Bernadette

- Par l'auteur HDS Huguette34 -
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Bernadette Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-12-2012 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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(6.0 / 10)

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Bernadette
Ma dernière vue sur elle : ses cuisses. Elle court pour faire du sport, sans se douter
que je la regarde avec envie. Chaque fin d’après midi, elle court. Je la regarde venir
vers ma fenêtre. J’ai pu voir ses seins qui gigotent au rythme de ses pas. Décidément
elle est bien foutue. J’ai envie d’elle, même si elle ne s’en doute pas, à moins que
je lui fasse des propositions malhonnêtes, au risque recevoir une tourniole sur la
figure et qu’elle aille partout colporter les choses sur moi ?
D’accord je suis mariée, j’aime me faire mettre par mon époux. Avant lui je n’étais
pas mal avec ma copine. Je suis ce qu’on nomme une bisexuelle. Pourtant depuis mon
mariage, je n’ai plus touché une fille. Ca me manque, le gout de la cyprine et le
toucher d’un con sur ma langue. J’en ai parlé à Paul, mon mari. Il me comprend sans
tien faire pour moi. C’est à moi de me débrouiller seule.
J’ai eu un flirt assez poussé avec une voisine. Je pensais me la payer quand elle
refuser de se donner à moi. Depuis mon envie d’une autre nana me taraude. Je suis
obligée de me contenter seule. Je n’ai rien contre la masturbation. Même Paul de
demande souvent de me branler devant lui. J’aime le voir avec sa bite dans sa main
droite se masturber. J’adore voir son sperme jaillir en gros bouillon sur le bout de
son gland. Il sait que je pense à elle, celle qui fait du « sport ». J’aimerai faire
avec elle un autre genre de sport.
Je décide de m’équiper pour la suivre. Mes débuts sont laborieux, très laborieux. Je
sors de chez moi un peu avant elle : elle me double facilement. Je vois ses fesses
devant moi un long moment. Elle me dit bonjour quand elle me double. C’est déjà un bon
début.
Je la rencontre dans l’épicerie du village. Nous commençons par bavarder du cout de la
vie, de recettes de cuisine, puis de nos maris. Pour elle de son amant. Quand j’avoue
mon défaut d’aimer les filles, elle n’en est pas étonnée. Elle le pensait depuis le
début. Elle n’en fait pas un drame. De nos jours c’est relativement courant. Malgré ce
handicap elle m’invite prendre un café, après le repas de midi. Mon Paul n’est jamais
là à ce moment de la journée, comme son type.
J’arrive à l’heure : elle m’ouvre la porte me fait la bise, comme peuvent le faire
deus amies.
- Nous nous tutoyons, dit-elle.
- Bien sur.
- Je m’appelle Bernadette. Et toi ?
- Aline.
Bien nous allons nous assoir dans le salon prendre le café. Elle m’installe sur un
fauteuil, s’assoit en face. Et nous voilà parties dans de longues discutions sur rien.
Ce rien l’emmène à découvrir une partie de ses longues jambes. Ce que je vois me
parait bien plus sexy que ce que je voyais en courant après elle.
Son regard suit le mien. Elle ne fait rien pour descendre un peu sa jupe. En remuant,
elle arrive à m’en montrer encore plus. Enfin elle se lève pour le café. Les tasses
sont remplies comme je les aime. Je trempe à peine mes lèvres : je déguste l’arome
avant de le gouter. Un vrai délice.
Nous buvons notre breuvage sans rien dire. J’en ai oublié ses jambes qui ne sont pas
cachées. Je n’ose pas aller lui caresser ce que que je vois. Je fais celle qui ne le
sait pas en montrant moi aussi une grande partie de mes cuisses. J’en fais même plus
en écartant les jambes. Cette fois elle regarde comme moi.
- Tu as de belles jambes.
- Toi aussi.
- Je peux en montrer plus.
- Je veux bien.
Elle monte sa jupe encore plus presque à la limite de l’indécence. Elle se lève pour
s’approcher de moi. Elle se met entre mes jambes écartées. Elle devait bien s’attendre
à la suite. Elle me tente elle y réussit. Je passe mes deux mains derrière elle pour
prendre ses jambes. Je l’attire encore plus pour que sa chatte soit pile à hauteur de
ma bouche. Je caresse lentement sa peau. Malgré moi je mordille sa chatte à travers
ses vêtements. Elle ne se dérobe pas ;
- Je suis curieuse de savoir comment tu fais.
Elle se donne à moi, sans le dire. J’arrive à faire descendre sa culotte avec mes
mains. Je la fais descendre tout en bas : elle s’en débarrasse avec les pieds. Je sens
l’odeur de son sexe. Il me semble qu’elle a l’odeur d’une rose le matin.
Ma tête passe sous sa jupe pour chercher ses trésors. Ce n’est plus la rose, c’est
l’odeur d’un sexe de femme excitée. Ma langue cherche aussitôt son clitoris. Là je
trouve son gout de cyprine bien mure. J’ai passé ma langue entre ses grandes lèvres,
cherché les petites avant d’aller un peu plus haut pour trouver son petit bouton qui
grossi entre mes lèvres. Ses jambes bien écartées elle se donne à moi. Mes mains sont
sur ses fesses. Je la maintiens un instant ainsi avant de faire passer un seul doigt
dans la raie. Je sens bien la rotondité des fesses en enfin le petit trou.
Je sens qu’elle mouille de plus en plus. Je continue mon cunnilingus avec succès et
bonheur pour moi. Son jus coule dans ma bouche. Je m’en régale, depuis le temps. Mon
doigt cherche toujours l’entrée de cul. Quand il est pile dessus, la pulpe du doigt
ouvre sans problème l’entrée. Elle pousse un long soupir quand le doigt la pénètre. Je
le fais coulisser longuement, lentement, dans l’anus.
Elle se tient à ma tête. Elle y appuie dessus. Je ne comprends pas exactement ce
qu’elle veut. J’aspire son clitoris, j’entre un autre doigt. Je la sens au bout du
rouleau, elle va jouir bientôt. J’attendais qu’elle jouisse, pas à ce point. Je reçois
un flot de cyprine que je n’attendais pas : c’est une femme fontaine. Il me semble
qu’elle me donne des litres de liquide. Je bois tout ce qui sort de son ventre.
Enfin elle cesse :
- Tu m’as bien fait jouir. Je vais te branler.
- Pourquoi pas si tu sais le faire.
Elle me fait lever, me déshabille complètement. Elle se colle à moi, m’embrasse sur la
bouche, passe une main entre mes jambes à la recherche de mes trésors pas si cachés
que ça. Après m’avoir assise, elle me laisse les jambes ouvertes sur ma chatte. Elle
peut me faire ce qu’elle veut, je suis d’accord. Elle entre deux doigts de la main
droite, les fait aller et venir avant de poser le pouce sur le bouton. Il y a
tellement de temps qu’une fille ne m’a pas fait ça que je ne tiens pas longtemps. Je
jouis deux ou trois fois dans sa main.
- Suces moi la moule
Je n’ai pas besoin de répéter. Elle pose ses lèvres sur mon con. Pas possible, elle a
déjà du le faire à une autre. Elle fait l’innocente. Elle baisé une autre femme. Je la
laisse faire me donner du plaisir. J’ai passé mes jambes sur ses épaules. Tout mon
sexe est à sa disposition.
J’ai posé ma tête sur le fauteuil : Je me sens bien mieux ainsi pour jouir. Je sens sa
bouche avaler le bout de chair avant qu’elle me mette deux doigts dans le cul. Je ne
sais plus comment me tenir tellement elle me donne du plaisir. Elle sent que je jouis
plusieurs fois.
- Jouis encore, tu veux que je te mette un gode ?
- Même deux à la fois.
Elle me laisse tomber un court instant que je mets à profit pour me masturber.
J’arrive à jouir seule rapidement. Elle revient avec deux godes particuliers, les deux
même. Ils sont pliables pour pouvoir se baiser et s’enculer à la fois.
Bernadette veut me faire jouir à sa façon. Elle me baise avec le bout le plus large.
Quand elle m’a bien pénétrée, je sens qu’elle entre l’autre bout sans le cul. C’est la
première fois que je suis prise par les deux trous à la fois. Je ne m’attendais pas à
un tel déferlement de sensations double ou triple, je ne sais plus. Ce que je sais
c’est que je cris ma jouissance longuement.
Heureusement qu’il n’y a pas de voisin.
Bernadette aussi je baise seule ? Elle s’encule aussi seule. ? Sa jouissance est moins
profonde que la mienne :
- Je me le fais souvent.
- On recommence demain ?
- Tu es une vraie garce de lesbienne. Toi aussi.
- Tu vas le raconter à ton amant.
- Tu es folle : il voudrait nous voir baiser toutes les deux.
Je n’en ai pas parlé à mon mari.

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Texte coquin : Bernadette
Histoire sexe : Une rose rouge
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