettoie partout.
Au réveil, l’eau froide m’a fait un choc Il faisait sombre et seuls quelques hangars avaient une lumière. Sachant ce qui m’attendait j’ai bien nettoyé mes parties intimes sauf ma queue dans la cage mais je n’y pouvais rien et je suis remonté par la corde à nœuds qui pendait le long de la coque.
-Reste dehors, on doit déplacer la péniche pour une autre et là où ça se passe on sera plus près.
Ali défaisait déjà les bouts et on s’est laissé dériver vers d’autres péniches.
Bon je bloque la roue et prends les clés. On va se changer. Toi ce sera plus rapide. Quand ils sont remontés le changement de tenue était évident. Tous deux en cuir noir moulant Moi j’ai eu droit à un string cuir noir passé sur la cage et aux pinces à tétons fortement serrées. Enfin des menottes dans le dos et une cape large sur moi.
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