Beau-papa et Co - Chapitre 4 : Christian et Mariko nous entraine en Asie.

- Par l'auteur HDS Charime -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Beau-papa et Co - Chapitre 4 : Christian et Mariko nous entraine en Asie. Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-04-2021 dans la catégorie Fétichisme
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Beau-papa et Co - Chapitre 4 : Christian et Mariko nous entraine en Asie.
Chapitre 4 : Christian et Mariko nous entraine en Asie.

Un mois plus tard, forte de mon nouveau passe-porc, je me présente à la douane de l’aéroport. Nous partons pour l’Asie, en Corée du Sud, la première étape d’une longue série de représentation pour Christian et Mariko. Dans l’avion, en première classe, mon chéri et futur époux me caresse déjà. Oh, j’ai prévu le coup, dessous fendu sous une robe courte, mais pas trop. Vous voyez, quand on aime baiser, faut penser à tout. Le vol va être long avant d’arriver à Seoul. Avec Christian et Mariko juste derrière nos sièges, cela risque même d’être long et particulièrement plaisant. Au moment des plateaux repas, que du bon, du coréen, Christian vient s’assoir, avec Mariko, près de nous. Il est temps qu’il nous dévoile le programme, un programme très chargé qu’ils nous annoncent. Je ne vais pas vous écrire tout le programme, mais sachez que cela représente environ plus d’une centaine de représentations à travers l’Asie. Le confort de cette première classe me donne plus envie de me reposer que de baiser. Ce qui, en soit, ne peut être que bénéfique. Du coup, je n’entends pas la fin des explications de Christian. Ma tête contre l’épaule de mon futur, je m’endors.

Un baiser sur ma joue me réveille tout en douceur. Tout ce que j’avais pensé faire durant ce voyage est tombé à l’eau, cela dit, ce n’est que partie remise. À terre, la douane passée, Christian et Mariko semble plus à l’aise que mon Alain et moi. Faut dire que la langue ne nous est réellement pas familière. Devant un chauffeur, ben il porte tout ce qu’il faut pour l’être. Christian discute, heureusement, en anglais dans le titre. Nous montons dans une belle limousine, du genre tous derrière et lui… devant. Merci Monsieur Brassens. Ce chauffeur roule tout en douceur, sans excès. Cela nous laisse le temps de regarder cette ville extraordinaire. Devant un palace, c’est à peine si je peux y croire, nous descendons de voiture. Ce n’est pas une ridicule chambre dans laquelle nous pénétrons, mon homme et moi, non, ce n’est rien de moins qu’une immense suite avec deux immenses chambres. Derrière nous, devant nos mines éberluées, Christian et Mariko éclatent de rire. C’est qu’ils ont l’habitude de loger dans de pareilles suites, eux, ces enfoirés.

On va se la partager à quatre. Du coup, Mariko et moi, nous décidons de nous faire belles pour nos hommes. La salle de bain, rien qu’elle, elle possède une baignoire si grande qu’une fois pleine, on y tient facilement à quatre et même un peu plus et sans se serrer. Une fois cette baignoire pleine, c’est plus fort que nous, il nous faut nos hommes. Dans le bain, tous les quatre, pour la première fois de ma courte vie, je baise à l’étranger, à des milliers de kilomètres de mon lieu de naissance. Je prends d’autant plus de plaisir que me voilà avec deux bites dans mon corps. Nota bene, tenter ces deux queues dans mon cul ou mon sexe, je ne devrais pas détester. Oups, je crois l’avoir dit à haute voix. Les voilà qui forcent mon cul d’une main pour me faire le passage. Yes, ça rentre et Mariko me donne son abricot à dévorer. Doublement enculée, je me délecte de cette moule odorante de son long voyage. Et là, complètement conne, je me dis que mon cul va déborder s’ils jouissent dans mon fion et ensemble. Et ils jouissent, mon cul débordent de foutre et là, mes deux hommes se mettent à me le bouffer de concert. Putain, ce qu’ils m’étonnent, ces deux lascars. Je sens leurs langues plonger dans mon fion, ma chatte, j’adore. Et je le clame en explosant une fois de plus. Mariko est ensuite prise à l’identique. La belle me hurle dans les oreilles et nos deux étalons la défoncent encore plus violement. Quand l’estomac de Christian hurle famine, c’est la débandade, on éclate de rire et cela se reproduit avec celui de mon Alain. Putain, c’est mon tour d’entendre mon ventre grogner et dieu sait si j’ai bien déjeuner pourtant. En anglais, par le téléphone, je nous commande de quoi nous remplir nos estomacs et nous redonner de l’énergie pour continuer. Une petite heure après, quatre personnes du palace débarquent poussant des chariots remplis de bonnes choses. Que du local nous assure celui qui semble être le chef. Il en est qui ne cesse de nous reluquer, Mariko et moi. Et pour cause, nous sommes en peignoir, rien de plus. Son coup de coude à son voisin et collègue est remarqué par ce cheffe qui lui fait les gros yeux. Quand il se retourne vers nous, le pan de nos peignoirs a glissé malencontreusement sur le côté, dévoilant nos intimités à ma Mariko et moi. Là, c’est à son tour de donner un léger coup de coude à celui qu’il fustigeait du regard. Un fou rire envahit le salon de la suite. Le pauvre, dépité, prend congé avec ses aides. Ce qui nous laisse à penser qu’il va y avoir distribution de savon.

Ma fois, la cuisine coréenne n’est de loin pas dégueu. Même si je ne sais pas toujours ce que je mange. Si quelque chose ne me plait pas, je me rabats sur la boisson, un petit alcool de derrière les fagots, un régale avec la fâcheuse envie de te saouler. Mariko et moi, on s’en boit deux bouteilles chacune et nous voilà complétement pompette. Heureusement, il n’y a pas de représentation ce soir, décalage horaire oblige. Nous nous endormons comme des soulardes, des pochtronnes.

En me levant, j’ai l’impression d’avoir bu dix fois plus. Et puis, j’ai dû ronfler comme une machine à vapeur, j’ai la bouche ensablée. Près de moi, Mariko ronfle encore. Je ne la réveille pas, pas la tête à foutre la merde. Un coup d’œil dans l’autre piaule, mes deux hommes dorment ensemble. Non, pas comme un couple, oh ! Bon, une douche, une aspirine et me revoilà pétant le feu. Je m’habille, pose un mot sur la table du salon et je sors prendre l’air. Je fais le tour de de ce palace, le quartier est un quartier d’affaire à voir le nombre d’enseignes de firmes internationales. Je me trouve un petit troquet sympa. Je me paie un déjeuner local et c’est juste excellent. Mon anglais un peu léger m’aide bougrement. La serveuse fait aussi de gros efforts pour me comprendre. Même si cela prend un peu plus de temps. Bref, après ça, je me rentre. Je découvre tout ce petit monde sur le point de sortir, il n’y a qu’Mariko qui ne semble pas au mieux de sa forme.

La même limousine nous embarque, il n’y a que le chauffeur qui n’est pas le même. Devant un théâtre, Christian nous conduit directement à l’entrée des artistes. Salué par le portier, il nous laisse entrer. Une femme portant un superbe costume de cadre supérieur nous conduit à la loge de Christian. Ben mon colon, ce n’est pas une loge, c’est plus grand que le studio que nous avions, Alain et moi. Puis, mon Christian satisfait, nous montons sur scène. Punaise la salle, pas une petite de cent et quelques spectateurs. La vache, cet énorme.

De retour dans la loge, Mariko semble encline à vouloir avoir son quota de queue dans son corps. Et moi, eh bien, j’ai envie de lui bouffer son cul. La porte verrouillée, elle se jette sur nos hommes. Les zobs tendus, elle se fait enfiler par les deux dans sa chatte et ça passe. Moi, je me contente de son cul à la manière acrobatique. Du coup, une bouche me déguste mon minou, Christian, un délice. Je n’oublie pas mon Alain qui m’enfonce sa langue dans mon cul qui adore, complètement détendu pour mieux sentir mon homme. À plusieurs reprises, on frappe à la porte. Comme on baise, on s’en moque. Les positions changent, les mecs se mettent à nous tringler comme des bêtes, tout ce que nous aimons, nous, leurs salopes. Ils nous baisent à ne plus pouvoir. Il faut que le théâtre ferme pour que cela nous oblige à plier bagage.

Dès le lendemain, on se retrouve sur la scène, je joue le cobaye, mon Alain est derrière sa régie et Mariko prépare quelque chose sans ne rien nous dire, ni nous dévoiler de son petit numéro. Christian, d’après mon Alain, parvient à m’hypnotiser sans aucune difficulté. Comme nous sommes en comité restreint, il me fait dire tout de mes fantasmes, de mes désirs enfouis, de mes envies. Et mon enfoiré de mec, mon Alain, enregistre tout. Pire encore, sans ne rien sentir, Mariko m’attache, m’enserre dans ses cordes et il parait même que je prends mon pied. S’il me fait oublier tout de mes fantasmes et le reste, il me laisse ce souvenir des cordes et me réveil. Je me retrouve dans les cordes de ma salope de japonaise sans rien y comprendre. La sensation, elle, elle est bien présente et j’adore sentir cette corde qui m’écrase ma chatoune, mes seins. Ma belle japonaise en profite pour m’embrasser en passant ses mains sous ma jupe. Elle me fait atteindre des sommets quand j’explose de bonheur sous les yeux de mon futur époux. Sur ma poitrine qu’elle dégage, elle me coule de la cire, j’adore, j’aime et le hurle. C’est là que mon Alain envoie la bande avec toutes les conneries que j’ai dit sous hypnose. Oh putain, je veux subir tout ça moi ? Non, pas ça… Si, et ça aussi, oh la vache… Et là, je prie afin que nous soyons seuls dans ce théâtre sous peine de passer réellement pour une salope… oui, enfin, salope, j’en suis une mais pas encore comme ce que j’ai dit sur cet enregistrement. Pendant que Mariko me délivre, je peux me masser mes seins devenus terriblement sensible sous la cire. C’est si sensible que je parviens à me faire jouir sans même toucher à mon sexe. C’est merveilleux, génial, fantastique.

- Ma chérie, pour la prochaine fois, inutile que ton homme m’hypnotise, ok !

- Tu étais si belle, si émouvante quand tu te disais prête à devenir plus chienne encore, subir mes cordes et j’en passe. Même notre Alain était ému, c’est dire.

- Elle a raison. Tu vois, j’ai demandé à mon père de te faire dire tout ce que tu avais envie de faire avec nous deux. Tu as même expliqué vouloir subir le shibari d’Mariko de manière mordante. Là, elle ne l’a pas fait. Cela dit, attends-toi à être dans la course, une fois au Japon.

- Comment ça ?

- Ma chérie, là-bas, je ne fais pas que des spectacles comme celui que je donne ce soir. Je visite aussi des club fétichiste ou j’hypnose des hommes et des femmes afin qu’ils nous disent ce qu’ils désirent le plus au monde. Et puis, avec Mariko, nous avons un numéro. Normalement, c’est moi qui suis sa victime. Sauf que mon dos me fait un peu trop souffrir. Alors, on voulait te demander sans que tu ne sois sous hypnose, si tu voulais me remplacer dans les cordes. Je ne te cache pas que Mariko aime pousser le jeu assez loin.

- Mais bordel, vous ne pouviez me le demander avant ? Non mais merde quoi, si j’ai suivi mon homme, c’est bien pour ne pas vous quitter, être des vôtres, dans la combine et même jusqu’au cou s’il le faut. Alors, dites, on répète quand-là ?

- Ben c’est fait, tu vois. Maintenant, je vais aller me préparer, ma douce Christelle. Ce soir, vous serez assis comme spectateur. Je ne peux vous faire venir sur scène, cela paraitrait bizarre, truqué, tu comprends ?

- Ça oui, je ne suis pas tout à fait idiote non plus.

- Oh ça non, ma biche. Mais dis-moi, tu as aimé les cordes ?

- Oui mon agneau d’amour. J’aurais même aimé si tu m’avais enculé et à sec, tu vois !

- Ok, bon, on mange et file à l’hôtel se changer.

Changée, pomponnée, je rejoins mon homme qui se rase pour lui faire une turlute en guise de vengeance. À entendre, nous ne sommes pas les seuls à prendre notre pied. Penchée sur mon homme, il me caresse mon cul. Il me crache son sperme dans la bouche, je me redresse et l’embrasse la bouche pleine de son foutre. Cet enfoiré adore ça en plus, c’est le paradis. Puis, je me fais geisha en l’habillant lentement, avec grâce et amour. Je le chausse, fais son nœud de cravate et le réussis du premier coup, nickel. Ensuite, on rejoint tous la limousine, chacune au bras de son mec. Dans la voiture, on reste sage comme des images, discutant de tout et de rien. Je vois Christian commencer à se concentrer. Parfois, ses mains dessinent comme des arabesques devant lui. Il est sublime comme ça.

Au théâtre, nous entrons avec lui, par la petite porte. Nous n’allons pas à la loge, préférant le laisser se concentrer. Nous, après un verre, nos cartons en main, on se prépare à gagner nos places réservées. Mon Alain coincé entre nous, ses salopes, c’est tout juste si on ne le viole pas. Faut dire que la salle commence à peine à se remplir. Alain nous abandonne pour rejoindre son poste.

Les trois coups sont frappés, une superbe présentatrice s’avance sur la scène. Sans aucun papier, elle donne le programme avant de faire l’éloge de Christian. Elle le fait en deux langues, ouf, coréen et anglais. Ça fait que je comprends tout. Ensuite, un orchestre fait son entrée, il est la première partie de la soirée. Après quelques morceaux, des reprises, il se retire presque sous les huées des spectateurs, tous acquis à Christian qu’ils réclament.

Quand il rentre, c’est un silence de plomb. Pour un peu, on entendrait une mouche voler au plafond. Dans son costume, il est encore plus magnifique. Il s’incline. Près de nous, trois femmes sont debout, prête à courir vers lui y subir son hypnose. Mais il ne les regarde pas, il descend dans la salle, va dans le fond, son micro à la main. Nous ne le voyons plus de nos places. Mais sa voix raisonne. Christian choisit ses cobayes lui-même. Il sait qui peut ou ne peut être sous hypnose. Il revient, change de rangée pendant que trois candidats montent sur scène avec une hôtesse qui les précède. Il choisit encore trois femmes et un homme qu’il guide personnellement auprès des autres.

Une fois devant ses invités, une douce musique crée l’ambiance. Il s’avance devant un homme, le fixe, lui parle. Je précise, il parle en coréen, notre Christian. Je suis excitée de voir la suite. En fait, la main de Mariko peut en témoigner, je suis excitée tout court. L’homme ne tarde pas à tomber sur une chaise et à répondre à tous les ordres et questions de Christian. Le délaissant, il passe au suivant et ainsi de suite. Il fait son numéro que je ne vais décrire, car très long mais diabolique. Surtout quand il fait embrasser deux femmes ensembles. Mariko me regarde et nous les imitons.

Le spectacle tire à sa fin, le dernier cobaye sorti de sa torpeur, il ne se souvient de rien ou presque. Tous remercient le Maître de l’hypnose et la salle se lève pour applaudir. Mariko et moi, nous rejoignons Alain qui commence à couper sa régie au fur et à mesure que certains quittent la salle. Il nous fait voir les chiffres, le nombre de spectateur, le nombre et la durée des applaudissements, c’est juste infernal son truc. Enfin, nous rejoignons la loge, Mariko possède le double de la clef. Devant la porte, un monceau de bouquets de fleur, de cartes en tout genre, de présents et tous pour Christian. On rentre le tout dans la loge et l’attendons. Mariko m’avertit que ça va prendre du temps car il se doit à ses admirateurs. Et donc une séance d’autographe se déroule dans l’entrée du théâtre. Il dédicace son livre. Oh, il a aussi écrit un bouquin !

De retour à notre palace, on se paie une bonne bouffe. Christian semble visiblement épuisé et Mariko confirme que ce genre de représentation le fatigue énormément. Mais je n’en dirais pas autant de son appétit sexuel, il a sa main entre me cuisse, l’enfoiré. S’il continue, et je ne demande que ça, je vais jouir.

Pour faire court, je ne vais pas vous raconter le Cambodge, le Vietnam. Je passe directement au Japon. Là, je sais déjà que je vais passer à la casserole et sur la scène d’un ou deux clubs. Du moins dans la capitale. C’est dans ce pays que Christian et Mariko vont donner le plus de représentations. Si certaines seront faites que d’hypnose, celles dans les clubs m’attirent nettement plus. Du reste, Mariko veut que nous répétions, toutes les deux. C’est dans une petite salle louée pour l’occasion qu’elle pratique son art sur moi. Je ne suis pas nue, la salle n’est pas ce qu’il y a de plus chaude. Dès cette corde sur mon corps, je m’abandonne, laissant mon corps sous l’emprise de Mariko. Il n’y a rien à redire, ses cordes passent exactement sur toutes mes zones érogènes. Quand une corde glisse sur mon sexe, je jouis une première fois. Des orgasmes, Mariko va m’en offrir des dizaines, de quoi m’épuiser. La finale de son numéro arrive, elle me penche en avant, me dégage mon cul et me fouette de son martinet. Oh, ce n’est pas violent, non, mais cela suffit à me faire jouir encore une fois.

- Le vrai final, je ne serais pas aussi douce, ma chérie. Pour le moment, je ne veux pas rougir trop ton corps. Encore une chose, tu ne pourras pas être sur scène à chacune de nos représentations. Disons une fois sur deux ou trois. Il faut donner le temps à ton corps de récupérer. Pour toi, ce genre de numéro est très physique, tu sais.

- Tu sais très bien que même rougie de partout, je suis prête à plus parce que j’ai confiance en toi et Christian.

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