Bastien 6
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 157 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.9 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.9
- • L'ensemble des récits érotiques de Conteur ont reçu un total de 312 768 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-05-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 1 186 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Bastien 6
Il était l’heure d’aller réveiller mon homme et je suis descendu dans la cabine. Il était allongé sur le dos et rêver car il bandait et j’ai tout de suite collé mes lèvres à son gland et pompé comme la follasse que je devenais.
Il s’est réveillé et a maintenu ma tête sur sa queue. Elle frottait un peu ma luette et j’ai eu un instant de panique et envie de vomir. Il m’a calmé d’une baffe.
-Au réveil j’ai toujours besoin, de pisser alors tu vas avaler tout ce qui arrive sans rejeter de pisse. Serre les lèvres dessus.
Il n’a pas fini de parler que je sentais sa pisse arriver me forçant à avaler comme les Basques juste en remuant ma langue. Tel que j’étais j’avais le nez dans ses poils et ils sentaient le sperme séché. Pour moi c’était nouveau et enivrant. Enfin il a relâché mon cou et a secoué sa queue dans ma gueule.
-Toujours prêt à la soumission ?
J’ai toujours rêvé d’être aux ordres d’un mec, je ne vais pas râler vous êtes beau et vicieux ! J’aime bien.
-Je ne suis pas « un mec « mais ton maître jusqu’à Amsterdam. Après on verra. Monte deux marches en arrière.
Pas facile pour moi mais en m’accrochant au capot du haut j’ai pu le faire. J’ai senti une corde en sisal entourer mes couilles serrées et ma racine de ma queue raide entourée et serrée aussi. Les petits fils du sisal me piquaient tout autour et il a pris un gant de crin pour me branler. J’avais déjà essayé avec un tampon vert mais vite arrêté par la douleur. Cette fois j’ai résisté longtemps mais j’ai gueulé en giclant loin devant moi.
-Chaque fois que tu auras besoin de te les vider tu me demanderas. Tu vois les lanières au plafond ? Tu vas mettre chacun de tes pieds dans une et je serrerais Tu descendras les marches des mains. La tête en bas et les cuisses ouvertes tu ne cacheras plus ton trou à bite.
A peine en place il m’a frappé le bas du dos à petits coups, j’ai tenu mais il a frappé plus sort et j’ai couiné de douleur. L’armoire qu’il avait ouverte me cachait la vue du contenu mais il a sorti un petit fouet à lanières et a repris les coups, cette fois sur mon entrecuisse et mes boules serrées. Là j’ai carrément gueulé même si la force des coups était moins forte.
Je ressentais mon corps, entièrement, même les parties habituellement cachées. Il a pincé mes tétons fermement sous mes gémissements.
-Retiens toi avec les mains au plancher je vais te défaire les pieds. On va passer une ville et tu vas regagner ta pièce à vivre.
Une fois les pieds détachés je me suis trouvé à quatre pattes, mal partout.
-Aller montre et marche jusqu’à la pointe.
En passant dans le poste de la barre le mec qui la tenait a eu un sifflement.
-Belles zébrures et jolis nœuds sur ton sexe de lopette.
Je n’ai pas répondu et avancé le long de la cale jusqu’à la pointe qu’il a ouverte.
-Descend et ne te touche pas.
Une barre en métal tenait le plancher en haut et il m’a attaché les mains dans le dos la barre contre moi. Il a retiré la queue-gode et m’a appuyé sur les épaules pour que je m’assoie cuisses écartées. Un gode plus épais était fixé à la carène et il est entré en moi. Il a fixé les poignets pour que je ne puisse me redresser.
-Ne dis pas que je ne m’occupe pas de toi !
Il a fini par fixer à chaque téton une pince croco et un poids qui pendait au-dessous.
-Repose-toi je viendrais te voir après la ville.
Il est remonté et a fermé je ne voyais plus rien. A un moment il y a eu un choc puis le moteur s’est arrêté, pas longtemps avant de redémarrer. Sans repère de temps j’ignorais ce qui venait de se passer. Ce n’est que bien plus longtemps pour moi que la trappe s’est ouverte. Un inconnu en jean est descendu. Sa voix a résonné dans le petit espace.
-Tu dois pouvoir baisser mon jean avec les mains. Tu baisseras mon shorty avec les dents et fait gaffe salope.
Je ne voyais pas grand-chose, le soir tombait mais à la voix j’ai compris qu’il devait être black ou arabe et en sentant la chaleur du tissu j’ai fait tomber le jean en me tirant sur les mains. La suite fut plus dure mais aidé par la grosseur de ce que je sentais à l’intérieur j’ai pu des lèvres et des dents faire glisser le shorty. Une matraque chaude m’a frappée le front.
-Suce moi la queue et bien ! Tes trous vont morfler cette nuit. On a jusqu’à Saint Quentin pour te faire une vraie chatte.
La queue n’avait pas de prépuce mais sentais la pisse et le sexe, elle me remplissait la bouche sans aller au fond de ma gorge. Les poils crépus me chatouillaient le nez. Il a été long mais m’a bien rempli la bouche. Mon mec est descendu me foutre une baffe.
-Pas mal pour un débutant mais la suite sera sur le pont.
Il a détaché mes poignets et m’a fait monter sur le pont. Avec la lumière des fanaux obligatoire j’ai vu trois mecs, deux blacks et un beur poilu. Avec celui du bas et mon maître ils étaient cinq. La péniche taillait son chemin et ils m’ont mené à l’arrière où j’ai dû m’accroupir et écarter les cuisses pour être attaché à deux anneaux repliés sur le pont. D’un côté j’étais soulagé, la corde en sisal ne me piquait plus entre les cuisses mais leurs doigts ont tâté mon cul, riant entre eux en arabe.
-Ils se fichent de ton trou encore serré dis mon maître. Tu vas morfler je les connais.
Un des mecs n’a pas attendu pour appuyer son gland sur mon trou. J’ai crié, ça ne passerait jamais. Mais le gode m’avait fait mouiller et la queue en forçant m’a pénétrée. J’ai ouvert la bouche pour crier mais une bite était face à moi et m’a coincé le cri. Elle allait plus loin et j’avais des haut le cœur mais lui se marrait au-dessus de moi. Les va et vient ont commencés dans la bouche et mon cul. Les salauds prenaient leur temps. Mon maitre passant la main sous moi ajoutait des poids aux pinces des tétons. Ils se balançaient en tirant vers le bas. Ils ont échangé les places et je suçais la grosse qui m’avait ouvert le cul.
Sans avoir joui ils ont laissé la place aux deux autres qui attendaient la bite sortie en se branlant.
J’ai senti l’air un instant en moi mais vite été pris en brochette. Celui que je suçais avait un prépuce mais le gland n’était que plus gorgé de sang et me pinait la bouche à fond de gorge. J’allais le repousser quand il a joui, envoyant son jus dans les poumons ce qui m’a fait cracher de terreur ne pouvant plus respirer. Mon mec m’a foutu des grandes baffes dans la gueule.
-Quand tu pompes tu dois t’attendre à tout !
Il a enfoncé ses doigts dans ma bouche, allant titiller la luette. Je ne pouvais pas le mordre et j’ai bavé comme une pute.
Une fois bien baisé par les trois mecs, bouche et cul mon mec m’a fait plonger dans le canal pour me laver et m’a fait remonter par une corde à nœud. J’ai reçu une serpillère sur le torse
-Sèche toi. On va en ville tu passes cette salopette. Je sais qu’elle est trop large mais pour une chienne ça suffit.
Il a enlevé les chaines croco de mes tétons, la douleur fut intense et j’avais les tétons un peu plus pointus et étirés. Chaque mouvement de la salopette faisait frotter le tissu sur mes pointes m’affolant. On est passé d’une péniche à l’autre jusqu’au quai. En face un bar éclairé avec peu de personnes. Que des hommes visiblement des mariniers, tous accoudés au bar et dans un coin un beur frisé qui s’est levé quand on est entré.
Il s’est réveillé et a maintenu ma tête sur sa queue. Elle frottait un peu ma luette et j’ai eu un instant de panique et envie de vomir. Il m’a calmé d’une baffe.
-Au réveil j’ai toujours besoin, de pisser alors tu vas avaler tout ce qui arrive sans rejeter de pisse. Serre les lèvres dessus.
Il n’a pas fini de parler que je sentais sa pisse arriver me forçant à avaler comme les Basques juste en remuant ma langue. Tel que j’étais j’avais le nez dans ses poils et ils sentaient le sperme séché. Pour moi c’était nouveau et enivrant. Enfin il a relâché mon cou et a secoué sa queue dans ma gueule.
-Toujours prêt à la soumission ?
J’ai toujours rêvé d’être aux ordres d’un mec, je ne vais pas râler vous êtes beau et vicieux ! J’aime bien.
-Je ne suis pas « un mec « mais ton maître jusqu’à Amsterdam. Après on verra. Monte deux marches en arrière.
Pas facile pour moi mais en m’accrochant au capot du haut j’ai pu le faire. J’ai senti une corde en sisal entourer mes couilles serrées et ma racine de ma queue raide entourée et serrée aussi. Les petits fils du sisal me piquaient tout autour et il a pris un gant de crin pour me branler. J’avais déjà essayé avec un tampon vert mais vite arrêté par la douleur. Cette fois j’ai résisté longtemps mais j’ai gueulé en giclant loin devant moi.
-Chaque fois que tu auras besoin de te les vider tu me demanderas. Tu vois les lanières au plafond ? Tu vas mettre chacun de tes pieds dans une et je serrerais Tu descendras les marches des mains. La tête en bas et les cuisses ouvertes tu ne cacheras plus ton trou à bite.
A peine en place il m’a frappé le bas du dos à petits coups, j’ai tenu mais il a frappé plus sort et j’ai couiné de douleur. L’armoire qu’il avait ouverte me cachait la vue du contenu mais il a sorti un petit fouet à lanières et a repris les coups, cette fois sur mon entrecuisse et mes boules serrées. Là j’ai carrément gueulé même si la force des coups était moins forte.
Je ressentais mon corps, entièrement, même les parties habituellement cachées. Il a pincé mes tétons fermement sous mes gémissements.
-Retiens toi avec les mains au plancher je vais te défaire les pieds. On va passer une ville et tu vas regagner ta pièce à vivre.
Une fois les pieds détachés je me suis trouvé à quatre pattes, mal partout.
-Aller montre et marche jusqu’à la pointe.
En passant dans le poste de la barre le mec qui la tenait a eu un sifflement.
-Belles zébrures et jolis nœuds sur ton sexe de lopette.
Je n’ai pas répondu et avancé le long de la cale jusqu’à la pointe qu’il a ouverte.
-Descend et ne te touche pas.
Une barre en métal tenait le plancher en haut et il m’a attaché les mains dans le dos la barre contre moi. Il a retiré la queue-gode et m’a appuyé sur les épaules pour que je m’assoie cuisses écartées. Un gode plus épais était fixé à la carène et il est entré en moi. Il a fixé les poignets pour que je ne puisse me redresser.
-Ne dis pas que je ne m’occupe pas de toi !
Il a fini par fixer à chaque téton une pince croco et un poids qui pendait au-dessous.
-Repose-toi je viendrais te voir après la ville.
Il est remonté et a fermé je ne voyais plus rien. A un moment il y a eu un choc puis le moteur s’est arrêté, pas longtemps avant de redémarrer. Sans repère de temps j’ignorais ce qui venait de se passer. Ce n’est que bien plus longtemps pour moi que la trappe s’est ouverte. Un inconnu en jean est descendu. Sa voix a résonné dans le petit espace.
-Tu dois pouvoir baisser mon jean avec les mains. Tu baisseras mon shorty avec les dents et fait gaffe salope.
Je ne voyais pas grand-chose, le soir tombait mais à la voix j’ai compris qu’il devait être black ou arabe et en sentant la chaleur du tissu j’ai fait tomber le jean en me tirant sur les mains. La suite fut plus dure mais aidé par la grosseur de ce que je sentais à l’intérieur j’ai pu des lèvres et des dents faire glisser le shorty. Une matraque chaude m’a frappée le front.
-Suce moi la queue et bien ! Tes trous vont morfler cette nuit. On a jusqu’à Saint Quentin pour te faire une vraie chatte.
La queue n’avait pas de prépuce mais sentais la pisse et le sexe, elle me remplissait la bouche sans aller au fond de ma gorge. Les poils crépus me chatouillaient le nez. Il a été long mais m’a bien rempli la bouche. Mon mec est descendu me foutre une baffe.
-Pas mal pour un débutant mais la suite sera sur le pont.
Il a détaché mes poignets et m’a fait monter sur le pont. Avec la lumière des fanaux obligatoire j’ai vu trois mecs, deux blacks et un beur poilu. Avec celui du bas et mon maître ils étaient cinq. La péniche taillait son chemin et ils m’ont mené à l’arrière où j’ai dû m’accroupir et écarter les cuisses pour être attaché à deux anneaux repliés sur le pont. D’un côté j’étais soulagé, la corde en sisal ne me piquait plus entre les cuisses mais leurs doigts ont tâté mon cul, riant entre eux en arabe.
-Ils se fichent de ton trou encore serré dis mon maître. Tu vas morfler je les connais.
Un des mecs n’a pas attendu pour appuyer son gland sur mon trou. J’ai crié, ça ne passerait jamais. Mais le gode m’avait fait mouiller et la queue en forçant m’a pénétrée. J’ai ouvert la bouche pour crier mais une bite était face à moi et m’a coincé le cri. Elle allait plus loin et j’avais des haut le cœur mais lui se marrait au-dessus de moi. Les va et vient ont commencés dans la bouche et mon cul. Les salauds prenaient leur temps. Mon maitre passant la main sous moi ajoutait des poids aux pinces des tétons. Ils se balançaient en tirant vers le bas. Ils ont échangé les places et je suçais la grosse qui m’avait ouvert le cul.
Sans avoir joui ils ont laissé la place aux deux autres qui attendaient la bite sortie en se branlant.
J’ai senti l’air un instant en moi mais vite été pris en brochette. Celui que je suçais avait un prépuce mais le gland n’était que plus gorgé de sang et me pinait la bouche à fond de gorge. J’allais le repousser quand il a joui, envoyant son jus dans les poumons ce qui m’a fait cracher de terreur ne pouvant plus respirer. Mon mec m’a foutu des grandes baffes dans la gueule.
-Quand tu pompes tu dois t’attendre à tout !
Il a enfoncé ses doigts dans ma bouche, allant titiller la luette. Je ne pouvais pas le mordre et j’ai bavé comme une pute.
Une fois bien baisé par les trois mecs, bouche et cul mon mec m’a fait plonger dans le canal pour me laver et m’a fait remonter par une corde à nœud. J’ai reçu une serpillère sur le torse
-Sèche toi. On va en ville tu passes cette salopette. Je sais qu’elle est trop large mais pour une chienne ça suffit.
Il a enlevé les chaines croco de mes tétons, la douleur fut intense et j’avais les tétons un peu plus pointus et étirés. Chaque mouvement de la salopette faisait frotter le tissu sur mes pointes m’affolant. On est passé d’une péniche à l’autre jusqu’au quai. En face un bar éclairé avec peu de personnes. Que des hommes visiblement des mariniers, tous accoudés au bar et dans un coin un beur frisé qui s’est levé quand on est entré.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Conteur
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...