Belle maman apprivoise sa jeune Kiné.

- Par l'auteur HDS Osiris -
Récit érotique écrit par Osiris [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Belle maman apprivoise sa jeune Kiné. Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-03-2025 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Belle maman apprivoise sa jeune Kiné.
Belle maman apprivoise sa jeune Kiné.


Dès que la petite quitte Martine, celle-ci appelle Valentin, son médecin et complice.
Elle lui explique en détail son entrevue avec sa jeune kinésithérapeute.
Ils ont convenu ensemble que Valentin ne viendra pas ce mardi, laissant ainsi à Martine le temps « d'instruire » la jeune Manon.
En fonction de la réaction de la jeune fille, on prévoit que le partenaire se présentera ultérieurement, probablement la semaine prochaine.

Le mardi suivant, à 18 h tapante, on sonne à la porte de Martine.
« Bonjour Manon, tu es à l'heure, c'est bien. »
Bonjour, Madame, répondit la gamine.
Manon rentre doucement, toujours la tête baisée.
Elle ne porte pas de pantalon, mais une petite robe plutôt courte.

« Veux-tu prendre quelque chose, un jus de fruit, un apéritif, du champagne ? » Lui propose Martine.

Non, merci, dit-elle, je veux juste savoir ce que je fais là.

« Eh bien, c'est simple, tu es ici parce que je veux t'apprivoiser.
En d'autres termes, je vais t'apprendre à prendre conscience de ton propre corps et de ses possibilités, à t'abandonner sans retenue ni pudeur. »

« N'aie crainte, je ne suis pas une désaxée et pour établir une relation de confiance entre nous, j'efface devant toi les photos que j'ai prises l'autre jour. »
« C'est à toi de décider si tu restes ou pas. »

« Vous êtes complètement folle, trouvez-vous une autre kiné, me dit-elle. »
Elle se lève et part d'un pas décidé.

Je me retrouve seule, complètement abasourdie par ce départ précipité.
Cette gamine a du caractère.
Au bout d'un moment, je prends mon téléphone pour avertir Valentin de mon échec pitoyable.
Sans en avoir le temps nécessaire, mon smartphone sonne juste avant.
Je regarde l'écran et là, surprise, c'est Manon qui m'appelle.
Manon, « Tu a oublié quelque chose ? »
Silence, puis une petite voix me chuchote : « Avez-vous encore du champagne à me proposer ? » « Je serais d'accord pour une coupe. »
« Absolument, je t'attends avec une grande impatience et un grand désir. »

Je n'en reviens pas de ce changement de situation, j'ai probablement voulu brûler des étapes.
Peu de temps après, on sonne à nouveau à ma porte. Je vais ouvrir, le cœur battant la chamade.
« Allez, viens, rentre, tu connais la maison. »

Elle s'assoit et je nous sers une coupe.
« Pourquoi as-tu changé d'opinion ? »
Manon me regarde dans les yeux et me dit.
« Vous avez raison, je n'ai pas de vie sexuelle et à mon âge, ce n'est pas normal. »
« Pourtant, j'en ai très envie. »
« Les massages que je fais sur mes patientes m'excitent tous les jours et je me caresse seule le soir dans mon lit presque tous les jours. »
« Et puis et surtout, c'est le souvenir de vos doigts sur mon sexe l'autre jour. »
« Vous savez, j'ai obtenu ce diplôme de kinésithérapeute en bataillant dur. »
« Je n'avais guère le temps de penser à autre chose, et notamment au sexe. »

« Je suppose que tu as déjà fait l'amour avec un garçon de ton âge ? » lui dit Martine.
« Même pas, je ne sais pas ce que c'est. »
« Malgré tout, je ne suis plus vierge. » « J'utilise ma sonde périnéale pour me donner du plaisir. »

« Puisque tu te confies, je vais te dévoiler mes travers. »
Et me voilà qui lui raconte toutes mes dernières aventures sans lui préciser le nom et le lien de mes deux amants.
« Tu sais, à mon âge, j'ai vraiment une soif de tout connaître sur les relations humaines et surtout sur le sexe. » « Il ne me reste que peu de temps pour attirer le regard et la convoitise de certains hommes et de certaines femmes. »
« Je n'ai jamais eu de relations intimes avec une autre femme et j'aimerais réellement te séduire pour le découvrir. »
« Cela ne te gêne pas ? » « Es-tu d'accord  de te donner à une femme qui pourrait être ta grand-mère ? »
« Je suis revenue pour ça », me dit Manon.
Si tu es consentante, je te présenterai un de mes amants extrêmement doux et délicats qui ne rêve que de satisfaire une jeune femme comme toi.
Cependant, sois consciente que si tu me donnes ton accord, il s'introduira dans tous tes orifices.
Ton sexe, ta bouche, bien sûr, et aussi ton derrière qu'il va pénétrer avec délicatesse, mais aussi avec tendresse.
Après ces confidences, Martine se lève et prend les mains de Manon dans les siennes.
Viens près de moi, ma belle, il est temps que je te dévore.
Debout, face à Manon, Martine lui enlève sa robe.
La petite se retrouve en soutien-gorge et culotte, toujours du même genre que l'autre jour.
Pas petit bateau, mais presque.
Tout en l'embrassant dans le cou et dans les oreilles, le soutien-gorge tombe sur le sol.
Une poitrine ferme et jeune apparaît.
Sans lui donner l'occasion de réagir, Martine tire la culotte qui s'envole dans les airs.
Martine s'approche de son visage et pénètre de sa langue la douce bouche qui s'entrouvre et se laisse pénétrer. Les deux langues se mélangent et se titillent.

La bouche se porte vers l'un des seins dont le sommet est déjà gonflé et coloré, puis se tourne vers l'autre mamelon qui réagit de la même façon.
Au même moment, la main droite de Martine prend possession de la petite fente qui suinte déjà.
« Montre ton visage, Manon, je veux regarder ton plaisir s'accroître pendant que je te masturbe. »

Les doigts écartent la petite figue pour y débusquer le tout petit bouton qui se dissimule timidement sous son capuchon par pudeur.
Manon respire bruyamment et laisse filtrer quelques soupirs qui en disent long sur son état d'excitation.
Ses jambes s'ouvrent d'elles-mêmes pour favoriser le passage de ce doigt inquisiteur qui maintenant la pénètre et coulisse à l'intérieur de son ventre humide et onctueux.
Il est de plus en plus difficile pour la demoiselle de se tenir debout, elle flageole, elle pose ses mains sur les épaules de Martine pour se soutenir.

La sentant au bord de l'explosion, Martine cesse subitement toutes caresses. « Oh, non, ne t'arrête pas, continue », dit la petite toute penaude et frustrée.

Manon regarde sa gentille tortionnaire dans les yeux et la supplie de continuer, mais Martine refuse et lui dit d'un ton sec : « Ma poulette, tu pourras jouir lorsque je te l'accorderai, mais pas avant. »

« En attendant, glisse ta main dans ma culotte et caresse-moi jusqu'à me faire jouir comme une folle. » 
« Applique-toi, sinon, je te donne une fessée et tu repars chez toi avec des fesses roses. »

Surprise par cette réaction, la frêle kiné s'exécute sans broncher et glisse sa main droite dans la profondeur de la culotte de Martine.
Très rapidement, les doigts découvrent une fente humide et déjà largement ouverte.
L'index de la petite s'engouffre sans difficulté dans le puits d'amour et commence un va-et-vient assez lent. Bien trop lent pour la sexagénaire.
Martine réagit peu à cette caresse et lui demande de changer de méthode.
Il faut dire qu'elle est habituée à des pénétrations plus vigoureuses ainsi qu'à des organes plus imposants qu'un petit doigt de jeune fille.
« Caresse, moi, mon bouton, lui dit-elle d'un ton sec et sans détours. »
Aussitôt, un doigt se pose sur le clitoris et commence à tourner autour, puis passe à plusieurs reprises directement dessus, le décalottant de sa gaine protectrice.
Martine réagit en sursautant à chaque passage. 
Elle commence à gémir et son souffle s'accélère.
Tout à coup, son corps devient rigide et se contracte. C'est précisément à ce moment-là qu'elle laisse échapper un ah mélancolique issu des profondeurs de sa gorge.

Pour maintenir un niveau de supériorité et de soumission, Martine lui dit : 
« C'est mieux qu'au début, mais je n'ai joui que moyennement. »
« Tu aurais pu faire mieux et t'appliquer davantage. »
« Ce n'est pas un massage de kiné que je t'ai demandé, mais une masturbation qui mène à un orgasme puissant. »
« Conclusion, viens avec moi sur le lit que je t'administre ta fessée que tu mérites. »

En réalité, Martine a connu un orgasme très gratifiant, mais il était nécessaire de trouver une excuse pour lui administrer une légère fessée.

Manon se rebiffe et refuse de la suivre.
« Je ne veux pas être fessée, vous n’avez pas le droit. »
« Je t'avais prévenue », dit Martine.
« Petite jouissance, engendre une petite fessée sur tes adorables petites fesses. »

« Suis-moi », dit-elle en prenant les mains de la fille et l'amenant dans la chambre.
Martine se positionne sur le lit, le dos soutenu verticalement par un oreiller. Elle positionne la malheureuse en travers de ses cuisses, Manon exposant ainsi son derrière bien cambré en raison de sa posture.
« Quel magnifique spectacle ! » Déclare Martine.
« Je suis face à deux sublimes fesses, séparées par une raie encore fermée pour le moment, mais dont je pressens le petit trésor dissimulé, toujours intact et en continuité, une ouverture parfumée qui ne dissimule pas son plaisir en s'écoulant tel un ruisseau. »
« Tu es prête, Manon ? » « Voici le début de ton éducation. »
« Le verdict est de cinq claques sur chaque fesse. »
Oh non, je ne veux pas, dit Manon en pleurnichant.
Martine lève le bras et la première main s'écrase sur la fesse droite.
Comme prévu, l'opération se poursuit jusqu'à la conclusion du doux châtiment, avec cinq légères claques administrées sur chaque fesse.
Après ce traitement de faveur, les petites fesses prennent une jolie teinte rose.

Entre-temps, Manon s'est apaisée.
Profitant de l'occasion, Martine chuchote : « Découvrons ce que renferment ces deux petits vallons en leurs cœurs. »
« Ne bouge pas », dit-elle à Manon, puis elle écarte les deux petites fesses avec les doigts de sa main gauche et découvre ainsi le petit cratère encore vierge.
« Vérifions si tu es sensible à cet endroit ? »

Martine collecte sur son pouce droit la liqueur qui s'écoule de la petite fente de Manon.
Aussitôt, un gloussement se fait ressentir.

« Pose ta tête à plat et regarde-moi », demande Martine.

La femme effleure délicatement la rosace du pouce, la caressant doucement tout en tournant autour. 
Surprise par cet attouchement méconnu, Manon ferme les yeux et ouvre la bouche.
Après quelques minutes de ce processus, il est maintenant temps pour l'index de récupérer le nectar du fruit mûr qui suinte toujours.

L'index lubrifié se positionne au centre de la corolle et s'enfonce délicatement jusqu'à la première phalange.

La jeune fille commence à bouger son bassin tout en émettant des petits couinements inattendus. 
Martine, ravie de ce résultat, commence à tourner son doigt à l'intérieur comme pour agrandir le passage.
C'est en ce moment de douceur que Manon lève ses hanches en réaction à ce doigt aussi indiscret.
Surpris, l'index est intégralement piégé sur toute sa longueur dans le fourreau brûlant de la kiné.
Manon fixe Martine dans les yeux avec un regard perplexe.
En lui adressant un sourire, la sexagénaire lui montre alors son index et son majeur joints et lui pose la question : « Les veux-tu ensemble ? »
Elle acquiesce d'un léger mouvement de tête, visiblement gênée.
Martine met les deux doigts dans sa bouche, puis les approche de nouveau du petit trou qui est à présent refermé.

Une fois en place, elle exerce une pression constante et progressive.
L'opercule résiste un moment et finit par s'ouvrir pour permettre le passage.
« Oh, c'est bizarre, ce n'est pas désagréable ni douloureux », prononce la petite étonnée, « c'est même l'inverse. »

En tournant d'un côté puis de l'autre, les deux petits phallus entament un mouvement de va-et-vient qui s'accélère progressivement, d'abord lent ensuite plus vigoureux.
Après un certain temps, les fesses vont au-devant de cette pénétration. 
Martine, d'un ton autoritaire, affirme : « À présent, je t'autorise à jouir en te branlant
simultanément. »
La kinésithérapeute glisse sa main droite sous elle, vers son intimité, et se livre à une masturbation effrénée.

Martine remarque rapidement les premiers signes de capitulation.
Manon respire de plus en plus difficilement. Elle est parcourue de frissons, ses jambes commencent à convulser, et finalement, d'intenses spasmes de son anus comprimé serrent les doigts de sa masturbatrice tandis qu'un bruit rauque s'échappe de sa bouche.

Eh bien, dit Martine, « je ne me pose plus la question de la sensibilité de ton petit cul. »

Après le retour au calme. Je lui pose la question : « Je t'ai fait mal, ma princesse ? » Elle reprend son souffle pour me dire avec difficulté.
« Mais non, voyons, me répond-elle, vous avez été très douce. »
« Mais j'ai honte de moi, j'ai joui formidablement, j'ai tremblé comme une furie et puis, éprouver autant de plaisir avec cette partie de son corps, ce n'est pas normal. »
Je lui prends la tête entre mes deux mains et lui dis,« Mais non, petite gourde, au contraire, tu sais, toutes les femmes n'ont pas cette faculté d'apprécier autant une pénétration de leur cul. »
« Tu as de la chance et mets ta honte de côté. »
« Je t'aime, petite gourde qui aime se faire e.....r. »
« Arrêtez, me dit-elle, ce n'est pas drôle. »
Elle se blottit contre moi et me donne un baiser profond. Sa langue joue avec la mienne.
Avec entrain, elle s'attaque à ma poitrine qu'elle suce et mordille comme un bébé jusqu'à me faire mal.

« Je peux vous tutoyer ? » Me demande-t-elle.
« Bien sûr que oui. »

Malgré mon envie de me laisser faire, je lui dis, « Calme-toi, ma belle, je n'ai pas fini avec toi. »

« Je vais maintenant déguster ta figue afin d'en extraire toute sa saveur. »
« Allonge-toi et laisse-moi faire. »
« Ne te contiens pas, libère-toi, laisse ton corps réagir, nous ne sommes que deux ici. »
Je commence à m'installer entre les jambes de Manon.
C'est la première fois que je vois une vulve d'aussi près.
Très lentement, je pose ma langue dans ce sillon déjà ouvert. Je le parcours sur toute sa longueur de haut en bas.
De manière très distincte, je perçois son petit bouton qui se renforce et émerge de sa torpeur.
Le jus qui s'échappe de ce fruit lui donne un parfum agréable et une saveur délicieuse.
Mes mains ne restent pas sans activité. Elles pétrissent les deux petites mamelles dont les tétons sont dressés.
À présent, Manon pivote la tête de droite à gauche. La fillette soulève son bassin et le projette sur ma bouche.
Le dénouement est proche.
Je porte toute mon attention sur son minuscule clitoris, l'aspire et le suce jusqu'à ce que Manon cède avec un cri puissant et perçant.
Elle se couvre la bouche avec sa main, probablement surprise par la force de ses soupirs et de ses gémissements. Son corps se tétanise puis s'écroule inerte sur le lit.
Après ce tumulte, nos deux corps s'enlacent tendrement et je commence à ébaucher notre prochaine rencontre.
« J'estime que tu es prête pour continuer ton éducation sexuelle, qu'en penses-tu ? »


Manon répond : « Si on ne parle plus de fessée, je me sens prête », dit-elle en pouffant.
« Je vais maintenant déguster ta figue afin d'en extraire toute sa saveur. . »
«« Au début de notre rencontre, je t'ai avoué que j'avais deux amants, dont un qui te connaît et qui aimerait parfaire ton éducation. » « C'est un homme de quarante ans, très bien physiquement et très doux, il a un sexe magnifique de très bonne taille. »
« Je ne peux pas te dire son identité, tu la découvriras le moment venu. » « Il est vraiment doué pour faire jouir une femme. »
« Toutefois, il exploite toutes les opportunités pour bénéficier de ce qu'une femme peut lui offrir. »
« J'espère que tu comprends ce que cela veut dire. »
Manon prend la parole, « Je crois comprendre, je l'accepte. »
« Alors, c'est d'accord. » « Tu vas faire l'amour avec un homme et une femme simultanément qui vont profiter de ton corps sans aucun tabou et aucune retenue.  »
« Tu pourras dormir ici après si tu en a envie. As-tu une soirée disponible la semaine prochaine ? »
« Je suis libre mardi et mercredi soir », répond Manon avec enthousiasme.
« J'ai juste une question », dit la jeune fille.
« Qui est cet homme que je connais ? »
« Ce sera ta surprise, il a vingt ans de plus que toi et vingt ans de moins que moi. »
Sur ces belles paroles, Manon repart chez elle après une autre coupe de champagne et je préviens aussitôt Valentin pour choisir le soir de notre rendez-vous.
Valentin, ravi, choisis le mercredi.
« Vivement mercredi, je t'aime », dit-il.
carte les jambes

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Bravo la jeune kiné est soumise et accepte un rendez vous pour se faire remplir tous les trous ça promet
D



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