Belle, collègue... émoustillante (1ère partie)
Récit érotique écrit par Mysterious91 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Belle, collègue... émoustillante (1ère partie)
Quatre heures de l'après-midi. Le bureau. J'ai du mal à me concentrer. Ce n'est pas dans mes habitudes. Est-ce dû au fait que ma collègue Belle et moi, ça fait des plombes que nous avons cette réunion au travail au sujet du dossier que nous devons traiter pour notre boîte ? Est-ce parce qu'il fait particulièrement chaud, aujourd'hui ?
Malgré le manque de concentration ou bien malgré la lassitude qui commence à se faire sentir, malgré la chaleur qui a pris crescendo possession de la pièce où nous travaillons, je m'efforce, vaille que vaille, de rester concentré, consciencieux. Appliqué, productif. Étant dans ma bulle, je fais limite abstraction de ma collègue Belle. Attention ! Moi qui ai un faible sérieux pour la gente féminine et qui en suis fou, j'ai remarqué ce matin que Belle s'est faite particulièrement ravissante aujourd'hui. Les cheveux noir de jais attachés en un chignon d'où une frange rebelle s'est échappée... Elle qui ne porte pas souvent des lunettes, voilà qu'elle en porte aujourd'hui. Elle revêt une chemisier beige... déboutonné. Comment se concentrer dans ce contexte ?
Je ne suis pas dupe. Je ne suis pas un idiot. Je suis tout sauf ça. J'ai les yeux qui se détournent des feuilles sur lesquelles j'étais en train de plancher jusqu'à présent, et c'est Belle que je vois. Et ce que je vois d'elle... Ça me met les idées sans dessus dessous. La jeune femme s'amuse avec ses lunettes et joue à les déplacer puis à les replacer sur ses yeux. Un détail, et non des moindres, me saute soudain aux yeux. C'est désormais un soutien-gorge noir que je distingue.
Toute concentration me quitte, dès lors. Je me perds dans la contemplation de ce soutien-gorge peut-être simple... mais émoustillant. Du fait que Belle a déboutonné son chemisier, elle a mis la peau de son ventre à nu. Ce que je vois, c'est que son ventre est plat. Belle est menue. Belle est mignonne. Belle me fait perdre mes moyens, à force.
Il suffit que je lève les yeux des feuilles que je suis en train d'étudier pour que je sois un homme perdu. L'homme est faible comme dit l'adage, n'est-ce pas ? Si c'est le cas, alors Belle peut faire de moi ce qu'elle veut. Il m'est impossible de détacher mon regard d'elle. Je suis hypnotisé. Pétrifié. C'est sans doute ce pourquoi Belle choisit CE moment pour me porter le coup de grâce.
Ma collègue, en effet, saisit la balle au bond et braque ses yeux dans les miens. À... mon avis... Elle a dû prendre conscience qu'il se passe quelque chose. À aucun moment elle ne cligne ni ne cille des yeux. À aucun moment elle ne baisse les yeux. C'est un duel de regards qui se joue entre nous, dans cette pièce. Et dans ce duel, Belle semble avoir compris que les gestes qu'elle a fait ont eu une incidence sur mes regards. Comment est-il tout simplement possible de regarder ailleurs ? Moi dans le faible porte sur le beau sexe, ce n'est même pas en rêve à présent. Ma collaboratrice use et abuse de ses charmes et ça fait que ça y est : je suis déconcentré. Mordre sa lèvre, jouer avec ses lunettes... Hmm... Ne dit-on pas "Femme à lunette, femme à quéquette"? Houla... Je m'égare. Que m'arrive t-il ?! Ma collègue joue avec ma concentration et me provoque. Et c'est ça, ma réaction ?
J'ai l'impression d'être transparent aux yeux de Belle, qu'elle est capable de lire en moi comme dans un livre ouvert. Me faire du charme, c'est bien beau... Mais c'est le moment qu'elle choisit, précisément, pour me porter l'estocade. La brunette pose ses deux mains sur le soutien-gorge sans bretelles qu'elle porte et qui met son décolleté en valeur. C'est... émoustillant. D'un geste soudain, tout en continuant de braquer ses yeux dans les miens, Belle ôte son soutien-gorge et là voilà seins nus. Là. Sous mes yeux. Je prends instantanément un coup de chaud. Déjà qu'il fait pas mal chaud ces derniers temps... Si en plus ma collègue se dévêtit sous mon nez, mais elle va m'irradier! Mon cœur pulse fort dans ma poitrine. Il m'est impossible de regarder dans une autre direction. C'est la faute de Belle, quoi! Pourquoi fait-elle ça ? A t-elle remarqué que je ne suis pas concentré ? Cherche t-elle à capter mon attention en se comportent comme elle est en train de le faire ? Ce que je peux dire, c'est qu'effectivement, je n'arrive plus à me concentrer. Je n'aurais jamais cru Belle capable d'agir de la sorte. Elle qui me paraissait mièvre, austère, secrète, froide au premier abord... Comme quoi... Je me suis trompé. Belle est toute sauf mièvre et innocente quand elle se mord la lèvre. Elle est coquine et séductrice quand elle décide de libérer ses seins. Et là, pile sous mon nez, elle les empaume délicatement et elle les agite. L'instant d'après, elle me sourit. Elle m'offre en cadeau l'image de ses dents blanches. À mon avis... Plus rien ne sera comme avant entre nous. Quelque chose fera toujours en sorte que je vois Belle différemment. Ce n'est pas pour me déplaire...
C'est incongru, comme situation. Ça n'arrive jamais. Il suffit que le chat ne soit pas pour que les souris dansent, n'est-ce pas ? Belle ne se le fait pas répéter. Elle garde la même attitude provocatrice. C'en est trop pour moi. Je desserre ma cravate et je défais un bouton de ma chemise. J'ai les idées sans dessus dessous. Je suis ailleurs. Je me lève de ma chaise et je me dirige vers le coin détente de la pièce. Il me faut une boisson fraîche.
Sans regarder derrière moi, je me sens observé. Compte tenu du comportement de Belle depuis tout à l'heure, ce ne serait dès lors pas étonnant que la jeune femme en profite pour me mater en secret. À vrai dire... Ce n'est pas pour me déplaire. Si l'on inversait les rôles, j'avoue que je ne me gênerais pas non plus. Elle que je vois autrement... Elle dont je découvre cette facette sexy... Oui. Ce n'est pas pour me déplaire. Je prends un verre. J'ouvre le réfrigérateur et j'en sors un bac à glaçons. J'ai besoin de quelques jours de très frais. Je dépose trois glaçons dans mon verre. C'est précisément le moment que Belle choisit pour venir à ma hauteur. Les yeux dans les yeux, elle me prend le bac des mains et elle s'empare d'un glaçon. La première chose qu'elle fait, c'est de le poser sur la peau de son buste. Au contact de sa peau, la glace se métamorphose en gouttelettes d'eau. Sans faire attention à l'eau qui humidifie sa peau, ma collègue ne cesse de me dévorer du regard. Ça me fait l'effet d'être sa proie. Et l'effet que ça me fait, c'est que mon sexe est toujours aussi dur, enfermé dans mon boxer. Je sens de plus en plus l'inconfort que mon érection me procure. Il faudrait abréger mes souffrances, pitié ! Désormais, je n'ai d'yeux que pour la peau mouillée de ma collaboratrice. Elle le fait d'exprès. Il ne peut pas en être autrement. Elle en joue, de cette situation. C'est désormais sûr : je pose un regard différent sur Belle. Rhoo...! Elle porte bien son prénom. La belle porte le glaçon sur son téton gauche... qui durcit.
Belle a de beaux seins. Ils ne sont ni trop gros, ni trop petits. Ils sont fermes. Leurs aréoles sont rose pâle. À sa manière de prendre ses seins dans ses mains... À sa manière de laisser glisser le glaçon sur l'aréole de son sein, Belle a les tétons qui pointent et qui durcissent. Je suis hypnotisé par le spectacle que la jeune femme m'offre. Ni une, ni deux, je prends un autre glaçon du bac et je le porte à ma bouche. Je le suce quelques instants avant de le donner à Belle. Elle ouvre la bouche et suce le glaçon à son tour. Puis, je pose le glaçon sur le téton droite de Belle.
La froideur du glaçon a un effet immédiat. Belle frissonne : passé l'effet de surprise, elle braque ses yeux dans les miens, comme pour me dire qu'il ne faut pas que j'arrête. La glace fondue et métamorphosée en liquide met en valeur l'aréole de son sein et ça la rend plus... belle encore. Dans le même temps, son téton pointe de plus belle. On en mangerait... C'est à mon dire de braquer mes yeux dans ceux de ma collègue. Ce n'est pas innocent, ce que nous sommes en train de faire mais ça nous plaît. Heureusement qu'il n'y a personne...
Je pioche dans le bac à glaçons et je prends un nouveau cube de glace. Ni une, ni deux, je décide de reproduire l'expérience et j'approche le glaçon du sein droit de Belle. Ma jolie collaboratrice ne perd pas une miette de mes gestes, de mes intentions. C'est définitivement un jour à marquer d'une pierre blanche. Je pose désormais des yeux différents sur Belle. Cette facette séductrice et tentatrice d'elle me séduit, je dois dire. Et plus je lutine les tétons de Belle avec le glaçon, plus j'ai envie d'y goûter. Oh... oui. Il me tarde d'y poser mes lèvres. Il me tarde d'y déposer ma langue. Belle n'attend que ça, elle aussi, je pense.
Comment résister à la tentation de passer à l'étape suivante, avec ma collègue ? Compte tenu de notre rapprochement, compte tenu de son comportement, il devient inéluctable que je... que NOUS allons y céder, à la tentation. Je suis tout sauf contre, pour ma part. Une nouvelle fois, je regarde Belle et je ne la quitte pas des yeux. J'ai besoin de savoir si elle veut que l'on continue.
La lèvre qu'elle se remet à mordre est l'aval que j'attends. Belle joue au même jeu de moi. Nous jouons au jeu de la séduction. Car oui... Ma collègue a réussi à me séduire, à me corrompre. À me détourner du droit chemin, à me faire succomber au plaisir de la chair. Elle qui se mord la lèvre... Elle qui empaume ses seins et qui les presse l'un contre l'autre... Elle n'était qu'une collègue, jusqu'à présent. Au jour d'aujourd'hui, elle est plus que ça. Ça ne sera plus comme avant. Je n'ai aucune idée de la tournure des événements. Belle me plaît et nous sommes bien. Un point, c'est tout. Je lâche du lest. Je ne réfléchis plus. Je me laisse guider par les sens, par mon désir. Et mon désir, c'est Belle.
Malgré le manque de concentration ou bien malgré la lassitude qui commence à se faire sentir, malgré la chaleur qui a pris crescendo possession de la pièce où nous travaillons, je m'efforce, vaille que vaille, de rester concentré, consciencieux. Appliqué, productif. Étant dans ma bulle, je fais limite abstraction de ma collègue Belle. Attention ! Moi qui ai un faible sérieux pour la gente féminine et qui en suis fou, j'ai remarqué ce matin que Belle s'est faite particulièrement ravissante aujourd'hui. Les cheveux noir de jais attachés en un chignon d'où une frange rebelle s'est échappée... Elle qui ne porte pas souvent des lunettes, voilà qu'elle en porte aujourd'hui. Elle revêt une chemisier beige... déboutonné. Comment se concentrer dans ce contexte ?
Je ne suis pas dupe. Je ne suis pas un idiot. Je suis tout sauf ça. J'ai les yeux qui se détournent des feuilles sur lesquelles j'étais en train de plancher jusqu'à présent, et c'est Belle que je vois. Et ce que je vois d'elle... Ça me met les idées sans dessus dessous. La jeune femme s'amuse avec ses lunettes et joue à les déplacer puis à les replacer sur ses yeux. Un détail, et non des moindres, me saute soudain aux yeux. C'est désormais un soutien-gorge noir que je distingue.
Toute concentration me quitte, dès lors. Je me perds dans la contemplation de ce soutien-gorge peut-être simple... mais émoustillant. Du fait que Belle a déboutonné son chemisier, elle a mis la peau de son ventre à nu. Ce que je vois, c'est que son ventre est plat. Belle est menue. Belle est mignonne. Belle me fait perdre mes moyens, à force.
Il suffit que je lève les yeux des feuilles que je suis en train d'étudier pour que je sois un homme perdu. L'homme est faible comme dit l'adage, n'est-ce pas ? Si c'est le cas, alors Belle peut faire de moi ce qu'elle veut. Il m'est impossible de détacher mon regard d'elle. Je suis hypnotisé. Pétrifié. C'est sans doute ce pourquoi Belle choisit CE moment pour me porter le coup de grâce.
Ma collègue, en effet, saisit la balle au bond et braque ses yeux dans les miens. À... mon avis... Elle a dû prendre conscience qu'il se passe quelque chose. À aucun moment elle ne cligne ni ne cille des yeux. À aucun moment elle ne baisse les yeux. C'est un duel de regards qui se joue entre nous, dans cette pièce. Et dans ce duel, Belle semble avoir compris que les gestes qu'elle a fait ont eu une incidence sur mes regards. Comment est-il tout simplement possible de regarder ailleurs ? Moi dans le faible porte sur le beau sexe, ce n'est même pas en rêve à présent. Ma collaboratrice use et abuse de ses charmes et ça fait que ça y est : je suis déconcentré. Mordre sa lèvre, jouer avec ses lunettes... Hmm... Ne dit-on pas "Femme à lunette, femme à quéquette"? Houla... Je m'égare. Que m'arrive t-il ?! Ma collègue joue avec ma concentration et me provoque. Et c'est ça, ma réaction ?
J'ai l'impression d'être transparent aux yeux de Belle, qu'elle est capable de lire en moi comme dans un livre ouvert. Me faire du charme, c'est bien beau... Mais c'est le moment qu'elle choisit, précisément, pour me porter l'estocade. La brunette pose ses deux mains sur le soutien-gorge sans bretelles qu'elle porte et qui met son décolleté en valeur. C'est... émoustillant. D'un geste soudain, tout en continuant de braquer ses yeux dans les miens, Belle ôte son soutien-gorge et là voilà seins nus. Là. Sous mes yeux. Je prends instantanément un coup de chaud. Déjà qu'il fait pas mal chaud ces derniers temps... Si en plus ma collègue se dévêtit sous mon nez, mais elle va m'irradier! Mon cœur pulse fort dans ma poitrine. Il m'est impossible de regarder dans une autre direction. C'est la faute de Belle, quoi! Pourquoi fait-elle ça ? A t-elle remarqué que je ne suis pas concentré ? Cherche t-elle à capter mon attention en se comportent comme elle est en train de le faire ? Ce que je peux dire, c'est qu'effectivement, je n'arrive plus à me concentrer. Je n'aurais jamais cru Belle capable d'agir de la sorte. Elle qui me paraissait mièvre, austère, secrète, froide au premier abord... Comme quoi... Je me suis trompé. Belle est toute sauf mièvre et innocente quand elle se mord la lèvre. Elle est coquine et séductrice quand elle décide de libérer ses seins. Et là, pile sous mon nez, elle les empaume délicatement et elle les agite. L'instant d'après, elle me sourit. Elle m'offre en cadeau l'image de ses dents blanches. À mon avis... Plus rien ne sera comme avant entre nous. Quelque chose fera toujours en sorte que je vois Belle différemment. Ce n'est pas pour me déplaire...
C'est incongru, comme situation. Ça n'arrive jamais. Il suffit que le chat ne soit pas pour que les souris dansent, n'est-ce pas ? Belle ne se le fait pas répéter. Elle garde la même attitude provocatrice. C'en est trop pour moi. Je desserre ma cravate et je défais un bouton de ma chemise. J'ai les idées sans dessus dessous. Je suis ailleurs. Je me lève de ma chaise et je me dirige vers le coin détente de la pièce. Il me faut une boisson fraîche.
Sans regarder derrière moi, je me sens observé. Compte tenu du comportement de Belle depuis tout à l'heure, ce ne serait dès lors pas étonnant que la jeune femme en profite pour me mater en secret. À vrai dire... Ce n'est pas pour me déplaire. Si l'on inversait les rôles, j'avoue que je ne me gênerais pas non plus. Elle que je vois autrement... Elle dont je découvre cette facette sexy... Oui. Ce n'est pas pour me déplaire. Je prends un verre. J'ouvre le réfrigérateur et j'en sors un bac à glaçons. J'ai besoin de quelques jours de très frais. Je dépose trois glaçons dans mon verre. C'est précisément le moment que Belle choisit pour venir à ma hauteur. Les yeux dans les yeux, elle me prend le bac des mains et elle s'empare d'un glaçon. La première chose qu'elle fait, c'est de le poser sur la peau de son buste. Au contact de sa peau, la glace se métamorphose en gouttelettes d'eau. Sans faire attention à l'eau qui humidifie sa peau, ma collègue ne cesse de me dévorer du regard. Ça me fait l'effet d'être sa proie. Et l'effet que ça me fait, c'est que mon sexe est toujours aussi dur, enfermé dans mon boxer. Je sens de plus en plus l'inconfort que mon érection me procure. Il faudrait abréger mes souffrances, pitié ! Désormais, je n'ai d'yeux que pour la peau mouillée de ma collaboratrice. Elle le fait d'exprès. Il ne peut pas en être autrement. Elle en joue, de cette situation. C'est désormais sûr : je pose un regard différent sur Belle. Rhoo...! Elle porte bien son prénom. La belle porte le glaçon sur son téton gauche... qui durcit.
Belle a de beaux seins. Ils ne sont ni trop gros, ni trop petits. Ils sont fermes. Leurs aréoles sont rose pâle. À sa manière de prendre ses seins dans ses mains... À sa manière de laisser glisser le glaçon sur l'aréole de son sein, Belle a les tétons qui pointent et qui durcissent. Je suis hypnotisé par le spectacle que la jeune femme m'offre. Ni une, ni deux, je prends un autre glaçon du bac et je le porte à ma bouche. Je le suce quelques instants avant de le donner à Belle. Elle ouvre la bouche et suce le glaçon à son tour. Puis, je pose le glaçon sur le téton droite de Belle.
La froideur du glaçon a un effet immédiat. Belle frissonne : passé l'effet de surprise, elle braque ses yeux dans les miens, comme pour me dire qu'il ne faut pas que j'arrête. La glace fondue et métamorphosée en liquide met en valeur l'aréole de son sein et ça la rend plus... belle encore. Dans le même temps, son téton pointe de plus belle. On en mangerait... C'est à mon dire de braquer mes yeux dans ceux de ma collègue. Ce n'est pas innocent, ce que nous sommes en train de faire mais ça nous plaît. Heureusement qu'il n'y a personne...
Je pioche dans le bac à glaçons et je prends un nouveau cube de glace. Ni une, ni deux, je décide de reproduire l'expérience et j'approche le glaçon du sein droit de Belle. Ma jolie collaboratrice ne perd pas une miette de mes gestes, de mes intentions. C'est définitivement un jour à marquer d'une pierre blanche. Je pose désormais des yeux différents sur Belle. Cette facette séductrice et tentatrice d'elle me séduit, je dois dire. Et plus je lutine les tétons de Belle avec le glaçon, plus j'ai envie d'y goûter. Oh... oui. Il me tarde d'y poser mes lèvres. Il me tarde d'y déposer ma langue. Belle n'attend que ça, elle aussi, je pense.
Comment résister à la tentation de passer à l'étape suivante, avec ma collègue ? Compte tenu de notre rapprochement, compte tenu de son comportement, il devient inéluctable que je... que NOUS allons y céder, à la tentation. Je suis tout sauf contre, pour ma part. Une nouvelle fois, je regarde Belle et je ne la quitte pas des yeux. J'ai besoin de savoir si elle veut que l'on continue.
La lèvre qu'elle se remet à mordre est l'aval que j'attends. Belle joue au même jeu de moi. Nous jouons au jeu de la séduction. Car oui... Ma collègue a réussi à me séduire, à me corrompre. À me détourner du droit chemin, à me faire succomber au plaisir de la chair. Elle qui se mord la lèvre... Elle qui empaume ses seins et qui les presse l'un contre l'autre... Elle n'était qu'une collègue, jusqu'à présent. Au jour d'aujourd'hui, elle est plus que ça. Ça ne sera plus comme avant. Je n'ai aucune idée de la tournure des événements. Belle me plaît et nous sommes bien. Un point, c'est tout. Je lâche du lest. Je ne réfléchis plus. Je me laisse guider par les sens, par mon désir. Et mon désir, c'est Belle.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Par ce temps caniculaire j'aimerais bien qu'un beau mâle expert en anatomie féminine me triture les tétons avec un glaçon
Je comprends que plus vous lutinez les tétons de Belle avec le glaçon plus vous avez envie d'y goûter, et moi me prenant pour Belle je n'attends que ça.