Belle Fin de Soirée - histoire érotique

Je m’appelle Alain, je suis veuf depuis 4 ans. j’ai 60 ans, je vis plus ou moins seul , je m’explique, je vis avec mon fils de (Alex) 21 ans, dans une grande maison ayant 2 appartements.

Nous avons chacun notre indépendance, mais le jour ou il y a une baisse de moral, ou un problème quelconque, nous n’avons pas besoin de faire des kilomètres pour trouver un soutien.

l’histoire que je vais vous raconter est arrivée durant la dernière coupe du monde de rugby.
Le soir des quarts de finale, je suis allé voir le match dans un bar avec 3 copains. En plus d’une excellente ambiance, nous buvons quelques bières, et mangeons des tapas.

Malgré la désillusion de la défaite, je suis d’humeur joyeuse (les bières) quand je rentre chez moi vers minuit.
Première surprise il y a de la lumière dans mon salon. Je constate aussi que tout est éteint chez mon fils. Comme sa voiture est là, je me dis, qu’ils doivent être déjà couchés, lui et sa nouvelle amie Clara. Ils devaient se retrouver ici, pour ensuite aller voir le match chez des amis habitants à 150 mètres de notre maison.
Je me dis qu’ils ont du passer par mon appartement, avant de rentrer chez eux, et trop pressés de faire un câlin, ils ont oublié la lumière.

Je rentre en souriant, en me demandant ou ils en sont dans leurs ébats. Je commence même à bander en m’imaginant Clara, se caressant devant lui les cuisses ouvertes, et le regard coquin.

c’est vrai qu’elle est drôlement jolie cette petite, 19 ans, 160 cm, un bon 90 B, de jolies jambes galbées, un petit cul juste bombé comme j’aime. Elle est toujours souriante et douce, sa peau bronzée semble soyeuse. Elle porte des tenues de son âge, c’est à dire qui cachent juste le nécessaire, mais je ne m’en plains pas.

C’est sur ces pensées que je rentre dans mon salon. Et là 2eme surprise.

Alex vautré dans un fauteuil, endormi et ronflant comme une locomotive, et la petite dormant en chien de fusil sur le canapé. Le ronflement un peu moins sonore que celui de mon fils.

Moi : (secouant Alex) : réveilles toi, pourquoi vous dormez ici et pas dans ton lit ?
Alex :(ouvrant péniblement les yeux) oooh, ne crie pas. Si nous sommes là c’est parce que nous
étions tellement bourrés que nous n’avons pas pu aller plus loin.
Moi : (en montrant la petite) elle aussi ?
Alex : on a fait un jeu stupide qui consistait à boire un shot de vodka ou de de rhum à chaque point marqué par l’équipe que tu supportais. Au quinzième environ j’ai eu un moment de lucidité,
et j’ai embarqué Clara qui était déjà bourrée. Mais je n’ai pas pu aller plus loin que chez toi.

Puis pris d’un élan subit il se lève, et part en courant vers les toilettes.

Je reste là, mon regard se pose sur Clara. Les jambes repliées, la robe remontée, j’ai une vue imprenable sur sa croupe. Sa petite culotte blanche, moulant parfaitement, les détails de son intimité.

Alex revient la mine défaite, il me fait comprendre qu’il va se coucher, qu’il récupérera sa femme demain.

En souriant je vais chercher une couverture pour qu’elle n’attrape pas froid.

Quand je reviens elle est sur le dos, les bras tendus au dessus de la tête. Ça fait ressortir sa poitrine, et ses jambes sont légèrement ouvertes.
Je regarde ce corps magnifique, j’ai un début d ‘érection.

c’est trop beau, trop tentant, je laisse tomber la couverture, et j’approche lentement ma main de sa cuisse que je caresse délicatement. Je pars du genou et je remonte jusqu’à la limite de sa culotte. Elle ne réagit qu’après plusieurs aller et retour.
Clara : (soupirant, s’étendant, et ramenant ses bras sur son visage, se couvrant les yeux) Alex
caresse moi encore, j’adore tes mains partout sur moi.
Je souris, elle me prend pour mon fils, je profite de la situation, mes doigts se reposent sur la peau douce, Ils courent de la cheville à l’aine, s’arrêtent de plus en plus près du fin tissu.
Je sens soudain son corps se détendre, elle s’est rendormie.

Je suis rassuré, elle ne risque plus de voir que son caresseur, n’est pas le bon. Son souffle est redevenu régulier, elle dort profondément.

Me sentant invincible, je me mets à genou, ma main gauche continue les caresses des jambes, pendant que la main droite effleure sa poitrine, d'abord je caresse la robe, puis j’accentue la pression.

Elle bouge, ses bras retombent le long de son corps, elle ressert les jambes. Elle dort toujours, je vois sa poitrine monter et descendre au rythme de sa respiration. Son visage est tourné vers moi.

j’ai soudain une idée, je vais chercher un foulard et en prenant maintes précautions, je lui bande les yeux. je me dis que comme ça si elle se réveille, elle pourra croire que c’est un jeu mis en place par mon fils.

Je reprends ma position à genou . N’osant reprendre mes caresses sur les jambes, je commence par défaire la dizaine de boutons qui attachent son habit au niveau de décolleté. j’écarte le tissus et je découvre émerveillé ses seins.
j’ai envie de les prendre ne main, de sucer ses tétons légèrement gonflés ( mes caresses lui feraient 'elles de l’effet ?)
Elle soupir sa tête se tourne vers moi. Je ne vois de son visage que le bout de son nez et sa bouche, dont les lèvres sont entrouvertes.
Je bande comme un fou. Sa main droite vient se poser sur son sexe, elle se masturbe doucement.
Clara : Alex fais moi du bien

Elle est entre deux eaux, elle pense que c’est mon fils qui la touche. Elle ne voit rien avec le bandeau. Alors je me lance. j’embrasse, puis je suce ses tétons. Ma main gauche vient se poser sur sa main avec laquelle elle se caresse. Après quelques secondes, elle me laisse la place en remontant son bras et en ouvrant largement les jambes.
Mes doigts courent quelques instants sur la culotte, puis je glisse mon majeur sous l’élastique. Je descends la long de ses grandes lèvres. Son sexe est tout lisse. Je pousse un peu mon doigt, qui s’introduit sans difficulté, elle est déjà toute mouillée. Je la lime avec la main appuyée sur son clitoris.

Son joli visage, sa bouche entre ouverte, et sa forte respiration me donnent une idée. Sans enlever la main de sa culotte, je me penche et dépose un baiser sur ses lèvres.
Immédiatement, sa langue vient à la rencontre de la mienne. Nous jouons ainsi quelques instants, puis je me redresse, je défaits mon bermuda, sors mon sexe tendu, et le présente à sa bouche.
Elle ne réagit pas tout de suite. Je dois le faire glisser sur ses lèvres et forcer un peu, pour qu’elle écart les dents et me laisse entrer jusqu’à la garde.je commence à me servir de cette bouche comme d’une chatte, en faisant de lent va et vient. Je sens sa langue tourner autour de mon gland, le lécher, l’aspirer.
Elle respire de plus ne plus fort, mon doigt dans son minou commence à faire effet. Avec sa tête elle accentue les mouvements d’avant en arrière.
Je suis sur le point de jouir.

D’un seul mouvement, elle se redresse, mon doigt qui son sexe, mon sexe quitte sa bouche. Elle enlève sa culotte. S’assied sur le canapé le dos appuyé au dossier. Les fesses au bord, les cuisses largement écartées , offerte et indécente, mais tellement désirable.
Clara ( le souffle cour) : baises moi fort j’ai trop envieeeeeeeee
je ne me le fais pas dire deux fois. Je présente ma bite à l’entrée de son vagin, luisant de mouille.
Je la pénètre d’un puissant coup de rein qui la colle au canapé . Ses mains passent derrière ma tête qu’elle attire pour un baiser langoureux. À chaque coup de reins, elle gémit.
Clara : ouiii mon chéri défonce moiiii, hooooo ouiiiiiiiiiiiiiiii, tu aimes me prendre comme une
chienne
Moi (ne pouvant me retenir) j’adore niquer des putes comme toi oouuiiiiiiiiiiiii

Elle arrache le bandeau, nos regards se croisent.

Elle a une seconde pour tout arrêter et faire un scandale, ou pour prendre son plaisir.

J’ai légèrement ralentit

Clara (me souriant) : continue, vas y fort fort baises moi oouuiiiiii

je reprends mon rythme infernal, maintenant à chaque foi que je m’enfonce en elle, elle crie, elle gémit, sa tête part dans tous les sens.

Moi: je vais jouir ma jolie
Clara (avec un orgasme fulgurant) : remplis moi hooooooo ouiiiiii

Ses jambes se détendent, mon sexe rentre une dernière foi dans son antre, ou je déverse ma semence dans un râle rauque.

Elle semble évanouie . Je ne bouge pas, je la regarde. Le dard toujours planter dans son ventre.
Elle ouvre les yeux, nos regards se croisent, elle me sourit. Elle me fait comprendre d’un léger coup de reins qu’elle souhaite que je me retire. Je m’exécute.

Clara ( se penchant en avant ) : wahoo tvous m’avez mis une sacrée dose, ça coule partout.

Puis elle me gobe, je suis moins raide. Je sens sa langue passer partout, du gland à ma tige , dans tous les recoins.

Je bande à nouveau
Clara (se mettant debout) : je crois que c’est fini papi, je vais rejoindre mon homme

Et elle sort la main entre les cuisses pour retenir tout ce qui coule de son minou

Déçu par le début de soirée, je suis très satisfait de la fin de soirée.