Belle maman conquise par ses deux amants.

- Par l'auteur HDS Osiris -
Récit érotique écrit par Osiris [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
  • • 17 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de Osiris ont reçu un total de 109 984 visites.
Récit libertin : Belle maman conquise par ses deux amants. Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-01-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 5 931 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
Belle maman conquise par ses deux amants.
Belle maman conquise par ses deux amants.


Le lendemain de la rencontre avec Martine, où j'ai eu l'occasion de profiter de son petit cul, je l'appelle pour lui faire part de notre expérience à compléter.
Je lui souligne qu'elle est tenue de se donner et de s'offrir à deux hommes simultanément, comme nous avons convenu au début de notre aventure, et ce, en adéquation au contenu de son troisième livre.

« Tu es toujours partante ? » Belle maman.
Euh, me dit-elle, je ne suis plus sûr du tout. J'ai déjà honte de mon comportement avec toi par rapport à ma fille.

Alors, avec un inconnu en plus, j'ai le sentiment de devenir une vraie traînée.

Je lui rétorque que de toute façon, « tu n'as pas d'autres solutions, il est encore temps pour moi de tout déballer à Lucie. »

Sans lui laisser le temps de répondre, je lui dévoile qui est le deuxième homme.
« Tu le connais déjà, c'est mon pote médecin, et c'est aussi le tien. » 
Il connaît très bien ta fille.
Il m'a souvent parlé de toi et te trouve, disons, très séduisante pour ton âge.
Tes fesses, qu'il a aperçues un jour pendant une auscultation, sont particulièrement appréciées par Valentin et depuis, il n'a qu'une envie, c'est de te les forer.

« Là, tu vas trop loin », me dit-elle. « Je ne vais pas faire l'amour avec mon médecin de famille depuis la mort de ton beau-père, c'est impossible. »

Valentin sait tout sur toi. Il connaît tes jouets sexuels, tes livres pornos, ta façon de me regarder sous la douche à la maison et ce que nous avons fait ensemble.
Il est très impatient de te soumettre à ses désirs les plus pervers.
Nous venons jeudi prochain vers 12 h. J’aurai un peu de retard.

Il va arriver avant moi, au moins avec une heure d'avance.
Je compte sur toi pour lui ouvrir ta porte.

Il m'a supplié de commencer à découvrir tes trésors cachés, seul avec toi.
Je lui ai donné ma permission.
Je te conseille vivement de céder à ses besoins.
Tu me comprends, bien ? J'espère.

J'entends belle maman sniffer au bout du fil. Tu n'es vraiment qu'un beau salaud.
Et enfin, avec une voix tremblante, j'entends un petit oui, puis elle raccroche.

Arrive le fameux jeudi, mon Valentin sonne à la porte d'entrée de belle maman.
Martine-lui ouvre la porte, elle est habillée avec un corsage et une jupe plissée.
Martine n'ose pas le regarder dans les yeux, elle baisse la tête.
Bonjour, docteur.
Valentin prend la parole et lui dit : « Bonjour madame, j'ai quelque chose pour vous. »
« J'espère que vous aimez le champagne ? »
Cela est bien meilleur que des médicaments.


Il lui donne trois bouteilles et lui susurre à l’oreille.
« Après plusieurs coupes, le corps et l’esprit se laissent apprivoiser plus facilement, n'est-ce pas, Madame ? »
« Je suppose, » dit-elle.
Martine boit trois coupes et Valentin, une seule.
L'alcool aidant, Martine prend la parole.

« Docteur, vous devez me prendre pour une traînée. » À mon âge, faire l'amour avec son gendre et ensuite avec son médecin, ce n'est pas très décent. » 

Certainement, lui répondit Valentin, « ce n'est pas courant, mais vous êtes toujours une femme avec des désirs et des fantasmes peu banals, moi, j'ai toujours eu envie de faire l'amour à une femme de votre âge. »
Je suis médecin et vous n'avez rien à craindre. Je suis tenu au secret professionnel.

Valentin la sollicite. Aimez-vous les termes crus et vulgaires lors de vos rapports ?
Martine baisse les yeux, « J'aime assez, cela participe à mon excitation. »
« Très bien, moi aussi, on est fait pour s'entendre. »

 « Est-ce que vous avez une idée, madame, de ce que l'on prévoit de vous faire subir avec Karl ? »

« Non, pas trop, mais j'appréhende », lui répond Martine.

Karl m'a parlé de trois livres que vous aimez particulièrement. Allez me chercher le troisième, celui qui parle des doubles pénétrations.

Martine se lève et apporte le livre, puis se rassoit.

Valentin parcourt scrupuleusement les pages avec des photos et du texte.
Eh bien, chère Martine, vous êtes une femme plutôt surprenante.
C'est donc cela, vos fantasmes, bravo !
Heureusement que votre fille n'est pas au courant de vos lectures.
Je pense que nous allons nous métamorphoser tous les trois en acteurs et actrice porno cette après-midi.
Nous suivrons scrupuleusement les pages de ce livre de chevet si vous en êtes capable physiquement.
 Ainsi, vos fantasmes se réaliseront.

Levez-vous, Martine, et venez en face de moi, plus près.
Moi, je reste assis.
Enlevez votre culotte, je vais vous examiner et, en fonction de ce que je découvre, je vais vous dire le déroulement de notre partie de jambes en l'air.

Désappointée par sa honte, Martine baisse et enlève son sous-vêtement en dentelle qui tombe par terre.
Maintenant, mettez votre pied gauche sur le fauteuil et montrez-moi votre sexe.

Valentin découvre une longue fente entièrement épilée, deux grandes lèvres rouges entourent le sillon d'amour.

Vous avez une vulve magnifique, Martine.

Avec l'aide de deux de ses doigts, il écarte les babines et découvre un clitoris proéminent ainsi qu'un vagin très souple et large.
Il mouille trois doigts de son autre main et, sans préambule, les enfonce délicatement dans le trou béant, déjà humide qui ne résiste pas. 
Martine respire bruyamment et de plus en plus vite.
Très bien, c'est concluant, dit Valentin, il retire ses doigts et demande à Martine de se retourner.

À présent, penchez-vous et écartez vos fesses. Je veux constater l'élasticité de votre cul.

Il pénètre ce puits avec les mêmes doigts mouillés par sa salive.
Martine a un geste de recul, il lui donne une petite claque sur son postérieur et lui demande de ne plus bouger.
Les doigts tournent à l'intérieur de l'anus et pénètrent de plus en plus facilement.
La pauvre femme commence à gémir bruyamment.

Sans la prévenir, il les retire et lui dit que son cul est d'une grande souplesse, capable de se déformer amplement.
« C'est très positif, tout ça, » dit-il.
Penchez-vous encore.
Je vais vous administrer une petite préparation personnelle pour vous rendre propre. 
Après vous avoir soulagé, faites votre toilette. Je vous injecterai une autre crème.
Ce produit va décontracter et ouvrir votre anus.
Martine aimant la vulgarité, Valentin change son vocabulaire.

« Ainsi, nous pourrons vous enculer à notre guise plus aisément, sans douleurs et avec plus de jouissances pour vous. »  

« Maintenant, restez les fesses à l'air, je ne me lasse pas de regarder votre cul. »

« Voilà ce que nous allons vous faire.
Prenez une autre coupe, asseyez-vous et écoutez. »

« Pour commencer, Karl et moi allons vous pénétrer ensemble dans chaque orifice, un dans votre cul et l'autre dans votre vagin. »

« Ce n'est pas tout, ensuite votre vagin va devoir supporter nos deux bâtons en même temps. »

« Et en finale, nous allons vous enculer conjointement, les deux verges dans votre cul dilaté à outrance, et nous éjaculerons simultanément dans votre fourreau chaud et onctueux, ce qui facilitera le glissement de nos verges dans votre fion. »

« Voilà le programme, chère Martine, vous plaît-il ? »

« Mais vous êtes complètement fou, je vais souffrir atrocement », et elle se remet à chigner.
Valentin reprend la parole et lui dit : « N'ayez pas peur, nous allons être extrêmement doux, nous ne sommes pas des bourreaux. »
« Notre but est, bien sûr, notre plaisir, mais aussi celui de vous donner le plus de jouissance. »
Je pense même que vous allez apprécier et peut-être même jouir comme jamais.

Au bout de vingt minutes, le produit fait de l'effet et Martine demande de se rendre aux toilettes rapidement.
« Allez-y et faites juste après votre toilette intime par vous-même. »
Karl et moi vérifierons votre propreté.
La femme revient et s'assoit à nouveau à proximité de son médecin.
« Levez-vous à nouveau, tendez-moi vos fesses et ouvrez-les à nouveau. Je vais vous injecter l'autre crème. Ne soyez pas affolée, cela va vous chauffer un peu.
Remettez votre jupe, mais restez nue en dessous. »

Peu de temps après, on sonne à la porte.
« C'est probablement Karl qui arrive, dit Valentin. »

« Allez-lui ouvrir. »

« Bonjour belle maman, tu vas bien ? »
« Je suis un peu pompette, j'ai bu quatre coupes de champagne que le docteur nous a apportées. »
Et, bien, c'est du propre, j'ai une belle maman qui boit maintenant.
« Valentin est là ? »
« Oui, il est dans le salon. »
« Bonjour, Valentin, Martine a été sage et gentille avec toi ? »
« Bonjour Karl, oui, elle est très coopérative. »
« Tant mieux, » dit Karl.
« J'ai préparé madame, elle est prête pour la suite des événements. »

Valentin m'explique en détail ce qui l’a fait avec belle maman, qui nous écoute sans rien dire.
Eh bien, ne perdons pas de temps. Allons dans la chambre.

Une fois dans la pièce, nous déshabillons la belle-mère qui se retrouve entièrement nue, puis vient notre tour.
Belle maman s'allonge, je m'occupe de sa bouche et de ses seins que je malaxe avec ardeur.
Valentin, lui, s'occupe de sa fente qu'il écarte et suce avec délectation.
Il ne faut pas longtemps pour que Martine commence à gémir et à se plaindre.

Le docteur lui lève les jambes et admire le résultat de sa crème sur sa rondelle.
« Viens voir, Karl, vient voir ce merveilleux trou du cul malléable. »

Surpris par ce langage, je m'approche et regarde le trou de nos convoitises.
« Oh, mais nous avons là un formidable trou ouvert et dilaté, c'est merveilleux. » 
« Je suis persuadé qu'il est impatient de se faire enculer. » « Ta crème fait des miracles. »

Sans attendre, je me couche sur le dos et j'invite belle maman à me monter dessus.

« Allonge-toi sur moi, penche-toi, je vais te prendre en te regardant dans les yeux et offre à Valentin ton cul. » « Il va t'enculer en même temps. »

Le docteur prend ma verge en main et l'enfonce dans le vagin qui m'aspire sans difficulté.

Valentin se positionne derrière ce cul offert, dirige son mandrin au centre du cratère déjà presque ouvert et pousse lentement. 
Je vois la bouche de belle maman s'ouvrir pour émettre un long gémissement langoureux au fur et à mesure de la pénétration.
Très distinctement, je sens la tige du médecin glisser sur la mienne, uniquement séparée par la fine membrane qui sépare l'anus du vagin.
Nous nous accordons pour les allées et venues de nos sexes dans les deux cavités de cette femme en pleine confusion.
Eh bien, belle maman, te voilà satisfaite.
Tu viens de réaliser la première scène de ton livre.
Elle me répond difficilement, sa respiration s'accélère et des sons incongrus sortent de sa jolie bouche.
Nous allons te faire jouir une première fois, laisse-toi aller. Ouvre bien ton cul pour qu'il te pénètre de toute sa longueur.
Valentin et moi-même accélérons le rythme et soudain, sans prévenir, ma belle-mère eut son premier orgasme en gueulant comme un animal blessé.
Nos deux verges ressentent ces contractions si caractéristiques de la jouissance d'une femme comblée.
On se retire rapidement, car nous ne voulons pas jouir aussi vite et garder notre semence pour la finale. 
Ce n'est pas évident, mais nous avons réussi.
Belle maman s'écroule sur le lit, complètement vaincue, nous la couvrons de tendres baisers sur tout le corps.

Nous nous laissons le temps de récupérer et au bout d'une demi-heure, nous lui demandons si elle était prête pour continuer l'acte deux de son livre.
« Oui, je suis prête, mais faites attention, soyez doux, les garçons". »

Étonnamment, elle s'adresse à son médecin en le tutoyant et en l'appelant par son prénom.

« Valentin, sois plus doux, ta verge est plus grosse que celle de Karl, vas-y plus doucement. »

Alors là, je suis scotché, comment ça, que ma verge est plus petite que celle de mon pote.
Un peu vexé, je reprends les opérations en main.

Je m'allonge à nouveau sur le lit et demande à Martine de se mettre sur moi, mais cette fois sur le dos.
Je pénètre à nouveau belle maman profondément sans bouger et Valentin en profite pour lui aspirer son bouton d'amour d'une taille assez proéminente.
Je pense que c'est probablement dû à l'âge. Celui de sa fille est ridicule à côté.

Je sens au passage quelques coups de langue sur ma verge, ce qui n'est pas si désagréable que ça.
Martine recommence à respirer de plus en plus fort et à miauler.
Mon pote se positionne entre mes jambes et celles de belle maman et applique sa verge sur le dessus de la mienne.
Une fois centré, il pousse lentement ses reins et pénètre lentement le vagin qui s'élargit en déformant complètement la vulve de ma belle-mère.
Le clitoris a tendance à plonger et à suivre chaque pénétration de la verge de Valentin, se frottant ainsi directement dessus.
Belle maman tourne la tête dans tous les sens, elle pousse des sons aigus, nous insulte.
Moi, je sens la queue de Valentin se frotter sur la mienne.
Nous commençons nos va-et-vient en alternance.
Un sort et l'autre rentre.
Je tiens les bras de ma belle-mère pour lui interdire de se masturber.

Elle aura le droit de le faire pour le troisième acte.
Nous accélérons tous les deux.
Le vagin s'est habitué et l'intégralité de nos sexes coulisse sans difficulté.
Belle maman mouille à profusion, je sens son liquide couler sur mes poils pubiens.
De grosses gouttes de sueur coulent sur son corps.
Son bassin se lève soudainement et à nouveau de fortes contractions compriment nos verges par
vagues successives.
Un cri déchirant se fait entendre dans la chambre.
Cette fois-ci, ni lui, ni moi ne pouvons se retenir : de longues giclées tapissent le col de l'utérus de Martine.

Nous nous affalons, éreintés tous les trois sur le lit.

« Eh bien, Martine, je ne t'imaginais pas en si grande forme et aussi libidineuse que ça », lui dit Valentin.
« Vous savez, docteur, j'ai énormément du temps à rattraper », dit-elle.
« L'âge de la bonne femme est là, mais ces parties de mon corps n'ont que très peu servi, ils sont quasiment neufs et je compte sur vous, les garçons, pour me les rôder ».
Les trois compères rigolent comme des fous. 
« Allez, reprenons des forces pour la finale, champagne et petits gâteaux », dit Karl.

Sans se soucier de leur nudité, les trois personnages prennent l'apéro entièrement nu.
Belle maman est assise au milieu des deux hommes sur le divan, ils en profitent pour la peloter.
Ils aspirent en même temps les deux seins dont les pointes sont excessivement gonflées et colorées. 
Martine ne perd pas son temps et participe à maintenir l'excitation de ses deux amants.

Elle saisit les verges dans chaque main qu'elle masturbe avec affection et les humecte de temps en temps en les prenant dans sa bouche vorace.
« Arrête, belle maman », lui dit Karl, « je ne vais pas pouvoir me retenir. »
Martine stoppe net ses attouchements.
C'est maintenant elle qui prend les décisions.
Allez, nous nous sommes assez reposés.
Elle se lève et prend ses amants par la main pour se diriger vers la chambre.
« Vous savez, je fais la fière comme ça, mais en réalité, j'ai très peur. » 
« Prenez soin de moi. »
« Valentin, peux-tu me remettre de ta pommade miracle ? »

Les deux hommes décident de la prendre dans la même position que la deuxième fois.

En d'autres termes, Karl est couché sur le dos, sa belle-mère est allongée dessus de dos et Valentin est à genoux entre leurs jambes.
Avant de débuter, Valentin lui administre une quantité supplémentaire de crème à l'aide de sa seringue afin d'agrandir son œillet déjà bien préparé.

Karl entame doucement son exploration, en introduisant toute la longueur de sa verge dans le calice onctueux de sa belle-mère.

Cette position et la préparation du cul de Martine permettent à sa tige de rentrer sans problème, tandis que belle maman diffuse quelques petits sons aigus.

« Maintenant, belle maman, lève tes jambes à la verticale, Valentin va te les tenir en les écartant pour lui faciliter le passage. »

En attendant, je saisis les deux seins dans chaque main, je les caresse tendrement et je pince légèrement les deux grandes tétines éblouissantes et extravagantes.

« Tu es prête, Martine, demande Valentin, je vais te perforer ton joli petit cul. »
« Ainsi, tu auras deux verges dans tes fesses pour la première fois, comme dans ton livre de chevet. »
Sans attendre une réponse, je sens le gland de mon pote se frotter sur mon sexe.
Belle maman ouvre la bouche et lance un grand oh ! Puis, une sorte de grognement de stupéfaction, elle bouge un peu son bassin pour aider à la pénétration.

Au fur et à mesure que Valentin abuse de la cavité, la pression s'exerce de plus en plus forte sur nos tiges.
L'anus de belle maman capitule et se déforme graduellement afin de nous permettre de cheminer jusqu'au bout.
Je constate qu'il n'y a pas que sa pastille qui se déforme, les traits de son visage trahissent Martine, ainsi que les complaintes de sa voix qui sont maintenant d'un niveau très élevé.
La belle maman geint de plus en plus pendant que son "délicat supplice" se poursuit.

Désormais, nous sommes entièrement tous les deux dans son cul sans bouger.
« C'est supportable ? Nous pouvons aller et venir », demande Karl à sa belle-mère.
« Oui," répondit Martine, je ne souffre pas. »
« Allez-y, enculez-moi avec compassion. »


Karl pénètre de sa langue une oreille de Martine, il lui suce l'intérieur.
Il commence à la masturber en posant son doigt directement sur son bouton d'amour qu'il décalotte, masse et pince délicatement.
Les deux sexes mâles se mettent en mouvement et fonctionnent comme des pistons, d'abord lentement, puis plus rapidement.
La belle maman n'est plus qu'une poupée désarticulée, ses seins se soulèvent sous le fait de sa puissante respiration.
De grosses perles de sueur s'échappent de tout son corps.
Tout le corps de cette femme de 61 ans est fait pour l'amour, il sent bon.
Son sexe n'est plus qu'écume.
Sa liqueur coule sur les verges qui coulissent en concordance dans son petit trou, maintenant bien entrouvert.
Sa bouche expansive, nous profère des sons stridents d'une rare violence.
Ses jambes se tendent brusquement vers le ciel et tout son corps est submergé par de terribles convulsions.
Son fourreau nous broie en alternance par des saccades frénétiques et violentes.
Finalement, elle émet un profond soupir comme si c'était son dernier souffle et s'écroule sur le corps de son gendre.

Pour moi et Valentin, ce fut un véritable feu d'artifice.
Nous avons joui ensemble dans ce fondement si accueillant, humide et chaud.
Nos éjaculations sont si fortes, qu'elles en sont douloureuses.

Au bout d'un moment, chacun de nous refait surface avec difficulté.
Nous allons tous les trois prendre une douche dans la salle de bain.

Puis, nous revenons sur le lit encore nu.

« Eh bien, belle maman, nous sommes arrivés au bout de tes fantasmes. »
Que va-t-on faire maintenant ?
« On se revoit normalement, comme un gendre avec sa belle-mère. Où l'on trouve d'autres fantasmes à explorer ? » dit Karl.
La réponse de Martine est immédiate.

« J'aimerais avoir des relations sexuelles avec une femme beaucoup plus jeune afin de la soumettre plus aisément à tous mes désirs. » Une jeune fille âgée d'environ vingt ans serait parfaite. »

« Décidément, tu es vraiment une belle maman dépravée. »
« Et toi, mon beau docteur, tu as une idée ? » lui demande Martine.
Eh bien, moi, je te réserve, lorsque tu en as envie, le dernier rendez-vous, celui de 18 h pour une auscultation complète de ton corps dans mon cabinet.
Je conseille une fois par semaine au minimum.
A ton âge, c’est plus prudent.

Tout le monde éclate de rire.

Fin.

Si vous souhaitez une suite du genre Belle maman apprivoise une jeune femme chers lecteurs et amies lectrices, veuillez me le faire savoir. Merci.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Bjr la suite vite! Merci

Histoire Libertine
Très plaisant
Vivement la suite

Histoire Erotique
Bonjour Anne, je suis d'accord mais comment faire ?
Osiris.

Histoire Erotique
Merci Daniel.
Osiris.

Histoire Erotique
Bravo j’adhere complètement à une suite de belle maman apprivoise une jeune fille surtout sic’est dans le même esprit que ces premiers textes dont l’épilogue a été génial. Les mâtures aux gros seins avec de belles tétines et de superbe clitoris sont super bandante. Daniel

Histoire Libertine
J'aime bien vos récits et voudrais un contact par mail avec vous. Merci de m'écrire.
anne



Texte coquin : Belle maman conquise par ses deux amants.
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Osiris

Belle maman dévergonde Manon, sa jeune kinésithérapeute de 22 ans. - Récit érotique publié le 30-01-2025
Belle maman conquise par ses deux amants. - Récit érotique publié le 22-01-2025
Belle maman capitule et m’offre son petit œillet. - Récit érotique publié le 15-01-2025
Belle maman prise au piège - Récit érotique publié le 03-12-2024
Lucile découvre l'amour entre femmes. - Récit érotique publié le 24-11-2024
Le fantasme de Lucile - Récit érotique publié le 10-11-2024
Partage de mon épouse Patricia .N°3 - Récit érotique publié le 06-06-2024
Partage de mon épouse Patricia N°2 - Récit érotique publié le 13-05-2024
Partage de mon épouse Patricia. - Récit érotique publié le 05-05-2024
Les vacances d'Elise, L'arrivée de Justine. - Récit érotique publié le 25-04-2024