Belle maman prise au piège
Récit érotique écrit par Osiris [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-12-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Belle maman prise au piège
Belle maman prise au piège.
Je m’appelle Karl, je suis un homme de 40 ans, marié depuis 18 ans à une épouse charmante qui se nomme Lucie.
Sa mère, d'environ 60 ans, s’appelle Martine.
Malheureusement, mon beau-père est décédé depuis 15 ans, je ne l'ai pas beaucoup connu.
Martine a encore de jolies formes. Ses fesses sont assez remarquables.
C'est une personne très coquette.
Il est vrai que depuis toujours, j'ai fantasmé sur elle, en imaginant les pires humiliations que je pourrais lui faire subir.
Bien sûr, ma femme n'est pas au courant de mon attirance envers sa mère.
Un jour, belle maman était chez nous pour le week-end. Je l'ai surprise en flagrant délit de voyeurisme.
Le matin, je prenais une douche comme à l'habitude et j'ai pu apercevoir Martine à travers la porte de la salle de bain qui était restée entrouverte.
Lucie dormait encore.
Elle me regardait tout en se touchant l'entrecuisse.
J'en ai profité pour me montrer de face en insistant sur le lavage de mon sexe qui commençait à prendre une forme généreuse sous mes caresses.
J'ai fait semblant de ne pas m'en apercevoir, et je n'ai pas osé lui en parler après.
Deux, trois mois après cet épisode, ma belle-mère m'appelle sur mon portable pour me demander de l'aide.
Il s'agissait de déplacer une commode de sa chambre.
Je lui dis, « Bien sûr, je viendrai un soir après le boulot, probablement jeudi prochain. »
Je me rends donc chez elle le fameux jeudi et elle me montre cette lourde commode à trois tiroirs.
Après deux essais infructueux vu le poids, je décide de retirer les tiroirs un par un.
Le premier contenait des fringues tout à fait ordinaires.
Le deuxième, par contre, était beaucoup plus intéressant à mes yeux.
Il s'agissait de sa collection de sous-vêtements tels que des petites culottes et de ses soutiens-gorge assortis, le tout en dentelle, essentiellement de couleur noire et rouge ou chair.
Le troisième contenait une multitude de bas et de collants.
En regardant de plus près, j'aperçois camouflé parmi ses collants, deux objets durs et des livres.
Devant elle et sans me dégonfler, je fouille et trouve deux sextoys de forme et de taille différentes ainsi que trois livres de photos pornos.
« Eh bien, belle maman, c'est à vous ces jolis jouets ? »
Toute confuse, elle me balbutie que oui.
Et là, je trouve un moyen pour prendre le dessus et de réaliser enfin mes fantasmes avec elle.
Que va dire votre fille si je lui dis que sa maman s'amuse avec des jouets sexuels et qu'elle a une collection de livres pornos ?
Et puis rappelez-vous, l'autre jour, dans la salle de bain, chez nous, il y a environ deux mois.
Je vous ai vu me regarder sous la douche et j'ai même aperçu votre main sur votre entrejambe.
Par pitié, dit-elle en sniffant, ne lui dit pas.
Dans ce cas, il va falloir être très gentil avec son gendre.
Tu permets que je te tutoie ?
Oui, je veux bien, répond la belle-mère.
Voilà comment j’envisage les choses.
Ce soir, je rentre à la maison et je ne déclare absolument rien à ta fille.
Je te donne la nuit pour réfléchir, je reviendrai demain à la même heure.
Si tu te décides de devenir très obéissante à mes moindres caprices sexuels, accueille-moi entièrement nue sous ta robe, sans culotte et sans soutif.
C'est bien compris ?
Oh non, pas ça. Exprime la belle-mère en pleurant.
C'est la première chose que je vais vérifier.
Si je trouve le moindre vêtement en dessous, je repars et je raconte tout à ta fille.
Au fait, depuis combien de temps, tu n’as pas baisé ?
Euh, je ne sais pas, depuis très longtemps.
Depuis quinze ans, j'ai eu une petite aventure avec un collègue de mon mari l’année de sa mort.
Eh bien, c’est du propre, Lucie ne le sait pas, je présume ?
Voici encore une chose que je peux lui raconter.
Il est temps que je rentre.
Maintenant, offre-moi ta bouche et ta langue.
Martine hésite et ouvre enfin sa bouche.
Je lui prends la tête entre mes mains et l'embrasse fougueusement en lui enfonçant ma langue au fond de sa bouche.
Belle maman essaie de se soustraire en tournant la tête sur le côté.
J’approche ma bouche de son oreille et lui prononce doucement : « Il va falloir être plus docile avec moi et m'offrir bien plus que ta langue", ma cocotte. »
N'oublie pas que j’ai à ma disposition plusieurs de tes cavités que je compte bien explorer et combler.
Surtout une en particulier, ton petit orifice qui se cache entre tes magnifiques fesses et que ta fille me refuse depuis toujours.
À demain, je compte sur toi pour prendre la bonne décision.
Une fois revenu à la maison, je retrouve ma femme. Elle me demande des nouvelles de sa mère et si le déménagement s'est bien passé ?
« Ta mère est toujours en forme, par contre j'y retournerai demain soir, car je n'ai pas réussi à la déplacer, la commode est trop lourde. »
Je vais peut-être demander de l'aide à un pote la semaine prochaine si je n'y arrive pas tout seul.
Je ne cesse de réfléchir toute la nuit au choix que ma belle-mère va faire ?
Si jamais elle refuse, je ne pourrai jamais le dire à sa fille, l'histoire s'arrêtera là et je me retrouverai comme un con aux yeux de ma belle-mère.
Le lendemain, je me présente à l'heure prévue devant sa porte, le cœur battant la chamade.
« Bonsoir Martine, comment vas-tu depuis hier ? » « As-tu pris ta décision ? » Sur un ton très sûr de moi.
Avec un timbre de voix peu convaincant, ma belle-mère prit la parole pour me dire que ce n'est pas très raisonnable d'imaginer de telles choses entre nous.
Elle m'a expliqué qu'il ne serait plus possible, pour elle, de supporter le regard de sa fille.
« Très bien, belle maman, c'est toi qui statues. »
Je n'insiste pas et décide de faire demi-tour.
Je lui tourne le dos et à peine franchis le pas-de-porte que j'entends," Karl, reste là."
Je reviens sur mes pas et, en la regardant droit dans les yeux, je lui demande de soulever sa robe.
Martine recommence à sniffer et enfin soulève sa robe.
Je vois une touffe légèrement grisonnante avec en son milieu une longue fente protégée par de grandes lèvres pendantes.
Je lui dis maintenant, montre-moi le haut.
Elle abaisse sa robe et deux magnifiques mamelles se dévoilent à mon regard ébahi.
Mon plan fonctionne à merveille.
Voilà qui est plus sage, belle maman.
Va me chercher tes livres, ainsi que tes deux amants en plastique que tu caches dans ton tiroir.
Elle s'exécute et m'apporte ce que je lui ai demandé.
Je regarde les livres et je remarque que belle maman n'est pas aussi puritaine que je l'imaginais.
Le premier livre s'intitule : Sodomie de femmes matures.
Le deuxième : Soumission de ma femme de chambre.
Enfin, le dernier : Première double pénétration pour ma femme.
Eh bien Martine, voici de la belle littérature pour une femme de ton âge, mais cela va nous servir.
Toujours sans rien dire, la tête basse, Martine écoute, mais ne parle pas.
Je te propose de quitter ce monde virtuel du porno pour des expériences plus réelles.
Je te soumets les trois thèmes de tes livres, mais dans le désordre.
Le premier thème : Soumission de Martine.
Le deuxième : La sodomie de Martine par son gendre.
Et enfin, le dernier : La double pénétration de Martine.
Tu es prête ?
Toujours pas de réponse, avec continuellement la tête baisée.
Viens près de moi, elle s'approche et, sans lui laisser le temps de réagir, je glisse ma main droite sous sa robe.
Regarde-moi dans les yeux.
Ma main remonte jusqu'à sa fourche.
Je commence à lui triturer son sexe que je découvre sec, sans humidité.
J'écarte ses grandes lèvres et pénètre prudemment son intimité d'un seul doigt.
Au début, son bassin bouge dans tous les sens, comme pour éviter ce contact contre-nature.
Une de ses mains tente de retenir mon poignet.
Puis lentement, mon doigt commença à déclencher une certaine humidité.
Il s’enfonce dorénavant plus facilement dans le vagin de belle maman.
J'épie son regard et je constate que les traits de son visage laissent filtrer un sentiment de grand désarroi, de honte et de plaisir.
Enfin, Martine prend la parole et me dit : « Karl, tu n'es vraiment qu'un salaud. »
Peut-être, lui répondis-je, mais ce salaud va te faire reluire et probablement jouir, seulement et seulement si, tu me supplies.
Encore une fois, c’est toi qui décides.
Afin de m'assurer de sa complète soumission, je décide de l'humilier encore plus.
Je stoppe net mes caresses et l'emmène dans la salle de bain.
Une fois nue, je lui demande de monter dans la baignoire.
Montre-moi maintenant comment une femme se soulage debout.
« Non, mais ça ne va pas dans ta tête ? » Me dit-elle.
Sans en tenir compte, j'écarte ses grandes lèvres, titille son méat urinaire et je lui dis : « Maintenant, ma grande, laisse-toi aller, pisse devant moi. »
Elle hésite longuement, puis vaincue, de sa main gauche, elle se camoufle les yeux, écarte les cuisses et je commence à sentir un liquide chaud qui coule en abondance sur ma main qui la caresse toujours.
« Tu vois, belle maman, ce n'est pas si difficile. »
Comme tu es obéissante, tu as le droit à une récompense.
Rince-toi, pisseuse, et vient avec moi dans ta chambre.
Allonge-toi sur le dos, les jambes pendantes.
Je me place à genoux entre ses jambes.
J'écarte les grandes lèvres de sa figue et je lui lape sa fente profonde sur toute sa longueur.
C'est elle-même qui écarte ses jambes pour me faciliter la tâche.
Je débusque son clitoris et m'attarde autour puis dessus.
Martine commence enfin à gémir, sa respiration s'accélère.
Sa vulve s’humidifie en abondance.
Son ventre ondule comme la houle d’un océan.
Je la sens proche de l'orgasme.
Je suspends mes caresses et je contemple le magnifique corps nu de cette femme de 60 ans qui prend du plaisir, les traits de son visage troublé qui relatent de son humiliation et de ses scrupules.
Martine ne peut dissimuler les signes de son corps qui dévoilent que cette femme est prête à se faire baiser maintenant et par n’importe quel homme.
Surprise et frustrée de cet arrêt, elle me regarde, hébétée.
« Que veux-tu maintenant, belle maman ? »
Ose, soumets-toi.
Et là, surprise, j'entends une toute petite voix à peine audible me dire : « Continu, je t'en supplie, ne t'arrête pas. »
Voilà qui est mieux, Martine.
Comme pour enfoncer le clou, je lui dis : « Tu vas découvrir la verge qui pénètre et fait jouir ta fille régulièrement. »
« Tu es prête ? »
Sans attendre la réponse et en prenant mon temps, je lui soulève les jambes à la verticale et les écarte pour former un v, j'approche mon sexe bandé et pénètre doucement son calice onctueux et mouillé.
À ce moment, un long râle déchirant sort de sa bouche.
Une fois bien enfoncé dans sa chair béante, je commence un va-et-vient langoureux.
Ses grandes lèvres m'enveloppent et son vagin me comprime.
Rapidement, je ne prends plus de précaution, mes mouvements sont amples et vifs, mon ventre cogne sur ses cuisses avec violence.
Je ne vais pas pouvoir durer longtemps, mon envie est trop forte.
Martine ne se contrôle plus et pousse des cris d'une rare intensité.
Son visage tourne dans un sens puis dans l'autre, son visage marqué par le plaisir.
Elle prend ses seins dans ses mains et les caresse en pinçant leurs pointes.
Sans prévenir, belle maman jouit interminablement en me comprimant le sexe à plusieurs reprises avec une force incroyable, ce qui déclenche chez moi un orgasme violent.
Mon sexe se vide longuement en elle en plusieurs salves, puis peu après, commence à mollir, ce qui le fait sortir de ce four ardent.
Belle maman, quant à elle, reprend son souffle. Le soulèvement de sa poitrine se calme.
« Alors, Martine, qu'en penses-tu ? » « Es-tu satisfaite de ton gendre ? »
« Je te rappelle que nous en sommes au premier thème de ta collection de livres. »
« Es-tu prête à récidiver pour le deuxième ? »
Elle me regarda et secoua positivement sa tête.
Dans ce cas, je reviens jeudi, j'ai l'après-midi de libre.
Je te donne la permission de t'habiller comme il te plaira pour me recevoir.
Martine se lève, un peu courbaturée, et m'embrasse sur les joues.
Elle me dit : « J'ai beaucoup apprécié. » « Tu m'as fait revivre et j'ai joui comme une folle. »
« Ma fille a vraiment beaucoup de chance de t'avoir comme amant. »
Par contre, pour jeudi, j'ai une forte appréhension pour ce genre de pénétration contre-nature. »
« Je réponds. » « Ne sois pas craintive, je prendrai ta rosette avec douceur et ton petit cul s'ouvrira sans difficulté. »
À jeudi, belle maman.
Je m’appelle Karl, je suis un homme de 40 ans, marié depuis 18 ans à une épouse charmante qui se nomme Lucie.
Sa mère, d'environ 60 ans, s’appelle Martine.
Malheureusement, mon beau-père est décédé depuis 15 ans, je ne l'ai pas beaucoup connu.
Martine a encore de jolies formes. Ses fesses sont assez remarquables.
C'est une personne très coquette.
Il est vrai que depuis toujours, j'ai fantasmé sur elle, en imaginant les pires humiliations que je pourrais lui faire subir.
Bien sûr, ma femme n'est pas au courant de mon attirance envers sa mère.
Un jour, belle maman était chez nous pour le week-end. Je l'ai surprise en flagrant délit de voyeurisme.
Le matin, je prenais une douche comme à l'habitude et j'ai pu apercevoir Martine à travers la porte de la salle de bain qui était restée entrouverte.
Lucie dormait encore.
Elle me regardait tout en se touchant l'entrecuisse.
J'en ai profité pour me montrer de face en insistant sur le lavage de mon sexe qui commençait à prendre une forme généreuse sous mes caresses.
J'ai fait semblant de ne pas m'en apercevoir, et je n'ai pas osé lui en parler après.
Deux, trois mois après cet épisode, ma belle-mère m'appelle sur mon portable pour me demander de l'aide.
Il s'agissait de déplacer une commode de sa chambre.
Je lui dis, « Bien sûr, je viendrai un soir après le boulot, probablement jeudi prochain. »
Je me rends donc chez elle le fameux jeudi et elle me montre cette lourde commode à trois tiroirs.
Après deux essais infructueux vu le poids, je décide de retirer les tiroirs un par un.
Le premier contenait des fringues tout à fait ordinaires.
Le deuxième, par contre, était beaucoup plus intéressant à mes yeux.
Il s'agissait de sa collection de sous-vêtements tels que des petites culottes et de ses soutiens-gorge assortis, le tout en dentelle, essentiellement de couleur noire et rouge ou chair.
Le troisième contenait une multitude de bas et de collants.
En regardant de plus près, j'aperçois camouflé parmi ses collants, deux objets durs et des livres.
Devant elle et sans me dégonfler, je fouille et trouve deux sextoys de forme et de taille différentes ainsi que trois livres de photos pornos.
« Eh bien, belle maman, c'est à vous ces jolis jouets ? »
Toute confuse, elle me balbutie que oui.
Et là, je trouve un moyen pour prendre le dessus et de réaliser enfin mes fantasmes avec elle.
Que va dire votre fille si je lui dis que sa maman s'amuse avec des jouets sexuels et qu'elle a une collection de livres pornos ?
Et puis rappelez-vous, l'autre jour, dans la salle de bain, chez nous, il y a environ deux mois.
Je vous ai vu me regarder sous la douche et j'ai même aperçu votre main sur votre entrejambe.
Par pitié, dit-elle en sniffant, ne lui dit pas.
Dans ce cas, il va falloir être très gentil avec son gendre.
Tu permets que je te tutoie ?
Oui, je veux bien, répond la belle-mère.
Voilà comment j’envisage les choses.
Ce soir, je rentre à la maison et je ne déclare absolument rien à ta fille.
Je te donne la nuit pour réfléchir, je reviendrai demain à la même heure.
Si tu te décides de devenir très obéissante à mes moindres caprices sexuels, accueille-moi entièrement nue sous ta robe, sans culotte et sans soutif.
C'est bien compris ?
Oh non, pas ça. Exprime la belle-mère en pleurant.
C'est la première chose que je vais vérifier.
Si je trouve le moindre vêtement en dessous, je repars et je raconte tout à ta fille.
Au fait, depuis combien de temps, tu n’as pas baisé ?
Euh, je ne sais pas, depuis très longtemps.
Depuis quinze ans, j'ai eu une petite aventure avec un collègue de mon mari l’année de sa mort.
Eh bien, c’est du propre, Lucie ne le sait pas, je présume ?
Voici encore une chose que je peux lui raconter.
Il est temps que je rentre.
Maintenant, offre-moi ta bouche et ta langue.
Martine hésite et ouvre enfin sa bouche.
Je lui prends la tête entre mes mains et l'embrasse fougueusement en lui enfonçant ma langue au fond de sa bouche.
Belle maman essaie de se soustraire en tournant la tête sur le côté.
J’approche ma bouche de son oreille et lui prononce doucement : « Il va falloir être plus docile avec moi et m'offrir bien plus que ta langue", ma cocotte. »
N'oublie pas que j’ai à ma disposition plusieurs de tes cavités que je compte bien explorer et combler.
Surtout une en particulier, ton petit orifice qui se cache entre tes magnifiques fesses et que ta fille me refuse depuis toujours.
À demain, je compte sur toi pour prendre la bonne décision.
Une fois revenu à la maison, je retrouve ma femme. Elle me demande des nouvelles de sa mère et si le déménagement s'est bien passé ?
« Ta mère est toujours en forme, par contre j'y retournerai demain soir, car je n'ai pas réussi à la déplacer, la commode est trop lourde. »
Je vais peut-être demander de l'aide à un pote la semaine prochaine si je n'y arrive pas tout seul.
Je ne cesse de réfléchir toute la nuit au choix que ma belle-mère va faire ?
Si jamais elle refuse, je ne pourrai jamais le dire à sa fille, l'histoire s'arrêtera là et je me retrouverai comme un con aux yeux de ma belle-mère.
Le lendemain, je me présente à l'heure prévue devant sa porte, le cœur battant la chamade.
« Bonsoir Martine, comment vas-tu depuis hier ? » « As-tu pris ta décision ? » Sur un ton très sûr de moi.
Avec un timbre de voix peu convaincant, ma belle-mère prit la parole pour me dire que ce n'est pas très raisonnable d'imaginer de telles choses entre nous.
Elle m'a expliqué qu'il ne serait plus possible, pour elle, de supporter le regard de sa fille.
« Très bien, belle maman, c'est toi qui statues. »
Je n'insiste pas et décide de faire demi-tour.
Je lui tourne le dos et à peine franchis le pas-de-porte que j'entends," Karl, reste là."
Je reviens sur mes pas et, en la regardant droit dans les yeux, je lui demande de soulever sa robe.
Martine recommence à sniffer et enfin soulève sa robe.
Je vois une touffe légèrement grisonnante avec en son milieu une longue fente protégée par de grandes lèvres pendantes.
Je lui dis maintenant, montre-moi le haut.
Elle abaisse sa robe et deux magnifiques mamelles se dévoilent à mon regard ébahi.
Mon plan fonctionne à merveille.
Voilà qui est plus sage, belle maman.
Va me chercher tes livres, ainsi que tes deux amants en plastique que tu caches dans ton tiroir.
Elle s'exécute et m'apporte ce que je lui ai demandé.
Je regarde les livres et je remarque que belle maman n'est pas aussi puritaine que je l'imaginais.
Le premier livre s'intitule : Sodomie de femmes matures.
Le deuxième : Soumission de ma femme de chambre.
Enfin, le dernier : Première double pénétration pour ma femme.
Eh bien Martine, voici de la belle littérature pour une femme de ton âge, mais cela va nous servir.
Toujours sans rien dire, la tête basse, Martine écoute, mais ne parle pas.
Je te propose de quitter ce monde virtuel du porno pour des expériences plus réelles.
Je te soumets les trois thèmes de tes livres, mais dans le désordre.
Le premier thème : Soumission de Martine.
Le deuxième : La sodomie de Martine par son gendre.
Et enfin, le dernier : La double pénétration de Martine.
Tu es prête ?
Toujours pas de réponse, avec continuellement la tête baisée.
Viens près de moi, elle s'approche et, sans lui laisser le temps de réagir, je glisse ma main droite sous sa robe.
Regarde-moi dans les yeux.
Ma main remonte jusqu'à sa fourche.
Je commence à lui triturer son sexe que je découvre sec, sans humidité.
J'écarte ses grandes lèvres et pénètre prudemment son intimité d'un seul doigt.
Au début, son bassin bouge dans tous les sens, comme pour éviter ce contact contre-nature.
Une de ses mains tente de retenir mon poignet.
Puis lentement, mon doigt commença à déclencher une certaine humidité.
Il s’enfonce dorénavant plus facilement dans le vagin de belle maman.
J'épie son regard et je constate que les traits de son visage laissent filtrer un sentiment de grand désarroi, de honte et de plaisir.
Enfin, Martine prend la parole et me dit : « Karl, tu n'es vraiment qu'un salaud. »
Peut-être, lui répondis-je, mais ce salaud va te faire reluire et probablement jouir, seulement et seulement si, tu me supplies.
Encore une fois, c’est toi qui décides.
Afin de m'assurer de sa complète soumission, je décide de l'humilier encore plus.
Je stoppe net mes caresses et l'emmène dans la salle de bain.
Une fois nue, je lui demande de monter dans la baignoire.
Montre-moi maintenant comment une femme se soulage debout.
« Non, mais ça ne va pas dans ta tête ? » Me dit-elle.
Sans en tenir compte, j'écarte ses grandes lèvres, titille son méat urinaire et je lui dis : « Maintenant, ma grande, laisse-toi aller, pisse devant moi. »
Elle hésite longuement, puis vaincue, de sa main gauche, elle se camoufle les yeux, écarte les cuisses et je commence à sentir un liquide chaud qui coule en abondance sur ma main qui la caresse toujours.
« Tu vois, belle maman, ce n'est pas si difficile. »
Comme tu es obéissante, tu as le droit à une récompense.
Rince-toi, pisseuse, et vient avec moi dans ta chambre.
Allonge-toi sur le dos, les jambes pendantes.
Je me place à genoux entre ses jambes.
J'écarte les grandes lèvres de sa figue et je lui lape sa fente profonde sur toute sa longueur.
C'est elle-même qui écarte ses jambes pour me faciliter la tâche.
Je débusque son clitoris et m'attarde autour puis dessus.
Martine commence enfin à gémir, sa respiration s'accélère.
Sa vulve s’humidifie en abondance.
Son ventre ondule comme la houle d’un océan.
Je la sens proche de l'orgasme.
Je suspends mes caresses et je contemple le magnifique corps nu de cette femme de 60 ans qui prend du plaisir, les traits de son visage troublé qui relatent de son humiliation et de ses scrupules.
Martine ne peut dissimuler les signes de son corps qui dévoilent que cette femme est prête à se faire baiser maintenant et par n’importe quel homme.
Surprise et frustrée de cet arrêt, elle me regarde, hébétée.
« Que veux-tu maintenant, belle maman ? »
Ose, soumets-toi.
Et là, surprise, j'entends une toute petite voix à peine audible me dire : « Continu, je t'en supplie, ne t'arrête pas. »
Voilà qui est mieux, Martine.
Comme pour enfoncer le clou, je lui dis : « Tu vas découvrir la verge qui pénètre et fait jouir ta fille régulièrement. »
« Tu es prête ? »
Sans attendre la réponse et en prenant mon temps, je lui soulève les jambes à la verticale et les écarte pour former un v, j'approche mon sexe bandé et pénètre doucement son calice onctueux et mouillé.
À ce moment, un long râle déchirant sort de sa bouche.
Une fois bien enfoncé dans sa chair béante, je commence un va-et-vient langoureux.
Ses grandes lèvres m'enveloppent et son vagin me comprime.
Rapidement, je ne prends plus de précaution, mes mouvements sont amples et vifs, mon ventre cogne sur ses cuisses avec violence.
Je ne vais pas pouvoir durer longtemps, mon envie est trop forte.
Martine ne se contrôle plus et pousse des cris d'une rare intensité.
Son visage tourne dans un sens puis dans l'autre, son visage marqué par le plaisir.
Elle prend ses seins dans ses mains et les caresse en pinçant leurs pointes.
Sans prévenir, belle maman jouit interminablement en me comprimant le sexe à plusieurs reprises avec une force incroyable, ce qui déclenche chez moi un orgasme violent.
Mon sexe se vide longuement en elle en plusieurs salves, puis peu après, commence à mollir, ce qui le fait sortir de ce four ardent.
Belle maman, quant à elle, reprend son souffle. Le soulèvement de sa poitrine se calme.
« Alors, Martine, qu'en penses-tu ? » « Es-tu satisfaite de ton gendre ? »
« Je te rappelle que nous en sommes au premier thème de ta collection de livres. »
« Es-tu prête à récidiver pour le deuxième ? »
Elle me regarda et secoua positivement sa tête.
Dans ce cas, je reviens jeudi, j'ai l'après-midi de libre.
Je te donne la permission de t'habiller comme il te plaira pour me recevoir.
Martine se lève, un peu courbaturée, et m'embrasse sur les joues.
Elle me dit : « J'ai beaucoup apprécié. » « Tu m'as fait revivre et j'ai joui comme une folle. »
« Ma fille a vraiment beaucoup de chance de t'avoir comme amant. »
Par contre, pour jeudi, j'ai une forte appréhension pour ce genre de pénétration contre-nature. »
« Je réponds. » « Ne sois pas craintive, je prendrai ta rosette avec douceur et ton petit cul s'ouvrira sans difficulté. »
À jeudi, belle maman.
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