Bénédicte, Raoul et moi.
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-01-2012 dans la catégorie Plus on est
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Bénédicte, Raoul et moi.
Les envies de Bénédicte deviennent carrément porno: elle voudrait baiser avec plusieurs hommes à la fois. Je me sens désarmé avec ma bite toute simple et les godes qu’elle emploie. Elle a pris l‘habitude de se faire baiser en étant sur moi, elle me donne le gode pour que je l’encule en même temps. C’est une petite double. C’est agréable pour moi, pour elle c’est encore meilleur d’après ce qu’elle dit.
Je raconte ma femme en quelques phrases: elle avait déjà eu pas mal d’amis avant moi.
C’est normal de nos jour. Nous nous fréquentions quand nous avons rompu je ne sais même plus pour qu’elle raison.
Je l’ai recherché ensuite: elle baisait trop bien. Je sais qu’elle avait eu plusieurs hommes à la fois: un dans la chatte. Se faire sodomiser en baisant en en suçant un troisième était le vrai bonheur. Elle s’est aperçu rapidement qu’elle ne pouvait pas vivre uniquement pour le sexe.
Depuis que nous sommes ensemble, Bénédicte se baise seule, devant moi ou certainement sans moi. Elle a eu une expérience homo avec une femme bien plus âgée qu’elle: elle en garde un souvenir tel qu’elle arrive souvent à se faire baiser par des copines de rencontre. Quelques fois nous partageons les mêmes filles.
Maintenant elle voudrait trouver un amant bien monté pour qu’avec lui nous la baisions ensemble. Je n’ai rien contre, au contraire puisqu’elle aime ça.
Je ne cherche pas celui qui me rendrai cocu, c’est elle qui cherche. Un soir elle me dit qu’elle a trouvé la perle rare: un quadragénaire bien monté.
- Où tu as trouvé ce type ?
- En face de chez nous: je l’ai vu à la fenêtre quand je m’habillais ce matin, il était chez lui, tout nu. J’ai pu voir sa bite qui bandait. Je suis restée à moitié nue, comme il se branlait j’en ai fait autant. Je me suis montré: il m’a vue.
Nous avons joui ensemble. Je lui ai fait signe de descendre. Nous nous sommes rencontré en bas, dans la rue.
Je lui ai proposé de baiser ensemble, il a accepté. Nous sommes monté chez lui. Je me suis vite déshabillée. J’ai sortis sa bite que j’ai faite grossir en la léchant, comme je te fais.
Je lui ai demandé de m’enculer directement. Je me suis simplement penchée en avant, j’ai ouvert mes fesses avec les mains: il a vite trouvé la porte d’entrée. Il me la mise avec douceur, complètement: je sentais ses couilles contre mes fesses. Pour assaisonner la sodomie, il m’a branler le clitoris.
La salaud m’a bien faire jouir: depuis, je ne me suis même pas baisée.
Laurent vient ce soir pour manger et ensuite pour m’enculer encore, à moins que tu veuille cette place, dans ce cas il me la mettra dans le con.
- Je n’ai plus rien à dire. J’accepte. Si plus tard tu as des envie de sodomie tu iras chez lui.
- Pas sur, il peut venir chez nous. Ce serait bien que j’ai un amant qui vienne te faire cocu dans ta maison.
- Dans ce cas je chercherai une fille qui vienne aussi.
- Oui, j’aimerai nous pourrions te partager et nous aimer avec elle. Tu sais que j’aime bien les filles aussi.
- Tu aime n’importe quoi que te baise.
- C’est vrai, tu me connais.
- Baises qui tu veux. Je baiserai aussi comme je veux, qui sait avec ton type d’en face.
- Pourquoi pas. Après tout s’il aime enculer, il peut bien te le faire.
- J’en sais rien;Le soir, j’ouvre la porte à un gaillard plus grand et costaud: c’est le nouvelle coqueluche de Bénédicte. Elle a bout gout: je ne suis pas très connaisseur en homme, celui là me parait fort bien.
Il se présente; je suis Raoul. Je regarde instinctivement sa braguette: elle m’a l’air bien pleine: elle va en prendre plein le cul. Si je me laisse tenter, j’en aurai autant dans le mien.
Bénédicte arrive pour l’embrasser sur la bouche. Sa première précaution est de lui sortir la bite.
J’en reste éblouis: c’est vrai qu’elle est grosse et longue, en plus elle dégage un charme que je ne connais pas. J’ai envie de sa bite dans le cul. Comme ma femme.
Nous faisons semblant de grignoter, pour passer au principal; l’entrejambe de Bénédicte. Elle est prête, nue, parfumée aux endroit stratégiques. Elle vient en sandwich: elle me fait face, je peux l’embrasser et lui caresser la poitrine pendant que Raoul est derrière elle. Elle se dandine devant lui, la bite de Raoul bande entre ses fesses.
J’espère qu’elle ne va pas se faire sodomiser encore debout. Non elle fait aller ses fesses contre la queue pour l’exciter d’avantage.
Je suis penché vers ses seins que je lèche et suce. Elle tient ma pine dans une main.
Elle me branle un peu.
Son autre main part à la recherche de la queue de Raoul. D’après ce que j’en vois il en a un bien grosse et longue: elle va se régaler de l’avoir entre dans fesses.
Bénédicte se met en levrette: elle donne déjà son cul. Raoul répond à l’invitation, qui refuserai les fesses de ma femme ?
Il crache sur le trou encore fermé: il ne va pas tarder à s’ouvrir d’abord grâce à Bénédicte qui sait ouvrir un peu son anus, et surtout à cause de la pine qui arrive. Je regarde bien comme un spectacle: il pose son vit sur la rondelle, attend un tout petit moment, lentement il entre. Je vois l’anus s’écarter sous la poussée: Le gland n’est même pas à moitié dans son sphincter.
Il donne un grand coup: Bénédicte fait des « han » à répétition. Je vois qu’il la lui a toute mise. Je me demande comment elle fait. Je me demande surtout comment elle fait pour en jouir.
Elle demande ma queue pour la sucer: elle aime trop le sperme. Sa langue entoure le gland, ses lèvres servent de sexe, elle l’enfonce au fond de sa gorge. Elle va me faire jouir dans sa bouche.
Je ne peux tenir longtemps quand elle me repousse: elle ne veut pas que je jouisse encore.
Elle fait sortir la bite de Raoul avant qu’il jouisse. Nous pensons qu’elle désire qu’on la lui mette à deux.
Elle me fait mettre en levrette, me mouille le cul avec sa cyprine. Elle tient la queue de Raoul, la dirige vers mon cul. Je ne la voulais pas encore. Je suis même en train de débander.
Raoul est prêt à ma la mettre. Bénédicte se rend compte que je ne bande plus: elle vent sous moi, prend ma bite dans sa bouche: je rebande. Raoul en profite pour entrer très lentement dans mon cul.
Il me fait mal. Je serre les dents, quand je me rend compte que finalement c’est un autre plaisir qui arrive dans mes reins. Je ne pensais jamais que ma prostate réagisse ainsi. Il m’encule, me masse une glande, pendant qu‘il a pris l‘initiative de ma branler. Je dois avoir le cul ouvert comme un entonnoir. Malgré ça je sens venir l’orgasme, un orgasme inconnu. Ma bite gonfle, gonfle jusqu’au moment où je ne peux retenir ma jouissance. Je lâche une quantité importante de sperme que Bénédicte récupère je ne sais comment. Je me laisse tomber sur elle, vaincu par le plaisir.
Quand je peux à nouveau bander, elle me demande sur elle: elle a déjà Raoul dans le cul, je vais combler les manques dans son con. J’y trouve son sexe, sa mouille et la présence à travers les fines parois de la bite de Raoul. Il ne s’en doute certainement pas: c’est grâce à lui que, nos bites se croisant dans le ventre de ma femme, me donne ou nous donne ce plaisir immense qui fait jouir Bénédicte, Raoul et moi, à la fois ou presque.
Je remercie Raoul de l’orgasme qu’il m’a fait avoir en m’enculant. Il avoue que je suis son premier.
Nous pourrons recommencer même sans Bénédicte. Il me propose de l’enculer aussi.
Pourquoi pas ?
Je raconte ma femme en quelques phrases: elle avait déjà eu pas mal d’amis avant moi.
C’est normal de nos jour. Nous nous fréquentions quand nous avons rompu je ne sais même plus pour qu’elle raison.
Je l’ai recherché ensuite: elle baisait trop bien. Je sais qu’elle avait eu plusieurs hommes à la fois: un dans la chatte. Se faire sodomiser en baisant en en suçant un troisième était le vrai bonheur. Elle s’est aperçu rapidement qu’elle ne pouvait pas vivre uniquement pour le sexe.
Depuis que nous sommes ensemble, Bénédicte se baise seule, devant moi ou certainement sans moi. Elle a eu une expérience homo avec une femme bien plus âgée qu’elle: elle en garde un souvenir tel qu’elle arrive souvent à se faire baiser par des copines de rencontre. Quelques fois nous partageons les mêmes filles.
Maintenant elle voudrait trouver un amant bien monté pour qu’avec lui nous la baisions ensemble. Je n’ai rien contre, au contraire puisqu’elle aime ça.
Je ne cherche pas celui qui me rendrai cocu, c’est elle qui cherche. Un soir elle me dit qu’elle a trouvé la perle rare: un quadragénaire bien monté.
- Où tu as trouvé ce type ?
- En face de chez nous: je l’ai vu à la fenêtre quand je m’habillais ce matin, il était chez lui, tout nu. J’ai pu voir sa bite qui bandait. Je suis restée à moitié nue, comme il se branlait j’en ai fait autant. Je me suis montré: il m’a vue.
Nous avons joui ensemble. Je lui ai fait signe de descendre. Nous nous sommes rencontré en bas, dans la rue.
Je lui ai proposé de baiser ensemble, il a accepté. Nous sommes monté chez lui. Je me suis vite déshabillée. J’ai sortis sa bite que j’ai faite grossir en la léchant, comme je te fais.
Je lui ai demandé de m’enculer directement. Je me suis simplement penchée en avant, j’ai ouvert mes fesses avec les mains: il a vite trouvé la porte d’entrée. Il me la mise avec douceur, complètement: je sentais ses couilles contre mes fesses. Pour assaisonner la sodomie, il m’a branler le clitoris.
La salaud m’a bien faire jouir: depuis, je ne me suis même pas baisée.
Laurent vient ce soir pour manger et ensuite pour m’enculer encore, à moins que tu veuille cette place, dans ce cas il me la mettra dans le con.
- Je n’ai plus rien à dire. J’accepte. Si plus tard tu as des envie de sodomie tu iras chez lui.
- Pas sur, il peut venir chez nous. Ce serait bien que j’ai un amant qui vienne te faire cocu dans ta maison.
- Dans ce cas je chercherai une fille qui vienne aussi.
- Oui, j’aimerai nous pourrions te partager et nous aimer avec elle. Tu sais que j’aime bien les filles aussi.
- Tu aime n’importe quoi que te baise.
- C’est vrai, tu me connais.
- Baises qui tu veux. Je baiserai aussi comme je veux, qui sait avec ton type d’en face.
- Pourquoi pas. Après tout s’il aime enculer, il peut bien te le faire.
- J’en sais rien;Le soir, j’ouvre la porte à un gaillard plus grand et costaud: c’est le nouvelle coqueluche de Bénédicte. Elle a bout gout: je ne suis pas très connaisseur en homme, celui là me parait fort bien.
Il se présente; je suis Raoul. Je regarde instinctivement sa braguette: elle m’a l’air bien pleine: elle va en prendre plein le cul. Si je me laisse tenter, j’en aurai autant dans le mien.
Bénédicte arrive pour l’embrasser sur la bouche. Sa première précaution est de lui sortir la bite.
J’en reste éblouis: c’est vrai qu’elle est grosse et longue, en plus elle dégage un charme que je ne connais pas. J’ai envie de sa bite dans le cul. Comme ma femme.
Nous faisons semblant de grignoter, pour passer au principal; l’entrejambe de Bénédicte. Elle est prête, nue, parfumée aux endroit stratégiques. Elle vient en sandwich: elle me fait face, je peux l’embrasser et lui caresser la poitrine pendant que Raoul est derrière elle. Elle se dandine devant lui, la bite de Raoul bande entre ses fesses.
J’espère qu’elle ne va pas se faire sodomiser encore debout. Non elle fait aller ses fesses contre la queue pour l’exciter d’avantage.
Je suis penché vers ses seins que je lèche et suce. Elle tient ma pine dans une main.
Elle me branle un peu.
Son autre main part à la recherche de la queue de Raoul. D’après ce que j’en vois il en a un bien grosse et longue: elle va se régaler de l’avoir entre dans fesses.
Bénédicte se met en levrette: elle donne déjà son cul. Raoul répond à l’invitation, qui refuserai les fesses de ma femme ?
Il crache sur le trou encore fermé: il ne va pas tarder à s’ouvrir d’abord grâce à Bénédicte qui sait ouvrir un peu son anus, et surtout à cause de la pine qui arrive. Je regarde bien comme un spectacle: il pose son vit sur la rondelle, attend un tout petit moment, lentement il entre. Je vois l’anus s’écarter sous la poussée: Le gland n’est même pas à moitié dans son sphincter.
Il donne un grand coup: Bénédicte fait des « han » à répétition. Je vois qu’il la lui a toute mise. Je me demande comment elle fait. Je me demande surtout comment elle fait pour en jouir.
Elle demande ma queue pour la sucer: elle aime trop le sperme. Sa langue entoure le gland, ses lèvres servent de sexe, elle l’enfonce au fond de sa gorge. Elle va me faire jouir dans sa bouche.
Je ne peux tenir longtemps quand elle me repousse: elle ne veut pas que je jouisse encore.
Elle fait sortir la bite de Raoul avant qu’il jouisse. Nous pensons qu’elle désire qu’on la lui mette à deux.
Elle me fait mettre en levrette, me mouille le cul avec sa cyprine. Elle tient la queue de Raoul, la dirige vers mon cul. Je ne la voulais pas encore. Je suis même en train de débander.
Raoul est prêt à ma la mettre. Bénédicte se rend compte que je ne bande plus: elle vent sous moi, prend ma bite dans sa bouche: je rebande. Raoul en profite pour entrer très lentement dans mon cul.
Il me fait mal. Je serre les dents, quand je me rend compte que finalement c’est un autre plaisir qui arrive dans mes reins. Je ne pensais jamais que ma prostate réagisse ainsi. Il m’encule, me masse une glande, pendant qu‘il a pris l‘initiative de ma branler. Je dois avoir le cul ouvert comme un entonnoir. Malgré ça je sens venir l’orgasme, un orgasme inconnu. Ma bite gonfle, gonfle jusqu’au moment où je ne peux retenir ma jouissance. Je lâche une quantité importante de sperme que Bénédicte récupère je ne sais comment. Je me laisse tomber sur elle, vaincu par le plaisir.
Quand je peux à nouveau bander, elle me demande sur elle: elle a déjà Raoul dans le cul, je vais combler les manques dans son con. J’y trouve son sexe, sa mouille et la présence à travers les fines parois de la bite de Raoul. Il ne s’en doute certainement pas: c’est grâce à lui que, nos bites se croisant dans le ventre de ma femme, me donne ou nous donne ce plaisir immense qui fait jouir Bénédicte, Raoul et moi, à la fois ou presque.
Je remercie Raoul de l’orgasme qu’il m’a fait avoir en m’enculant. Il avoue que je suis son premier.
Nous pourrons recommencer même sans Bénédicte. Il me propose de l’enculer aussi.
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