Beau-papa 35: Les jumelles, Kenza et Paloma. Chacune son tour.
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-10-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Beau-papa 35: Les jumelles, Kenza et Paloma. Chacune son tour.
Beau papa.
Les jumelles, Kenza et Paloma.
Chacune son tour.
Je passe sur le mode vidéo pour la suite et caresse avec une extrême douceur la bête endormie. Je m’enhardis et saisis la chose encore flasque dans ma main droite. Je la presse entre mes doigts puis fais un mouvement de bas en haut pour donner vie sa trompe. Il entrouvre à peine les yeux mais ne réagit pas, me laissant continuer mon œuvre. Si lui reste passif, ce n'est pas le cas de son organe qui pulse dans ma main, se gorgeant de sang. Sa verge grossit et grandit, devenant de plus en plus ferme dans ma main jusqu'au moment où elle a pris tellement d'ampleur et d'épaisseur qu’elle écarte mes doigts qui ne peuvent contenir la puissance d'une telle poutre. J’interromps un moment ce que je fais pour stopper la vidéo et l’envoyer à mes copines. Ce qu'il va se passer après, je le garde pour moi toute seule, à elles de fantasmer sur ce que nous allons faire ensemble par la suite.
Et à vous aussi…
Suite :
J’ai déjà la chatte en feu. Il se lève, me pousse par les épaules pour que je me retrouve allongée sur le divan et s’empare de mes hanches. Il me prend avec douceur comme pour des préliminaires pendant deux minutes, puis il enfonce son dard en moi rapidement et profondément. Cela m’arrache un cri de douleur mélangé d’extase. Il me défonce la chatte en enfonçant sa verge de plus en plus loin. Je le laisse me prendre comme la chienne que je suis devenue en si peu de temps. Je ne croyais pas que ma chatte s’étirerait et laisserait rentrer sans difficulté un tel bélier qui me fait râler à chacune de ses pénétrations.
Mais quand je regarde entre mes cuisses, je vois que sa queue n’est pas entièrement en moi. Mes lèvres vaginales épousent tellement le diamètre hors-normes de son mandrin quelles restent collées à son membre lorsque qu’il se retire. Elles forment un puits puis les parois escarpées d’un volcan en éruption. Je ne suis qu’un pantin, gémissant et criant, mais qui accepte sans sourcilier son membre si viril. Après quelques minutes de ce traitement, il prend mes jambes et pose mes pieds sur ses épaules. Un de ses doigts passe et repasse entre mes globes jumeaux, s’approchant de mon cratère le plus secret. Jamais personne ne s’est aventuré dans cette région interdite. Jamais personne n’a profité de ce puits secret.
Son doigt va et vient dans mon anus, en ressort pour l’enduire de nos secrétions puis s’enfonce à nouveau profondément. Ce contact, cette pratique que je redoute tout autant qu’elle me fait envie me fait honte. Il arrête soudain ses caresses, prenant son phénoménal pénis en main et le présente entre mes fesses trempées, frottant son gland dur dans ma raie culière.
- Prête Paloma ? Me demande Claude en toute confiance et se fichant complètement de la réponse que je peux lui faire, tout en lubrifiant abondamment sa bite et mon petit trou, essayant de faire pénétrer la tête de son gourdin. Une fraîcheur subite me déroute. Il vient de saliver directement dans mon petit trou et immédiatement y enfonce cette fois deux doigts entiers qui tournent et fouillent au plus profond de mon cul offert. Je pousse des gémissements de truie en chaleur.
Il continue la préparation de mon anus mais d’autres doigts s’égarent aussi dans ma chatte humide et esseulée. J’ai maintenant trois doigts dans ma chatte qu'il enfonce profondément tandis que sa langue titille mon anus. Je râle de plaisir.
-Aaaah...ouiiiiii, vas-y, explore ma chatte...Ou mon cul ?...
Cette fois je sens la tête dure de son gland s’immobiliser devant ma corolle et je sais que je vais déguster. Je serre les dents d’appréhension et essaie de détendre les muscles de mon sphincter.
- Oh mon Dieu, Claude, tu crois que mon cul va pouvoir absorber un tel monstre ? J’ai peur que tu me déchires le cul… Ooohhh, nooonnn...!
Sa bite tendue au maximum, il la frotte plusieurs fois de ma chatte à ma rosace ridée puis la maintient contre mon anus d’une main ferme. Le gland mafflu appuie de plus en plus fort sur ma rosette. J’ai si peur que ma main rejoint la sienne et ensuite remonte sa formidable queue en essayant de l'empêcher de me pénétrer pendant que je serre les fesses face à l'intrus, m'opposant à l'intromission de son calibre à l'intérieur de mon fondement.
- Paloma, détend-toi, ton cul est si serré que mon gland arrive à peine à s'y engager et que ma bite plie sous l’effort !
Copieusement lubrifié par ses coups de langue et un peu de gel qu’il rajoute, mon anus cède enfin d'un coup face à la pression phénoménale du gland volumineux et je sens mon sphincter qui s’entrouvre et lentement avale la tête énorme avant de se resserrer une fois le premier étage de la fusée passé.
Je coupe ma respiration quand je sens la grosse prune épaisse glisser en moi. La douleur est encore plus violente que je m’y attendais.
-Aaaaaaaahhhhhh !!! Oh mon Dieu que ça fait maaaaaal, noooooooon !!!
Je hurle et mes yeux s’embuent de larmes tandis qu'il me pénètre de plus en plus profondément. Soudain il cesse la pénétration et ne bouge plus, me permettant de reprendre mon souffle et de le supplier.
- Putain tu me casses le cul avec ton bélier !!!Arrête j'ai trop mal ! Mais c’est l’effet contraire que j’obtiens car il donne soudain un violent coup de reins. - Wouaaaaaaaah!! Outchh !!! Noooooooooooon !!! Tu es trop gros, arrête, oooooooouah !
Je tourne la tête et constate dans un miroir non sans une certaine crainte que le sexe monumental de Claude est à peine engagé dans mon fondement. Son mandrin enfoncé à moitié, il commence un très lent va et vient, ressortant son défonce-cul et le renfonçant toujours un peu plus loin, à chaque poussée il progresse entre mes reins de deux à trois centimètres supplémentaires. Je le sens glisser entre mes fesses et il pousse toujours.
Je le supplie quand il appuie encore plus fort et que progressivement sa queue s’introduit dans mes boyaux. Je sens son gland défricher un chemin dans mon trou plus serré au fur et à mesure de la progression de cette gigantesque bite. La douleur est inconcevable et j’ai l’impression que mon anus va se déchirer. Il s'immobilise enfin, la douleur diminue lentement. Il me prend alors par les hanches, pousse et réussit à pénétrer jusqu’à la garde son gros dard dans mon anus, m'arrachant alors le cri le plus puissant que je n'avais jamais poussé. La douleur me traverse tout le corps dans une décharge monstrueuse. Soudain il se retire, me laissant exsangue et il me dit :
- Tu es bien serrée du cul mais tu vas t’y habituer, et je vais te pilonner à mort, tu vas jouir aussi du cul, tu vas voir !
Mes mains solidement agrippées au dossier du divan, les fesses écartelées par les mains de mon tourmenteur, je suis sa chose. Il me pénètre à nouveau inexorablement, son énorme gland ouvrant le chemin à son défonce-cul, il entre de plus en plus en moi, me faisant subir le pire des supplices, celui du pal. Je serre les dents quand il me renfile son monstre ne croyant pas pouvoir le supporter.
- Aaaaahhhhh.....ouuuuhhhh....Non… non… arrête... Tu es trop gros ! Ta bite est trop dure… !
Mais ça se passe beaucoup mieux que la première fois. Je n'en reviens pas que mon cul absorbe un phallus si imposant. Il pousse toujours doucement, enfiché qu’il est dans mon cul. Enfilant les derniers centimètres les plus massifs de sa verge enfoncée au plus profond de mes entrailles, il s'immobilise à nouveau afin que je m'habitue au monstre à l'intérieur de mon rectum :
-Ça va toujours ? ¬ Ça te plait autant que dans l’autre trou ? ¬C’est pas trop douloureux ? ¬ Je n'ose pas lui dire la vérité.
- Non… mais va doucement… Prends pitié de mon cul.
Lentement il ramone mon cul enfin dilaté par sa queue si épaisse, ses couilles pendent entre mes fesses. Ses mains de part et d’autre de son manche, saisissant mes fesses qu’il écarte doucement. Il s’arrête, ressort, lubrifiant de nouveau copieusement sa bite. Il est complètement entré dans mon cul. Malgré la durée du processus, j'ai encore mal et je ne veux qu'une chose, qu'il retire son bélier de mon pauvre anus.
Je pleure toujours et le supplie d'arrêter, mais il tente plutôt de me rassurer. Il est entièrement en moi !!! Je n’aurais jamais imaginé que ma première sodomie serait avec un tel organe.
Kenza vient de nous rejoindre et je la regarde. Claude vient de me positionner en levrette pour m’enfiler par-derrière. Kenza fait les gros yeux, d’envie ou de jalousie, car il s’empale d’un coup, et se retrouve au plus profond de mon fondement. Je le sens retirer son chibre sur au moins quinze centimètres et d'un formidable coup de reins, se renfonce d'une seule poussée dans mon anus ! C'est comme un tisonnier chauffé au rouge qu’il enfonce dans mon cul. Je manque de m'évanouir sous la douleur, me demandant si ma rosette ne s’est pas déchirée ! J’ai la totalité de sa grosse et longue verge dans mes boyaux et pire.... je commence à adorer !
- Aaaah...ouiiiii....baise mon cul... mon salaud... Oh putain tu m’éclates le cul avec ta grosse trique, t’arrête-pas putain ! Oh ouuuiii!
Pour la première fois, je ressens du plaisir. Mais pour un bref instant car Claude déclare :
- À ton tour Kenza ! Je veux saillir mes deux pouliches.
A suivre : Les jumelles, Kenza et Paloma. Le trio infernal.
Les jumelles, Kenza et Paloma.
Chacune son tour.
Je passe sur le mode vidéo pour la suite et caresse avec une extrême douceur la bête endormie. Je m’enhardis et saisis la chose encore flasque dans ma main droite. Je la presse entre mes doigts puis fais un mouvement de bas en haut pour donner vie sa trompe. Il entrouvre à peine les yeux mais ne réagit pas, me laissant continuer mon œuvre. Si lui reste passif, ce n'est pas le cas de son organe qui pulse dans ma main, se gorgeant de sang. Sa verge grossit et grandit, devenant de plus en plus ferme dans ma main jusqu'au moment où elle a pris tellement d'ampleur et d'épaisseur qu’elle écarte mes doigts qui ne peuvent contenir la puissance d'une telle poutre. J’interromps un moment ce que je fais pour stopper la vidéo et l’envoyer à mes copines. Ce qu'il va se passer après, je le garde pour moi toute seule, à elles de fantasmer sur ce que nous allons faire ensemble par la suite.
Et à vous aussi…
Suite :
J’ai déjà la chatte en feu. Il se lève, me pousse par les épaules pour que je me retrouve allongée sur le divan et s’empare de mes hanches. Il me prend avec douceur comme pour des préliminaires pendant deux minutes, puis il enfonce son dard en moi rapidement et profondément. Cela m’arrache un cri de douleur mélangé d’extase. Il me défonce la chatte en enfonçant sa verge de plus en plus loin. Je le laisse me prendre comme la chienne que je suis devenue en si peu de temps. Je ne croyais pas que ma chatte s’étirerait et laisserait rentrer sans difficulté un tel bélier qui me fait râler à chacune de ses pénétrations.
Mais quand je regarde entre mes cuisses, je vois que sa queue n’est pas entièrement en moi. Mes lèvres vaginales épousent tellement le diamètre hors-normes de son mandrin quelles restent collées à son membre lorsque qu’il se retire. Elles forment un puits puis les parois escarpées d’un volcan en éruption. Je ne suis qu’un pantin, gémissant et criant, mais qui accepte sans sourcilier son membre si viril. Après quelques minutes de ce traitement, il prend mes jambes et pose mes pieds sur ses épaules. Un de ses doigts passe et repasse entre mes globes jumeaux, s’approchant de mon cratère le plus secret. Jamais personne ne s’est aventuré dans cette région interdite. Jamais personne n’a profité de ce puits secret.
Son doigt va et vient dans mon anus, en ressort pour l’enduire de nos secrétions puis s’enfonce à nouveau profondément. Ce contact, cette pratique que je redoute tout autant qu’elle me fait envie me fait honte. Il arrête soudain ses caresses, prenant son phénoménal pénis en main et le présente entre mes fesses trempées, frottant son gland dur dans ma raie culière.
- Prête Paloma ? Me demande Claude en toute confiance et se fichant complètement de la réponse que je peux lui faire, tout en lubrifiant abondamment sa bite et mon petit trou, essayant de faire pénétrer la tête de son gourdin. Une fraîcheur subite me déroute. Il vient de saliver directement dans mon petit trou et immédiatement y enfonce cette fois deux doigts entiers qui tournent et fouillent au plus profond de mon cul offert. Je pousse des gémissements de truie en chaleur.
Il continue la préparation de mon anus mais d’autres doigts s’égarent aussi dans ma chatte humide et esseulée. J’ai maintenant trois doigts dans ma chatte qu'il enfonce profondément tandis que sa langue titille mon anus. Je râle de plaisir.
-Aaaah...ouiiiiii, vas-y, explore ma chatte...Ou mon cul ?...
Cette fois je sens la tête dure de son gland s’immobiliser devant ma corolle et je sais que je vais déguster. Je serre les dents d’appréhension et essaie de détendre les muscles de mon sphincter.
- Oh mon Dieu, Claude, tu crois que mon cul va pouvoir absorber un tel monstre ? J’ai peur que tu me déchires le cul… Ooohhh, nooonnn...!
Sa bite tendue au maximum, il la frotte plusieurs fois de ma chatte à ma rosace ridée puis la maintient contre mon anus d’une main ferme. Le gland mafflu appuie de plus en plus fort sur ma rosette. J’ai si peur que ma main rejoint la sienne et ensuite remonte sa formidable queue en essayant de l'empêcher de me pénétrer pendant que je serre les fesses face à l'intrus, m'opposant à l'intromission de son calibre à l'intérieur de mon fondement.
- Paloma, détend-toi, ton cul est si serré que mon gland arrive à peine à s'y engager et que ma bite plie sous l’effort !
Copieusement lubrifié par ses coups de langue et un peu de gel qu’il rajoute, mon anus cède enfin d'un coup face à la pression phénoménale du gland volumineux et je sens mon sphincter qui s’entrouvre et lentement avale la tête énorme avant de se resserrer une fois le premier étage de la fusée passé.
Je coupe ma respiration quand je sens la grosse prune épaisse glisser en moi. La douleur est encore plus violente que je m’y attendais.
-Aaaaaaaahhhhhh !!! Oh mon Dieu que ça fait maaaaaal, noooooooon !!!
Je hurle et mes yeux s’embuent de larmes tandis qu'il me pénètre de plus en plus profondément. Soudain il cesse la pénétration et ne bouge plus, me permettant de reprendre mon souffle et de le supplier.
- Putain tu me casses le cul avec ton bélier !!!Arrête j'ai trop mal ! Mais c’est l’effet contraire que j’obtiens car il donne soudain un violent coup de reins. - Wouaaaaaaaah!! Outchh !!! Noooooooooooon !!! Tu es trop gros, arrête, oooooooouah !
Je tourne la tête et constate dans un miroir non sans une certaine crainte que le sexe monumental de Claude est à peine engagé dans mon fondement. Son mandrin enfoncé à moitié, il commence un très lent va et vient, ressortant son défonce-cul et le renfonçant toujours un peu plus loin, à chaque poussée il progresse entre mes reins de deux à trois centimètres supplémentaires. Je le sens glisser entre mes fesses et il pousse toujours.
Je le supplie quand il appuie encore plus fort et que progressivement sa queue s’introduit dans mes boyaux. Je sens son gland défricher un chemin dans mon trou plus serré au fur et à mesure de la progression de cette gigantesque bite. La douleur est inconcevable et j’ai l’impression que mon anus va se déchirer. Il s'immobilise enfin, la douleur diminue lentement. Il me prend alors par les hanches, pousse et réussit à pénétrer jusqu’à la garde son gros dard dans mon anus, m'arrachant alors le cri le plus puissant que je n'avais jamais poussé. La douleur me traverse tout le corps dans une décharge monstrueuse. Soudain il se retire, me laissant exsangue et il me dit :
- Tu es bien serrée du cul mais tu vas t’y habituer, et je vais te pilonner à mort, tu vas jouir aussi du cul, tu vas voir !
Mes mains solidement agrippées au dossier du divan, les fesses écartelées par les mains de mon tourmenteur, je suis sa chose. Il me pénètre à nouveau inexorablement, son énorme gland ouvrant le chemin à son défonce-cul, il entre de plus en plus en moi, me faisant subir le pire des supplices, celui du pal. Je serre les dents quand il me renfile son monstre ne croyant pas pouvoir le supporter.
- Aaaaahhhhh.....ouuuuhhhh....Non… non… arrête... Tu es trop gros ! Ta bite est trop dure… !
Mais ça se passe beaucoup mieux que la première fois. Je n'en reviens pas que mon cul absorbe un phallus si imposant. Il pousse toujours doucement, enfiché qu’il est dans mon cul. Enfilant les derniers centimètres les plus massifs de sa verge enfoncée au plus profond de mes entrailles, il s'immobilise à nouveau afin que je m'habitue au monstre à l'intérieur de mon rectum :
-Ça va toujours ? ¬ Ça te plait autant que dans l’autre trou ? ¬C’est pas trop douloureux ? ¬ Je n'ose pas lui dire la vérité.
- Non… mais va doucement… Prends pitié de mon cul.
Lentement il ramone mon cul enfin dilaté par sa queue si épaisse, ses couilles pendent entre mes fesses. Ses mains de part et d’autre de son manche, saisissant mes fesses qu’il écarte doucement. Il s’arrête, ressort, lubrifiant de nouveau copieusement sa bite. Il est complètement entré dans mon cul. Malgré la durée du processus, j'ai encore mal et je ne veux qu'une chose, qu'il retire son bélier de mon pauvre anus.
Je pleure toujours et le supplie d'arrêter, mais il tente plutôt de me rassurer. Il est entièrement en moi !!! Je n’aurais jamais imaginé que ma première sodomie serait avec un tel organe.
Kenza vient de nous rejoindre et je la regarde. Claude vient de me positionner en levrette pour m’enfiler par-derrière. Kenza fait les gros yeux, d’envie ou de jalousie, car il s’empale d’un coup, et se retrouve au plus profond de mon fondement. Je le sens retirer son chibre sur au moins quinze centimètres et d'un formidable coup de reins, se renfonce d'une seule poussée dans mon anus ! C'est comme un tisonnier chauffé au rouge qu’il enfonce dans mon cul. Je manque de m'évanouir sous la douleur, me demandant si ma rosette ne s’est pas déchirée ! J’ai la totalité de sa grosse et longue verge dans mes boyaux et pire.... je commence à adorer !
- Aaaah...ouiiiii....baise mon cul... mon salaud... Oh putain tu m’éclates le cul avec ta grosse trique, t’arrête-pas putain ! Oh ouuuiii!
Pour la première fois, je ressens du plaisir. Mais pour un bref instant car Claude déclare :
- À ton tour Kenza ! Je veux saillir mes deux pouliches.
A suivre : Les jumelles, Kenza et Paloma. Le trio infernal.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Une couille pour chacune
Quelle famille !
Vivement la suite,bordel !!!