Belote chez Honta
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-04-2018 dans la catégorie Pour la première fois
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Couleur du fond :
Belote chez Honta
Mon père chaussait son gros anorak kaki pour descendre au village et moi, gamin, je faisais pareil pour l’accompagner. Non que j’eusse eu des envies de jeu de cartes mais plutôt de retrouvaille de fille voisine au creux de chemin enneigé.
On descendait ensemble, lui et moi, le sentier escarpé du Schuss, neige gelée dure glissante. Puis nos routes différaient, lui à droite moi à gauche sous la plate-forme du télésiège jaune du Lienz.
Papa, lui, allait taper le carton chez Honta avec Caillon, Tingaud et un autre encore dont j’ai oublié le nom. Marcou peut être... Marcou père, car Marcou fils mon copain, ne jouait pas dans cette tribu. Marcou était mon ami et nous vivions des aventures de d’jeuns avec les filles, nous. On ne frayait pas avec les vieux.
Sous la plate-forme en bois du télé-siège du Lienz, dans le sombre humide et froid, une fille me guettait, Danièle. Elle n’était pas ma copine, pas encore. Mais j’avais compris qu’elle ne tarderait pas à le devenir. Elle m’a chopé par la taille. C’était une vieille, elle avait facilement un an de plus que moi. Et les privautés conséquentes.
Sa bouche était sur la mienne et ses lèvres ardentes me bouffaient tout cru.
Je ne criais pas au viol, à l’époque l’idée de harcèlement n’était pas dans l’air du temps. Je me régalais de tout ça et surtout de ses seins gros et mous sur mon thorax pressés. Et je pensais, vivement l’été sans les pulls et toutes ces épaisseurs.
Danielle ou Danièle était grande fille costaude avec qui je me régalais de descendre l’Ayré. Dans la neige profonde. Surtout le début de la piste à droite dans les sapins quand les péquins faisaient trace directe tout droit jusqu’au bout. Comme des cons sur la neige bleue gelée.
Nous on plongeait dans le noir sur blanc sous les sapins dans la profonde jusqu’aux aisselles. Fallait du cran et elle en avait. Elle était fille comme j’aimais. Avec couilles si je puis dire.
Faut dire que le lacet qui plongeait à droite dans le sombre des sapins de l’Ayré, dans le touffu dans l’enneigé dans l’inconnu, émouvait.
Je me souvenais de la tribu Famose. Le père la mère le fils et la fille. La fille et ses cuisses qui faisaient craquer le fuseau. Et moi qui bandais et qui filais derrière pour ne rien lâcher.
Barèges mon enfance, mon adolescence, ces filles de montagne qui m’ont appris à vivre.
Louisette, sa sœur et la fille Marcou. Et les lacs blanc bleu que l’on capturait de longues balades d’été avec les fils Delerue. Et puis la vallée de la Glaire, petit téléphérique depuis le haut du funiculaire. Chapelle perdue de neiges.
De ces filles de montagne j’ai surtout gardé Danielle découverte dans une grange sur le plateau lumière. On chantait la Montagne de Ferrat. Elle me tenait des discours de philosophie. Moi je lui disais des trucs de films de Godard de Lelouch. On lisait Planète. Et les chemins pierreux en lacets nous menaient haut dans les monts prés du soleil. Haut haut. Et on était bien et c’est souvenir pour moi que c’était ma vie.
Vu que c’est pour HDS que j’écris ces lignes, alors il me faut y glisser du foutre sinon j’aurai mauvaise note du jury et des lecteurs. Mais c’est vrai qu’en ce temps-là, en ces lieux de nature de montagnes, les histoires de cul étaient chastes...
Les filles de mon adolescence couraient les sentiers comme izards et n’avaient pas penchant à baisser leurs culottes devant les garçons. Les gazelles n’avaient pas encore envahi nos contrées.
La Danièle dont je vous parlais un peu plus tôt était fille de ville. Mais elle aimait, comme moi, les courses de montagne. Son ventre était plat et ses seins saillaient lourds par devant.
Quand elle m’a dit, arrête, me faut pisser, j’ai dit, va mais fais vite. Elle a baissé d’un geste élégant à la fois son futal et le slip et penchée en avant accroupie elle a fait coulette sur les caillasses du chemin.
L’eau claire de sa miction dévalait et moi je bandais.
J’ai pensé, tout en haut, sur la mousse prés du lac, je la mettrai.
Il a fallu longtemps de grimpette pour atteindre le lac.
Les fesses de Danielle étaient rudes étaient dures et le pantacourt se gonflait à chacun de ses pas. Et moi je rêvais d’y mettre la main, par en dessous. Et je grimpais. Et nous grimpions.
Au lac, le soleil s’était dégagé et innondait de clarté et de chaleur les berges rocailleuses. Danielle a dit, viens on va se tremper, on est tout suants de la montée.
Elle était l’aînée, elle était la grande, alors j´ai obéi. Mon short et mon slip et mon teeshirt ôtés je courai nu à l’eau pour plonger.
L’eau était glacée mais, stoïque, je n’ai rien dit attendant qu’elle soit nue elle-aussi afin de la bien mater.
Elle devait aimer ça, se montrer...
Car elle a longuement défait ses chaussures et leur lacets, baissé son futal court, sa culotte blanche puis le chemisier carreauté aux cent boutons sur le devant.
Elle faisait sa belle en soutif teenform, touffe noire avant de plonger dans les ondes.
Les deux mains dans son dos, elle a dégraphé le corsage puis, souriante, elle est venue vers moi congelé dans l’eau glacée.
Vu qu’on avait pas de serviette pour se sécher, je vous laisse imaginer la suite de l’affaire et HDS me pardonnera, on a pas baisé...
De plus, j’avais la zigounette complètement recroquevillée.
On descendait ensemble, lui et moi, le sentier escarpé du Schuss, neige gelée dure glissante. Puis nos routes différaient, lui à droite moi à gauche sous la plate-forme du télésiège jaune du Lienz.
Papa, lui, allait taper le carton chez Honta avec Caillon, Tingaud et un autre encore dont j’ai oublié le nom. Marcou peut être... Marcou père, car Marcou fils mon copain, ne jouait pas dans cette tribu. Marcou était mon ami et nous vivions des aventures de d’jeuns avec les filles, nous. On ne frayait pas avec les vieux.
Sous la plate-forme en bois du télé-siège du Lienz, dans le sombre humide et froid, une fille me guettait, Danièle. Elle n’était pas ma copine, pas encore. Mais j’avais compris qu’elle ne tarderait pas à le devenir. Elle m’a chopé par la taille. C’était une vieille, elle avait facilement un an de plus que moi. Et les privautés conséquentes.
Sa bouche était sur la mienne et ses lèvres ardentes me bouffaient tout cru.
Je ne criais pas au viol, à l’époque l’idée de harcèlement n’était pas dans l’air du temps. Je me régalais de tout ça et surtout de ses seins gros et mous sur mon thorax pressés. Et je pensais, vivement l’été sans les pulls et toutes ces épaisseurs.
Danielle ou Danièle était grande fille costaude avec qui je me régalais de descendre l’Ayré. Dans la neige profonde. Surtout le début de la piste à droite dans les sapins quand les péquins faisaient trace directe tout droit jusqu’au bout. Comme des cons sur la neige bleue gelée.
Nous on plongeait dans le noir sur blanc sous les sapins dans la profonde jusqu’aux aisselles. Fallait du cran et elle en avait. Elle était fille comme j’aimais. Avec couilles si je puis dire.
Faut dire que le lacet qui plongeait à droite dans le sombre des sapins de l’Ayré, dans le touffu dans l’enneigé dans l’inconnu, émouvait.
Je me souvenais de la tribu Famose. Le père la mère le fils et la fille. La fille et ses cuisses qui faisaient craquer le fuseau. Et moi qui bandais et qui filais derrière pour ne rien lâcher.
Barèges mon enfance, mon adolescence, ces filles de montagne qui m’ont appris à vivre.
Louisette, sa sœur et la fille Marcou. Et les lacs blanc bleu que l’on capturait de longues balades d’été avec les fils Delerue. Et puis la vallée de la Glaire, petit téléphérique depuis le haut du funiculaire. Chapelle perdue de neiges.
De ces filles de montagne j’ai surtout gardé Danielle découverte dans une grange sur le plateau lumière. On chantait la Montagne de Ferrat. Elle me tenait des discours de philosophie. Moi je lui disais des trucs de films de Godard de Lelouch. On lisait Planète. Et les chemins pierreux en lacets nous menaient haut dans les monts prés du soleil. Haut haut. Et on était bien et c’est souvenir pour moi que c’était ma vie.
Vu que c’est pour HDS que j’écris ces lignes, alors il me faut y glisser du foutre sinon j’aurai mauvaise note du jury et des lecteurs. Mais c’est vrai qu’en ce temps-là, en ces lieux de nature de montagnes, les histoires de cul étaient chastes...
Les filles de mon adolescence couraient les sentiers comme izards et n’avaient pas penchant à baisser leurs culottes devant les garçons. Les gazelles n’avaient pas encore envahi nos contrées.
La Danièle dont je vous parlais un peu plus tôt était fille de ville. Mais elle aimait, comme moi, les courses de montagne. Son ventre était plat et ses seins saillaient lourds par devant.
Quand elle m’a dit, arrête, me faut pisser, j’ai dit, va mais fais vite. Elle a baissé d’un geste élégant à la fois son futal et le slip et penchée en avant accroupie elle a fait coulette sur les caillasses du chemin.
L’eau claire de sa miction dévalait et moi je bandais.
J’ai pensé, tout en haut, sur la mousse prés du lac, je la mettrai.
Il a fallu longtemps de grimpette pour atteindre le lac.
Les fesses de Danielle étaient rudes étaient dures et le pantacourt se gonflait à chacun de ses pas. Et moi je rêvais d’y mettre la main, par en dessous. Et je grimpais. Et nous grimpions.
Au lac, le soleil s’était dégagé et innondait de clarté et de chaleur les berges rocailleuses. Danielle a dit, viens on va se tremper, on est tout suants de la montée.
Elle était l’aînée, elle était la grande, alors j´ai obéi. Mon short et mon slip et mon teeshirt ôtés je courai nu à l’eau pour plonger.
L’eau était glacée mais, stoïque, je n’ai rien dit attendant qu’elle soit nue elle-aussi afin de la bien mater.
Elle devait aimer ça, se montrer...
Car elle a longuement défait ses chaussures et leur lacets, baissé son futal court, sa culotte blanche puis le chemisier carreauté aux cent boutons sur le devant.
Elle faisait sa belle en soutif teenform, touffe noire avant de plonger dans les ondes.
Les deux mains dans son dos, elle a dégraphé le corsage puis, souriante, elle est venue vers moi congelé dans l’eau glacée.
Vu qu’on avait pas de serviette pour se sécher, je vous laisse imaginer la suite de l’affaire et HDS me pardonnera, on a pas baisé...
De plus, j’avais la zigounette complètement recroquevillée.
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