Belle maman capitule et m’offre son petit œillet.

- Par l'auteur HDS Osiris -
Récit érotique écrit par Osiris [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Belle maman capitule et m’offre son petit œillet. Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-01-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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Belle maman capitule et m’offre son petit œillet.
Le samedi suivant, pendant le petit déjeuner, Lucie m'annonce qu'elle a invité sa mère pour le dîner et que Martine, ma belle-mère, reste couchée ce soir. 
Ma femme me dit qu'elle trouve sa mère étonnamment plus joyeuse que d'habitude.
D'ordinaire, elle rechigne pour venir dormir, mais là, la réponse a été oui tout de suite.
« Je me demande si maman n’a pas un amoureux », me dit Lucie.

Cette situation, que je n'avais pas prévue, me met mal à l'aise.
Il faut à tout prix que j'entretienne une certaine autorité pour garder mon ascendance sur ma belle-mère en prévision de notre prochaine rencontre prévue le jeudi d'après.
En présence de ma femme, ce ne sera pas évident.

Mais j'y pense, Lucie se réveille plus tard le dimanche matin. Elle fait une grasse matinée.
C'est moi qui, par habitude, me lève plus tôt et la réveille après la préparation du petit déjeuner.

Belle maman est généralement la première à se lever et dans la foulée prend sa douche de façon à laisser la salle de bain disponible pour nous.

La porte de notre salle de bain ne fermant pas à clé, je me vois très bien lui rendre une petite visite pendant qu'elle se douche.
Pour m’assurer de sa soumission, je vais lui imposer une séance de squirting, afin de faire gicler belle maman et ensuite une bonne fellation.
J'ai eu l'autre jour l'impression que ma belle-mère a bien aimé de dégouliner sur ma main, malgré son humiliation. 
Martine arrive en fin de journée, c'est Lucie qui l'accueille. 
Martine me regarde et m'embrasse tendrement sur la joue.
Elle me regarde et me dit doucement, j'ai une surprise pour toi.

Je la regarde hébéter et je me demande ce qu'elle veut me dire.
La soirée se passe sans problème et tout le monde va se coucher après ce merveilleux repas.
Le lendemain matin, comme prévu, belle maman se lève la première et va directement sous la douche.
Je me lève sans faire de bruit pour ne pas réveiller ma femme et me dirige vers la salle de bain. 
Lentement, j'ouvre la porte de la salle de bain et surprends une belle maman entièrement nue sous la douche.
À ma grande surprise, je constate que sa foufoune est complètement épilée.
Il n'y a plus le moindre poil grisonnant.
Absolument affolée par ma présence. Je m'approche minutieusement et lui ordonne d'écarter ses cuisses.
Elle me dit d'un air effrayé :" Ne tente rien, ma fille est à côté, elle pourrait nous entendre". »
Attends, jeudi, je t’en supplie.
Sans l'écouter, je mouille mes doigts avec de l'huile d'amande douce qui se trouve sur l'étagère et les plonge sans aucune retenue dans son vagin de façon à ce que l'extrémité de mes deux doigts touche son point G.
Belle maman, laisse échapper un son rauque pendant la pénétration de mes doigts.
Je commence à la masturber fortement en faisant aller et venir de mes doigts d'une manière frénétique.
Son vagin commence à mouiller outrageusement.

Un son de clapotis se fait entendre et soudain, après cinq minutes de ce traitement forcé, belle maman se libère par saccades de son liquide chaud sur ma main.

Sans lui laisser le temps de réfléchir, je lui impose de se mettre à genoux sous la douche et lui plonge mon sexe dur dans sa bouche.

Maintenant, suce-moi jusqu'au bout et je t'ordonne d'avaler toute ma semence.

Martine se met à genoux sous la douche et ouvre sa bouche pour m'accueillir.
Elle me pompe avec frénésie, et il ne me faut pas longtemps pour capituler.

Toujours sous le risque de me faire prendre par ma femme, je me libère dans la cavité onctueuse.
Surprise et un peu écœurée, belle maman pompe et avale l'intégralité de mes salves.

Je me retire de sa bouche chaude et je lui rappelle que « jeudi prochain, son cul va s'ouvrir, se déformer et enfin céder sous la pression de mon sexe. »

Le week-end se passe bien et je lui rappelle dans le creux de l'oreille juste avant son départ de ne pas se préparer.
"Nous aurons tout le temps nécessaire pour préparer ton petit trou à faire face à cette intromission."
À jeudi, ma belle.

Jeudi arrive enfin.

Je frappe à la porte de Martine.

Elle m'ouvre assez rapidement en petite tenue.
Elle m'accueille en soutien-gorge et en petite culotte en dentelle noire du plus bel effet.
Sans aucune retenue et pour toujours maintenir une certaine ascendance sur ma belle-mère, je lui dis d'emblée : « Alors, ma belle, es-tu toujours prête à me recevoir dans ton petit trou du cul ? »

"Tu sais, je n'ai pas envie de te faire de cadeau, je vais te faire gueuler de plaisir ou de douleur"

Elle me regarde et commence à avoir des larmes qui coulent le long de son visage.

Dans un petit sac, j'ai à ma disposition un gel anal décontractant à base de lidocaïne contenu dans une grosse seringue.
C'est un copain pharmacien qui me l'a procuré. Cela permet d'ouvrir l'anus et de diminuer les douleurs de la pénétration.
Pour la propreté, je me suis procuré un système de lavement.

Sans lui laisser le temps de réfléchir, je lui prends la main et l'emmène dans la salle de bain.
Je remplis d'eau tiède la poche de lavement, lui enlève sa culotte, la penche sur la baignoire et lui enfonce doucement, mais profondément la canule préalablement huilée dans ses fesses.

J'ouvre le petit robinet et je vois le liquide se vider dans ses fesses.
Martine ne dit rien. Elle respire fort.
Elle se laisse faire, sans broncher.
Son ventre se gonfle délicatement.

Elle absorbe un litre et demi de liquide tiède.
Au bout d'un bon quart d'heure, belle maman n'en peut plus et me demande d'aller aux toilettes.
Je refuse et continue le lavement, le cul de Martine refuse maintenant le liquide et rejette par saccades le surplus.
Belle maman commence à trembler et j'accepte enfin qu'elle se vide dans les toilettes.

Après s'être soulagée, je la prends par la main, la monte dans la baignoire et la lave dans ses moindres recoins en insistant sur sa raie des fesses et son sexe uniquement avec mes mains et du savon.
Je commence à la masturber debout dans la baignoire jusqu'à entendre ses premières plaintes langoureuses.
Je stoppe mes caresses juste avant sa jouissance.
Je prends alors la seringue de gel décontractant et lui enfonce dans son petit cratère pour lui injecter la totalité du produit dans son ventre.
Délicatement, je pénètre d'un doigt son anus qui s'ouvre assez facilement pour appliquer le gel profondément.
Sa bouche s'ouvre en même temps et prononce un oh de stupéfaction.
Il faut maintenant attendre une quinzaine de minutes pour obtenir l'effet escompté.

J'emmène ma belle-mère dans sa chambre, sur son lit, et commence à la caresser tendrement.
Ma bouche aspire ses deux mamelles, les deux pointes se dressent en toute impudence, ma bouche se pose sur sa fleur désormais lisse qui s'ouvre d'elle-même et me laisse boire son liquide qui s'en écoule.

Son sexe sent bon. 
Sa liqueur est délicieuse. 
J'ai envie de le pénétrer.
De longues plaintes sortent de sa bouche.
Juste avant son orgasme, je lui demande de se mettre sur le ventre et de me présenter son cul et je lui dis.
"Tu vas me donner ce que ta fille me refuse toujours. »

"Maintenant, belle maman, je vais t'enculer, offre moi ton cul"

J'écarte ses deux fesses et j'aperçois son petit trou qui commence à s'ouvrir sous l'effet du gel.
Je pose un, puis deux doigts en son centre et commence à le pénétrer délicatement.
Mes doigts disparaissent entièrement et je commence une masturbation appliquée de son fondement.
Martine ronronne doucement.
N'y tenant plus, je retire mes doigts et positionne mon gland au centre du cratère.
Je pousse mes reins et la petite pastille s'ouvre, belle maman souffle.
D'une autre poussée, ma queue s'enfonce lentement dans le conduit étroit jusqu'à la garde.
Mon ventre touche maintenant les fesses de Martine qui ne rigole plus et souffre un peu.
Quel plaisir pour moi, je sens mon sexe comprimé à outrance dans cette gaine chaude et onctueuse, accueillante.
Je commence mes va-et-vient et ne tarde pas à jouir en déchargeant un flot de liqueur visqueuse dans ce calice chaud et douillet.
Martine n'a pas joui et se contente de reprendre sa respiration.

Belle maman se retourne un peu déçue et je commence à l'embrasser partout où mes lèvres peuvent se poser.
Je lui impose ma verge dans sa bouche qu'elle ouvre en grand.
Elle l'aspire et la suce avec délicatesse.
Au bout d'un moment, je demande à ma belle-mère de se mettre sur le dos avec un oreiller sous les reins.
Maintenant, lui dis-je, prépare-toi.
Je vais te casser ta rondelle.
Je prends ses jambes et les positionne sur mes épaules.
Avec ma main droite, je positionne mon gland au centre de son cul.
D'un seul coup de rein, toute ma queue rentre d'un coup au fond de son cul.
Je commence à la pilonner avec rapidité et avec grande ferveur.
Son visage se déforme sous la douleur et me demande d'arrêter.
Je ne l'écoute pas et continue mon pilonnage.
Mon ventre cogne de plus en plus fort contre ses fesses.
Elle commence à se masturber frénétiquement et à émettre des sons de plus en plus incompréhensibles.
Soudain, je sens que l'anneau se resserre par de multiples contractions autour de ma verge.
Je suis pris au piège dans ce fourreau chaud, impossible de bouger.
Ma liqueur se déverse par saccade dans son cul.
Au même moment, un cri inhumain sort de la bouche de ma belle-mère.
Salaud, me dit-elle, tu m'as éclaté le cul.
Je viens de jouir comme jamais.
Je t'aime.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Une réponse de Normand, les deux à la fois. La sodomie n'est pas forcément douloureuse si elle est bien faite et avec l'accord de sa compagne. C'est un plaisir différent pour les deux partenaires.
Osiris.

Histoire Erotique
Pour répondre à Émile, je pense les deux. Probablement un peu sadique, mais surtout aussi un acte d'amour. La sodomie n'est pas forcément douloureuse si elle est faite avec tendresse et compassion.
Osiris.

Question à l'auteur: enculer sa belle mère est il un acte sadique, une preuve d'amour ou les deux? Joli texte hard et agréable à lire!

Histoire Erotique
Vivement la suite ça me rappelle de bon souvenirs avec ma belle mère



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