Bastien9
Récit érotique écrit par Conteur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-05-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Bastien9
-Bonne définition. Je suppose que tu as faim ?
Oui maître, maître Ali ne m’a rien donné, seulement pris le cul !
-Alors ouvre ma salopette par le bas avec le zip mais fait attention à mes poils et à ma peau. Je n’ai rien dessous.
Je l’ai fait il bandait mal mais sa queue s’est raidie dans ma bouche.
-Petite salope t’aime ça la bite ! J’ai bien fait de t’embarquer même en te droguant. Ce que tu m’as cette nuit-là a tout déclenché pour toi. J’en cherchais une mais pas aussi bonne que toi.
Il appuyait sur ma tête par à-coups selon son envie, subite puis relâchait un peu la pression. Quand enfin il a joui dans ma bouche j’ai savouré le suc de ses couilles. Le plug dans mes fesses me donnait l’envie constante de le vider les boyaux mais j’ai seulement demandé où pisser.
-Relève ta jupe et mets toi le long du bord. Pense à ôter le string, tu me le donneras après.
Avec la sonde la pisse est sortie avec pas mal de pression mais m’a libéré. J’ai tendu le string à maître Éric.
-Ouvre la bouche tu respireras ton odeur de foutre et de bave.
Il l’a coincé dans les dents. De retour à ses pieds il a joué des orteils avec les poids sur mes tétines. J’avais envie de bander mais impossible.
-A Strasbourg, Ali connaît une boutique cuir et pendant que l’un surveillera le chargement, l’autre ira trouver la tenue idéale pour la finale à Hambourg et Amsterdam. On avance bien on va passer l’élévateur écluse ce sera rapide s’il n’y a pas d’attente. Je passerais le relais à Ali et moi je dormirais. Comme il n’a pas eu beaucoup de repos tu pourras dormir par terre dans la cabine mais mains attachées au collier que tu ne te touches pas ! Va le chercher et je descendrais.
J’ai juste posé la bouche sur l’emplacement de la queue et ça l’a réveillé.
Maître Éric est fatigué.
-Pousse toi de là je monte à la barre.
Éric est descendu et s’est endormi à peine alit. Je me suis allongé par terre toujours le string entre les dents. J’ai pensé à tout ce qui venait de se passer et suis moi aussi tombé de sommeil.
-Voilà l’élévateur a crié Ali.
En descendant du lit Éric m’a marché dessus pieds nus et est monté dans la cabine en slibard et tee-shirt.
-Monte aussi toi, rampe dans l’escalier si tu ne peux pas te servir de tes mains. Si tu t’accroches les poids sur les tétines je m’en fous.
Il a parlé par la radio pour informer qu’il demandait la priorité sur les plaisanciers. Peu après il a eu la réponse.
-Alignez-vous, vous serez le suivant. Votre fret de cabine est pas mal. Evitez de trop le montrer autour il y a des gamins dans les petits yachts.
En effet de chaque côté je voyais des regards curieux et Éric et Ali m’ont encadré. Je ne voyais plus que devant moi l’appareillage de l’élévateur et les premiers bateaux sont apparus par magie. Dès qu’ils sont sortis Éric a mis le moteur en marche avant lente et on a embarqué dans une sorte de nacelle. Je ne voyais plus de rives, que deux mecs qui retenait la péniche en place par des cordages.
J’ai eu un sursaut, à la fois parce qu’Éric me palpait les fesses et le bout du plug et par la sensation curieuse du sol qui se dérobait. On a croisé la nacelle montante et arrivé en bas on est sorti à mon grand soulagement.
Après le coude j’ai vu la machine dans son ensemble. Magnifique ouvrage mais la vue un peu gâchée par Ali qui retirait le plug en tirant.
-Bien c’est plus calme et dès que j’aurais du réseau je préviendrais le patron qu’on sera dans les temps et même en avance. Toi la chienne montre ton cul. Il doit être déjà bien plus souple. Tu descendras laver le plug, tu pues ta merde !
D’en bas j’ai entendu parler et une réponse par la radio.
-Monte, c’est la péniche à José et comme je lui ai dis que j’avais une chienne il veut se vider les couilles. On le rattrape et on se mettra à couple le temps que tu le soulage.
D’en haut j’ai vu la péniche rattraper l’autre et se mettre à couple.
-Aller descend il est chargé lui.
Le mec devait avoir une bonne quarantaine et a de suite dégagé sa queue surement pas lavée de frais.
-Suce moi pour commencer.
Je n’étais pas habitué au goût de fromage que dégageait son sexe mais c’était une belle queue poilue frisée. J’ai retenu ma respiration le temps de l’avoir en bouche, et j’ai sucé. Je n’ai pu faire que ça car en tenant la barre il n’avait pas le recul pour plus, juste l’espace pour me prendre les cheveux et m’envoyer son jus sur le visage.
-Va retrouver tes potes tu jouiras d’une bonne réputation de salope où que tu ailles dans notre milieu.
Oui maître, maître Ali ne m’a rien donné, seulement pris le cul !
-Alors ouvre ma salopette par le bas avec le zip mais fait attention à mes poils et à ma peau. Je n’ai rien dessous.
Je l’ai fait il bandait mal mais sa queue s’est raidie dans ma bouche.
-Petite salope t’aime ça la bite ! J’ai bien fait de t’embarquer même en te droguant. Ce que tu m’as cette nuit-là a tout déclenché pour toi. J’en cherchais une mais pas aussi bonne que toi.
Il appuyait sur ma tête par à-coups selon son envie, subite puis relâchait un peu la pression. Quand enfin il a joui dans ma bouche j’ai savouré le suc de ses couilles. Le plug dans mes fesses me donnait l’envie constante de le vider les boyaux mais j’ai seulement demandé où pisser.
-Relève ta jupe et mets toi le long du bord. Pense à ôter le string, tu me le donneras après.
Avec la sonde la pisse est sortie avec pas mal de pression mais m’a libéré. J’ai tendu le string à maître Éric.
-Ouvre la bouche tu respireras ton odeur de foutre et de bave.
Il l’a coincé dans les dents. De retour à ses pieds il a joué des orteils avec les poids sur mes tétines. J’avais envie de bander mais impossible.
-A Strasbourg, Ali connaît une boutique cuir et pendant que l’un surveillera le chargement, l’autre ira trouver la tenue idéale pour la finale à Hambourg et Amsterdam. On avance bien on va passer l’élévateur écluse ce sera rapide s’il n’y a pas d’attente. Je passerais le relais à Ali et moi je dormirais. Comme il n’a pas eu beaucoup de repos tu pourras dormir par terre dans la cabine mais mains attachées au collier que tu ne te touches pas ! Va le chercher et je descendrais.
J’ai juste posé la bouche sur l’emplacement de la queue et ça l’a réveillé.
Maître Éric est fatigué.
-Pousse toi de là je monte à la barre.
Éric est descendu et s’est endormi à peine alit. Je me suis allongé par terre toujours le string entre les dents. J’ai pensé à tout ce qui venait de se passer et suis moi aussi tombé de sommeil.
-Voilà l’élévateur a crié Ali.
En descendant du lit Éric m’a marché dessus pieds nus et est monté dans la cabine en slibard et tee-shirt.
-Monte aussi toi, rampe dans l’escalier si tu ne peux pas te servir de tes mains. Si tu t’accroches les poids sur les tétines je m’en fous.
Il a parlé par la radio pour informer qu’il demandait la priorité sur les plaisanciers. Peu après il a eu la réponse.
-Alignez-vous, vous serez le suivant. Votre fret de cabine est pas mal. Evitez de trop le montrer autour il y a des gamins dans les petits yachts.
En effet de chaque côté je voyais des regards curieux et Éric et Ali m’ont encadré. Je ne voyais plus que devant moi l’appareillage de l’élévateur et les premiers bateaux sont apparus par magie. Dès qu’ils sont sortis Éric a mis le moteur en marche avant lente et on a embarqué dans une sorte de nacelle. Je ne voyais plus de rives, que deux mecs qui retenait la péniche en place par des cordages.
J’ai eu un sursaut, à la fois parce qu’Éric me palpait les fesses et le bout du plug et par la sensation curieuse du sol qui se dérobait. On a croisé la nacelle montante et arrivé en bas on est sorti à mon grand soulagement.
Après le coude j’ai vu la machine dans son ensemble. Magnifique ouvrage mais la vue un peu gâchée par Ali qui retirait le plug en tirant.
-Bien c’est plus calme et dès que j’aurais du réseau je préviendrais le patron qu’on sera dans les temps et même en avance. Toi la chienne montre ton cul. Il doit être déjà bien plus souple. Tu descendras laver le plug, tu pues ta merde !
D’en bas j’ai entendu parler et une réponse par la radio.
-Monte, c’est la péniche à José et comme je lui ai dis que j’avais une chienne il veut se vider les couilles. On le rattrape et on se mettra à couple le temps que tu le soulage.
D’en haut j’ai vu la péniche rattraper l’autre et se mettre à couple.
-Aller descend il est chargé lui.
Le mec devait avoir une bonne quarantaine et a de suite dégagé sa queue surement pas lavée de frais.
-Suce moi pour commencer.
Je n’étais pas habitué au goût de fromage que dégageait son sexe mais c’était une belle queue poilue frisée. J’ai retenu ma respiration le temps de l’avoir en bouche, et j’ai sucé. Je n’ai pu faire que ça car en tenant la barre il n’avait pas le recul pour plus, juste l’espace pour me prendre les cheveux et m’envoyer son jus sur le visage.
-Va retrouver tes potes tu jouiras d’une bonne réputation de salope où que tu ailles dans notre milieu.
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