Beau-papa Chapitre 5. Jean m’emmène dans une maison très spéciale.
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-03-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Beau-papa Chapitre 5. Jean m’emmène dans une maison très spéciale.
Beau-papaChapitre 5Jean m’emmène dans une maison très spéciale.
-Tu es une vraie petite salope, dis-donc ! Tu m’as mis sur les genoux, ce n’est plus de mon âge !
Je vais organiser une journée très spéciale la semaine prochaine. Prends tes dispositions pour être libre vendredi, je passerai te chercher, on commencera par aller renouveler ta garde-robe par quelques menus achats, je serai là vers 9h30, ne me fais pas attendre.
Il part une fois la chasse d’eau réparée.
Suite :Jean a monté une histoire de toute pièce pour vendredi. On doit aller se renseigner pour changer la robinetterie de la salle de bain qu’il dit à bout de souffle dans un grand magasin de la ville d’à coté.
Il doit aussi aller voir un ami qui risque de nous retenir à déjeuner, arguant que ça me changera les idées.
Bruno est d’accord d’échapper à cette corvée et belle-maman récupérera les enfants à la sortie de l’école et les gardera ce weekend.
Les jours se traînent, enfin le vendredi arrive. A l’heure convenue, je le guette derrière ma fenêtre. Je vois enfin sa voiture se garer, il en descend et se dirige vers la porte. Sitôt que je lui ouvre, il m’embrasse, m’attrape par la taille et laisse descendre son bras sur mes fesses avant de remonter sa main sous ma jupe. Il fronce soudain ses sourcils broussailleux en découvrant le tissu d’un tanga.
-Qu’est ce que c’est que ça ? Tu as déjà oublié mes préceptes ?
-Euh…tu m’as dit qu’on sortait…alors…-Alors quoi ?! J’avais dit aucun sous-vêtement quand tu es avec moi ! C’est valable même quand on doit sortir !! Tu as intérêt à retirer ça fissa !
Il me suit dans ma chambre. Baissant la tête pour me faire pardonner, je me déshabille pour retirer tanga et soutien-gorge et les laisse par terre sous ses yeux rétrécis. Je me regarde dans le miroir J’ai les tétons qui pointent et la raie des fesses bien dessinée. Au premier coup d’œil, tout le monde verra que je ne porte rien sous ma robe. J’en frissonne de gêne et de défi mélangés. Jamais je n’aurais osé ça toute seule.
Nous quittons la maison, Jean, toujours galant, m’ouvre la porte de sa voiture. Une fois sortis de la ville, il me demande de remonter ma robe découvrant complètement mes cuisses puis de me caresser pour me chauffer pendant le trajet.
Des coups de klaxon retentissent quand les chauffeurs des camions que nous doublons se rendent compte du spectacle gratuit que je leurs offre. Certains accélèrent pour profiter quelques secondes supplémentaires de la vue plongeante sur mon entrejambe où ma main s’active sur ma fente humide, me faisant des gestes obscènes. Et on se demande ensuite pourquoi il y a des accidents inexplicables !
Jean nous amène dans une ville à plus d’une heure de chez moi où je risque moins de tomber sur des connaissances car je viens rarement dans ce département limitrophe.
-Pour ce qui est de tes robes, tu verras avec Laetitia, ta meilleure copine. Elle au moins sait se mettre en valeur, robe bien échancrée et pas trop longue pour mettre en valeur ses belles jambes. Je suis sûr qu’elle sera d’accord. Mais pour le reste, je connais une excellente adresse !
Il s’arrête dans une petite rue à l’écart du centre devant une boutique de lingerie. On dirait que c’est un endroit qu’il fréquente assez régulièrement car il salut la patronne. Elle lui répond par un :
-Bonjour Monsieur Jean ! En visite dans notre belle ville ?
-Bonjour Christine, je te présente ma belle-fille Lucie. Elle va avoir besoin d’être relookée, mon fils ne supporte plus de voir ma bru avec ses dessous moches qu’elle affectionne. Je connais tes talents, je la laisse donc entre tes mains, je reviendrai dans une heure!
Je suis déçue qu’il me laisse seule mais madame Christine ne me laisse pas le temps de me faire une raison. Elle me fait tourner devant elle devinant sans même prendre mes mensurations.
-Bien, bien… Je ne sais pas les goûts du fils de Jean mais je vais faire comme si c’était pour son père. Un bel homme, non ? Je vais vous faire essayer quelques ensembles, passez dans la cabine d’essayage, je reviens tout de suite…
Pendant l’heure qui suit, j’essaie des dessous plus sexy les uns que les autres, certains sont de vrais pousse au viol tellement ils sont si aguichants.
Quand Jean revient enfin, je l’attends avec quelques paquets. Comme un bon prince, il règle la note sans même me demander mon avis et fait un compliment à Christine.
-Je suis certain que tu t’es encore surpassée, chère amie, à la prochaine…Il la salue et nous regagnons la voiture.
-Très bien Lucie ! Je suis sûr que Christine a fait les bons choix pour toi, il n’y a pas plus douée qu’elle à 200 Kilomètres à la ronde ! Bon…, maintenant on va passer à la quatrième leçon mais je ne suis plus assez jeune pour te la prodiguer. Pour cela, je me suis adressé à monsieur Paul. Mais comme d’habitude, je te demande encore de me faire confiance. A toi de voir…-De quoi s’agit-il ?
-Tu ne le sauras qu’une fois arrivée à destination, mais tu te doutes quand-même un peu de ce qu’il va se passer.
-Non…enfin si. Mais j’ai un peu peur !
-Tu sais très bien que s’il y avait le moindre risque, je ne te le proposerais pas, alors ?
Après un moment d’hésitation, je me décide enfin :-Je suis allé trop loin pour tout arrêter maintenant, c’est donc oui.
Il sort de la ville et on se retrouve quelques minutes plus tard devant la grille d’une grande propriété, il klaxonne et le portail s’ouvre automatiquement. La voiture roule dans une allée gravillonnée et stoppe dans la cour d’une grosse maison bourgeoise. Il me fait descendre de la voiture et monter un escalier majestueux avant de sonner à la porte.
Un homme de son âge nous ouvre et nous fait entrer dans le hall de la maison. Il salue Jean et me fait un baisemain. Je sens son regard me déshabiller des pieds à la tête.
-Très honoré mademoiselle, entrez au salon je vous prie !
Cet homme a l’air d’être aussi galant que Jean, c’est un peu rassurant mais je redoute la suite.
Beau papa me tend les paquets de lingerie qu’il a pris sur la banquette arrière de la voiture.
Il m’indique une porte au fond de la pièce et me glisse à l’oreille :
-Ma chérie, Va passer l’ensemble le plus sexy puis revient nous rejoindre!
Devant mon hésitation, il insiste en indiquant d’un coup de tête la porte et j’obéis enfin à sa demande.
C’est une grande bibliothèque remplie de vieux bouquins avec un bureau et deux vieux fauteuils.
Je sors de mes paquets un ensemble avec une guêpière noire, un porte-jarretelles, des bas noirs et un mini string, le contraste avec ma peau blanche me plait bien.
J’observe mon reflet dans un miroir situé au dessus de la cheminée. La mère de famille est habillée comme une pute faisant le trottoir au bois de Boulogne.
Je remets mes escarpins, prends une grande respiration pour me donner du courage et ouvre la porte. Je les rejoins dans le salon, ils sont assis dans des fauteuils cossus en pleine discussion.
Le claquement de mes talons attire leur regard et leur conversation s’interrompt.
-Avance jusqu’au centre de la pièce, me demande Jean, et tourne sur toi-même !
Je lui obéis, sentant les regards des deux hommes posés sur moi.
-Mmmhhh ! Vraiment magnifique ! Tu n’avais pas exagéré… Ta belle-fille est superbe Jean… je ne peux pas croire ce que tu m’as dit, qui ne veut pas d’un lot de premier choix pareil ? Il y a vraiment des cons sur terre !
-Je ne t’avais pas menti…et Christine c’est encore surpassée!
-Tu reviens la prendre à quelle heure ?
-Je dois aller voir un ami, mon alibi, je ne reviendrai pas avant plusieurs heures.
Mais que dit-il ? Jean ne va pas me laisser seule avec cet inconnu? Je ne veux pas…
A suivre…
-Tu es une vraie petite salope, dis-donc ! Tu m’as mis sur les genoux, ce n’est plus de mon âge !
Je vais organiser une journée très spéciale la semaine prochaine. Prends tes dispositions pour être libre vendredi, je passerai te chercher, on commencera par aller renouveler ta garde-robe par quelques menus achats, je serai là vers 9h30, ne me fais pas attendre.
Il part une fois la chasse d’eau réparée.
Suite :Jean a monté une histoire de toute pièce pour vendredi. On doit aller se renseigner pour changer la robinetterie de la salle de bain qu’il dit à bout de souffle dans un grand magasin de la ville d’à coté.
Il doit aussi aller voir un ami qui risque de nous retenir à déjeuner, arguant que ça me changera les idées.
Bruno est d’accord d’échapper à cette corvée et belle-maman récupérera les enfants à la sortie de l’école et les gardera ce weekend.
Les jours se traînent, enfin le vendredi arrive. A l’heure convenue, je le guette derrière ma fenêtre. Je vois enfin sa voiture se garer, il en descend et se dirige vers la porte. Sitôt que je lui ouvre, il m’embrasse, m’attrape par la taille et laisse descendre son bras sur mes fesses avant de remonter sa main sous ma jupe. Il fronce soudain ses sourcils broussailleux en découvrant le tissu d’un tanga.
-Qu’est ce que c’est que ça ? Tu as déjà oublié mes préceptes ?
-Euh…tu m’as dit qu’on sortait…alors…-Alors quoi ?! J’avais dit aucun sous-vêtement quand tu es avec moi ! C’est valable même quand on doit sortir !! Tu as intérêt à retirer ça fissa !
Il me suit dans ma chambre. Baissant la tête pour me faire pardonner, je me déshabille pour retirer tanga et soutien-gorge et les laisse par terre sous ses yeux rétrécis. Je me regarde dans le miroir J’ai les tétons qui pointent et la raie des fesses bien dessinée. Au premier coup d’œil, tout le monde verra que je ne porte rien sous ma robe. J’en frissonne de gêne et de défi mélangés. Jamais je n’aurais osé ça toute seule.
Nous quittons la maison, Jean, toujours galant, m’ouvre la porte de sa voiture. Une fois sortis de la ville, il me demande de remonter ma robe découvrant complètement mes cuisses puis de me caresser pour me chauffer pendant le trajet.
Des coups de klaxon retentissent quand les chauffeurs des camions que nous doublons se rendent compte du spectacle gratuit que je leurs offre. Certains accélèrent pour profiter quelques secondes supplémentaires de la vue plongeante sur mon entrejambe où ma main s’active sur ma fente humide, me faisant des gestes obscènes. Et on se demande ensuite pourquoi il y a des accidents inexplicables !
Jean nous amène dans une ville à plus d’une heure de chez moi où je risque moins de tomber sur des connaissances car je viens rarement dans ce département limitrophe.
-Pour ce qui est de tes robes, tu verras avec Laetitia, ta meilleure copine. Elle au moins sait se mettre en valeur, robe bien échancrée et pas trop longue pour mettre en valeur ses belles jambes. Je suis sûr qu’elle sera d’accord. Mais pour le reste, je connais une excellente adresse !
Il s’arrête dans une petite rue à l’écart du centre devant une boutique de lingerie. On dirait que c’est un endroit qu’il fréquente assez régulièrement car il salut la patronne. Elle lui répond par un :
-Bonjour Monsieur Jean ! En visite dans notre belle ville ?
-Bonjour Christine, je te présente ma belle-fille Lucie. Elle va avoir besoin d’être relookée, mon fils ne supporte plus de voir ma bru avec ses dessous moches qu’elle affectionne. Je connais tes talents, je la laisse donc entre tes mains, je reviendrai dans une heure!
Je suis déçue qu’il me laisse seule mais madame Christine ne me laisse pas le temps de me faire une raison. Elle me fait tourner devant elle devinant sans même prendre mes mensurations.
-Bien, bien… Je ne sais pas les goûts du fils de Jean mais je vais faire comme si c’était pour son père. Un bel homme, non ? Je vais vous faire essayer quelques ensembles, passez dans la cabine d’essayage, je reviens tout de suite…
Pendant l’heure qui suit, j’essaie des dessous plus sexy les uns que les autres, certains sont de vrais pousse au viol tellement ils sont si aguichants.
Quand Jean revient enfin, je l’attends avec quelques paquets. Comme un bon prince, il règle la note sans même me demander mon avis et fait un compliment à Christine.
-Je suis certain que tu t’es encore surpassée, chère amie, à la prochaine…Il la salue et nous regagnons la voiture.
-Très bien Lucie ! Je suis sûr que Christine a fait les bons choix pour toi, il n’y a pas plus douée qu’elle à 200 Kilomètres à la ronde ! Bon…, maintenant on va passer à la quatrième leçon mais je ne suis plus assez jeune pour te la prodiguer. Pour cela, je me suis adressé à monsieur Paul. Mais comme d’habitude, je te demande encore de me faire confiance. A toi de voir…-De quoi s’agit-il ?
-Tu ne le sauras qu’une fois arrivée à destination, mais tu te doutes quand-même un peu de ce qu’il va se passer.
-Non…enfin si. Mais j’ai un peu peur !
-Tu sais très bien que s’il y avait le moindre risque, je ne te le proposerais pas, alors ?
Après un moment d’hésitation, je me décide enfin :-Je suis allé trop loin pour tout arrêter maintenant, c’est donc oui.
Il sort de la ville et on se retrouve quelques minutes plus tard devant la grille d’une grande propriété, il klaxonne et le portail s’ouvre automatiquement. La voiture roule dans une allée gravillonnée et stoppe dans la cour d’une grosse maison bourgeoise. Il me fait descendre de la voiture et monter un escalier majestueux avant de sonner à la porte.
Un homme de son âge nous ouvre et nous fait entrer dans le hall de la maison. Il salue Jean et me fait un baisemain. Je sens son regard me déshabiller des pieds à la tête.
-Très honoré mademoiselle, entrez au salon je vous prie !
Cet homme a l’air d’être aussi galant que Jean, c’est un peu rassurant mais je redoute la suite.
Beau papa me tend les paquets de lingerie qu’il a pris sur la banquette arrière de la voiture.
Il m’indique une porte au fond de la pièce et me glisse à l’oreille :
-Ma chérie, Va passer l’ensemble le plus sexy puis revient nous rejoindre!
Devant mon hésitation, il insiste en indiquant d’un coup de tête la porte et j’obéis enfin à sa demande.
C’est une grande bibliothèque remplie de vieux bouquins avec un bureau et deux vieux fauteuils.
Je sors de mes paquets un ensemble avec une guêpière noire, un porte-jarretelles, des bas noirs et un mini string, le contraste avec ma peau blanche me plait bien.
J’observe mon reflet dans un miroir situé au dessus de la cheminée. La mère de famille est habillée comme une pute faisant le trottoir au bois de Boulogne.
Je remets mes escarpins, prends une grande respiration pour me donner du courage et ouvre la porte. Je les rejoins dans le salon, ils sont assis dans des fauteuils cossus en pleine discussion.
Le claquement de mes talons attire leur regard et leur conversation s’interrompt.
-Avance jusqu’au centre de la pièce, me demande Jean, et tourne sur toi-même !
Je lui obéis, sentant les regards des deux hommes posés sur moi.
-Mmmhhh ! Vraiment magnifique ! Tu n’avais pas exagéré… Ta belle-fille est superbe Jean… je ne peux pas croire ce que tu m’as dit, qui ne veut pas d’un lot de premier choix pareil ? Il y a vraiment des cons sur terre !
-Je ne t’avais pas menti…et Christine c’est encore surpassée!
-Tu reviens la prendre à quelle heure ?
-Je dois aller voir un ami, mon alibi, je ne reviendrai pas avant plusieurs heures.
Mais que dit-il ? Jean ne va pas me laisser seule avec cet inconnu? Je ne veux pas…
A suivre…
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