Beatrice, la découverte
Récit érotique écrit par Davidson [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-12-2021 dans la catégorie Pour la première fois
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Beatrice, la découverte
Beatrice avait eu une vie incolore, invisible, depuis l'école primaire, le collège, le lycée et l'université elle s'était toujours arrangées pour être la discrétion même, toujours vêtue de vêtements passe-partout, de préférence de couleurs ternes, s'arrangeant pour être toujours dans un coin, sans réelle relation avec les autres. Elle avait compensé cette "inexistence" par le fait d'être particulièrement brillante intellectuellement; et puis alors qu'elle préparait sa thèse de doctorat à la faculté de lettres d'Aix en Provence, ce conflit familial qui avait fait qu'à presque vingt ans elle se retrouvait dans un "foyer pour femmes isolées en difficulté", et là ce fut le vrai choc, elle se retrouvait avec des femmes de tous âges et de toutes conditions qui avaient vécu des vies de droguées, d'ivrognes, de prostituées, et parfois tout cela à la fois.
Elle regardait tout cela avec fascination, elle écoutait leurs histoires captivée par leurs aventures qu'elle n'avait approchées que dans les livres. C'était surtout leurs histoires de sexe qui la captivait, certes elle avait lu des "livres de cul", mais elle avait toujours classé les notions "d'orgasmes" dans le monde de l'invention de l'écrivain, tout comme le monde des fées avait été inventé dans les contes pour enfants. Tout comme dans sa vie universitaire elle se faisait "invisible", mais dans ce monde là on n'échappe pas aux regards de ceux qui ont tout connu, même la dernière des alcooliques ayant connu l'état de SDF l'avait repérée comme quelqu'un pouvant présenter un intérêt, à commencer par celles qui, lesbiennes, devinaient une fille "propre sur elle", et probablement sans défense.
C'est ainsi que dés la première nuit elle se retrouva avec une tête entre ses cuisses et une langue sur son sexe, elle avait bien essayé de repousser l'intrusion, mais l'autre avait une technique certaine, et elle savait qu'ameuter les autres ne ferait que compliquer sa situation, elle se contenta donc d'être passive, voire inerte... Mais au bout d'un moment elle senti monter en elle une vibration interne inconnue, elle aurait cru pouvoir gérer cette situation comme un moment désagréable à passer, mais malgré tous ses efforts elle devait admettre que c'était loin d'être désagréable, elle laissait échapper des gémissements, puis brutalement une vague indescriptible la submergea, elle ne put empêcher ses gémissements de devenir des petits cris, elle tentait de repousser cette tête entre ses cuisses en gémissant; "c'est trop, c'est trop!"Sa partenaire releva la tête, vint en rampant à la hauteur de son visage et l'embrassa sur la bouche, sa langue fouillant l'intérieur de sa bouche, encore sous l'effet de son premier orgasme, elle qui n'avait jamais embrassé le moindre garçon, vint à la rencontre de cette langue, goûter avec sa propre langue au goût de son propre sexe.
Prise par la découverte de son premier baiser elle ne se rendit pas compte immédiatement qu'une autre tête se glissait entre ses cuisses et qu'une autre bouche s'emparait de son clitoris; ce n'est que lorsque sa première partenaire se mit, genoux écartés, le bassin au-dessus de son visage, qu'elle réalisa qu'elle se retrouvait en position de "face-sitting" (position qu'elle avait souvent lu dans ses livres de cul) qu'elle se dit "mais elles sont en train de me violer!", ses deux bras bloqués par les jambes de sa "partenaire", elle se retrouvait avec un sexe entièrement épilé sur le nez, pour que cela se termine le plus rapidement possible elle sortit sa langue à la rencontre du sexe qui se frottait contre son visage. Pour que cela aille plus vite elle se força à embrasser ce sexe, guettant les signes de plaisir que pouvait avoir sa partenaire imposée. Se concentrant sur ce qui se passait au niveau de son visage, elle fut surprise par la sensation de bien être qui venait du cunnilingus qu'elle subissait; elle se mit de nouveau à gémir, la bouche toutefois obturée par le sexe grand ouvert qui se frottait à son nez et à sa bouche.
Elle voulut crier lorsque un, puis deux doigts, s'introduisirent dans son vagin, toutes les histoires lues sur les douleurs du dépucelage lui revinrent à l'esprit; le cri qu'elle aurait voulu de douleur et de protestation se transforma en hurlement de jouissance.
Ce second orgasme, supérieur au premier par sa densité, faisait que tout son corps était parcouru de tremblements.
A cet instant la femme qui était assise sur sa bouche se mit elle aussi à jouir, faisant couler une quantité impressionnante de liquide séminal, elle ne put faire autrement que d'en avaler une bonne partie. Sa partenaire se retira d'au dessus de son visage et vint l'embrasser de nouveau à pleine bouche, elle lui rendit son baiser presque avec passion; son autre partenaire (celle qui en fait venait de la dépuceler au niveau vaginal) vint les rejoindre pour les embrasser goulument à tour de rôle, puis en réclamant "à moi maintenant!"La nuit se poursuivit dans une orgie insensée; elle, qui n'avait jamais flirté, venait d'être dépucelée, avait jouit un nombre de fois improbable ,avait fait jouir des partenaires avec sa langue (et aussi un peu avec son nez).
Le lendemain matin elle fut reçue en entretien par une assistante sociale, qui, à la découverte de son CV lui dit "mais votre place n'est pas ici!"; l'après midi même elle était relogée dans un petit hôtel bas de gamme, dans les jours qui suivirent elle fut inscrite à un concours administratif (qu'elle réussit), elle reçut une "aide d'urgence" qui lui permit de se nourrir; toutefois, tous les soirs, dans sa chambre d'hôtel, elle tentait en se caressant le sexe de retrouver les jouissances de sa nuit dans le foyer. Devant ses échecs elle se demandait "serais-je lesbienne?", puis avec logique elle se répondait "si j'étais lesbienne je parviendrai à me faire jouir toute seule!"L'obtention du RSA lui permit d'acheter des affaires de toilette, et quelques vêtements. Sans savoir pourquoi, dans une boutique qui vendait des produits de déstockage , une petite jupe de tennis plissée, elle se rendit compte alors qu'elle marchait avec rapidité dans ses baskets, que les regards des hommes se portaient sur ses fesses, elle qui avait été "invisible" toute sa vie se senti "émue" par ces regards, et surtout que son sexe était humide de cette émotion.
Par curiosité intellectuelle elle se décida à sortir en ayant remonté la taille de sa jupe le plus haut possible sur ses hanches; elle vérifia en passant devant des vitrines, que son reflet lui indiquait que le bas de la jupe lui parvenait juste sous le pli fessier, les regards étaient plus nombreux et plus insistants; elle décida que sa culotte en coton n'était pas compatible avec le fait d'être entrevue, elle fit l'acquisition dans un monoprix d'un sachet de trois mini-strings... A sa première sortie avec sa jupe et un string la sensation de l'air sur ses fesses nues lui humidifia la vulve, ainsi marcher simplement sous le regard des hommes l'excitait "je ne suis pas lesbienne" se dit-elle. A l'intérieur d'un grand magasin elle repéra un homme qui semblait la suivre, elle ne portait aucune attention à son physique, "c'est un mec" était sa seule analyse, dans un coin relativement isolé du magasin elle se pencha en avant sans plier les genoux, faisant mine de relacer une de ses chaussures... L'homme s'était immobilisé à quelques mètres, sans aucun doute il devait avoir une vue sur sa raie des fesses, son vagin était plus qu'humide "je bande" se dit elle en songeant que c'était un terme pour les hommes... y avait il un terme équivalent pour les femmes? Pour continuer son jeu elle s'engouffra dans un escalator ... L'homme la suivait, pour lui faciliter les choses elle plaça ses pieds sur deux marches différentes, ne sachant si c'était vraiment efficace elle se pencha à nouveau comme pour rectifier le lacet du pied le plus haut, elle se surpris à sentir comme un début d'orgasme; "non c'est pas possible, pas comme ça, ce serait trop facile!", mais elle devait bien convenir que son excitation était envahissante. Elle aperçu la porte indiquant la présence des toilettes, elle se dirigea vers les toilettes pour femmes, se précipita dans une cabine, prenant à peine le temps de refermer la porte derrière elle, elle écarta le petit triangle du string pour se masturber, en quelques mouvements elle obtint un orgasme, tirant la chasse d'eau pour masquer ses gémissements? C'est rassurée sur sa "normalité" qu'elle ressorti des sanitaires.
L'homme était toujours là, elle déambulait entre les rayons, s'arrêtant n'importe où, devant des étalages quelconques, à un moment l'homme passa derrière elle en lui caressant les fesses du dos de la main par dessus le tissu de la jupe, elle se mit à choisir des rayons plutôt isolés dans des allées étroites, et ce qui devait arriver ... Il lui caressa les fesses en passant sa main sous sa jupe, elle profita de cet instant pour se pencher en avant comme si elle s'intéressait au rayonnage, se faisant ses fesses furent projetées vers l'arrière, augmentant la pression contre la main, l'homme s'arrêta précisément à cet instant, glissant un doigt dans la raie des fesses, elle ne fit pas le moindre mouvement pour échapper à ce contact, fort de cette acceptation tacite il glissa un doigt sous la ficelle du string et lui titilla l'anus. Elle eut un frisson, "pas ici" se dit elle, rapidement elle se redressa et se dirigea à nouveau vers les toilettes... Et là, comme par inadvertance elle prit la porte des WC pour hommes, elle ne savait pas ce qu'elle allait pouvoir faire, elle entra dans une cabine sans refermer la porte derrière elle; l'homme l'avait suivi, elle l'entendit se laver les mains, ne sachant que faire et ne voulant pas passer pour une idiote elle ôta son string, l'homme était déjà là, sans le moindre mot il sortit son sexe qui était en érection, c'était le premier sexe de mâle en érection qu'elle voyait, il la fit se retourner et se pencher sur la cuvette, elle eut le temps de penser "c'est vachement plus gros que les doigts qui sont déjà entrés ... je n'ai pas de préservatifs... je vais avoir mal..." le gland venait de se frotter à sa vulve complètement liquéfiée par son excitation, la pénétration fut très progressive, ce ne fut pas douloureux mais l'impression d'être "comblée" était bien présente, il la saisit par les hanches et entrepris un mouvement d'avant arrière relativement lent, en quelques aller - retour elle était en train de jouir, elle mordit dans son string pour étouffer ses gémissements, elle avait envie de crier "c'est bon, c'est trop bon!" Elle senti l'homme se figer, il était en train de jouir, d'éjaculer dans son vagin... et elle continuait de jouir.
Enfin il se retira, la fit se retourner et assoir sur la cuvette, puis directement lui enfonça son pénis dans la bouche, il mima encore quelques mouvements du bassin, puis son sexe redevenant flasque il le retira, remballa le tout et quitta les toilettes.
Assise sur la cuvette elle senti du sperme s'échapper de sa vulve, ne pouvant se retenir elle se caressa le clitoris en le barbouillant de sperme, elle eut un nouvel orgasme, elle se mit à penser "l'orgasme clitoridien est pratiquement aussi bon que le vaginal", elle s'essuya le sexe avec le papier toilette, sortit des toilettes sans remettre son string en se murmurant "à nous deux, la vie!"
Elle regardait tout cela avec fascination, elle écoutait leurs histoires captivée par leurs aventures qu'elle n'avait approchées que dans les livres. C'était surtout leurs histoires de sexe qui la captivait, certes elle avait lu des "livres de cul", mais elle avait toujours classé les notions "d'orgasmes" dans le monde de l'invention de l'écrivain, tout comme le monde des fées avait été inventé dans les contes pour enfants. Tout comme dans sa vie universitaire elle se faisait "invisible", mais dans ce monde là on n'échappe pas aux regards de ceux qui ont tout connu, même la dernière des alcooliques ayant connu l'état de SDF l'avait repérée comme quelqu'un pouvant présenter un intérêt, à commencer par celles qui, lesbiennes, devinaient une fille "propre sur elle", et probablement sans défense.
C'est ainsi que dés la première nuit elle se retrouva avec une tête entre ses cuisses et une langue sur son sexe, elle avait bien essayé de repousser l'intrusion, mais l'autre avait une technique certaine, et elle savait qu'ameuter les autres ne ferait que compliquer sa situation, elle se contenta donc d'être passive, voire inerte... Mais au bout d'un moment elle senti monter en elle une vibration interne inconnue, elle aurait cru pouvoir gérer cette situation comme un moment désagréable à passer, mais malgré tous ses efforts elle devait admettre que c'était loin d'être désagréable, elle laissait échapper des gémissements, puis brutalement une vague indescriptible la submergea, elle ne put empêcher ses gémissements de devenir des petits cris, elle tentait de repousser cette tête entre ses cuisses en gémissant; "c'est trop, c'est trop!"Sa partenaire releva la tête, vint en rampant à la hauteur de son visage et l'embrassa sur la bouche, sa langue fouillant l'intérieur de sa bouche, encore sous l'effet de son premier orgasme, elle qui n'avait jamais embrassé le moindre garçon, vint à la rencontre de cette langue, goûter avec sa propre langue au goût de son propre sexe.
Prise par la découverte de son premier baiser elle ne se rendit pas compte immédiatement qu'une autre tête se glissait entre ses cuisses et qu'une autre bouche s'emparait de son clitoris; ce n'est que lorsque sa première partenaire se mit, genoux écartés, le bassin au-dessus de son visage, qu'elle réalisa qu'elle se retrouvait en position de "face-sitting" (position qu'elle avait souvent lu dans ses livres de cul) qu'elle se dit "mais elles sont en train de me violer!", ses deux bras bloqués par les jambes de sa "partenaire", elle se retrouvait avec un sexe entièrement épilé sur le nez, pour que cela se termine le plus rapidement possible elle sortit sa langue à la rencontre du sexe qui se frottait contre son visage. Pour que cela aille plus vite elle se força à embrasser ce sexe, guettant les signes de plaisir que pouvait avoir sa partenaire imposée. Se concentrant sur ce qui se passait au niveau de son visage, elle fut surprise par la sensation de bien être qui venait du cunnilingus qu'elle subissait; elle se mit de nouveau à gémir, la bouche toutefois obturée par le sexe grand ouvert qui se frottait à son nez et à sa bouche.
Elle voulut crier lorsque un, puis deux doigts, s'introduisirent dans son vagin, toutes les histoires lues sur les douleurs du dépucelage lui revinrent à l'esprit; le cri qu'elle aurait voulu de douleur et de protestation se transforma en hurlement de jouissance.
Ce second orgasme, supérieur au premier par sa densité, faisait que tout son corps était parcouru de tremblements.
A cet instant la femme qui était assise sur sa bouche se mit elle aussi à jouir, faisant couler une quantité impressionnante de liquide séminal, elle ne put faire autrement que d'en avaler une bonne partie. Sa partenaire se retira d'au dessus de son visage et vint l'embrasser de nouveau à pleine bouche, elle lui rendit son baiser presque avec passion; son autre partenaire (celle qui en fait venait de la dépuceler au niveau vaginal) vint les rejoindre pour les embrasser goulument à tour de rôle, puis en réclamant "à moi maintenant!"La nuit se poursuivit dans une orgie insensée; elle, qui n'avait jamais flirté, venait d'être dépucelée, avait jouit un nombre de fois improbable ,avait fait jouir des partenaires avec sa langue (et aussi un peu avec son nez).
Le lendemain matin elle fut reçue en entretien par une assistante sociale, qui, à la découverte de son CV lui dit "mais votre place n'est pas ici!"; l'après midi même elle était relogée dans un petit hôtel bas de gamme, dans les jours qui suivirent elle fut inscrite à un concours administratif (qu'elle réussit), elle reçut une "aide d'urgence" qui lui permit de se nourrir; toutefois, tous les soirs, dans sa chambre d'hôtel, elle tentait en se caressant le sexe de retrouver les jouissances de sa nuit dans le foyer. Devant ses échecs elle se demandait "serais-je lesbienne?", puis avec logique elle se répondait "si j'étais lesbienne je parviendrai à me faire jouir toute seule!"L'obtention du RSA lui permit d'acheter des affaires de toilette, et quelques vêtements. Sans savoir pourquoi, dans une boutique qui vendait des produits de déstockage , une petite jupe de tennis plissée, elle se rendit compte alors qu'elle marchait avec rapidité dans ses baskets, que les regards des hommes se portaient sur ses fesses, elle qui avait été "invisible" toute sa vie se senti "émue" par ces regards, et surtout que son sexe était humide de cette émotion.
Par curiosité intellectuelle elle se décida à sortir en ayant remonté la taille de sa jupe le plus haut possible sur ses hanches; elle vérifia en passant devant des vitrines, que son reflet lui indiquait que le bas de la jupe lui parvenait juste sous le pli fessier, les regards étaient plus nombreux et plus insistants; elle décida que sa culotte en coton n'était pas compatible avec le fait d'être entrevue, elle fit l'acquisition dans un monoprix d'un sachet de trois mini-strings... A sa première sortie avec sa jupe et un string la sensation de l'air sur ses fesses nues lui humidifia la vulve, ainsi marcher simplement sous le regard des hommes l'excitait "je ne suis pas lesbienne" se dit-elle. A l'intérieur d'un grand magasin elle repéra un homme qui semblait la suivre, elle ne portait aucune attention à son physique, "c'est un mec" était sa seule analyse, dans un coin relativement isolé du magasin elle se pencha en avant sans plier les genoux, faisant mine de relacer une de ses chaussures... L'homme s'était immobilisé à quelques mètres, sans aucun doute il devait avoir une vue sur sa raie des fesses, son vagin était plus qu'humide "je bande" se dit elle en songeant que c'était un terme pour les hommes... y avait il un terme équivalent pour les femmes? Pour continuer son jeu elle s'engouffra dans un escalator ... L'homme la suivait, pour lui faciliter les choses elle plaça ses pieds sur deux marches différentes, ne sachant si c'était vraiment efficace elle se pencha à nouveau comme pour rectifier le lacet du pied le plus haut, elle se surpris à sentir comme un début d'orgasme; "non c'est pas possible, pas comme ça, ce serait trop facile!", mais elle devait bien convenir que son excitation était envahissante. Elle aperçu la porte indiquant la présence des toilettes, elle se dirigea vers les toilettes pour femmes, se précipita dans une cabine, prenant à peine le temps de refermer la porte derrière elle, elle écarta le petit triangle du string pour se masturber, en quelques mouvements elle obtint un orgasme, tirant la chasse d'eau pour masquer ses gémissements? C'est rassurée sur sa "normalité" qu'elle ressorti des sanitaires.
L'homme était toujours là, elle déambulait entre les rayons, s'arrêtant n'importe où, devant des étalages quelconques, à un moment l'homme passa derrière elle en lui caressant les fesses du dos de la main par dessus le tissu de la jupe, elle se mit à choisir des rayons plutôt isolés dans des allées étroites, et ce qui devait arriver ... Il lui caressa les fesses en passant sa main sous sa jupe, elle profita de cet instant pour se pencher en avant comme si elle s'intéressait au rayonnage, se faisant ses fesses furent projetées vers l'arrière, augmentant la pression contre la main, l'homme s'arrêta précisément à cet instant, glissant un doigt dans la raie des fesses, elle ne fit pas le moindre mouvement pour échapper à ce contact, fort de cette acceptation tacite il glissa un doigt sous la ficelle du string et lui titilla l'anus. Elle eut un frisson, "pas ici" se dit elle, rapidement elle se redressa et se dirigea à nouveau vers les toilettes... Et là, comme par inadvertance elle prit la porte des WC pour hommes, elle ne savait pas ce qu'elle allait pouvoir faire, elle entra dans une cabine sans refermer la porte derrière elle; l'homme l'avait suivi, elle l'entendit se laver les mains, ne sachant que faire et ne voulant pas passer pour une idiote elle ôta son string, l'homme était déjà là, sans le moindre mot il sortit son sexe qui était en érection, c'était le premier sexe de mâle en érection qu'elle voyait, il la fit se retourner et se pencher sur la cuvette, elle eut le temps de penser "c'est vachement plus gros que les doigts qui sont déjà entrés ... je n'ai pas de préservatifs... je vais avoir mal..." le gland venait de se frotter à sa vulve complètement liquéfiée par son excitation, la pénétration fut très progressive, ce ne fut pas douloureux mais l'impression d'être "comblée" était bien présente, il la saisit par les hanches et entrepris un mouvement d'avant arrière relativement lent, en quelques aller - retour elle était en train de jouir, elle mordit dans son string pour étouffer ses gémissements, elle avait envie de crier "c'est bon, c'est trop bon!" Elle senti l'homme se figer, il était en train de jouir, d'éjaculer dans son vagin... et elle continuait de jouir.
Enfin il se retira, la fit se retourner et assoir sur la cuvette, puis directement lui enfonça son pénis dans la bouche, il mima encore quelques mouvements du bassin, puis son sexe redevenant flasque il le retira, remballa le tout et quitta les toilettes.
Assise sur la cuvette elle senti du sperme s'échapper de sa vulve, ne pouvant se retenir elle se caressa le clitoris en le barbouillant de sperme, elle eut un nouvel orgasme, elle se mit à penser "l'orgasme clitoridien est pratiquement aussi bon que le vaginal", elle s'essuya le sexe avec le papier toilette, sortit des toilettes sans remettre son string en se murmurant "à nous deux, la vie!"
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