Benoît à la plage Ep03 L'autre plage
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Benoît à la plage Ep03 L'autre plage
Benoît à la plage Ep03
L'autre plage
Je marchais sur le sable mouillé en regardant attentivement le sol. C'était des petites bêtes qui se mangent que je cherchais, il y avait urgence, nous étions en train de mourir de faim.
Oui bon, enfin mes deux camarades étaient en train de prendre leur petit déjeuner mais ils étaient totalement irresponsables, inconscient, notre fin était proche et ils prenaient leur petit déjeuner.
Et dans le sable il n'y avait rien. Je n'avais jamais vu une chose pareil. J'arrivais à me convaincre que même dans la mer il n'y aurait pas de poissons. Nous étions abandonnés, perdus, oublié, même la providence nous avait oublié. Il n'y avait pas le moindre petit bivalve comestible.
Je savais que c'était pas normal, c'est vrai que je n'en avais jamais trouvé par le passé mais c'était uniquement parce que je n'en avais jamais cherché. J'avais lu quelque part qu'on pouvait en ramasser facilement et la plage m'avait semblé tout à fait adapté à cette chasse. D'ailleurs doit-on dire chasse cueillette ou récolte ?
Ver l'Ouest il y avait comme une sorte de mur, à plusieurs kilomètres, qui coupait la plage en deux depuis la forêt jusqu'à la mer et se fondait avec l'horizon, à voir c'était une bien étrange concrétion minérale, ou alors juste une barrière de rochers …
Je cachais mon désarroi comme je pouvais en revenant tout penaud vers mes camarades, je les entendais, ils rigolaient. Toujours inconscients de la gravité de la situation, il faudrait les informer doucement de mon échec. Je ne voulais pas les affoler pour rien, enfin ce n'était pas rien. Combien de temps pourrions survivre sans aucune ressource alimentaire … Enfin, rien à manger quoi si vous préférez.
Le soleil montait et on approchait de la fin de la matinée, j'avais l'estomac vide et la faim me tenaillait. C'était la fin de mes aventures, je vivais mes dernière années, fauché à la fleur de la jeunesse. J'avais envie de pleurer mais il fallait rester fort pour soutenir les autres. Si je craquais, tout était fini.
– Bon alors Benoît, tu viens manger ou quoi ?
Manger, Gégé avait dit manger, mon dieu il restait encore quelques miettes et il les partageait, quelle abnégation de sa part. Je tombais dans ses bras en larmes, il m'avait ému. La tête de Zaza apparaissait au niveau du pont du bateau …
– Je vous ai fait mon canard à l'orange ! Déclarait-il.
Je m'effondrais en larmes. Je montais sur le bateau et c'est en larmes que je dégustais son merveilleux canard à l'orange. Il faut dire aussi que Zaza cuisine divinement. Nous n'avions plus rien depuis … depuis notre accident, les ressources étaient épuisées et lui arrivait, comme un miracle, à nous préparer une merveille.
Ils avaient l'air inquiets, il me regardaient et là je voyais la prise de conscience de la situation. Je mangeais une bouchée et un flot de larmes coulait de mes yeux, et à chaque bouchée c'était pareil.
– Tu n'as pas l'air d'aller bien mon pauvre Benoît ? Me demandait Gégé.
– Mais si ça va, mais si ça va. Vous allez voir on va s'en sortir.
– Mais bien sûr qu'on va s'en sortir. Puis se retournant vers Zaza. Il est encore en train de se faire un film dans sa tête .
– On va lui faire un câlin et tu verras tout ira bien. Répondait Zaza.
– Vous êtes tellement gentils avec moi mes amis. Et puis toi Zaza, tu as, tu as tellement de générosité tu n'avais rien et tu nous a fait un repas de fête, peut être notre dernier repas mais il était merveilleux.
– Enfin le congélateur est plein. Répondait Zaza, et il fonctionne très bien.
Je savais qu'il disait ça pour me rassurer, et il y parvenait, nous pourrions donc survivre encore plusieurs jours … C'est vrai, après ce repas qu'il terminait avec un sorbet, je commençais à aller mieux.
Après le repas je me suis laissé aller, je me suis allongé sur le matelas et rapidement je me suis endormi. C'était la présence de Gégé qui me réveillait.
– Tu n'as pas l'air bien mon pauvre Benoît, c'est cet accident qui te tracasse ?
– Heuim, heuim ! Répondais-je en me réveillant !
– Il ne faut pas que tu te rendes malade bonhomme, tu n'y es pour rien, Tu sais, tu prends n'importe qui d'autre que toi … Bon la c'est vrai il n'y en a pas un qui aurait fait une connerie pareil mais, justement, tu n'est pas n'importe qui !
– Tu es mignon de vouloir me réconforter Gégé. Mais c'est plus grave que ça.
– Enfin tout le monde va bien, à part toi qui t'es cassé un ongle.
– Mais enfin on va tous mourir.
– Mais non on va pas mourir, mais non, on va s'en sortir, tu vas voir.
– LA RADIO ! Nous avons une radio, pourquoi ne pas y avoir pensé plus tôt, on va appeler au secours et on sera sauvé.
Je me relevais brusquement et me précipitait sur la radio de bord. Gégé me regardait faire, j'actionnais le bouton mais rien. La radio ne réagissait pas, elle était cassée. Je m'effondrais de nouveau, en larmes.
Oui je sais c'est une histoire bien triste mais je vous jure qu'il y a des passages plus rigolos ( NDL ). Allez on reprend.
Gégé me prenais dans ses bras avec beaucoup de tendresse.
– On a déjà essayé tu sais … Puis il m'embrassait.
Je lui rendais son baiser, j'étais perdu mais la douceur des ses mains me réconfortais et vous pouvez imaginez que j'avais le plus grand besoin de réconfort.
Je lui rendais son baiser, je refermais mes bras sur lui et le retenais avec fermeté.
Quelques secondes plus tard on était allongé sur un gros coussin très confortable sur le pond du bateau. Zaza était parti se promener vers la mer, on était tranquille et au pire on terminerait à trois. Ça c'était pas un problème !
Ses lèvres me réconfortaient, la douceur de ses baisers me faisaient oublier presque tous mes problèmes. Ce tout petit incident de la veille par exemple.
Je me sentais bien, son corps était douillet, sa peau sentait le soleil et la plage, nous étions sur une plage, sur une île déserte, alors … Pourquoi ne pas profiter de la vie. Après tout la situation n'avait rien d'affolant, on n'était même pas à la saison des pluies !
Je me faufilais tout contre son corps, je continuais en lui glissant quelques baisers dans le cou, il rigolait, je le chatouillait et il se tortillait dans tous les sens. Il me rendait mes baisers, et nous nous retrouvions tous les deux torse nue. J'aime bien sa peau, il a une peau très douce. Je le repoussais sur le dos et le chevauchais. J'avais retrouvé mon sourire, je me penchais sur lui et je le caressais avec mes mains, avec mes lèvres je l'embrassais.
Mes mains descendaient sur ses hanche et mes lèvres suivaient. Je l'ai senti sursauter quand j'ai glissé mes doigts dans son pantalon. Mais comme il ne se débattait pas je continuais. J'ouvrais son pantalon, lentement, bouton après bouton.
Il était en forme, il bandait, je découvrais sa queue que je connaissais déjà, je me l'étais déjà prise dans le cul plus d'une fois vous savez ?
Ah vous vous en doutiez !
Il n'avait pas mis de sous vêtement, mais ne devions nous pas nous rendre dans un hôtel naturiste de luxe, enfin d'un certain standing si on en croit la pub.
Et c'est en me disant que nous n'y parviendrions jamais que je penchais la tête vers Gégé et lui prenais la queue dans la bouche. Je dégageais son gland et passais et repassais ma langue dessus. Il frissonnait, il tremblait, son gland était chaud et tout comme lui sentait le sable et la plage, il sentait bon mon camarade naufragé, je penchais ma tête un peu plus et je prenais toute sa queue dans ma bouche.
À partir de là je le limais, j'appuyais ma tête et je prenais sa queue jusque dans ma gorge, elle était de belle taille sans pour autant être géante et glissait sur ma langue avec douceur. J'aime bien cette douceur et si j'en croyais ses gémissements qui devenaient de plus en plus forts, lui aussi il devait aimer.
Il me caressais les cheveux. Je lui caressais les cuisses, mes doigts se glissait entre puis entre ses fesses. Là je lui gobais les couilles. De nouveau je l'ai senti frémir et trembler. Il gémissait fort à ce moment.
Je lui gobais une couilles, puis j'aspirais un peu plus et l'autre suivait. Attention là il ne faut pas mordre, surtout pas, oulala. Mais je n'avais spas l'intention de le mutiler, je suis pas comme ça moi. Je ne lui voulais que du bien, je relevais la tête en tirant doucement sur ses couilles, je finissais par les relâcher en ouvrant très largement la bouche.
Il retombais sur un matelas et paraissait comme soulagé, il avait un large sourire. J'en profitais pour lui retirer tous ses vêtement, son short ! Ceci dit je n'avais rien de plus sur le dos moi non plus. Je le faisais tomber.
Gégé se relevait alors et me saisissait avec force. Il me retournait sur le dos et à son tour prenais ma queue dans sa bouche. Il suce bien vous savez, moi je le savais déjà et je le laissais faire. Sa langue me caressait le gland avec insistance, avec une force douce.
Je tremblais à mon tour, je subissais ce que je lui avais fait subir, mais là je me demande si le mot subir est bien choisi …
Une main glissait sur mes fesses, deux doigts se glissaient entre, et un doigt se frayait un passage dans le petit trou si délicat que nous avons tous à cet endroit. Il y allait à sec, mais il y allait doucement, très doucement. Je m'abandonnais à son désir qui très vite devenait mon plaisir.
Il imprimait un mouvement circulaire sur mon anus, et l'écartait, le préparait à se détendre, à s'ouvrir. Mais quand il a voulu aller plus loin il a préféré prendre un peu de gel, c'est mieux. Je le laissais faire, je sentais son doigt qui était maintenant devenu très doux et qui glissait entre mes fesses. Par moment il s'arrêtait sur mon cul et sans prévenir y glissait dans un mouvement rapide.
Je gémissait doucement, un deuxième doigt suivait puis il les agitaient. Par moment ils bougeaient ensemble et frappaient ma prostate par moment leurs mouvements étaient indépendants. Ils me frappaient la prostate plus rapidement et là je commençais bien le sentir. A bien le sentir même, je gémissais fort brusquement, sans même m'en rendre compte, je tremblais et me tortillais dans tous le sens, mais là je le sentais, là je le faisais exprès.
Il faisait une pause puis reprenais, les deux doigts ensemble, c'était bon, c'était terriblement bon. Je relevais la tête tout surpris quand il retirait ses doigts, je me demandais pourquoi il arrêtait tout et là il s'allongeait sur moi, il m'écartais les cuisses. Je le laissais faire il me les soulevais et sans prévenir, remarquez je l'avais vu arriver, il m'enculais dans un mouvement rapide et bien décidé. Il m'avait donné envie de le recevoir.
Je gueulais de plaisir et je refermais les jambes dans son dos le retenant vers moi avec force. Il se retirait, je le retenait, il revenait, je le retenais avec encore plus de force, il se retirait et sa queue commençait à bien me masser le cul, je le retenais de toutes mes forces avant de lâcher finalement.
Il se retirait presque entièrement avant de revenir avec encore plus de force puis il me limait le cul avec conviction. Il y mettait du cœur, je râlais de plaisir. Il saisissait mes jambes par les chevilles et me défonçait le cul en faisant claquer son ventre contre mes fesses. Il accélérait jusqu'au maximum qu'il pouvait faire. Il faisait une pause, puis reprenait. Il reprenait lentement et faisait durer le plaisir. Le plaisir montait, là je parle de moi, un plaisir incroyable m'envahissait il rayonnait à partir de ma prostate, continuait ensuite dans mon cul, dans mes entrailles, et explosait dans mon ventre.
Il sait comment je réagis mon pote Gégé, il sais me donner du plaisir. J'en pouvais plus et au bout d'un moment à ce traitement je jutais. Je n'éjaculais pas mais je jutais. Un flot de sperme coulait de ma queue, je bandais toujours mais personne ne l'avait sollicité. Gégé l'avait oublié, volontairement je suppose et moi je ne m'étais pas stimulé.
On peut jouir sans se branler quand on est bien stimulé par le cul comme sait si bien le faire mon copain Gégé. Voyant cela il jouissait à son tour, je l'ai entendu hurler de plaisir, j'ai senti son ventre frapper mes fesses avec une grande force à plusieurs reprises. Puis il est retombé sur moi.
On a partagé encore quelques câlins, il s'est retiré. Zaza est arrivé à ce moment.
– Je suis allé jusqu'au rochers qu'on aperçoit à l'horizon. Au delà il y a une autre plage …
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
L'autre plage
Je marchais sur le sable mouillé en regardant attentivement le sol. C'était des petites bêtes qui se mangent que je cherchais, il y avait urgence, nous étions en train de mourir de faim.
Oui bon, enfin mes deux camarades étaient en train de prendre leur petit déjeuner mais ils étaient totalement irresponsables, inconscient, notre fin était proche et ils prenaient leur petit déjeuner.
Et dans le sable il n'y avait rien. Je n'avais jamais vu une chose pareil. J'arrivais à me convaincre que même dans la mer il n'y aurait pas de poissons. Nous étions abandonnés, perdus, oublié, même la providence nous avait oublié. Il n'y avait pas le moindre petit bivalve comestible.
Je savais que c'était pas normal, c'est vrai que je n'en avais jamais trouvé par le passé mais c'était uniquement parce que je n'en avais jamais cherché. J'avais lu quelque part qu'on pouvait en ramasser facilement et la plage m'avait semblé tout à fait adapté à cette chasse. D'ailleurs doit-on dire chasse cueillette ou récolte ?
Ver l'Ouest il y avait comme une sorte de mur, à plusieurs kilomètres, qui coupait la plage en deux depuis la forêt jusqu'à la mer et se fondait avec l'horizon, à voir c'était une bien étrange concrétion minérale, ou alors juste une barrière de rochers …
Je cachais mon désarroi comme je pouvais en revenant tout penaud vers mes camarades, je les entendais, ils rigolaient. Toujours inconscients de la gravité de la situation, il faudrait les informer doucement de mon échec. Je ne voulais pas les affoler pour rien, enfin ce n'était pas rien. Combien de temps pourrions survivre sans aucune ressource alimentaire … Enfin, rien à manger quoi si vous préférez.
Le soleil montait et on approchait de la fin de la matinée, j'avais l'estomac vide et la faim me tenaillait. C'était la fin de mes aventures, je vivais mes dernière années, fauché à la fleur de la jeunesse. J'avais envie de pleurer mais il fallait rester fort pour soutenir les autres. Si je craquais, tout était fini.
– Bon alors Benoît, tu viens manger ou quoi ?
Manger, Gégé avait dit manger, mon dieu il restait encore quelques miettes et il les partageait, quelle abnégation de sa part. Je tombais dans ses bras en larmes, il m'avait ému. La tête de Zaza apparaissait au niveau du pont du bateau …
– Je vous ai fait mon canard à l'orange ! Déclarait-il.
Je m'effondrais en larmes. Je montais sur le bateau et c'est en larmes que je dégustais son merveilleux canard à l'orange. Il faut dire aussi que Zaza cuisine divinement. Nous n'avions plus rien depuis … depuis notre accident, les ressources étaient épuisées et lui arrivait, comme un miracle, à nous préparer une merveille.
Ils avaient l'air inquiets, il me regardaient et là je voyais la prise de conscience de la situation. Je mangeais une bouchée et un flot de larmes coulait de mes yeux, et à chaque bouchée c'était pareil.
– Tu n'as pas l'air d'aller bien mon pauvre Benoît ? Me demandait Gégé.
– Mais si ça va, mais si ça va. Vous allez voir on va s'en sortir.
– Mais bien sûr qu'on va s'en sortir. Puis se retournant vers Zaza. Il est encore en train de se faire un film dans sa tête .
– On va lui faire un câlin et tu verras tout ira bien. Répondait Zaza.
– Vous êtes tellement gentils avec moi mes amis. Et puis toi Zaza, tu as, tu as tellement de générosité tu n'avais rien et tu nous a fait un repas de fête, peut être notre dernier repas mais il était merveilleux.
– Enfin le congélateur est plein. Répondait Zaza, et il fonctionne très bien.
Je savais qu'il disait ça pour me rassurer, et il y parvenait, nous pourrions donc survivre encore plusieurs jours … C'est vrai, après ce repas qu'il terminait avec un sorbet, je commençais à aller mieux.
Après le repas je me suis laissé aller, je me suis allongé sur le matelas et rapidement je me suis endormi. C'était la présence de Gégé qui me réveillait.
– Tu n'as pas l'air bien mon pauvre Benoît, c'est cet accident qui te tracasse ?
– Heuim, heuim ! Répondais-je en me réveillant !
– Il ne faut pas que tu te rendes malade bonhomme, tu n'y es pour rien, Tu sais, tu prends n'importe qui d'autre que toi … Bon la c'est vrai il n'y en a pas un qui aurait fait une connerie pareil mais, justement, tu n'est pas n'importe qui !
– Tu es mignon de vouloir me réconforter Gégé. Mais c'est plus grave que ça.
– Enfin tout le monde va bien, à part toi qui t'es cassé un ongle.
– Mais enfin on va tous mourir.
– Mais non on va pas mourir, mais non, on va s'en sortir, tu vas voir.
– LA RADIO ! Nous avons une radio, pourquoi ne pas y avoir pensé plus tôt, on va appeler au secours et on sera sauvé.
Je me relevais brusquement et me précipitait sur la radio de bord. Gégé me regardait faire, j'actionnais le bouton mais rien. La radio ne réagissait pas, elle était cassée. Je m'effondrais de nouveau, en larmes.
Oui je sais c'est une histoire bien triste mais je vous jure qu'il y a des passages plus rigolos ( NDL ). Allez on reprend.
Gégé me prenais dans ses bras avec beaucoup de tendresse.
– On a déjà essayé tu sais … Puis il m'embrassait.
Je lui rendais son baiser, j'étais perdu mais la douceur des ses mains me réconfortais et vous pouvez imaginez que j'avais le plus grand besoin de réconfort.
Je lui rendais son baiser, je refermais mes bras sur lui et le retenais avec fermeté.
Quelques secondes plus tard on était allongé sur un gros coussin très confortable sur le pond du bateau. Zaza était parti se promener vers la mer, on était tranquille et au pire on terminerait à trois. Ça c'était pas un problème !
Ses lèvres me réconfortaient, la douceur de ses baisers me faisaient oublier presque tous mes problèmes. Ce tout petit incident de la veille par exemple.
Je me sentais bien, son corps était douillet, sa peau sentait le soleil et la plage, nous étions sur une plage, sur une île déserte, alors … Pourquoi ne pas profiter de la vie. Après tout la situation n'avait rien d'affolant, on n'était même pas à la saison des pluies !
Je me faufilais tout contre son corps, je continuais en lui glissant quelques baisers dans le cou, il rigolait, je le chatouillait et il se tortillait dans tous les sens. Il me rendait mes baisers, et nous nous retrouvions tous les deux torse nue. J'aime bien sa peau, il a une peau très douce. Je le repoussais sur le dos et le chevauchais. J'avais retrouvé mon sourire, je me penchais sur lui et je le caressais avec mes mains, avec mes lèvres je l'embrassais.
Mes mains descendaient sur ses hanche et mes lèvres suivaient. Je l'ai senti sursauter quand j'ai glissé mes doigts dans son pantalon. Mais comme il ne se débattait pas je continuais. J'ouvrais son pantalon, lentement, bouton après bouton.
Il était en forme, il bandait, je découvrais sa queue que je connaissais déjà, je me l'étais déjà prise dans le cul plus d'une fois vous savez ?
Ah vous vous en doutiez !
Il n'avait pas mis de sous vêtement, mais ne devions nous pas nous rendre dans un hôtel naturiste de luxe, enfin d'un certain standing si on en croit la pub.
Et c'est en me disant que nous n'y parviendrions jamais que je penchais la tête vers Gégé et lui prenais la queue dans la bouche. Je dégageais son gland et passais et repassais ma langue dessus. Il frissonnait, il tremblait, son gland était chaud et tout comme lui sentait le sable et la plage, il sentait bon mon camarade naufragé, je penchais ma tête un peu plus et je prenais toute sa queue dans ma bouche.
À partir de là je le limais, j'appuyais ma tête et je prenais sa queue jusque dans ma gorge, elle était de belle taille sans pour autant être géante et glissait sur ma langue avec douceur. J'aime bien cette douceur et si j'en croyais ses gémissements qui devenaient de plus en plus forts, lui aussi il devait aimer.
Il me caressais les cheveux. Je lui caressais les cuisses, mes doigts se glissait entre puis entre ses fesses. Là je lui gobais les couilles. De nouveau je l'ai senti frémir et trembler. Il gémissait fort à ce moment.
Je lui gobais une couilles, puis j'aspirais un peu plus et l'autre suivait. Attention là il ne faut pas mordre, surtout pas, oulala. Mais je n'avais spas l'intention de le mutiler, je suis pas comme ça moi. Je ne lui voulais que du bien, je relevais la tête en tirant doucement sur ses couilles, je finissais par les relâcher en ouvrant très largement la bouche.
Il retombais sur un matelas et paraissait comme soulagé, il avait un large sourire. J'en profitais pour lui retirer tous ses vêtement, son short ! Ceci dit je n'avais rien de plus sur le dos moi non plus. Je le faisais tomber.
Gégé se relevait alors et me saisissait avec force. Il me retournait sur le dos et à son tour prenais ma queue dans sa bouche. Il suce bien vous savez, moi je le savais déjà et je le laissais faire. Sa langue me caressait le gland avec insistance, avec une force douce.
Je tremblais à mon tour, je subissais ce que je lui avais fait subir, mais là je me demande si le mot subir est bien choisi …
Une main glissait sur mes fesses, deux doigts se glissaient entre, et un doigt se frayait un passage dans le petit trou si délicat que nous avons tous à cet endroit. Il y allait à sec, mais il y allait doucement, très doucement. Je m'abandonnais à son désir qui très vite devenait mon plaisir.
Il imprimait un mouvement circulaire sur mon anus, et l'écartait, le préparait à se détendre, à s'ouvrir. Mais quand il a voulu aller plus loin il a préféré prendre un peu de gel, c'est mieux. Je le laissais faire, je sentais son doigt qui était maintenant devenu très doux et qui glissait entre mes fesses. Par moment il s'arrêtait sur mon cul et sans prévenir y glissait dans un mouvement rapide.
Je gémissait doucement, un deuxième doigt suivait puis il les agitaient. Par moment ils bougeaient ensemble et frappaient ma prostate par moment leurs mouvements étaient indépendants. Ils me frappaient la prostate plus rapidement et là je commençais bien le sentir. A bien le sentir même, je gémissais fort brusquement, sans même m'en rendre compte, je tremblais et me tortillais dans tous le sens, mais là je le sentais, là je le faisais exprès.
Il faisait une pause puis reprenais, les deux doigts ensemble, c'était bon, c'était terriblement bon. Je relevais la tête tout surpris quand il retirait ses doigts, je me demandais pourquoi il arrêtait tout et là il s'allongeait sur moi, il m'écartais les cuisses. Je le laissais faire il me les soulevais et sans prévenir, remarquez je l'avais vu arriver, il m'enculais dans un mouvement rapide et bien décidé. Il m'avait donné envie de le recevoir.
Je gueulais de plaisir et je refermais les jambes dans son dos le retenant vers moi avec force. Il se retirait, je le retenait, il revenait, je le retenais avec encore plus de force, il se retirait et sa queue commençait à bien me masser le cul, je le retenais de toutes mes forces avant de lâcher finalement.
Il se retirait presque entièrement avant de revenir avec encore plus de force puis il me limait le cul avec conviction. Il y mettait du cœur, je râlais de plaisir. Il saisissait mes jambes par les chevilles et me défonçait le cul en faisant claquer son ventre contre mes fesses. Il accélérait jusqu'au maximum qu'il pouvait faire. Il faisait une pause, puis reprenait. Il reprenait lentement et faisait durer le plaisir. Le plaisir montait, là je parle de moi, un plaisir incroyable m'envahissait il rayonnait à partir de ma prostate, continuait ensuite dans mon cul, dans mes entrailles, et explosait dans mon ventre.
Il sait comment je réagis mon pote Gégé, il sais me donner du plaisir. J'en pouvais plus et au bout d'un moment à ce traitement je jutais. Je n'éjaculais pas mais je jutais. Un flot de sperme coulait de ma queue, je bandais toujours mais personne ne l'avait sollicité. Gégé l'avait oublié, volontairement je suppose et moi je ne m'étais pas stimulé.
On peut jouir sans se branler quand on est bien stimulé par le cul comme sait si bien le faire mon copain Gégé. Voyant cela il jouissait à son tour, je l'ai entendu hurler de plaisir, j'ai senti son ventre frapper mes fesses avec une grande force à plusieurs reprises. Puis il est retombé sur moi.
On a partagé encore quelques câlins, il s'est retiré. Zaza est arrivé à ce moment.
– Je suis allé jusqu'au rochers qu'on aperçoit à l'horizon. Au delà il y a une autre plage …
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