Bénédicte (Chapitre 2)
Récit érotique écrit par Florence27 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-11-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Bénédicte (Chapitre 2)
BENEDICTE -02
A chaque fois que je passais devant la cachette j'avais envie d'en continuer la lecture malgré mon sentiment de honte. Mais un week-end, pendant lequel Gontran était en séminaire, j'ai craqué et suis allée chercher le "brûlot".
Dès la reprise de ma lecture, j'ai senti mes seins durcir, et de plus une humidité apparaître dans mon sexe. Certaine de me damner, je suis allée m'allonger sur mon lit, mes mains caressait mes seins, mais je sentais qu'il m'en fallait plus. Ma main était attiré vers le haut de mes cuisses, comme si mon sexe avait été un puissant aimant. J'ai tenté de me retenir, mais rien n'y fit ! J'ai passé cette main, qui ne m'appartenait plus, sous ma jupe, et lorsque elle a touché mon slip, je me suis rendu compte qu'il était humide. Un doigt l'a écarté, pour aller jusqu'à ma toison et mes lèvres. Qu'étais-je en train de faire ? Pour la première fois, je touchais directement mon sexe et passais un doigt sur mes lèvres intimes. En remontant, il a senti une petite protubérance et en la touchant, j'ai été secouée comme par un courant électrique, ma respiration changeait de rythme, mon corps s'arquait et un liquide abondant coulait sur les draps. Avais-je eu, ce que mes camarades nommait un orgasme ? Je l'ai pensé, j'avais trouvé cela délicieux et j’étais toute pantelante sur mon lit et pleine de culpabilité. Mais je ne pouvais pas arrêter ma lecture, elle était comme une drogue, je suis arrivée à la description de deux femmes faisant l'amour et y prenant grand plaisir ! Comment cela pouvait-il être ? Deux femmes ensemble ! J'entrais dans un monde totalement inconnu et inimaginable.
J'avais eu trop de plaisir et savais qu'il me serait impossible de ne pas me caresser encore. Je me suis plongée dans des encyclopédies, pour savoir comment était fait le sexe féminin, et plus généralement sur tout ce que je pouvais apprendre sur la sexualité.
Au retour de Gontran, j'avais décidé de coucher nue, sans chemise de nuit, afin de pouvoir me caresser encore, lorsqu'il serait profondément endormi. Me voyant venir au lit sans tenue nocturne, il m'a demandé si j'étais devenue folle ? Non, lui ai-je dit, peut être tout simplement normale.
Quelque jours plus tard Valérie m'a demandé :
- Alors, tu as aimé le livre ?
- Aimé n'est pas vraiment le mot, c'est à la fois répugnant et passionnant, mais je pense que ce n'est que le fruit de l'imagination d'un auteur un peu dérangé ! Comment de telles choses peuvent-elles se pratiquer réellement ?
- Il est vraiment nécessaire que tu aies un amant pour te déniaiser et pourquoi pas une amante aussi ?
J'étais scandalisée, mais au fond de moi une petite voix, encore faible, me soufflait qu'elle n'avait pas tort.
- Tu devrais parler plus souvent avec Pierre Edouard, crois moi c'est ce que l'on nomme un "bon coup", toutes celles qui y sont passées s'accordent à le dire et c'est vrai, je te parle d'expérience.
- Tu as couché avec lui ?
- Oui, et je ne suis pas la seule, crois moi, il est doux, plein de prévenance et il sait faire vibrer ton corps comme un virtuose quand il joue un Stradivarius.
Certes Pierre Edouard était très séduisant. Mais comment une fille comme moi, avec ses cheveux tirés en queue de cheval, ses jupes plissées bleu marine, ses cardigans de même couleur, ses chaussures plates, ses chemisiers avec un col Claudine, ses lunettes, aurait-t-elle pu intéresser un garçon comme Pierre Edouard ?
Je m'étais bien rendue compte que toutes les filles minaudaient devant lui pour attirer son attention. C'était sans compter avec l'esprit pervers de Valérie.
Un soir où les cours se terminaient à 20 h. Valérie, une autre camarade et trois garçons, dont Pierre Edouard me dirent :
- Viens avec nous Bénédicte, nous allons dîner au restaurant.
- J'aimerais bien, mais cela m'est impossible, car mon mari va m'attendre.
- Il nous emmerde ton mari, il t'empêche de vivre ; rien à faire, tu viens avec nous, cela lui fera du bien de t'attendre.
J'étais encore hésitante, quand j'ai croisé le regard bleu de Pierre Edouard. Pourquoi ce simple regard a-t-il fait que j'ai senti un liquide chaud mouiller ma culotte ?
- Ok je viens avec vous.
Arrivés au restaurant, Valérie a distribué les places, comme par hasard mon voisin était Pierre Edouard.
Pendant tout le dîner, il a fait semblant d'être indifférent à moi, bien que, comme par inadvertance, sa jambe frôlait la mienne ; il passait son bras autour de mon cou en me caressant l'épaule, il faisait de même avec son autre voisine, mais de façon moins appuyée. A chaque fois que sa main me frôlait, je ressentais comme une décharge électrique dans tout mon corps et mon slip était de plus en plus mouillé. Je n'avais jamais eu de telles sensations avec Gontran.
Après le dîner, il nous a tous et toutes invité à prendre un dernier verre dans son appartement. Valérie et une autre des filles acceptèrent, et j'ai suivi le mouvement.
L'ambiance était chaleureuse, deux vastes canapés face à face, séparés par une table basse. Pierre Edouard avait sorti une bouteille de vodka, j'avais déjà bu du vin à table, ce dont je n'avais pas l'habitude et je me sentais très euphorique, Gontran, était devenu le cadet de mes soucis. Pierre Edouard s'était assis près de moi, Valérie à coté de l'autre fille. Assez vite, elles se sont tournées l'une vers l'autre ; je croyais rêver, ce que j'avais lu dans le livre prêté par Valérie pouvait être la réalité, d'autant que l'une, avait glissé sa main dans le chemisier de l'autre et vice versa, et que manifestement, elles se caressaient mutuellement les seins ! Leur lèvres étaient collées et l'on pouvait quand même apercevoir les langues jouer ensemble un curieux ballet.
Pierre Edouard a passé un bras sur mes épaules, laissant tomber négligemment sa main sur mon sein gauche. Je savais que j'aurais du me lever et partir, car les choses tournaient de façon très immorale. Je fermais les yeux pour prier Sainte Bénédicte de me donner le courage de partir. Pierre Edouard a pris mes yeux fermés comme un laisser aller, de ma part, pour une acceptation, quand toute ma raison me disait que si je ne partais pas immédiatement, ma vie basculerait dans la luxure.
J'ai senti sa bouche s'approcher de la mienne, son souffle était un doux zéphyr, mes lèvres se sont ouvertes et pour la première fois de ma vie, j'ai senti une langue venir chercher la mienne. Dès cet instant, je savais que j'étais damnée, mais s'était si délicieux. Pierre Edouard avait défait, sans même que j'en prenne conscience, les boutons de mon chemisier, et sa main était à la recherche d'un sein à travers mon soutien-gorge. Son autre main, caressait mon genou et petit à petit, remontait sur ma cuisse, nous étions à la fin du printemps et je ne portais pas de collants. Ces doigts, qui effleuraient ma peau, cette langue qui se mélangeait avec la mienne; était-ce vraiment moi ou une traînée de mauvaise vie ?
Il s'est levé en me tenant par la main tout en disant.
- Viens Bénédicte, allons dans ma chambre, laissons les tranquilles, elles n'ont plus besoin de notre présence et nous serons mieux dans ma chambre !
Je l'ai suivi comme une zombie, totalement hypnotisée par l'odeur de son eau de toilette, Gontran n'en mettait jamais. Par ses yeux bleus, par sa douceur, je savais que l'irréparable allait se produire, mais je n'étais pas de taille à luter. En avais-je réellement envie ?
Arrivés dans la chambre, il m'a allongé sur le lit, j'étais inerte comme un pantin. Il a ouvert mon chemisier, dégrafé mon soutien-gorge, et mes petits seins se sont fièrement dressés dans la lumière tamisée de la chambre. Il a lui-même ôté sa chemise et son pantalon, pour ne garder, pour le moment, que son caleçon gonflé par une bosse, que je supposais être son sexe. J'allais voir pour la première fois un sexe d'homme ; Gontran, les rares fois où il me faisait l'amour, exigeait le noir absolu.
Pierre Edouard est venu contre moi, et très doucement, il m'a débarrassé de ma jupe, tout en parcourant mon corps des pieds à la tête, de doux et légers baisers qui me faisaient frissonner. Il se gardait de passer sur mes seins et sur mon pubis, même à travers mon slip. J'ai senti ses doigts venir faire durcir encore mes pointes de seins. Une autre main descendait doucement vers le bas de mon ventre en prenant le chemin des écoliers. Comme anesthésiée je le laissais faire, craignant et espérant l'arrivé de ce doigt sur l'élastique de ce dernier rempart à ma pudeur. Si je le laissais continuer toutes mes barrières morales allaient tomber; je passerai de l'épouse parfaite et fidèle mais insatisfaite à celle de femme infidèle mais surement comblée.
Ca y est il a atteint le dernier rempart, son doigt écarte l'élastique et fait glisser le slip sur mes cuisses. Un homme peut contempler mon buisson et la fente qui le barre. Il ne s'en prive pas ! Je ferme les yeux, honteuse et non moins pleine de l'éspérance de découvrir enfin les rivages de l'orgasme. Ses lèvres continuent à me couvrir de petits baisers tandis que je sens ses doigts se poser sur ma toison pour la parcourir tel un peigne. Je me sens couler, il va trouver cela très sale. A ma grande surprise il me dit:
- Ta mouille, (c'est quoi ? j'ignorais le mot), dégage une délicieuse odeur d'iode.
Donc il aime et n'est pas dégouté ! L'un de ses doigt se pose sur mes lèvres intimes et les écarte, jamais Gontran n'a fait une chose pareille; en plus j'aime ça ! Il parcourt ma fente de bas en haut et s'attarde sur quelque chose de dur que je sens grossir. Si les planches anatomiques que j'ai vu dans l'encyclopédie sont exactes, c'est ce que l'on nomme clitoris. La sensation est délicieuse, ma respiration s'accélère, je coule d'abondance. Son doigt et sa main me quittent, j'entrouve les yeux et que vois-je ! Il suce son doigt dégoulinant de ce qu'il appel la mouille.
- Ta cyprine, c'est le nom savant, est délicieuse, j'irai bien la boire à la source.
- Non ! C'est trop sale, continue à me caresser c'est trop bon.
Il fait comme je le lui demandais, que c'était bon ! Je ne m'étais pas rendue compte, car mes yeux étaient fermés, qu'il n'avait plus son caleçon. Une bite de belle taille dans la plénitude de son extension s'offrait à ma vue. Il n'allait jamais pouvoir entrer un tel volume dans mon petit vagin. Gontran avait le même engin mais surement deux à trois fois moins volumineux et moins long. Si je cédais j'allais être déchirée !
Brusquement c'est lui qui s'est allongé et m'a fait venir sur lui, jambes repliées, le compas de mes cuisses bien ouvert. Il me soutenait les fesses et m'a lentement fait descendre sur son mat. Dans un miroir, parfaitement disposé, je pouvais observer la lente progression de son vit dans ma jolie petite fente, tiens je la trouve jolie il faut dire que je m'étais gardée de bien l'observer jusqu'à ce jour.
Au fur et à mesure qu'elle entrait en moi, glissant sans difficulté tellement je me sentais mouillée, je sentais un douce chaleur m'envahir, elle partait de mon petit triangle pour iradier tout mon corps.
Me tenant par les fesses Pierre Edouard m'a fait monter et descendre le long de son membre de plus en plus vite. Je sentais des sensations jamais connues avant. J'avais le souffle court, ma tête ballotait de gauche à droite et de droite à gauche, j'entendais des cris de plus en plus forts sortir de mon larynx et emplir la pièce.
Une décharge électrique m'a traversé le corps ! Comment pouvait-il exister un tel plaisir, que je n'avais jamais connu avant ?
A demi consciente je me suis écroulée sur le lit, le sperme de Pierre Edouard coulait de ma fente, Gontran était vraiment un nul de ne pas m'avoir fait connaître un tel bonheur.
Reprenant mes esprits j'ai pris conscience de ce qui était arrivé et j'étais couverte de honte !
Je me suis habillée, à la vitesse de l'éclair et devant le ragard éffaré de Pierre Edouard je me suis enfuie de cet appartement voué à la luxure.
Je suis arrivée chez moi vers cinq heures du matin. J'y ai trouvé Gontran agenouillé sur son prie-Dieu, la tête dans les mains.
- Que fais-tu à cette heure ?
- Je prie pour le salut de ton âme et espère que tu vas te reprendre, te repentir le plus vite possible !
- Oui je t'ai trompé, j'ai connu un plaisr que tu n'imagines même pas et je n'ai pas l'intention de m'en priver, avec d'autres éventuellement si tu es incapable de me le donner.
Sur ces bonnes paroles je suis allée me coucher ma tête pleine du souvenir des moments que je venais de vivre.
A suivre
A chaque fois que je passais devant la cachette j'avais envie d'en continuer la lecture malgré mon sentiment de honte. Mais un week-end, pendant lequel Gontran était en séminaire, j'ai craqué et suis allée chercher le "brûlot".
Dès la reprise de ma lecture, j'ai senti mes seins durcir, et de plus une humidité apparaître dans mon sexe. Certaine de me damner, je suis allée m'allonger sur mon lit, mes mains caressait mes seins, mais je sentais qu'il m'en fallait plus. Ma main était attiré vers le haut de mes cuisses, comme si mon sexe avait été un puissant aimant. J'ai tenté de me retenir, mais rien n'y fit ! J'ai passé cette main, qui ne m'appartenait plus, sous ma jupe, et lorsque elle a touché mon slip, je me suis rendu compte qu'il était humide. Un doigt l'a écarté, pour aller jusqu'à ma toison et mes lèvres. Qu'étais-je en train de faire ? Pour la première fois, je touchais directement mon sexe et passais un doigt sur mes lèvres intimes. En remontant, il a senti une petite protubérance et en la touchant, j'ai été secouée comme par un courant électrique, ma respiration changeait de rythme, mon corps s'arquait et un liquide abondant coulait sur les draps. Avais-je eu, ce que mes camarades nommait un orgasme ? Je l'ai pensé, j'avais trouvé cela délicieux et j’étais toute pantelante sur mon lit et pleine de culpabilité. Mais je ne pouvais pas arrêter ma lecture, elle était comme une drogue, je suis arrivée à la description de deux femmes faisant l'amour et y prenant grand plaisir ! Comment cela pouvait-il être ? Deux femmes ensemble ! J'entrais dans un monde totalement inconnu et inimaginable.
J'avais eu trop de plaisir et savais qu'il me serait impossible de ne pas me caresser encore. Je me suis plongée dans des encyclopédies, pour savoir comment était fait le sexe féminin, et plus généralement sur tout ce que je pouvais apprendre sur la sexualité.
Au retour de Gontran, j'avais décidé de coucher nue, sans chemise de nuit, afin de pouvoir me caresser encore, lorsqu'il serait profondément endormi. Me voyant venir au lit sans tenue nocturne, il m'a demandé si j'étais devenue folle ? Non, lui ai-je dit, peut être tout simplement normale.
Quelque jours plus tard Valérie m'a demandé :
- Alors, tu as aimé le livre ?
- Aimé n'est pas vraiment le mot, c'est à la fois répugnant et passionnant, mais je pense que ce n'est que le fruit de l'imagination d'un auteur un peu dérangé ! Comment de telles choses peuvent-elles se pratiquer réellement ?
- Il est vraiment nécessaire que tu aies un amant pour te déniaiser et pourquoi pas une amante aussi ?
J'étais scandalisée, mais au fond de moi une petite voix, encore faible, me soufflait qu'elle n'avait pas tort.
- Tu devrais parler plus souvent avec Pierre Edouard, crois moi c'est ce que l'on nomme un "bon coup", toutes celles qui y sont passées s'accordent à le dire et c'est vrai, je te parle d'expérience.
- Tu as couché avec lui ?
- Oui, et je ne suis pas la seule, crois moi, il est doux, plein de prévenance et il sait faire vibrer ton corps comme un virtuose quand il joue un Stradivarius.
Certes Pierre Edouard était très séduisant. Mais comment une fille comme moi, avec ses cheveux tirés en queue de cheval, ses jupes plissées bleu marine, ses cardigans de même couleur, ses chaussures plates, ses chemisiers avec un col Claudine, ses lunettes, aurait-t-elle pu intéresser un garçon comme Pierre Edouard ?
Je m'étais bien rendue compte que toutes les filles minaudaient devant lui pour attirer son attention. C'était sans compter avec l'esprit pervers de Valérie.
Un soir où les cours se terminaient à 20 h. Valérie, une autre camarade et trois garçons, dont Pierre Edouard me dirent :
- Viens avec nous Bénédicte, nous allons dîner au restaurant.
- J'aimerais bien, mais cela m'est impossible, car mon mari va m'attendre.
- Il nous emmerde ton mari, il t'empêche de vivre ; rien à faire, tu viens avec nous, cela lui fera du bien de t'attendre.
J'étais encore hésitante, quand j'ai croisé le regard bleu de Pierre Edouard. Pourquoi ce simple regard a-t-il fait que j'ai senti un liquide chaud mouiller ma culotte ?
- Ok je viens avec vous.
Arrivés au restaurant, Valérie a distribué les places, comme par hasard mon voisin était Pierre Edouard.
Pendant tout le dîner, il a fait semblant d'être indifférent à moi, bien que, comme par inadvertance, sa jambe frôlait la mienne ; il passait son bras autour de mon cou en me caressant l'épaule, il faisait de même avec son autre voisine, mais de façon moins appuyée. A chaque fois que sa main me frôlait, je ressentais comme une décharge électrique dans tout mon corps et mon slip était de plus en plus mouillé. Je n'avais jamais eu de telles sensations avec Gontran.
Après le dîner, il nous a tous et toutes invité à prendre un dernier verre dans son appartement. Valérie et une autre des filles acceptèrent, et j'ai suivi le mouvement.
L'ambiance était chaleureuse, deux vastes canapés face à face, séparés par une table basse. Pierre Edouard avait sorti une bouteille de vodka, j'avais déjà bu du vin à table, ce dont je n'avais pas l'habitude et je me sentais très euphorique, Gontran, était devenu le cadet de mes soucis. Pierre Edouard s'était assis près de moi, Valérie à coté de l'autre fille. Assez vite, elles se sont tournées l'une vers l'autre ; je croyais rêver, ce que j'avais lu dans le livre prêté par Valérie pouvait être la réalité, d'autant que l'une, avait glissé sa main dans le chemisier de l'autre et vice versa, et que manifestement, elles se caressaient mutuellement les seins ! Leur lèvres étaient collées et l'on pouvait quand même apercevoir les langues jouer ensemble un curieux ballet.
Pierre Edouard a passé un bras sur mes épaules, laissant tomber négligemment sa main sur mon sein gauche. Je savais que j'aurais du me lever et partir, car les choses tournaient de façon très immorale. Je fermais les yeux pour prier Sainte Bénédicte de me donner le courage de partir. Pierre Edouard a pris mes yeux fermés comme un laisser aller, de ma part, pour une acceptation, quand toute ma raison me disait que si je ne partais pas immédiatement, ma vie basculerait dans la luxure.
J'ai senti sa bouche s'approcher de la mienne, son souffle était un doux zéphyr, mes lèvres se sont ouvertes et pour la première fois de ma vie, j'ai senti une langue venir chercher la mienne. Dès cet instant, je savais que j'étais damnée, mais s'était si délicieux. Pierre Edouard avait défait, sans même que j'en prenne conscience, les boutons de mon chemisier, et sa main était à la recherche d'un sein à travers mon soutien-gorge. Son autre main, caressait mon genou et petit à petit, remontait sur ma cuisse, nous étions à la fin du printemps et je ne portais pas de collants. Ces doigts, qui effleuraient ma peau, cette langue qui se mélangeait avec la mienne; était-ce vraiment moi ou une traînée de mauvaise vie ?
Il s'est levé en me tenant par la main tout en disant.
- Viens Bénédicte, allons dans ma chambre, laissons les tranquilles, elles n'ont plus besoin de notre présence et nous serons mieux dans ma chambre !
Je l'ai suivi comme une zombie, totalement hypnotisée par l'odeur de son eau de toilette, Gontran n'en mettait jamais. Par ses yeux bleus, par sa douceur, je savais que l'irréparable allait se produire, mais je n'étais pas de taille à luter. En avais-je réellement envie ?
Arrivés dans la chambre, il m'a allongé sur le lit, j'étais inerte comme un pantin. Il a ouvert mon chemisier, dégrafé mon soutien-gorge, et mes petits seins se sont fièrement dressés dans la lumière tamisée de la chambre. Il a lui-même ôté sa chemise et son pantalon, pour ne garder, pour le moment, que son caleçon gonflé par une bosse, que je supposais être son sexe. J'allais voir pour la première fois un sexe d'homme ; Gontran, les rares fois où il me faisait l'amour, exigeait le noir absolu.
Pierre Edouard est venu contre moi, et très doucement, il m'a débarrassé de ma jupe, tout en parcourant mon corps des pieds à la tête, de doux et légers baisers qui me faisaient frissonner. Il se gardait de passer sur mes seins et sur mon pubis, même à travers mon slip. J'ai senti ses doigts venir faire durcir encore mes pointes de seins. Une autre main descendait doucement vers le bas de mon ventre en prenant le chemin des écoliers. Comme anesthésiée je le laissais faire, craignant et espérant l'arrivé de ce doigt sur l'élastique de ce dernier rempart à ma pudeur. Si je le laissais continuer toutes mes barrières morales allaient tomber; je passerai de l'épouse parfaite et fidèle mais insatisfaite à celle de femme infidèle mais surement comblée.
Ca y est il a atteint le dernier rempart, son doigt écarte l'élastique et fait glisser le slip sur mes cuisses. Un homme peut contempler mon buisson et la fente qui le barre. Il ne s'en prive pas ! Je ferme les yeux, honteuse et non moins pleine de l'éspérance de découvrir enfin les rivages de l'orgasme. Ses lèvres continuent à me couvrir de petits baisers tandis que je sens ses doigts se poser sur ma toison pour la parcourir tel un peigne. Je me sens couler, il va trouver cela très sale. A ma grande surprise il me dit:
- Ta mouille, (c'est quoi ? j'ignorais le mot), dégage une délicieuse odeur d'iode.
Donc il aime et n'est pas dégouté ! L'un de ses doigt se pose sur mes lèvres intimes et les écarte, jamais Gontran n'a fait une chose pareille; en plus j'aime ça ! Il parcourt ma fente de bas en haut et s'attarde sur quelque chose de dur que je sens grossir. Si les planches anatomiques que j'ai vu dans l'encyclopédie sont exactes, c'est ce que l'on nomme clitoris. La sensation est délicieuse, ma respiration s'accélère, je coule d'abondance. Son doigt et sa main me quittent, j'entrouve les yeux et que vois-je ! Il suce son doigt dégoulinant de ce qu'il appel la mouille.
- Ta cyprine, c'est le nom savant, est délicieuse, j'irai bien la boire à la source.
- Non ! C'est trop sale, continue à me caresser c'est trop bon.
Il fait comme je le lui demandais, que c'était bon ! Je ne m'étais pas rendue compte, car mes yeux étaient fermés, qu'il n'avait plus son caleçon. Une bite de belle taille dans la plénitude de son extension s'offrait à ma vue. Il n'allait jamais pouvoir entrer un tel volume dans mon petit vagin. Gontran avait le même engin mais surement deux à trois fois moins volumineux et moins long. Si je cédais j'allais être déchirée !
Brusquement c'est lui qui s'est allongé et m'a fait venir sur lui, jambes repliées, le compas de mes cuisses bien ouvert. Il me soutenait les fesses et m'a lentement fait descendre sur son mat. Dans un miroir, parfaitement disposé, je pouvais observer la lente progression de son vit dans ma jolie petite fente, tiens je la trouve jolie il faut dire que je m'étais gardée de bien l'observer jusqu'à ce jour.
Au fur et à mesure qu'elle entrait en moi, glissant sans difficulté tellement je me sentais mouillée, je sentais un douce chaleur m'envahir, elle partait de mon petit triangle pour iradier tout mon corps.
Me tenant par les fesses Pierre Edouard m'a fait monter et descendre le long de son membre de plus en plus vite. Je sentais des sensations jamais connues avant. J'avais le souffle court, ma tête ballotait de gauche à droite et de droite à gauche, j'entendais des cris de plus en plus forts sortir de mon larynx et emplir la pièce.
Une décharge électrique m'a traversé le corps ! Comment pouvait-il exister un tel plaisir, que je n'avais jamais connu avant ?
A demi consciente je me suis écroulée sur le lit, le sperme de Pierre Edouard coulait de ma fente, Gontran était vraiment un nul de ne pas m'avoir fait connaître un tel bonheur.
Reprenant mes esprits j'ai pris conscience de ce qui était arrivé et j'étais couverte de honte !
Je me suis habillée, à la vitesse de l'éclair et devant le ragard éffaré de Pierre Edouard je me suis enfuie de cet appartement voué à la luxure.
Je suis arrivée chez moi vers cinq heures du matin. J'y ai trouvé Gontran agenouillé sur son prie-Dieu, la tête dans les mains.
- Que fais-tu à cette heure ?
- Je prie pour le salut de ton âme et espère que tu vas te reprendre, te repentir le plus vite possible !
- Oui je t'ai trompé, j'ai connu un plaisr que tu n'imagines même pas et je n'ai pas l'intention de m'en priver, avec d'autres éventuellement si tu es incapable de me le donner.
Sur ces bonnes paroles je suis allée me coucher ma tête pleine du souvenir des moments que je venais de vivre.
A suivre
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Mais que va encore découvrir Bénédicte ? Son mari va-t-il succomber à la tentation ? Florence, ne nous faites pas languir.
ravissante histoire comme tjrs agréablement écrite
Cette fois Bénédicte a éprouvé pour la première fois, ce que son mari coincé, n'a jamais pu lui offrir, sa première jouissance ! Florence nous raconte très bien, comme à son habitude la montée des sentiments partagés de la jeune étudiante qui se laisse enfin envahir par le plaisir. Espérons une suite à ce qui peut devenir une très belle saga.