Beau papa. Lucie se venge de sa belle-soeur: 14
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-09-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Beau papa. Lucie se venge de sa belle-soeur: 14
Beau-papaChapitre 14Je me venge de ma belle-sœur.
Bonjour,Je reviens à vous pour vous compter, après mon initiation avec mon beau-père Jean, la vengeance que j’ai ourdie contre la sœur de mon mari, Brigitte.
Si vous vous souvenez, mon mari Bruno me trompant comme c’est pas permis, j’ai eu la chance que son père ne soit pas si con que lui et me prenne en pitié. Par un concours de circonstances, J’ai découvert avec lui ce que c’est de « faire l’amour », savoir s’occuper du plaisir de son partenaire avant son propre plaisir et le plus important, atteindre l’orgasme...
Il m’a aussi fait connaître des lieux et des gens que le commun des mortels ne fréquente guère.
Je me suis vengée de mon mari, mais il y a une autre personne avec qui je veux aussi prendre ma revanche, ma belle-sœur, Brigitte, toujours prête à défendre son frère contre vents et marées, affirmant que c’était de ma faute si je n’arrivais pas à le satisfaire sexuellement. Jean m’a portant prouvé que son fils s’y prenait comme un manche.
Je sais pourtant pertinemment qu’elle ne se prive pas comme son frère de donner des coups de canif dans le contrat de mariage avec son compagnon Anthony.
Elle a fini par s’apercevoir lors d’une réunion familiale, que j’allais beaucoup mieux et elle m’a prise à part pour en demander la raison :
-Alors ! Tu as reconquis Bruno ? Tu rayonnes comme une femme comblée.
-Non Brigitte ! Comme toi avec Anthony, maintenant je lui fais porter des cornes, et pas des petites.
-Ah ! C’est pas que je veuille défendre mon frère mais il l’avait bien cherché. J’espère que tu as trouvé LE bon coup, moi je papillonne mais y en a pas un pour racheter l’autre. Je dirais oui tout de suite pour un vrai étalon qui tienne plus de cinq minutes. Tous des couilles molles !!!
Je ne vais quand même pas lui avouer que je me suis tapé son père et que c’est un bon coup. Mais si j’arrive à mes fins, elle va dérouiller cher avec Claude, (lire : Le mâle dominant). Mais comment l’amener à ce que ce soit elle qui croit que… ? Je ne peux quand même pas lui révéler que c’est par l’entremise de son père Jean que j’ai fait la connaissance de Claude:
-Moi j’en connais peut-être un… Une copine m’a un jour parlé de la nuit qu’elle a vécue avec un vrai phénomène. Il commence même à avoir une sacrée réputation dans ma région.
-Et tu crois que tu pourrais me le présenter ? M’interroge Brigitte. Moi, je suis comme saint Thomas, les « on dit » tu sais… -Je veux bien essayer de le contacter, Brigitte, après, je ne sais pas s’il acceptera.
Eh voilà…emballez, c’est pesé. Elle a avalé l’hameçon et la ligne avec. Maintenant, je vais contacter Claude et lui donner quelques consignes.
Une semaine après, je me retrouve donc avec Brigitte dans un quartier de banlieue, je sonne à la porte d’une belle villa avec piscine, la porte s’ouvre et nous nous retrouvons devant Claude.
Pour ceux qui n’ont pas lu les épisodes précédents, il ressemble à un ado attardé avec de l’acné, il est à peine plus grand que Brigitte qui n’est pas bien grande, elle non plus. Elle a une petite poitrine et un fessier guère plus imposant, elle est vêtue d’un pantalon ultra moulant et d’un petit top trop étroit pour essayer de mettre en valeur ses petits seins et elle a le nombril à l’air. Moi, j’ai passé une jupe mi-cuisses et un top assez strict.
-Bonjour jeune homme! Nous avons rendez-vous avec Claude, il est ici ?
Il ne nous répond même pas et nous fait entrer dans un patio gigantesque.
-Attendez ici !
Nous nous installons et commençons à patienter. Les minutes passent, un quart d’heure…une demi-heure. Brigitte commence à s’impatienter.
-Il se prend pour qui ton Claude ? Un ministre à nous faire poireauter comme ça dans son antichambre ?!
Elle ne sait pas que Claude suit mes consignes. Nous avons vue sur la piscine où il vient de plonger et fait des longueurs. Brigitte n’y tient plus, se lève et s’approche du bassin pour l’invectiver :
-Eh, petit con ! Tu es sûr qu’il va venir, cet abruti de Claude ? Il va m’entendre…La réponse fuse toute en douceur et avec beaucoup de calme :-Mais le petit con et l’abruti sont déjà là, chère madame. Si vous m’aviez demandé mon prénom, je vous aurais répondu que le mien est Claude.
Brigitte se tourne alors vers moi et m’injurie :-C’est ça ton étalon ? Un petit merdeux qui pourrait être mon fils ? Tu t’es bien fichue de moi et je suis bien conne d’avoir marchée ! Je fous le camp !
Elle se dirige alors vers la sortie mais Claude la rattrape par un bras, la retourne et lui colle une baffe.
-Pour qui te prends-tu pour injurier les gens ? D’après ce que j’ai compris, tu as accepté de venir ici sans contrainte pour te faire sauter. Il est hors de question que tu repartes colporter ton fiel. Avant de dire : »J’aime pas », il faut déjà goûter au plat !
-Et tu crois, lui rétorque Brigitte, qu’un petit merdeux comme toi peut contenter une vraie femme ? Regarde-toi…tu es gaulé comme une crevette boutonneuse à peine sortie de la puberté ! T’as encore du lait qui te sort des narines si je les presse. Si ta limace est dans les mêmes proportions…Elle lui colle la main entre les cuisses pour soupeser la chose.
-Mais c’est qu’il bande déjà le petit morveux ! Bon, c’est d’accord, tu as l’air bien monté quand même mais encore faut-il savoir s’en servir !
-Au lieu de pérorer comme une dinde, la coupe Claude, passe toi-même à l’acte, tu es tout en gueule !
Brigitte, vexée par les réparties de Claude, veut lui retourner sa baffe, mais il immobilise sa main qu’il ramène à son entrejambe.
-Si tu veux avoir les réponses à tes questions, c’est plutôt là que ça se passe…retire-moi mon maillot de bain !
Brigitte ne sait que faire mais reprend vite ses esprits et s’attaque à son slip qu’elle fait descendre le long des cuisses de Claude, découvrant un tuyau déjà gonflé. Elle s’attend à ce que l’engin bondisse aussitôt libéré de l’entrave du slip, mais la bête reste sagement entre les cuisses de Claude.
-Et en plus il bande mou, s’éclaffe Brigitte en me regardant, c’est ça ton étalon ?
-C’est ce qu’on m’a affirmé, je lui rétorque, riant sous cape, essaie de le branler pour voir s’il arrive à bander un peu plus dur.
-Au point où j’en suis…il ne sera pas dit que j’ai fait ce déplacement pour rien !
Brigitte prend la queue dans ses mains et commence à la branler. Qu’elle n’est pas sa surprise en constatant que l’organe réagit lentement à la sollicitation, prenant de la grosseur, se rigidifiant en s’allongeant encore et encore. La verge devient énorme en se redressant petit à petit, atteignant la dimension peu commune de 26 cm, ce qui est déjà impressionnant, mais le contraste de ce sexe disproportionné sur ce garçon, d’une stature mince, presque délicate, est incroyable.
-Putain de merde ! S’extasie Brigitte en lâchant la bête, l’air stupide et hébétée de voir une teub si volumineuse sur ce corps fluet d’ado boutonneux. Elle ne peut plus quitter des yeux ce sexe monumental, raide comme la justice et pratiquement plaqué contre le ventre de Claude.
-C’est pas possible ça ! Il s’est fait greffer une teub de Black !
-Il ne faut jamais dire : « Fontaine, je ne boirai pas de ton eau », je lui fais remarquer. Tu as vu ta réaction au début ? Tu ne lui aurais pas accordé une seconde de ton temps si tu l’avais croisé dans la rue, et maintenant tu t’extasies en voyant ce qu’il a entre les jambes, la plus monstrueuse queue que j’ai jamais vue… Et il parait qu’il sait drôlement bien s’en servir !
Je ne peux pas lui dire que je connais déjà cette barre à mine et la paire de couilles magnifique qui ballote dessous.
-OK, c’est une belle poutre, reconnait Brigitte, je dois reconnaître que moi non plus, je n’en ai jamais vu d’aussi grosse, mais comme dit le proverbe, « il vaut mieux en avoir une petite courageuse qu’une grosse paresseuse » Décidément, elle ne peut s’empêcher de vouloir rabaisser Claude, mais elle ne sait pas à qui elle a affaire… Elle n’aurait jamais dû dire ça…
-Toujours à lâcher ton fiel, hein ? Grommèle Claude en remarquant avec satisfaction l’effet que sa bite fait sur Brigitte. Eh bien, tu l’auras voulu, t’as jamais vu ça avec tes Jules, hein salope !
Claude prend la tête de Brigitte par les cheveux, la tire et pose sa trique sur son visage, les couilles pendantes cachant sa bouche et le gland dépassant sa chevelure.
- Suce, salope !
A suivre…
Bonjour,Je reviens à vous pour vous compter, après mon initiation avec mon beau-père Jean, la vengeance que j’ai ourdie contre la sœur de mon mari, Brigitte.
Si vous vous souvenez, mon mari Bruno me trompant comme c’est pas permis, j’ai eu la chance que son père ne soit pas si con que lui et me prenne en pitié. Par un concours de circonstances, J’ai découvert avec lui ce que c’est de « faire l’amour », savoir s’occuper du plaisir de son partenaire avant son propre plaisir et le plus important, atteindre l’orgasme...
Il m’a aussi fait connaître des lieux et des gens que le commun des mortels ne fréquente guère.
Je me suis vengée de mon mari, mais il y a une autre personne avec qui je veux aussi prendre ma revanche, ma belle-sœur, Brigitte, toujours prête à défendre son frère contre vents et marées, affirmant que c’était de ma faute si je n’arrivais pas à le satisfaire sexuellement. Jean m’a portant prouvé que son fils s’y prenait comme un manche.
Je sais pourtant pertinemment qu’elle ne se prive pas comme son frère de donner des coups de canif dans le contrat de mariage avec son compagnon Anthony.
Elle a fini par s’apercevoir lors d’une réunion familiale, que j’allais beaucoup mieux et elle m’a prise à part pour en demander la raison :
-Alors ! Tu as reconquis Bruno ? Tu rayonnes comme une femme comblée.
-Non Brigitte ! Comme toi avec Anthony, maintenant je lui fais porter des cornes, et pas des petites.
-Ah ! C’est pas que je veuille défendre mon frère mais il l’avait bien cherché. J’espère que tu as trouvé LE bon coup, moi je papillonne mais y en a pas un pour racheter l’autre. Je dirais oui tout de suite pour un vrai étalon qui tienne plus de cinq minutes. Tous des couilles molles !!!
Je ne vais quand même pas lui avouer que je me suis tapé son père et que c’est un bon coup. Mais si j’arrive à mes fins, elle va dérouiller cher avec Claude, (lire : Le mâle dominant). Mais comment l’amener à ce que ce soit elle qui croit que… ? Je ne peux quand même pas lui révéler que c’est par l’entremise de son père Jean que j’ai fait la connaissance de Claude:
-Moi j’en connais peut-être un… Une copine m’a un jour parlé de la nuit qu’elle a vécue avec un vrai phénomène. Il commence même à avoir une sacrée réputation dans ma région.
-Et tu crois que tu pourrais me le présenter ? M’interroge Brigitte. Moi, je suis comme saint Thomas, les « on dit » tu sais… -Je veux bien essayer de le contacter, Brigitte, après, je ne sais pas s’il acceptera.
Eh voilà…emballez, c’est pesé. Elle a avalé l’hameçon et la ligne avec. Maintenant, je vais contacter Claude et lui donner quelques consignes.
Une semaine après, je me retrouve donc avec Brigitte dans un quartier de banlieue, je sonne à la porte d’une belle villa avec piscine, la porte s’ouvre et nous nous retrouvons devant Claude.
Pour ceux qui n’ont pas lu les épisodes précédents, il ressemble à un ado attardé avec de l’acné, il est à peine plus grand que Brigitte qui n’est pas bien grande, elle non plus. Elle a une petite poitrine et un fessier guère plus imposant, elle est vêtue d’un pantalon ultra moulant et d’un petit top trop étroit pour essayer de mettre en valeur ses petits seins et elle a le nombril à l’air. Moi, j’ai passé une jupe mi-cuisses et un top assez strict.
-Bonjour jeune homme! Nous avons rendez-vous avec Claude, il est ici ?
Il ne nous répond même pas et nous fait entrer dans un patio gigantesque.
-Attendez ici !
Nous nous installons et commençons à patienter. Les minutes passent, un quart d’heure…une demi-heure. Brigitte commence à s’impatienter.
-Il se prend pour qui ton Claude ? Un ministre à nous faire poireauter comme ça dans son antichambre ?!
Elle ne sait pas que Claude suit mes consignes. Nous avons vue sur la piscine où il vient de plonger et fait des longueurs. Brigitte n’y tient plus, se lève et s’approche du bassin pour l’invectiver :
-Eh, petit con ! Tu es sûr qu’il va venir, cet abruti de Claude ? Il va m’entendre…La réponse fuse toute en douceur et avec beaucoup de calme :-Mais le petit con et l’abruti sont déjà là, chère madame. Si vous m’aviez demandé mon prénom, je vous aurais répondu que le mien est Claude.
Brigitte se tourne alors vers moi et m’injurie :-C’est ça ton étalon ? Un petit merdeux qui pourrait être mon fils ? Tu t’es bien fichue de moi et je suis bien conne d’avoir marchée ! Je fous le camp !
Elle se dirige alors vers la sortie mais Claude la rattrape par un bras, la retourne et lui colle une baffe.
-Pour qui te prends-tu pour injurier les gens ? D’après ce que j’ai compris, tu as accepté de venir ici sans contrainte pour te faire sauter. Il est hors de question que tu repartes colporter ton fiel. Avant de dire : »J’aime pas », il faut déjà goûter au plat !
-Et tu crois, lui rétorque Brigitte, qu’un petit merdeux comme toi peut contenter une vraie femme ? Regarde-toi…tu es gaulé comme une crevette boutonneuse à peine sortie de la puberté ! T’as encore du lait qui te sort des narines si je les presse. Si ta limace est dans les mêmes proportions…Elle lui colle la main entre les cuisses pour soupeser la chose.
-Mais c’est qu’il bande déjà le petit morveux ! Bon, c’est d’accord, tu as l’air bien monté quand même mais encore faut-il savoir s’en servir !
-Au lieu de pérorer comme une dinde, la coupe Claude, passe toi-même à l’acte, tu es tout en gueule !
Brigitte, vexée par les réparties de Claude, veut lui retourner sa baffe, mais il immobilise sa main qu’il ramène à son entrejambe.
-Si tu veux avoir les réponses à tes questions, c’est plutôt là que ça se passe…retire-moi mon maillot de bain !
Brigitte ne sait que faire mais reprend vite ses esprits et s’attaque à son slip qu’elle fait descendre le long des cuisses de Claude, découvrant un tuyau déjà gonflé. Elle s’attend à ce que l’engin bondisse aussitôt libéré de l’entrave du slip, mais la bête reste sagement entre les cuisses de Claude.
-Et en plus il bande mou, s’éclaffe Brigitte en me regardant, c’est ça ton étalon ?
-C’est ce qu’on m’a affirmé, je lui rétorque, riant sous cape, essaie de le branler pour voir s’il arrive à bander un peu plus dur.
-Au point où j’en suis…il ne sera pas dit que j’ai fait ce déplacement pour rien !
Brigitte prend la queue dans ses mains et commence à la branler. Qu’elle n’est pas sa surprise en constatant que l’organe réagit lentement à la sollicitation, prenant de la grosseur, se rigidifiant en s’allongeant encore et encore. La verge devient énorme en se redressant petit à petit, atteignant la dimension peu commune de 26 cm, ce qui est déjà impressionnant, mais le contraste de ce sexe disproportionné sur ce garçon, d’une stature mince, presque délicate, est incroyable.
-Putain de merde ! S’extasie Brigitte en lâchant la bête, l’air stupide et hébétée de voir une teub si volumineuse sur ce corps fluet d’ado boutonneux. Elle ne peut plus quitter des yeux ce sexe monumental, raide comme la justice et pratiquement plaqué contre le ventre de Claude.
-C’est pas possible ça ! Il s’est fait greffer une teub de Black !
-Il ne faut jamais dire : « Fontaine, je ne boirai pas de ton eau », je lui fais remarquer. Tu as vu ta réaction au début ? Tu ne lui aurais pas accordé une seconde de ton temps si tu l’avais croisé dans la rue, et maintenant tu t’extasies en voyant ce qu’il a entre les jambes, la plus monstrueuse queue que j’ai jamais vue… Et il parait qu’il sait drôlement bien s’en servir !
Je ne peux pas lui dire que je connais déjà cette barre à mine et la paire de couilles magnifique qui ballote dessous.
-OK, c’est une belle poutre, reconnait Brigitte, je dois reconnaître que moi non plus, je n’en ai jamais vu d’aussi grosse, mais comme dit le proverbe, « il vaut mieux en avoir une petite courageuse qu’une grosse paresseuse » Décidément, elle ne peut s’empêcher de vouloir rabaisser Claude, mais elle ne sait pas à qui elle a affaire… Elle n’aurait jamais dû dire ça…
-Toujours à lâcher ton fiel, hein ? Grommèle Claude en remarquant avec satisfaction l’effet que sa bite fait sur Brigitte. Eh bien, tu l’auras voulu, t’as jamais vu ça avec tes Jules, hein salope !
Claude prend la tête de Brigitte par les cheveux, la tire et pose sa trique sur son visage, les couilles pendantes cachant sa bouche et le gland dépassant sa chevelure.
- Suce, salope !
A suivre…
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Elle a bien raison
Belle vengeance
Elle s'est drôlement dessalee
Elle va dérouiller
Fallait pas le provoquer
Vite, la suite.