Bernadette

- Par l'auteur HDS Trekkie -
Récit érotique écrit par Trekkie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Bernadette Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-11-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Bernadette
Voici un deuxième essai pour raconter une histoire un peu plus complexe que de simples fantasmes.

Je m'appelle Bernadette, Bibi pour les intimes. J'ai 20 ans et physiquement on me dit que je suis bien faite . 1,70m pour 65 kg, les chevaux noirs mi-long, une poitrine bonnet C et pubis épilé.
J'ai toujours vécu avec ma tante, Gabrielle, qui est vachement canon malgré ses cinquante ans.
Tu sors, ce soir Bibi ?...
Je vais en boite avec un copain.
C'est pour ça que tu te fringues en pute ?... T'as pas peur des ennuis ?...
Sylvain est costaud, il me défendra !...
Ah, il s'appelle Sylvain !... Et c'est un bon coup ?...
Martine dit que oui ; d'après elle, il est monté comme un âne !...
Tant mieux pour toi ! Je dis toujours : Il vaut mieux une grosse travailleuse qu'une petite fainéante !...
Ah ! Ah ! Ah !
Faut dire que côté sexe, ma tante est plutôt décoincée. Pour la baise c'est un volcan, comme sa nièce ! On est super complice ... on se dit tout. Tenez je vais vous racontez comment j'ai perdu ma petite fleur.
J'avais 18 ans et j'étais presque vierge. Je veux dire que je faisais tout, sauf coucher. J'en avais envie, mais je ne me décidais pas à sauter le pas. Cet été là, ma tante avait loué une villa à la mer. Un après-midi, j'étais rentrée plus tôt que prévu. Sur la plage, j'avais joué à touche pipi avec un garçon. Mais au dernier moment, j'avais pas pu ... Je m'étais sauvée en me traitant de conne !...
La porte de la chambre de ma tante était entrouverte et d'après ce que j'entendais, elle n'étais pas en train de faire du tricot !...
Hmmm... Oui, plus fort... Aaaah !...
J'ai glissé un œil par l'ouverture ... Whaouw ! J'ai eu le choc de ma vie !... Zoom sur le postérieur généreux de la tantine. Sur ses fesses, il y avait des mains et dans sa chatte une très grosse bite ... Tout cela appartenait a Vince, son amant.
Aaah... Salaud ! Comme je te sens bien !... C'est bon !!!
Vince était un brave type et j'en étais un peu amoureuse. Mais c'était son mec !...
Aaaah... Dans le cul, mets moi un doigt dans le cul !...
Quand j'ai vu Vince lui enfourner dans l'oignon deux de ses doigts, j'ai pété les plombs. J'ai senti un liquide chaud m'engluer la chatte. Pour la première fois de ma vie, j'ai mouillée comme une folle !... Au bout d'un moment ma tante a changé de position. Elle s'est mise à sucer son amant qui continuait à lui explorer le trou du cul. Maintenant, j'ai glissé ma main dans mon slip et je me suis mise à me branler. Doucement d'abord, puis de plus en plus vite ! ... La vois de Vince me faisait perdre la tête. J'aurais voulu être à la place de ma tante.
Haaaa... Continue... C'est bon !...
Maintenant, défonce-moi la chatte ! Viens enfonce-toi au fond !... Viens, mon salaud... Viens !!!
Loin de me choquer, les grossièretés qu'elle proférait m'excitaient encore plus... J'entendais mes doigts clapoter dans mon vagin et l'odeur de ma cyprine me montais jusqu'aux narines.
Plus fort ! Déchire moi la chatte !!!
Ah, salope ! Tu veux de la violence !... Tiens ! Tiens !
Oooouiii !... C'est bon !... Je... je... vais jouiiir !!!
Aah ! Je viens, je viens !...
M...moi aussi, je... je jouis ! Je jouis !...
Ils ont pris leur pied presque en même temps ... Et je les ai suivi de près. Le plaisir m'a submergé avec tant de force que je me suis mordue les lèvres pour ne pas crier. Mais comme bêtement, je m'étais appuyée contre le porte, je suis tout aussi bêtement retrouvée propulsée dans la chambre, les quatre fers en l'air et la culotte à mi-cuisses !...
Bibi !!!
Ma tante avait tout de suite pigé...
Non, mais regardez cette petite vicieuse qui se branlait en nous espionnant !
Gaby... Non... Je...
Ta ! Ta ! Ta ! Ces habitudes onanistes ne sont pas saines !... il est temps je crois que tu deviennes une femme. Et puisque tôt ou tard tu devras y passer autant que ça se fasse tout de suite et dans de bonnes conditions !... Fini d'enlever cette culotte !!!
Je ne voyais pas où elle voulait en venir... Mais j'ai obéi. J'étais morte de trouille... Et pas encore au bout de mes surprises.
Exceptionnellement, je te prête Vince... Laisse moi le temps de le remettre en forme, et il est à toi !...
Tu es sérieuse ?! ...
Absolument. Et toi, Bibi n'en profite pas pour te sauver !...
Abasourdie et fascinée, je regardais Gaby branler la queue de Vince, doucement ... Puis quand celle-ci a commencé à se redresser, elle en a léchée le gland à petits coups de langue rapides. Moi qui croyais être une bonne suceuse, je prenais une leçon. Ses lèvres coulissaient sur le sexe de son amant à une vitesse incroyable. Elle l'enfournait presque jusqu'aux couilles !... Mais où mettait elle tout ça ?... Bientôt, Vince arbora un phallus des plus triomphants ... Alors ma tante me fît signe d'avancer ; ce que je fis dans un état second. Car si je tremblais, ce n'était pas seulement de peur, mais aussi de désir !
A toi Bibi, viens ici ... Vince va te lécher pour te lubrifier un peu ... N'aie pas peur, décontracte toi !
C'était une précaution inutile, j'étais trempée. La langue de Vince dans ma chatte a déclenché un sacré chambard dans mon ventre. Des spasmes m'agitaient jusqu'au trou du cul !...
Voilà... Très bien, prépare là bien !...
Quand toujours sur les directives de ma tante, je l'ai enjambé. Je n'avais plus qu'un désir... être baisée à fond !...
Tu te pénètres toi même... Comme tu veux ; au rythme que tu veux !...
Le gros gland cognait contre ma vulve mais ne rentrait pas. Alors, j'ai pris tout mon courage et je me suis enfoncée d'un coup !
Aïe... Aaah...
Ça m'a fait vachement mal, mais très vite le plaisir a pris la place de la douleur. Un plaisir intense. Je me suis mise à me tordre dans tous les sens, hurlant comme une dingue. Les orgasmes déboulaient à la chaîne...
Oh oui, plus fort !... Plus fort... Plus fort !!!
A un moment, Vince a repris l'initiative et il m'a pénétré dans des tas de positions.
Ooh ! Gaby !... C'est bon !... C'est bon !...
Aaah, je n'en peux plus, je viens !!!
Noon !... Encore !... Encore !...
Comme prise de frénésie, j'ai enfourné sa queue et je me suis mise à le pomper à mort !...
Eh, bien, ma chérie !?...
Encore... Hmmm... Encore... Hmmm !...
Aaah !...
Quand il a déchargé, il a voulu se retirer, mais je l'ai retenu avec les dents. Les jets brûlants de ses saccades de sperme m'emplissaient la bouche, me dégoulinaient sur le menton... J'ai sucé jusqu'à ce que sa queue devienne molle ; lui arrachant des cris de douleur et de plaisir.
Eh, bien, ma nièce ; j'ai l'impression que je n'ai plus rien à t'apprendre !...
Oh Gaby... C'était merveilleux... Je ne croyais pas que c'était aussi bon !...
Voilà, ça s'est passé comme ça. Certain diront que c'est immoral, mais, en fait, ma tante m'avait guérie d'un vrai problème : ma peur de la pénétration.

Mais revenons à ce samedi soir qui allait changer ma vie...
Et toi, il vient pas ce soir ton mec ?...
Hé non, pour moi, ce sera un bon bouquin et dodo !...
Ah, ça, c'est sylvain !... Bon je me magna !
Tu me raconteras tout demain. C'est promis !...
Sylvain m'attendait dans sa voiture.
Hou ! Hou ! Sylvain !...
Hé ! Salut jolie poupée !...
J'étais à peine assise qu'il m'a fougueusement enlacée avec l'intention évidente de ma rouler une pelle. Et moi, bonne pomme, je me suis laissée faire. Mais tandis que sa langue m'explorait les gencives, sa main s'était glissée sous ma robe... Il manquait pas de culot... Ses doigts avaient trouvé, vite fait, l'échancrure de mon slip et encore plus vite ma petite fente. J'y croyais pas. Il voulais me violer où quoi ?!...
J'ai rien contre la baise. Mais c'est si je veux et quand je veux ! Et là ; j'en n'avais pas envie.
Arrête !!! Arrête ! Pas maintenant... plus tard !...
Bibi, je te désire depuis si longtemps !!!
Houlà ! Y avait intérêt à refroidir le moteur !... J'avais déjà tailler des turluttes à des types que je connaissais depuis 5 min ... Alors, pourquoi pas à lui ?!...
Cool... On va calmer la bête !...
Mais comme j'avais une réputation à soutenir, autant faire ça dans les règles de l'art... Grands coups de langue lascifs sur la hampe de la queue, puis suçotement bien baveux du gland et hop !... On enfourne le plus profond possible ; on relâche et on recommence.
Aaah !... Oui, c'est bon !...
Mais ce qui n'était pas prévu au programme c'est que Sylvain a tout lâché en moins de trente secondes !... Bonjour l'éjaculateur précoce !!!
Dis donc tu es un rapide toi !...
Excuse-moi, c'est l'émotion... ça ne se reproduira plus... promis !
Je l'espère bien ! Bon, ça va... Démarre... On va essayer de te pardonner !
Il n'y avait pas de quoi en faire un plat, mais ça m'avait mise de très mauvaise humeur.
La boîte était sympa, a musique était bonne et Sylvain faisait tout pour faire oublier sa contre-performance. Le moral était revenu, mais tandis que je remuais mes fesses au son de la techno, j'ai eu l'impression que quelqu'un me regardait fixement. J'ai pas eu à chercher longtemps, une superbe nana me dévisageait en me souriant !... Ça m'a fait un drôle d'effet... Aussi quand la musique s'est arrêtée, j'ai trouvé un prétexte pour éloigner Sylvain...
Je crève de soif... Tu pourrais pas aller nous chercher des boissons ?...
Bien sûr !...
J'ai abordé la femme, elle s'appelait Iona, et elle était hongroise. Elle m'a dit que j'étais jolie et très... « bandante »
Tu es lesbienne ?...
Occasionnellement... toi aussi, tu aimes faire l'amour avec des femmes, ça se sent !
Touché ! Mais la suite était encore plus surprenante.
... C'est ton Jules, le type avec qui tu es ?...
Non... Non... juste un copain...
Laisse-le tomber, il ne vaut pas un clou !
Mais... mais... il...
Elle m'a prise par la taille, ses yeux étaient magnifiques.
Je t'emmène dans un endroit plus chic... plus amusant, laisse toi faire.
Je me suis laissée faire...
J'étais littéralement fascinée. Sans trop réaliser ce que je faisais, je me suis retrouvée avec Iona dans la rue. Une limousine avec chauffeur nous attendait. Pauvre Sylvain !... Quand j'y repense ; j'ai un peu honte du mauvais tour que je lui ai joué... Mais pour le moment, j'étais sous le charme de Iona. Celle-ci traitait son chauffeur de manière très dure... ça m'avait un peu étonnée.
Chez Wanda ! Et essaye de conduire correctement, pour une fois !...
Oui, madame.
Par contre avec moi, sa voix un peu sourde, redevenait caressante, sensuelle.
Un petit joint, ça te dit ?... C'est du bon, Pff... Pff... Tu vas voir !... Ça va être super cool pour nous deux chérie !...
Iona ne perdait pas de temps, elle non plus... Décidément, je ne pouvais plus poser mes fesses dans une voiture sans avoir une main sous a jupe !...
Tu as de très jolies lèvres, tu sais !...
J'ai jamais été amatrice de dope. Mais la, pour une fois, ça m'a branché... Surtout quand Iona a récupéré la fumée que je rejetais en collant ses lèvres sur les miennes !... Le pétard plus la langue de Iona, plus ses doigt sur mon clitoris ; ça commençait à devenir sérieusement moite entre mes cuisses !... Bien entendu, elle s'est attaquée à ma petite culotte mais là, je n'ai rien fait pour l'en empêcher...
Ooh... Iona... Je... Tu... Aahh !...
Au contraire, je me suis soulevée pour aider à m'en débarrasser.
Ça sert à rien ces truc là !...
Hi ! Hi ! Tu as raison !
Dans le rétro, le chauffeur n'en perdait pas une miette, visiblement, le spectacle lui plaisait et ça a terminé de m'exciter !... J'ai écarté les cuisses avec béatitude. Les longs doigts de Iona glissaient le long de ma vulve, m'arrachant d'interminable et délicieux frissons. Elle avait tout de suite trouvé mon clitoris. En experte, elle le massait lentement. J'ai senti ma mouille couler de ma chatte brûlante. Comme il n'y avait pas de raison que je lui rende pas la pareille, je suis moi aussi partie en exploration sous sa robe. Elle ne portait pas de culotte, son sexe était rasé et un petit anneau d'or traversait l'une de ses grandes lèvres. On s'est branlées mutuellement, l'odeur de nos sécrétions se mélangeait à celle du joint. Le clapotis de nos doigts dans nos fentes respectives n'était couvert que par nos râles de plaisir. Derrière son volant, le chauffeur devait bander comme un dingue !
La voiture s'est arrêtée devant un petit hôtel particulier d'un quartier chic. Rien n'indiquait la présence d'une boîte ou d'un club privé.
Madame me permet-elle de l'accompagner ?...
Certainement pas ! Où te crois-tu, larbin ?... Tu nous attends ici !...
Tu es vachement dure avec ton personnel !...
Mais non, chérie. C'est un jeu entre nous ... D’ailleurs, ce n'est pas mon chauffeur, mais mon mari !
Mais j'allais très vite m’apercevoir que je n'étais pas au bout de mes surprises.
Alors tu viens ?...
Elle frappa à la grande porte et le femme qui nous a ouvert n'était pas banale non plus...
Mais c'est ma salope préférée avec une nouvelle copine !...
Son langage, aussi était spécial.
Bibi, je te présente Wanda, la maîtresse de ces lieux !...
Mais c'est qu'elle est mignonne cette petite connasse. Je parie qu'elle a le cul tendre comme du filet de veau !
T'en fais pas, elle dit ça a toutes les nanas. Quand c'est pas connasse, c'est salope !...
Je n'étais pas rassurée...
L'ambiance dans le bar a dissipé mon angoisse. Les serveuses ne devaient pas vraiment trop souffrir de la chaleur dans leur uniforme très aéré en latex noir.
Deux beaux mecs étaient aux bar.
Hello Iona ! Tu nous présente ton amie ?...
Bibi, je te pressente Luc et Jean-Marc. Ils vivent ensemble mais n’ont rien contre les jolies filles !...
Eh oui, nous sommes à voile et à vapeur !...
Iona a commandé deux cocktails maison... c'était excellent mais très fort.
La vache !!!
Attention, c'est très aphrodisiaque !...
Je crois que ton amie plaît beaucoup à Luc !...
Le joint plus le cocktail, je commençais a être sérieusement pétée.
Vous dansez, jolie Bibi ?...
Ça m'arrive !...
Sur la petite piste, des couples dansaient tendrement enlacés... très tendrement enlacés...Une femme tenait la bite de son partenaire en main !...
C'est la tradition ici, de masturber son partenaire en dansant ?!...
Non, c'est une spécialité de ce couple... Elle peut le branler pendant des heures sans qu'il éjacule !...
Ça doit être fatigant !
Luc était peut-être un peu gay sur les bords ; ça n’empêchait pas qu'il bandait en me serrant contre lui... Quant à moi, y avait comme une urgence en dessous de la ceinture !!! Je sentais ma mouille m'engluer, la chatte... Aussi sans vraiment réfléchir, j'ai commencé à lui rouler une pelle.
Et vous, vous tenez combien de temps ?...
Beaucoup moins longtemps, je le crains !
Puis je lui ai sorti le sexe. L'engin avait une belle taille... J'ai soulevé ma jupe sur le devant et j'ai glissé sa queue contre mon ventre.
On va bien voir !...
Je me suis serrée contre Luc le plus étroitement possible, tout en continuant à danser... les mouvements de mon bassin le branlait doucement...
Hummm... oui... continue petite vicieuse !...
Il avait l'air d'apprécier !... Je sentais sa bite chaude tressauter contre mon nombril... Je ne le croyais pas moi-même... J'étais en train de jouir toute seule et sans pénétration !... Mais la musique s'est arrêtée et une voix de femme à fait une annonce.
Mlle Wanda prie ceux qui le désire de se rendre au « petit salon » !...
Le petit salon était composé de banquettes en demi-cercle. Au milieu de la pièce trônait un canapé de cuir noir juché sur une petite estrade. Quand Luc et moi y sommes arrivés les banquettes étaient toutes occupées par des couples. Iona et Jean-Marc se tenaient debout derrière l'une d'elles...
Une jolie femme d'une quarantaine d'années s'est installée sur le canapé après s'être retroussée la jupe jusqu'à la taille... Elle ne portait pas de culotte et sa chatte dégoulinait de mouille. Puis Wanda est apparue, une cravache à la main...
Alors, connasse, il faut que j'aille te chercher ?...
Une petite brunette s'est levée toute tremblante et le regard rempli de crainte.
J(ai failli attendre...
Pardon... Pardonnez-moi !...
Prépare-toi... Allez, dépêche-toi ?...
Oui... Oui... tout de suite !...
La jeune s'est placée devant l'autre femme et à commencé à remonter sa jupe lentement... C'était fascinant de voir, petit à petit son cul apparaître sous le cuir noir de sa jupe.D'autant qu'elle non plus n'avait pas de culotte. Elle se pencha sur la femme, et ses fesses en l'air, je compris vite à quoi allait servir la cravache de Wanda. Un silence oppressant régnait dans le salon...
Écarte lui bien les fesses qu'on voit son petit trou...
La vulve et l'anus de la fille étaient incroyablement poilus. Ce qui faisait encore plus éclater la blancheur de ses fesses... Et le premier coup la cingla juste sur le trou du cul.
Aaah !Pas sur l'anus... Dis lui de na pas frapper sur l’anus !...
Ça va aller... courage mon amour je t'aime.
Et les deux femmes s'embrassèrent. Mais au fur et à mesure des coups, la fille criait de moins en moins de douleur et de plus en plus de plaisir !...
Iona, le souffle court s'était mise à se caresser sous sa jupe... j'ai fait comme elle...
La brunette jouissait tellement, qu'elle engluait de mouille la foufoune de son amie...
Regardez ça !... Tu prends ton pied, hein salope !
Wanda s'était mise à frotter le manche de sa cravache contre la vulve trempée de sa victime. Et quand il fut bien imprégné de cyprine, elle le lui enfonça sans ménagement dans le cul ! Puis tandis qu'elle activait ce godemiché improvisé, deux puis trois de ces doigts s'engloutirent dans le vagin avec un clapotis obscène... Finalement c'est la main entière qui disparut dans l'antre béant de la fille qui se tordait, hurlait sa douleur et son plaisir...
Non... Non... Assez... Aaaah... Oui... c'est bon... oui !... Oui !...
C'est à ce moment là que je senti deux solides mains me dénuder la croupe, c'était Luc. Le contact chaud de sa verge glissant le long de la raie des fesses me fit tressaillir... Avait-il l'intention de ma baiser devant ton le monde ?...
J'étais bien la seule à me poser la question... La croupe tendue, Iona se faisait enfiler par Jean-Marc avec une satisfaction évidente !
Voilà ce qu'il nous fallait... Une bonne queue dans la chatte !...
En fait toutes les femmes de l'assistance subissaient le même traitement avec le même entrain... Et même quand ce n'étaient pas tout à fait des dames !... Je ne me suis donc plus préoccupée que de la bite de Luc, qui me pilonnait vigoureusement l'entrecuisse...
Dans le salon ce n'étaient que soupirs, râles, cris de plaisirs et claquement de couilles contre la croupes des femmes et de certains hommes. Wanda et deux nanas se gouinnaient allégrement dans des positions au confort discutable.
Inutile de préciser que j'étais en train de me prendre un pied d'enfer. Luc n'était pas loin de l'explosion non plus...
Aaah ! Je vais... venir !...
Pas... pas dans ma... chatte !... Attend !
Je me suis retournée et j'ai mis sa bite devant mon visage.
Vas-y lâche tout ton jus !
Tu es une véritable petit cochonne toi !...
J'avoue... Je suis un peu salope, et ça ne m'empêche pas de dormir !... Luc s'est libéré dans ma bouche... Bonjour le canon à foutre ! À chaque giclée, sa queue tressautait entre mes dents...Je l'ai siphonné jusqu'à la dernière goutte.
Humm... Tu suces encore mieux qu'un homo...
J'ai pris ça pour un compliment.
À Partir de là, ça a viré à la partouze. Luc et Jean-Marc ayant préféré « rester entre hommes », j'ai suivi Iona... Dans la voiture elle s'est amusée à martyriser son mari, chauffeur et souffre douleur préféré.
Regarde, ça t'excite de mater sa petite chatte qui a été si bien baisée !... T'aurais bien aimer voir ta femme se faire niquer par ces beaux mecs !... Tu sens l'odeur de nos chattes pleines de foutre ?...
Et elle m’emmena dans leur maison qui était super chic. Et alors que son mari avait déjà disparu elle m'invita dans le salon.
Prépare-toi un verre et met toi à l'aise, je reviens tout de suite.
Puisqu'elle m'avait dit de me mettre à l'aise et que je n'étais pas venue pour jouer à la belote. Je me suis mise complètement nue. Elle serait peut-être surprise. Le tout de suite fut assez long. ET la surprise fur pour moi, j’avais oublié que la spécialiste était Iona !... Elle apparu, avec pour tout vêtements de longues bottes et cuir et un porte-jarretelles noir.
Viens, chérie ! Nous t'attendons dans la salle de jeux !...
La salle de jeux était comme je m'y attendais, ce qui l'était pas c'est l'accoutrement du mari de Iona... Nu avec un masque intégrale lui recouvrant le visage et des entraves sur le sexe. En plus il était attaché les mains dans le dos et un collier le maintenait enchaîné à un poteau.
Oh.. non... je ne suis pas maso... vous continuerez sans moi !...
Cool Bibi, il n'y a que lui qui aime ça... Ne t'en fais pas, pas de violence... Nous regarder en train de faire l'amour sans pouvoir nous baiser est bien pire pour lui que des tortures physiques...
A bon, parce qu'il ne nous baisera pas !...
Ça sert à quoi d'aller au cinéma si on connaît d'avance la fin du film ?...
Il ne restait plus qu'à laisser se dérouler le « film » avec Iona comme metteur en scène...
Mmmh... Chérie, je vais bien te faire mouiller pour qu'il sente bien l'odeur de ta cyprine !...
Puis ce fut moi qui m'occupas de sa chatte...
Aaaah ! Comme tu me lèche bien !... Comme c'est bon !...
Elle faisait tout pour exciter son mari. Et elle sorti sa collection de godemiché. Un gode dans le cul de chacune de nous et ensuite ce fut un double gode que nous nous sommes enfoncé dans la chatte.
Iona me faisait jouir comme peu d'hommes l'avaient fait avant elle. Mais j'avais envie d'une vraie bite de chair et de sang...
Aaaah... Plus fort, plus fort !...
Hmmm... Chérie... Je te baise comme tu me baises...
Comme celle de son malheureux mari qui bandait à en faire péter ses entraves.
Iona avait dû deviner mes pensées...
... Et si on le faisait participer ?...
Hmmm... Oui !...
Naturellement son idée n'était pas toute simple...
Tu vas mettre ce gode... Tu vas voir... c'est très amusant !...
Elle me donna un gode ceinture. Drôle d'engin !... Le sexe de latex était articulé et pouvait se tordre dans tous les sens ! La sangle arrière était munie un mini gode qu’elle me fit entrer dans le rectum. Un petit tuyau le reliait aux testicules de caoutchouc souple. Je n'allais pas tarder à comprendre son utilité.
De son côté Iona se moquait de son mari.
Oooh ! Ce pauvre petit kiki... Comme il a eu mal !... Mais maman va le soigner !...
Elle s'est mise à lui sucer les bourses. Quand elle lui a enduit son anus de vaseline, j'ai compris ce qu’elle attendait de moi !...
Encule-le !...
Il était couché sur le dos et avec les jambes repliées sur lui. Je ne sais pas si je tremblais de peur ou d'excitation. Je n'osais pas forcer le passage et ça ne rentrait pas...
Vas-y... pousse... n'ai pas peur...
Alors qu'elle le branlait, j'ai appuyé d'un coup. La queue de latex s'est enfoncée dans un gargouillis de vaseline. Il a poussé un grognement de bête blessée. À chaque fois que les couilles du godemiché s’écrasaient sur ses fesses, elles insufflaient de l'air par l'intermédiaire du petit tuyau dans le mini gode et il gonflait dans mon cul... C'était fabuleux ! J'étais sodomisée et je sodomisais. Iona se régalait de sa bite qu’elle engouffrait maintenant avidement... J'avais entendu dire que les hommes qui se faisaient sodomiser éjaculaient très vite, ce n'était pas le cas.. Je n'en pouvais plus, j'avais mal aux cuisses et 'impression que le mini gode me défonçait les entrailles. Il s'est enfin rendu dans un flot de sperme que Iona a avalé jusqu'à la dernière goutte !...
Aaah !... Tout ce foutre !... Encore !!!
Tandis qu'elle le délivrait de ses entraves, je me suis débarrassée de mon propre harnachement. J'avais le trou du cul en feu ! Mais j'avais toujours autant envie d'une vraie queue dans le ventre. Iona, aussi probablement, car elle s'employait à remettre son mari en forme. Ils s’étaient lancé dans un 69 qui m'excitait encore d'avantage. Alors je l'ai aidé et j'ai appris en prime son prénom.
Un petit coup de main ?... Au fait, il s'appelle comment, ton mari ?...
Günther.
En fait c'est surtout moi qui l'ai sucé, Iona en matière de pipe avait déjà pas mal donné... Il a très vite récupéré une confortable rection et c'est moi qui me suis vite retrouvée fourrée par une bite aussi grosse... Le pied !
Putain que c'est bon !
C'est ce que je me suis dit aussi la première fois !...
Pour ne pas rester inactive, Iona m'a fait goûter la saveur acre autant que suave de son petit trou du cul.
Oui... Lèche bien, chérie. Broute moi mon petit trou !...
Mais cela ne lui suffit pas...
Allez à chacune son tour, moi aussi j'ai la foufoune en ébullition ! Aaaah... Approche chérie... Je vais te lécher !...
Günther nous à prise plusieurs fois à tour de rôle, nous faisant jouir plusieurs fois de suite... Mais bien que sa bite semblait prête à explorer tant elle était gorgée de sang... Mais il n'éjaculait pas. Le final avait été probablement prévu d'avance...
Viens Bibi, viens profiter de son canon à foutre...
Après l'intensité de la première distribution, je trouvais l'estimation de la seconde un petit peu optimiste... J'avais tord, c'est une véritable fontaine de sperme qui jaillissait de sa queue formidable.
Après cette séance, j'étais vannée et le bain que nous avons pris en commun m'a plutôt donné des envies de gros dodo... Mais qui dit bain dit caresses et qui dit caresses... dit baiser ! Une petite salle de repos attenante à la salle de bain a accueilli la suite de nos ébats... Günther semblait éprouvé un intérêt particulier pour nos petits trous plissés...
On lui en avait bien fait baver tout à l'heure, on lui devait bien un petite revanche. Je n'avais pas d'idée sauf celle que je laisserais faire. Iona, elle s'est allongée sur une table de massage dont l'inclinaison lui surélevait les fesses...
Viens chérie... Viens t'allonger sur moi !...
Je me suis couchée sur elle, seins contre seins, ventre contre ventre, chatte contre chatte.
Que va-t-il se passer ?
Tu verras !...
Quand Günther a commencé à nous lubrifier le petit trou, je me suis mise à paniquer...
Mais il est trop gros, il vas nous déchirer !...
Mais non, chérie. Ce n'est pas la première fois que j'y passe !...
Moi c'était la première fois et je l'ai senti passer... Le gros gland de la bite de Günther peinait pour forcer le passage et ce malgré que je me soit ouverte au maximum. Puis il s'est enfoncé d'un coup... poussant sa queue épaisse toujours plus loin dans mes entrailles... Il a émis un grognement de satisfaction quad ses couilles sont venues claquer contre mes fesses... Iona me caressait, m'embrassait transformant progressivement la douleur en plaisir... A chaque coup de boutoir, ma vulve s'écrasait sur celle de Iona. Ma mouille, qui coulait abondamment se mélangeait à la sienne dans une odeur âcre et suave de fleurs séchées... J'avais l’impression que mon cœur remontait dans ma bouche. Je ressentais une étrange sensation de vide... comme si j'allais mourir... C'était à la fois effroyable et délicieux !...Quand Günther s'est retiré, j'ai essayé de le retenir...
Ooh ! Noon !... T'en va pas.
J'ai senti les ongles de Iona s'enfoncer dans ma chair, elle n'a pu retenir un râle de plaisir quand il l'a pénétrée sans ménagement.
Hmmm... Ooui... à moi maintenant !... Ouiii !!!
Il la pilonnait beaucoup plus violemment qu'il ne l'avait fait pour moi ?
Ooh ! Il me défonce le cul, le salaud.
Ça tournait à la frénésie. Günther passait à présent de l'une à l'autre sans ménager ni l'une ni l'autre...
Oooh !... 0 fond, ouiii !...
Aaaaah !...
Chaque nouvelle enculage nous faisait hurler d'un plaisir bestial. C'est dans mon cul que Günther a lâché son jus. Tant pis pour Iona, mais ça m'a bien fait plaisir.
Aaaaah... Je jouis !...
En fait j’ai aussi joui à ce même moment comme une folle et Iona a joui de mon orgasme.
Oh chérie, c'était fantastique !...
La douleur est sœur du plaisir... Les deux se mélangent dans une union magique.
En plus elle était poétesse, la copine !... J'ai dormi chez eux et c'est sur le coup de trois heure de l'après-midi que je me suis réveillée. Günther était parti pour ses affaires et Iona avait décidé de notre emploi du temps.
On va chez des amis qui donnent une grande fête... Tu verras ça va pas être triste...
Traduction, on allait baiser comme des bêtes. J'avais mal aux articulations, la foufoune ravagée et le trou du cul en chou-fleur, mais j'étais prête à recommencer... Iona m'a prêté des vêtements.. Je ne peux pas dire que je me sentais vraiment habillée. Un morceau de tissus couvrant à peine mes seins, mon nombril et au ras des fesses était une robe pour elle.
J'en connais que tu vas faire bander !... Et d'autres que tu vas faire mouiller...

Après un voyage en voiture sans histoire, nous sommes arrivées en vue d'une propriété imposante.
On va rencontrer des gens très chics, des très vulgaire et des très allumés !...
Au rayon allumés, c'était pas mal. Coiffures, habillement, percing et autres choses qui sortaient de l’ordinaire étaient commune ici. Notre hôte était un magnat d'hollywood.
Hello Max !... Lucie n'est pas là ?...
Oh, je crois qu'elle est avec Margot dans le sauna !
Oh, alors on ne va pas la déranger !...
Mais non... elle ne sera pas fâchée de te revoir, surtout toi !...
Lucie est sa femme, elle est lesbienne et Margot est sa maîtresse... avant c'était moi !...
Tu as des amis pas banaux !...
... et tu n'as pas encore vue Margot !...
Alors qu'elle ouvrait le sauna, c'est vrai que je n'avais jamais rien vu de comparable à Margot...
Sale petite chienne, regarde dans quel état tu me mets ! Tu vas me lécher et nettoyer tout ça et n'en laisse pas perdre une goutte.
Des quantités incroyable de mouille s'échappaient du vagin de Margot ? Iona m'a dit qu'elle était capable d'en remplir une coupe de champagne. La taille,et la perfection de la croupe de Margot me fascinait. J'ai senti un trouble étrange montait en moi... J'avais envie d'enfouir mon visage entre ses fesses et d'enfoncer ma langue dans cet anus inconnu et d'en capter les senteurs que je devinais enivrantes. Je l'ai dit à Iona...
Oh... Iona, qu'elle joie de te revoir !... Lucie lèche de mieux en mieux tu sais...
A propos de lécher, ma copine à une petite faim !...
Ok Bibi... mais tu te mets cul nu !...
Vu que premièrement j’avais déjà la robe au ras des fesses, deuxièmement que le string préféré de Iona était minuscule, ça ne m'a pas demandé un gros effort... Ensuite, Margot à brouter le minou de Lucie, Lucie à dévoré la chatte rasée de Margot, j'ai enfilé la même Margot avec ma langue et Iona m'a branler les orifices se servant de ma mouille pour me lubrifier le petit trou. Nous nous sommes faites jouir comme seules des femmes savent vraiment le faire.
Iona qui préférait les étreintes plus viriles, nous a au bout d'un moment laissé à nos jeux lesbiens...
Bon les filles... je vais me chercher une belle grosse bite !...
Nous avons continué à trois. Les deux amantes avaient tout un arsenal de godemichés et des tas d'idées pour s'en servir.
Oooh !... Enfonce encore... plus... fort... Ouiii... c'est bon !... C'est bon !...
Un vibro dans la mouille, un autre dans le cul,ça me procurait beaucoup de plaisir. Mais la bite en latex que je serrais entre les dents m’empêchait de l'exprimer... Pour finir, je faisais des progrès fulgurant en perversité et en vice.
Après cela, repue de sexe pour le moment, je me suis promenée au milieu de la party... Le programme des festivités était simple, tu fumes, tu bois, tu manges ce que tu veux et tu baises autant que tu peux. Ce qui donnait lieu à des scènes amusantes... Dans le genre de cette dégustation de crème chantilly sur les énormes seins d(une punk de luxe. Ou de cette fausse gamine qui sur le bord de la piscine, jouait aux « boules de geisha » avec un collier de grosses perles que je présumais tout aussi fausses. Dans un bosquet, on filmait, une femme d'age mur, mais avec de beaux restes se faisait enculer par le sexe grand format d'un black hilare. Je n'étais pas la seule à jouir du spectacle, un homme très beau, regardait en souriant.
Il n'y a pas assez de luminosité... Le film sera mauvais.
On préfère regarder que participer ?
Vous aussi apparemment... Vous êtes charmante... Moi c'est Peter... et vous ?
Appelez-moi « Bibi »... Vous n'êtes pas mal non plus. Pour être franche, je cherchais le partenaire idéal... Vous peut-être ?
Oui... Vous me plaisez beaucoup... Plus tard, si vous le désirez encore...
La vieille femme s'adressa à Peter.
Et toi beau blond, tu ne veux pas me la mettre dans la bouche !...
Non, mais j'aurais une proposition à vous faire, quand vous aurez terminé.
Quelle proposition ?... Il n'allait quand même pas se faire cette vieille pouffe ?!... Je ne comprenais pas pourquoi il ne préférais pas ma sauter. En d'autres moments j'aurais trouvé très excitant le spectacle, mais j'étais soudain envahie par un accès de très mauvaise humeur. Mais je ne pouvais me résoudre à rater « ce type ».
Pour que tu ne m'oublies pas !...
Dans ce genre de soirée il est rare que l'on se roule des pelles... Les mecs sont plus empressés de vous fourrer leur bite dans la bouche que leur langue entre les molaires... Ça a été long et bon. Qu'est-ce qu'il me prenait ?... J'étais comme une gamine qui embrasse un garçon pour la première fois...
J'ai erré dans le parc. La fraîcheur de la nuit tombante avait chassé les invités vers l'intérieur de l'immense demeure... A l'exception toute fois de Iona qui finissait d'épuiser son troisième partenaire.
Aah... Oui... Plus fort !
À l'intérieur, calme plat ou presque côté sexe. Chacun récupérait car la nuit était encore longue. C'était amusant de voir tous ces gens à poil se comporter comme dans une soirée mondaine. D'autres se payaient une séance vidéo porno sur grand écran. Alcool, pétard et branlettes pour celle qui ont toujours envie !
Soudain, une vox que je connaissais bien m'a susurré...
Pour les allumés, c'est plus bas que ça se passe...
J'ai suivi Iona, dans l'escalier qui menait à la cave...
Il faut que tu vois ça !
Et à la cave, le choc !
Hé ! Je t'ai déjà dit que je n'aimais pas çà ! Pas le sadomasochisme...
Là, ça craignait un max. Ce n'était visiblement pas du chiqué !
N'ai pas peur, chérie. Personne ne te forcera à faire ce que tu refuses !
Plusieurs femmes étaient attachées dans diverses positions humiliantes et quelques hommes aussi. Certains avaient même des ponces sur le corps ou encore des poids pendant au organes génitaux. Max était là aussi avec ses esclaves.
Iona, je savais que tu finirais par nous rejoindre !
Je suis une grande salope... Je mérite d'être punie !
Cruelle va s'occuper de toi... et ton amie, elle veut être punie, elle aussi ?
Non, elle ne fait que regarder !
Soudain, Cruelle entra en action.
Viens ici chienne, tu vas apprendre à jouir dans la douleur !
Je me sentais de plus en plus mal à l'aise...mais Max vint vers moi.
Vous êtes sûre de ne pas vouloir participer ?
Certaine, merci !
J'en avais marre de tout ce bordel. Je les voyais soudain tels qu'ils étaient... une bande de profiteur tarés et égoïstes.
On étouffe ici ! Je vais prendre l'air !!!
Iona se faisait rougir le cul avec délectation par une cravache, en prélude sans doute à d'autres jeux plus pervers. Mais j'en avais plus rien à foutre.La nuit était douce et le parc désert. Enfin de l'air frais et j'avais envie de profiter de la piscine. J'ai enlevé ma robe, livrant avec délectation mon corps à la caresse d'un léger souffle de vent. La suite s'est présentée sous un aspect moins idyllique...
Tu fais ce qu'on te dit et ça se passera bien !
Un type en blouson de cuir noir venait de me brandir un couteau devant le visage et pas la peine d'être devin pour comprendre que lui et ses potes ne faisaient pas partie des invités et la nature de leurs intentions.
Je vous l'avais dit les mecs, c'est de la meuf de premier choix !
J'avais compris ce qui m'attendait et on ne risque pas la mort pour quelques coups de queue !
Je ferais ce que vous voudrez, mais ne me faites pas de mal !
Tu feras ce qu'on voudra et on te fera mal !
Ils m'ont entraînées dans un bosquet et pour me prouver qu'ils ne plaisantaient pas, leur chef m'a enfoncé son doigt dans l'anus. Naïvement, j'ai pensé que si je me montrais bonne baiseuse, j'éviterais leur violence... Mais ils ont commencé par m'obliger à les sucer tous en même temps et ensuite leur chef a été le premier à me prendre en force. J'étais complètement sèche, et ça m'a fait très mal...
La vache ! Elle... elle est fermée cette... connasse !
Non... non... attend... pas comme ça !... Tu me ... aaaah ! Déchires...
Ils étaient maintenant deux à se relayer dans ma bouche. Quand au quatrième...
Hé, retournez la un peu que je lui prépare le petit trou...
Plus que la peur, c'était un sentiment d'humiliation que je ressentais... cet inconnu qui m'ouvrait sauvagement pour enfoncer sa langue dans le plus profond de mon intimité ! Je n’avais qu’un espoir... Qu'ils finissent vite et me laissent tranquille. Les deux premier salauds se sont débrouillés pour décharger ensemble dans ma bouche. Pour la suite, ça c'est passé tellement vite que je n'ai rien compris !
Peter a surgit de nul part et tel un ninja à rosser les brigands. Alors là, je jure que je n'avais rien vu ! Les quatre types ont disparus comme par enchantement... Plus courageux pour agresser une femme seule que pour se battre contre un homme... et quel homme.
C'est fini... ils ne reviendront pas !
...emmène-moi à la piscine... j'ai ... j'ai besoin de me laver !
Il faut que tu oublies tout ça... Je regrette de ne pas être arrivé plus tôt... Je te cherchais...
Il m'a délicatement soulevée dans ses bras. Je me suis laissée aller contre sa large poitrine. Sa chaleur me faisait du bien !... La fraîcheur de l'eau m'a fait du bien... Petit à petit, j'évacuais le cauchemar des quatre voyous. Peter m'attendait sur le bord, une grande serviette à la main. Quand je suis sortie de l'eau et qu'il m'a emmitouflée dans la serviette, je me suis serrée contre lui et j'ai murmuré...
Fais moi l'amour... Doucement, pour... effacer !
Il m'a étendue sur un matelas pneumatique, puis après s'être lui même déshabillé, il m'a longuement caressée. Jusqu'à ce que le désir vienne, puis il m'a pénétrée délicatement et m'a fait l'amour tendrement en me murmurant des mots doux en suédois, sa langue natale. Et l'orgasme est venu, immense, dévastateur et rédempteur. J'ai tenu à ce qu'il passe partout où les autres étaient passés. Je lui ai même offert mon orifice le plus intime, dans lequel il a joui pour la troisième fois.
Six mois se sont passé depuis, Peter est agent pour la France d’une société de production suédoise de films porno. Je vis avec lui et nous sommes follement amoureux. J'ai décidé de tourné mon premier film porno et il m'a aidé à trouvé un rôle qui me convient. Mon nom d'artiste commencera par un « B ». Peut-être me reconnaîtrez-vous lors d'une de vos soirée.

Fin...

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Texte coquin : Bernadette
Histoire sexe : Une rose rouge
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