Benoît à la plage Ep04 Des Aliens maintenant
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Benoît à la plage Ep04 Des Aliens maintenant
Benoît à la plage Ep04
Des Aliens maintenant
Je me sentais mieux mais la situation était et restait dramatique. Nous étions perdus sur une île déserte, les vivres ne tarderaient pas à manquer, c'était une question de jours. Puis la mort …
Oui je sais, c'est pas joyeux ce que je vous raconte là mais c'était la triste et terrible réalité. Zaza arrivait il était allé voir ce qu'il y avait au niveau du mur … Appelons le ainsi, je sais ça fait très série sombre mais bon enfin. Donc le mur, c'était cette limite à l'horizon, cette barrière de rochers qui descendait depuis le haut de la plage pour plonger dans la mer.
– Il y a une autre plage de l'autre côté. Nous racontait-il.
– Rien d'autre ? Lui demandais-je.
– Il y a un peu de brume qui monte de la mer. Me répondait-il. On ne peut rien voir.
– Il faudrait explorer la plage, explorer cette île déserte. Peut être trouverons-nous un soutient, ou de l'aide. On ne peut pas rester ici, on va tous mourir.
– Alors toi, tu ne vas pas mieux, tu es toujours dans ton délire … '' perdu dans un monde inconnu. Un monde sauvage ! ''. Heureusement qu'il n'y a pas de dinosaures …
– Rigole pas avec ça. Une jour il y a un gars comme ça qui a fait naufrage avec un avion sur une île déserte couverte de gros lézards de plus de dix mètres de longs, c'était co...coco... enfin un truc comme ça !
Zaza levait les yeux aux ciel.
Mon pauvre Benoît, ça ne va pas mieux, c'était sur l'île de Komodo, et les lézards étaient un peu plus petit que ça …
Plus petits, je ne dis pas mais ils étaient tout de même très gros …
Puis je me préparais à partir vers ce fameux mur, bien décidé à explorer et à trouver de l'aide. Zaza me suivait à petite distance. Oh je le remarquais tout de suite, nous étions les seules silhouettes qui avancions sur cette plage immense, mais c'était pas pour ça. C'est uniquement parce que j'ai un sens de l'observation particulièrement aiguisé …
Je me retournais, je le laissais me rattraper.
– Tu veux vérifier mes observations. Me demandait-il.
– Deux avis valent mieux qu'un ! Lui répondais-je sur un ton fier de moi.
Nous avancions d'un pas décidé vers ce fameux mur. Je ne montrait rien mais je vous jure que je n'en menais pas large. Je sentais la présence de Zaza, je sentais presque la chaleur de sa peau. Il faut bien s'imaginer que j'étais abstinent, sexuellement abstinent depuis … Oui, pas bien longtemps je sais mais vous savez tous ces événements m'avaient retourné et m'avaient mis en appétit. En appétit sexuel je veux dire. Et c'est pour ça que je m'exclamais …
– JE VEUX UN CÂLIN !
Zaza sursautait et me regardait d'un air bête. Puis il réagissait il me prenait dans ses bras. On s'embrassait, ce contact physique me réconfortait, j'en avais vraiment besoin. Ne vous moquez pas, vous seriez dans quel état si vous étiez privé de tout contact vous ? Moi j'étais abstinent depuis … une demie heure ! Bon d'accord, mauvais exemple !
Il me serrait bien contre lui et nous continuions notre progression en se tenant la main. Je ne sais pas si j'aurais eu le courage de continuer sans son soutien, pourtant je vous jure que je suis courageux et que je n'ai pas peur d'avoir la trouille !
Le soleil frappait fort, dans mon désarrois j'avais oublié mon chapeau, enfin j'en avais un mais il n'était pas assorti avec ma chemise … Mais c'est vrai que nous étions dans une situation de survie.
Un peu plus tard, nous arrivions au mur, il n'avait rien de naturel, c'était une construction artificielle. C'étaient de grosse pierres placées là comme pour briser le courant, c'était massif et ça semblait très grossier, très primitif. Je ne me sentais pas vraiment rassuré. Zaza voulait passer par dessus, je le retenais.
– C'est peut être dangereux ! Lui faisais-je judicieusement remarquer !
Il me répondait par un grand soupir.
– Tu sais Benoît, tu es fatiguant.
– Mais prudent.
Puis il se massait la tête, un peu comme s'il avait la migraine, ils me le font souvent ça, mes copains.
Entre les rochers il y avait un espace avec du sable sec, il se laissait tomber là, juste au milieu du sable. Je lui faisais un large sourire avant de me jeter sur lui. Je jetais un dernier regard de l'autre côté du mur, la brume qui montait de la mer ne permettait pas de voir grand chose.
Il était là, beau dans sa tenue de touriste des îles, je me penchais sur lui et avec tendresse lui donnais un baiser, j'y mettais toute ma douceur. Sa chemise à fleurs était ouverte et j'en profitais pour le chatouiller sur son torse et y déposer un autre baiser.
Il poussait un léger murmure de satisfaction qui m'invitait à continuer. J'étais en manque de sexe depuis … pas loin d'une heure c'est vrai … mais c'était l'angoisse … voilà !
Je continuais donc à l'embrasser, je commençais à déposer mes baisers sur sa gorge, puis je descendait lentement sur son torse. Je me prenais au jeux et je trouvais la situation très amusante. Un instant j'avais oublié la menace qui planait sur nous.
Sa peau était tellement douce, elle avait déjà commencé à prendre quelques couleurs, elle était un peu plus ambrée, elle n'en était que plus belle. Il était musclé et avait eu une très bonne idée de s'être fait épiler entièrement.
Je lui caressais le ventre, je mordillais doucement, tout doucement ses tétons. Je le sentais qui se tortillait entre mes mains, je relevais mon visage et je voyais son sourire. Nous allions mourir mais nous allions mourir avec le sourire. Oui OK j'ai compris, je parle d'autre chose !
J'arrivais sur son ventre, et c'est alors avec mes lèvres que je caressais ses muscles, avec le bout de mon nez aussi. J'ouvrais son bermuda, il n'avait pas mis de sous vêtements, je glissais ma main, et c'est sa queue qui sortait.
Sans attendre une seconde je la prenais dans ma bouche, je savais bien ce qui lui ferait plaisir et je me préparais à le lui donner. Il me caressait la tête, une main de chaque côté. Il me guidait, il appuyait doucement sur mes cheveux, mon visage s'écrasait sur son ventre, sa queue s'écrasait au fond de ma gorge.
J'appuyais mon visage, j'écrasais mon nez sur son ventre, avec ma langue je lui caressais la queue comme je pouvais et je le sentais frétiller, se tortiller et gémir.
J'oubliais tous mes soucis, et je me lâchais, pour la première fois depuis des semaines, enfin des jour, enfin depuis la veille quoi ! Une heure plus tôt ! Bon on ne va pas chipoter pour si peu …
Je relevais mon visage puis replongeais, sa queue glissait dans ma bouche avec régularité, je le connaissais bien, je savais ce qu'il aimait et je le lui donnais. Je sentais sa queue glisser dans ma bouche, son gland qui s'enfonçait dans ma gorge, c'était doux, tout en lui était doux même sa tablette de chocolat blanc. Vous savez, il n'était pas tellement bronzé finalement.
Il réagissait bien en tous cas, il réagissait de plus en plus, je ne voyais plus que lui, son corps occupait toutes mes pensées, tout mon espace. Vous savez, il était un peu tafiole mais il avait un corps de mec, de très beau mec.
Il était allongé là sur le sable, avec un large sourire sur le visage il gémissait. Je le masturbais quand sa queue ressortait de ma bouche et je ne voyais plus rien d'autre.
Autour de nous, c'était le brouillard. Je ne voyais plus rien et c'est là que j'ai réagi. Nous étions au milieu d'une nappe de brouillard, on ne voyait presque plus rien sur la plage, ni la nôtre ni la nouvelle.
Des lumières apparaissait du mauvais côté, enfin du côté qu'on ne connaissait pas je veux dire. Elles glissaient mais ne touchaient pas le sol, c'était des truc qui ne touchaient pas le sol, qui volaient et on ne savait pas ce que c'était.
– Des OVNIS ! Ais-je hurlé, puis en oubliant toutes les règles de la prudence, je sautais sur la plage et partais en courant vers le bateau. Il avait disparu et j'espérais surtout pouvoir le retrouver.
Je courais, je me débattais, je hurlais.
– C'est des OVNIS, on a des aliens, on va tous mourir.
J'appelais Gégé, il m'a entendu et il m'a répondu. Je me suis arrêté, il était juste à côté de moi.
– C'est toi ? Tu es là ?
– J'ai pas bougé, je suis toujours à côté du bateau.
– Le bateau ? Il est ou le bateau ?
Une trouée se faisait dans le brouillard et j'apercevais le bateau, il était bien là, j'avais couru comme un fou et j'étais revenu jusqu'au bateau. J'aurais pu me perdre.
– Et il est ou Zaza ? Me demandait alors Gégé.
– Il était là … répondais-je sur un ton pas convaincu.
Je me retournais il n'y avait personne.
– Ils l'ont pris, il est foutu, et maintenant ça va être notre tour.
– De quoi tu parles ? Me demandait Gégé.
– Les extra terrestres, j'ai vu leurs vaisseaux, ils volaient sans faire de bruit et … Puis je m'écriais … ZAZA ON NE T'OUBLIERA JAMAIS !
– Bon là il ne va pas mieux, il va peut être falloir le faire enfermer.
Tout allait très vite à partir de ce moment. Je montais dans le bateau, je prenais mon sac à dos, j'y mettais l'essentiel, en fait je ne sais même plus ce que j'emportais puis je redescendais. Le brouillard se dissipait doucement. Gégé me regardait faire sans réagir.
C'est là que j'ai entendu cette voix qui me glaçais mon sang dans mes veine.
– Ah béh, dites donc vous êtes pas faciles à trouver …
J'ai hurlé et jeter en l'air tout ce que j'avais dans les mains. Je me suis réfugié derrière Gégé.
– Avec le brouillard forcément ! Répondait Gégé.
– Mécéki dis? Mécéki ? Demandais-je sur un ton complètement affolé.
– Mais c'est le chauffeur de taxi ! Me répondait calmement Gégé.
Je ne comprenais plus rien.
– Mais comment vous avez fait pour mettre ce bateau ici vous ? Demandait l'inconnu.
– C'est lui ! Répondais Gégé.
– J'ai jamais été très doué pour les créneaux ! Répondais-je timidement.
Quelques minutes plus tard on était dans un taxi, à la limite de la forêt, quelques arbres plus loin il y avait une route et le téléphone cellulaire passait très bien. Je n'avais pas pensé à vérifier mes mails !
A peine un petit quart d'heure plus tard, on entrait dans l'hôtel, Zaza nous y attendait.
– Tu es déjà là toi ? Lui demandais-je.
– J'ai fait du stop !
Je retrouvait alors mon calme, je demandais les clés de ma chambre. Et distraitement je donnais les clés du bateau à l'accueil.
– Vous devez bien avoir bateau dépanneuse, j'ai garé mon petit ' canotte ' comme vous dites vous les gens de mer, sur la plage un peu plus loin, vous devriez le retrouver facilement si le brouillard se lève, il est tout seul au milieu de la plage.
Puis reprenant un air digne je me dirigeais vers l'ascenseur.
En fait nous étions presque arrivés et si j'avais visé un peu plus à droite quand j'avais garé le bateau, je l'aurais sans doute garé dans le hall de l'hôtel ou juste devant. Mes camarades avaient pensé à utiliser leurs téléphones portables mais ils s'étaient un peu amusé avec moi.
Fin
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Des Aliens maintenant
Je me sentais mieux mais la situation était et restait dramatique. Nous étions perdus sur une île déserte, les vivres ne tarderaient pas à manquer, c'était une question de jours. Puis la mort …
Oui je sais, c'est pas joyeux ce que je vous raconte là mais c'était la triste et terrible réalité. Zaza arrivait il était allé voir ce qu'il y avait au niveau du mur … Appelons le ainsi, je sais ça fait très série sombre mais bon enfin. Donc le mur, c'était cette limite à l'horizon, cette barrière de rochers qui descendait depuis le haut de la plage pour plonger dans la mer.
– Il y a une autre plage de l'autre côté. Nous racontait-il.
– Rien d'autre ? Lui demandais-je.
– Il y a un peu de brume qui monte de la mer. Me répondait-il. On ne peut rien voir.
– Il faudrait explorer la plage, explorer cette île déserte. Peut être trouverons-nous un soutient, ou de l'aide. On ne peut pas rester ici, on va tous mourir.
– Alors toi, tu ne vas pas mieux, tu es toujours dans ton délire … '' perdu dans un monde inconnu. Un monde sauvage ! ''. Heureusement qu'il n'y a pas de dinosaures …
– Rigole pas avec ça. Une jour il y a un gars comme ça qui a fait naufrage avec un avion sur une île déserte couverte de gros lézards de plus de dix mètres de longs, c'était co...coco... enfin un truc comme ça !
Zaza levait les yeux aux ciel.
Mon pauvre Benoît, ça ne va pas mieux, c'était sur l'île de Komodo, et les lézards étaient un peu plus petit que ça …
Plus petits, je ne dis pas mais ils étaient tout de même très gros …
Puis je me préparais à partir vers ce fameux mur, bien décidé à explorer et à trouver de l'aide. Zaza me suivait à petite distance. Oh je le remarquais tout de suite, nous étions les seules silhouettes qui avancions sur cette plage immense, mais c'était pas pour ça. C'est uniquement parce que j'ai un sens de l'observation particulièrement aiguisé …
Je me retournais, je le laissais me rattraper.
– Tu veux vérifier mes observations. Me demandait-il.
– Deux avis valent mieux qu'un ! Lui répondais-je sur un ton fier de moi.
Nous avancions d'un pas décidé vers ce fameux mur. Je ne montrait rien mais je vous jure que je n'en menais pas large. Je sentais la présence de Zaza, je sentais presque la chaleur de sa peau. Il faut bien s'imaginer que j'étais abstinent, sexuellement abstinent depuis … Oui, pas bien longtemps je sais mais vous savez tous ces événements m'avaient retourné et m'avaient mis en appétit. En appétit sexuel je veux dire. Et c'est pour ça que je m'exclamais …
– JE VEUX UN CÂLIN !
Zaza sursautait et me regardait d'un air bête. Puis il réagissait il me prenait dans ses bras. On s'embrassait, ce contact physique me réconfortait, j'en avais vraiment besoin. Ne vous moquez pas, vous seriez dans quel état si vous étiez privé de tout contact vous ? Moi j'étais abstinent depuis … une demie heure ! Bon d'accord, mauvais exemple !
Il me serrait bien contre lui et nous continuions notre progression en se tenant la main. Je ne sais pas si j'aurais eu le courage de continuer sans son soutien, pourtant je vous jure que je suis courageux et que je n'ai pas peur d'avoir la trouille !
Le soleil frappait fort, dans mon désarrois j'avais oublié mon chapeau, enfin j'en avais un mais il n'était pas assorti avec ma chemise … Mais c'est vrai que nous étions dans une situation de survie.
Un peu plus tard, nous arrivions au mur, il n'avait rien de naturel, c'était une construction artificielle. C'étaient de grosse pierres placées là comme pour briser le courant, c'était massif et ça semblait très grossier, très primitif. Je ne me sentais pas vraiment rassuré. Zaza voulait passer par dessus, je le retenais.
– C'est peut être dangereux ! Lui faisais-je judicieusement remarquer !
Il me répondait par un grand soupir.
– Tu sais Benoît, tu es fatiguant.
– Mais prudent.
Puis il se massait la tête, un peu comme s'il avait la migraine, ils me le font souvent ça, mes copains.
Entre les rochers il y avait un espace avec du sable sec, il se laissait tomber là, juste au milieu du sable. Je lui faisais un large sourire avant de me jeter sur lui. Je jetais un dernier regard de l'autre côté du mur, la brume qui montait de la mer ne permettait pas de voir grand chose.
Il était là, beau dans sa tenue de touriste des îles, je me penchais sur lui et avec tendresse lui donnais un baiser, j'y mettais toute ma douceur. Sa chemise à fleurs était ouverte et j'en profitais pour le chatouiller sur son torse et y déposer un autre baiser.
Il poussait un léger murmure de satisfaction qui m'invitait à continuer. J'étais en manque de sexe depuis … pas loin d'une heure c'est vrai … mais c'était l'angoisse … voilà !
Je continuais donc à l'embrasser, je commençais à déposer mes baisers sur sa gorge, puis je descendait lentement sur son torse. Je me prenais au jeux et je trouvais la situation très amusante. Un instant j'avais oublié la menace qui planait sur nous.
Sa peau était tellement douce, elle avait déjà commencé à prendre quelques couleurs, elle était un peu plus ambrée, elle n'en était que plus belle. Il était musclé et avait eu une très bonne idée de s'être fait épiler entièrement.
Je lui caressais le ventre, je mordillais doucement, tout doucement ses tétons. Je le sentais qui se tortillait entre mes mains, je relevais mon visage et je voyais son sourire. Nous allions mourir mais nous allions mourir avec le sourire. Oui OK j'ai compris, je parle d'autre chose !
J'arrivais sur son ventre, et c'est alors avec mes lèvres que je caressais ses muscles, avec le bout de mon nez aussi. J'ouvrais son bermuda, il n'avait pas mis de sous vêtements, je glissais ma main, et c'est sa queue qui sortait.
Sans attendre une seconde je la prenais dans ma bouche, je savais bien ce qui lui ferait plaisir et je me préparais à le lui donner. Il me caressait la tête, une main de chaque côté. Il me guidait, il appuyait doucement sur mes cheveux, mon visage s'écrasait sur son ventre, sa queue s'écrasait au fond de ma gorge.
J'appuyais mon visage, j'écrasais mon nez sur son ventre, avec ma langue je lui caressais la queue comme je pouvais et je le sentais frétiller, se tortiller et gémir.
J'oubliais tous mes soucis, et je me lâchais, pour la première fois depuis des semaines, enfin des jour, enfin depuis la veille quoi ! Une heure plus tôt ! Bon on ne va pas chipoter pour si peu …
Je relevais mon visage puis replongeais, sa queue glissait dans ma bouche avec régularité, je le connaissais bien, je savais ce qu'il aimait et je le lui donnais. Je sentais sa queue glisser dans ma bouche, son gland qui s'enfonçait dans ma gorge, c'était doux, tout en lui était doux même sa tablette de chocolat blanc. Vous savez, il n'était pas tellement bronzé finalement.
Il réagissait bien en tous cas, il réagissait de plus en plus, je ne voyais plus que lui, son corps occupait toutes mes pensées, tout mon espace. Vous savez, il était un peu tafiole mais il avait un corps de mec, de très beau mec.
Il était allongé là sur le sable, avec un large sourire sur le visage il gémissait. Je le masturbais quand sa queue ressortait de ma bouche et je ne voyais plus rien d'autre.
Autour de nous, c'était le brouillard. Je ne voyais plus rien et c'est là que j'ai réagi. Nous étions au milieu d'une nappe de brouillard, on ne voyait presque plus rien sur la plage, ni la nôtre ni la nouvelle.
Des lumières apparaissait du mauvais côté, enfin du côté qu'on ne connaissait pas je veux dire. Elles glissaient mais ne touchaient pas le sol, c'était des truc qui ne touchaient pas le sol, qui volaient et on ne savait pas ce que c'était.
– Des OVNIS ! Ais-je hurlé, puis en oubliant toutes les règles de la prudence, je sautais sur la plage et partais en courant vers le bateau. Il avait disparu et j'espérais surtout pouvoir le retrouver.
Je courais, je me débattais, je hurlais.
– C'est des OVNIS, on a des aliens, on va tous mourir.
J'appelais Gégé, il m'a entendu et il m'a répondu. Je me suis arrêté, il était juste à côté de moi.
– C'est toi ? Tu es là ?
– J'ai pas bougé, je suis toujours à côté du bateau.
– Le bateau ? Il est ou le bateau ?
Une trouée se faisait dans le brouillard et j'apercevais le bateau, il était bien là, j'avais couru comme un fou et j'étais revenu jusqu'au bateau. J'aurais pu me perdre.
– Et il est ou Zaza ? Me demandait alors Gégé.
– Il était là … répondais-je sur un ton pas convaincu.
Je me retournais il n'y avait personne.
– Ils l'ont pris, il est foutu, et maintenant ça va être notre tour.
– De quoi tu parles ? Me demandait Gégé.
– Les extra terrestres, j'ai vu leurs vaisseaux, ils volaient sans faire de bruit et … Puis je m'écriais … ZAZA ON NE T'OUBLIERA JAMAIS !
– Bon là il ne va pas mieux, il va peut être falloir le faire enfermer.
Tout allait très vite à partir de ce moment. Je montais dans le bateau, je prenais mon sac à dos, j'y mettais l'essentiel, en fait je ne sais même plus ce que j'emportais puis je redescendais. Le brouillard se dissipait doucement. Gégé me regardait faire sans réagir.
C'est là que j'ai entendu cette voix qui me glaçais mon sang dans mes veine.
– Ah béh, dites donc vous êtes pas faciles à trouver …
J'ai hurlé et jeter en l'air tout ce que j'avais dans les mains. Je me suis réfugié derrière Gégé.
– Avec le brouillard forcément ! Répondait Gégé.
– Mécéki dis? Mécéki ? Demandais-je sur un ton complètement affolé.
– Mais c'est le chauffeur de taxi ! Me répondait calmement Gégé.
Je ne comprenais plus rien.
– Mais comment vous avez fait pour mettre ce bateau ici vous ? Demandait l'inconnu.
– C'est lui ! Répondais Gégé.
– J'ai jamais été très doué pour les créneaux ! Répondais-je timidement.
Quelques minutes plus tard on était dans un taxi, à la limite de la forêt, quelques arbres plus loin il y avait une route et le téléphone cellulaire passait très bien. Je n'avais pas pensé à vérifier mes mails !
A peine un petit quart d'heure plus tard, on entrait dans l'hôtel, Zaza nous y attendait.
– Tu es déjà là toi ? Lui demandais-je.
– J'ai fait du stop !
Je retrouvait alors mon calme, je demandais les clés de ma chambre. Et distraitement je donnais les clés du bateau à l'accueil.
– Vous devez bien avoir bateau dépanneuse, j'ai garé mon petit ' canotte ' comme vous dites vous les gens de mer, sur la plage un peu plus loin, vous devriez le retrouver facilement si le brouillard se lève, il est tout seul au milieu de la plage.
Puis reprenant un air digne je me dirigeais vers l'ascenseur.
En fait nous étions presque arrivés et si j'avais visé un peu plus à droite quand j'avais garé le bateau, je l'aurais sans doute garé dans le hall de l'hôtel ou juste devant. Mes camarades avaient pensé à utiliser leurs téléphones portables mais ils s'étaient un peu amusé avec moi.
Fin
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