Belle vengeance
Récit érotique écrit par Frankie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-10-2006 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Belle vengeance
Belle vengeance
Je me prénomme François, j’ai 35 ans, je travaille dans une boîte comme commis travail sans véritable avenir. Célibataire depuis 2 ans, après une relation qui avait durée 4 ans. Je m’étais habitué à mon célibat qui avait été parsemé de quelques aventures basées plus souvent qu’autrement sur le sexe.
Ce soir là, un vendredi j’étais seul au resto quand je vis passer ma patronne avec 2 de ses amies qui avaient choisis exactement le même restaurant que moi. Essayant de passer inaperçu le plus possible je ne me fis pas remarquer de tout le souper, et c’est au dessert que ma patronne, se rendant à la salle de bain, me remarqua. Me saluant elle m’invita à venir prendre le dessert avec eux, naturellement je déclinais l’offre.
Elle me dit qu’elle trouvait ça triste de voir un gars seul un vendredi soir et que si cela me tentais, je pouvais aller avec eux dans un bar à 2 coins de rue du resto pour finir la soirée. Je ne déclinais pas l’offre préférant y penser, et sur ce elle me quitta.
Ma patronne, une femme d’environ 45 ans, corpulente, mais assez jolie, sous ses airs de gentille, elle est réellement une femme hypocrite qui aime humilier ses employés.
Après le resto je payais ma note et quittais, ma patronne était déjà partie depuis une bonne dizaines de minutes. Tout en marchant dans les rues du quartier, je sais pas pourquoi mais l’envie me pris d’aller dans ce bar où elle et ses 2 amies étaient parties finir la soirée. Faut dire qu’une de ses amies m’avais tapé dans l’œil, elle était du même âge que moi et avait une forte poitrine, et c’est ce qui m’encouragea à aller faire un tour.
Donc je me retrouvai assis sur un tabouret dans ce bar à observer les 3 copines qui enfilaient verre par dessus verre, placotaient et avaient visiblement bien du plaisir. Je fus surpris de voir la fille qui m’avait fait de l’effet se lancer dans un baiser langoureux avec l’autre copine, devant ma patronne qui avait l’air de trouver ça normal. La vue des ces 2 fille s’embrassant , m’excita et me désola également car mes chances de me taper la copine venaient de s’envoler.
Une heure plus tard j’étais toujours assis sur mon tabouret à siroter ma bière quand les 3 comparses passèrent derrière moi, ma patronne me reconnue et me gronda de pas les avoir rejoint. Sur ce, les 2 autres copines se sentant fatiguées nous dirent aurevoir et elles me laissèrent là, seul avec ma patronne que j’appréciais plus ou moins.
Elle me dit qu’elles étaient venues fêter le cinquième anniversaire de couple de ses 2 amies lesbiennes. Mais qu’elle, n’était pas une broute minou même si elle avait essayée une ou 2 fois. Ces confidences, venant de ma patronne piquèrent ma curiosité, même si je n’avais pas le goût de passer ma soirée avec elle je décidais de rester et de la faire parler. Lui payant un verre, elle qui en avait déjà pas mal pris se laissa aller à d’autres confidences. Entre autres qu’elle aimerait que je la saute.
J’avais pas prévu de finir avec cette grosse hypocrite mais j’avais le goût de me mettre, et vu l’heure tardive je n’avais plus beaucoup d’alternatives. C’est donc en l’aidant à marcher car elle titubait sérieusement que je me rendis à sa résidence.
En arrivant nous ne fîmes ni une ni deux et nous nous sommes retrouvés complètement à poil dans son salon. J’avais ma patronne à poil devant moi et moi, gêné par une érection que je ne pouvais pas dissimuler. Quelle honte, je bandais sur ma patronne. Elle se mit à genoux prenant mon pénis dan sa bouche, ma gène se dissipa et je pris goût à ses caresses buccales. N’en pouvant plus, je la pris, la releva et lui demanda d’aller dans sa chambre.
Arrivés à la chambre, elle m’a dit qu’elle me ferait la fellation de ma vie. Elle me coucha sur le dos, enleva son dentier, se coucha sur moi afin que je lui fasse un cunnilingus. Elle repris mon sexe dans sa bouche et se mis à me sucer violemment , moi j’avais son gros cul dans la figure, son odeur etait un mélange de parfum, d’urine et de sueur. Elle se dandinait de plus en plus dans ma figure, un coup de langue sur 2 pénétrait son anus ce qui l’excitait davantage. Elle me pompais de plus en plus vite et ma verge pénétrait complètement dans sa bouche édentée. Sentant venir ma jouissance, je lui envoyais une giclée de sperme dans le fond de la gorge ce qui provoqua chez elle un violent orgasme qui la fit uriner sur ma figure.
Humilié une fois de trop par cette femme qui venait de me pisser à la figure, je fis semblant d’avoir apprécié et lui proposais d’aller prendre une douche et de continuer nos ébats par la suite, chose qu’elle accepta, ne se doutant pas que j’allais prendre ma revanche et l’humilier à son tour.
Après la douche et quelque verres plus tard elle repris mon pénis en bouche pour le faire rebander, ce qui arriva dans la minute. Je n’osais plus lui faire de cunnilingus et me contentais de lui mettre 2 doigts dans le vagin et un dans son cul. À la voir s’activer sur ma verge je savais qu'elle appréciait que je lui passe le doigt dans ses deux trous. Elle eu un orgasme et c’est à ce moment que je décidais à ses supplications de lui enfoncer mon pénis profondément dans le vagin. Au rythme de mes coups d’engin elle s’excitait de plus en plus et j’éjaculais en inonda son intérieur, elle eu un autre orgasme qui la fit s’écrouler sur le lit.
Je me levais, pris une bouteille de boisson et lui en servit un grand verre, après un tel orgasme qu’elle avait eu, elle l’accepta et le but assez rapidement, tous en bavardant je lui en resservit un autre. Nous étions affalés, nus cote à cote dans son lit à discuter sexe, m’organisant pour que son verre soit toujours plein. Après 4 verres comme je lui avais servi elle s’écroula, endormie d’un sommeil lourd d’une alcoolo.
C’est là que je décidais de mettre mon plan à exécution. Je la mis sur le ventre, relevais ses fesses à l’aide d’un oreiller, puis en me masturbant je redevins en érection, et j’en profitais pour la sodomiser d’un seul coup, elle eu un léger sursaut mais resta endormie. Après l’avoir sodomisé durant quelques minutes je sorti mon engin de son cul. Je pris ensuite la bouteille d’alcool qui était vide, lui cracha dans l’anus pour le lubrifier et fis pénétrer la bouteille dans son gros cul. Elle gémit un peu mais encore là, elle resta assommée. Après lui avoir entré la bouteille dans le cul je commençais un va et viens, je la pistonnais plusieurs fois, faisant pénétrer la bouteille de plus en plus. Son cul était dilaté au max
Je la pris, la mis sur le dos et pour terminer, je plaçais ma queue entre ses deux énormes seins et me fis une branlette. L’excitation me fit éjaculer rapidement et mon sperme inonda son visage, par la suite je décidais de me soulager sur elle et me mis à pisser sur son visage et sur ses seins. Et c’est maquillée comme ça, reluisante de sperme et d’urine, que je décidais de la laisser et de m’en aller.
Le lundi matin j’arrivais au bureau de bonne humeur, ma patronne si distinguée n’osait pas me regarder. Elle devint blanche quand elle me vit devant son bureau à l’heure de la pause, j’entrais et lui remis ma lettre de démission. Elle ne dit aucun mot, prit ma lettre, je ne pus retenir un fou rire, quand je vis la grimace qu’elle fit en s’assoyant à son bureau. Sûrement dur souvenir du week end passé.
Sur ce, je quittais définitivement cette boîte espérant trouver un emploi où je serai heureux et de changer de vie pour le mieux.
-2006-
Je me prénomme François, j’ai 35 ans, je travaille dans une boîte comme commis travail sans véritable avenir. Célibataire depuis 2 ans, après une relation qui avait durée 4 ans. Je m’étais habitué à mon célibat qui avait été parsemé de quelques aventures basées plus souvent qu’autrement sur le sexe.
Ce soir là, un vendredi j’étais seul au resto quand je vis passer ma patronne avec 2 de ses amies qui avaient choisis exactement le même restaurant que moi. Essayant de passer inaperçu le plus possible je ne me fis pas remarquer de tout le souper, et c’est au dessert que ma patronne, se rendant à la salle de bain, me remarqua. Me saluant elle m’invita à venir prendre le dessert avec eux, naturellement je déclinais l’offre.
Elle me dit qu’elle trouvait ça triste de voir un gars seul un vendredi soir et que si cela me tentais, je pouvais aller avec eux dans un bar à 2 coins de rue du resto pour finir la soirée. Je ne déclinais pas l’offre préférant y penser, et sur ce elle me quitta.
Ma patronne, une femme d’environ 45 ans, corpulente, mais assez jolie, sous ses airs de gentille, elle est réellement une femme hypocrite qui aime humilier ses employés.
Après le resto je payais ma note et quittais, ma patronne était déjà partie depuis une bonne dizaines de minutes. Tout en marchant dans les rues du quartier, je sais pas pourquoi mais l’envie me pris d’aller dans ce bar où elle et ses 2 amies étaient parties finir la soirée. Faut dire qu’une de ses amies m’avais tapé dans l’œil, elle était du même âge que moi et avait une forte poitrine, et c’est ce qui m’encouragea à aller faire un tour.
Donc je me retrouvai assis sur un tabouret dans ce bar à observer les 3 copines qui enfilaient verre par dessus verre, placotaient et avaient visiblement bien du plaisir. Je fus surpris de voir la fille qui m’avait fait de l’effet se lancer dans un baiser langoureux avec l’autre copine, devant ma patronne qui avait l’air de trouver ça normal. La vue des ces 2 fille s’embrassant , m’excita et me désola également car mes chances de me taper la copine venaient de s’envoler.
Une heure plus tard j’étais toujours assis sur mon tabouret à siroter ma bière quand les 3 comparses passèrent derrière moi, ma patronne me reconnue et me gronda de pas les avoir rejoint. Sur ce, les 2 autres copines se sentant fatiguées nous dirent aurevoir et elles me laissèrent là, seul avec ma patronne que j’appréciais plus ou moins.
Elle me dit qu’elles étaient venues fêter le cinquième anniversaire de couple de ses 2 amies lesbiennes. Mais qu’elle, n’était pas une broute minou même si elle avait essayée une ou 2 fois. Ces confidences, venant de ma patronne piquèrent ma curiosité, même si je n’avais pas le goût de passer ma soirée avec elle je décidais de rester et de la faire parler. Lui payant un verre, elle qui en avait déjà pas mal pris se laissa aller à d’autres confidences. Entre autres qu’elle aimerait que je la saute.
J’avais pas prévu de finir avec cette grosse hypocrite mais j’avais le goût de me mettre, et vu l’heure tardive je n’avais plus beaucoup d’alternatives. C’est donc en l’aidant à marcher car elle titubait sérieusement que je me rendis à sa résidence.
En arrivant nous ne fîmes ni une ni deux et nous nous sommes retrouvés complètement à poil dans son salon. J’avais ma patronne à poil devant moi et moi, gêné par une érection que je ne pouvais pas dissimuler. Quelle honte, je bandais sur ma patronne. Elle se mit à genoux prenant mon pénis dan sa bouche, ma gène se dissipa et je pris goût à ses caresses buccales. N’en pouvant plus, je la pris, la releva et lui demanda d’aller dans sa chambre.
Arrivés à la chambre, elle m’a dit qu’elle me ferait la fellation de ma vie. Elle me coucha sur le dos, enleva son dentier, se coucha sur moi afin que je lui fasse un cunnilingus. Elle repris mon sexe dans sa bouche et se mis à me sucer violemment , moi j’avais son gros cul dans la figure, son odeur etait un mélange de parfum, d’urine et de sueur. Elle se dandinait de plus en plus dans ma figure, un coup de langue sur 2 pénétrait son anus ce qui l’excitait davantage. Elle me pompais de plus en plus vite et ma verge pénétrait complètement dans sa bouche édentée. Sentant venir ma jouissance, je lui envoyais une giclée de sperme dans le fond de la gorge ce qui provoqua chez elle un violent orgasme qui la fit uriner sur ma figure.
Humilié une fois de trop par cette femme qui venait de me pisser à la figure, je fis semblant d’avoir apprécié et lui proposais d’aller prendre une douche et de continuer nos ébats par la suite, chose qu’elle accepta, ne se doutant pas que j’allais prendre ma revanche et l’humilier à son tour.
Après la douche et quelque verres plus tard elle repris mon pénis en bouche pour le faire rebander, ce qui arriva dans la minute. Je n’osais plus lui faire de cunnilingus et me contentais de lui mettre 2 doigts dans le vagin et un dans son cul. À la voir s’activer sur ma verge je savais qu'elle appréciait que je lui passe le doigt dans ses deux trous. Elle eu un orgasme et c’est à ce moment que je décidais à ses supplications de lui enfoncer mon pénis profondément dans le vagin. Au rythme de mes coups d’engin elle s’excitait de plus en plus et j’éjaculais en inonda son intérieur, elle eu un autre orgasme qui la fit s’écrouler sur le lit.
Je me levais, pris une bouteille de boisson et lui en servit un grand verre, après un tel orgasme qu’elle avait eu, elle l’accepta et le but assez rapidement, tous en bavardant je lui en resservit un autre. Nous étions affalés, nus cote à cote dans son lit à discuter sexe, m’organisant pour que son verre soit toujours plein. Après 4 verres comme je lui avais servi elle s’écroula, endormie d’un sommeil lourd d’une alcoolo.
C’est là que je décidais de mettre mon plan à exécution. Je la mis sur le ventre, relevais ses fesses à l’aide d’un oreiller, puis en me masturbant je redevins en érection, et j’en profitais pour la sodomiser d’un seul coup, elle eu un léger sursaut mais resta endormie. Après l’avoir sodomisé durant quelques minutes je sorti mon engin de son cul. Je pris ensuite la bouteille d’alcool qui était vide, lui cracha dans l’anus pour le lubrifier et fis pénétrer la bouteille dans son gros cul. Elle gémit un peu mais encore là, elle resta assommée. Après lui avoir entré la bouteille dans le cul je commençais un va et viens, je la pistonnais plusieurs fois, faisant pénétrer la bouteille de plus en plus. Son cul était dilaté au max
Je la pris, la mis sur le dos et pour terminer, je plaçais ma queue entre ses deux énormes seins et me fis une branlette. L’excitation me fit éjaculer rapidement et mon sperme inonda son visage, par la suite je décidais de me soulager sur elle et me mis à pisser sur son visage et sur ses seins. Et c’est maquillée comme ça, reluisante de sperme et d’urine, que je décidais de la laisser et de m’en aller.
Le lundi matin j’arrivais au bureau de bonne humeur, ma patronne si distinguée n’osait pas me regarder. Elle devint blanche quand elle me vit devant son bureau à l’heure de la pause, j’entrais et lui remis ma lettre de démission. Elle ne dit aucun mot, prit ma lettre, je ne pus retenir un fou rire, quand je vis la grimace qu’elle fit en s’assoyant à son bureau. Sûrement dur souvenir du week end passé.
Sur ce, je quittais définitivement cette boîte espérant trouver un emploi où je serai heureux et de changer de vie pour le mieux.
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