Besoins d'une cougar
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-12-2014 dans la catégorie A dormir debout
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Besoins d'une cougar
J’ai la bouche amère en me réveillant. J’ai fais un rêve qui me laisse mouillée. J’étais dans les mains d’un homme qui me baisait. J’imaginais finir de jouir. Hélas, j’avais le sexe isolé sinon ma main dessus. J’ai trainé cette sensation toute la journée. J’en envie de me faire mettre. J’ai envie d’une queue. Depuis qu’il m’a quitté pour une autre, pas plus belle ni sexy que moi, je reste dans mon isolement. En plus les enfants ont quittés le nid familial.
Je décide d’aller faire un tour au sexe shop du coin. Tant pis pour le qu’en-dira-t-on.
Vêtue comme un fantôme avec un vieil imper gris déformé, je passe pour ce que je ne suis pas, une fille des rues.
Je ne sais même pas ce que je viens chercher. Alors je farfouille, je passe d’un rayon à l’autre. J’hésite à acheter un godemiché. Je ne me vois pas me baiser seule avec ce genre d’outil. C’est en sortant du magasin que je butte sur un homme assez jeune, pour moi en tout cas. Un éblouissement me saisi. Il est beau ce type, il doit être bien monté, il doit bien baiser !!!!
Il entre dans le magasin, je l’y suis. Il cherche parmi les revues pornos. Je le regarde quand il commence à bander, oh, à peine, mais moi je sais qu’il ne lui en faut pas beaucoup pour bander comme un âne. Et puis j’ai envie de le voir. Tant pis s’il me rejette, je passe derrière lui, je tends la main et hop sur sa bite. Je me trompais, il ne bandait pas. Maintenant je le sens commencer à grossir. Je masse la queue dans son pantalon.
Il se retourne, je ne le lâche pas. Il comprend mon besoin ou le sien venu grâce à moi. Sans se préoccuper du lieu, il m’embrasse. Ma langue et la sienne jouent un court instant. Je prends sa taille, je le guide vers la sortie.
--------------------------
Nous sommes chez moi. Il y fait chaud, bonne excuse pour me mettre à l’aise. Mon soutien gorge en dentelle me sert au moins à me montrer. Il me prend dans ses bras. Je suis consciente que s’il m’embrasse ce n’est que pour me baiser comme il veut, qu’il pourra me faire ce qu’il désire. Je mouille rien que de penser à sa bite en moi. Il enlève vite les remparts de ma poitrine. Même si mes seins tombent un peu, ils restent consommables. J’en ai la certitude quand il pose ses lèvres sur les aréoles. Il y a si longtemps qu’un homme ne m’avait pas sucé et léché la poitrine. Je le récompense en remettant ma main sur lui. Il est dur, il va me défoncer. Pendant qu’il passe sa main sur la chatte, je sors sa bite. J’arrive à défaire la ceinture, ouvrir le zip : le pantalon tombe. Je fais tomber aussi le slip.
J’ai la main pleine de sa bite. Je le masturbe à peine. Le gland est chaud, très chaud. J’ai envie de le lécher, le sucer un peu le faire jouir dans la bouche pour avoir en moi, encore au moins une fois le goût de sperme.
Il passe ses mains sur les fesses. Pour me coller à lui. Sa queue est contre le ventre. Je la sens bien là. Instinctivement je bouge mon ventre contre lui. Sa pine roule, c’est excitant. Je me sens comme la première fois quand mon chéri de l’époque voulait me baiser. Je me refuser à lui par principe. A l’époque les filles refusaient toujours. Je le faisais exprès alors qu’au fond de moi je le voulais. Ses mains pressent mes fesses, quand je me laissais faire.
Il cherche à passer entre les globes. Je crois savoir ce qu’il veut : me caresser le cul. Si ça peut lui faire plaisir, moi je suis d’accord. Il entre vers le cul, j’écarte les fesses, il s’approche dangereusement de l’endroit. Il me tarde qu’il y arrive. Il pense peut-être que je suis dévergondée. Il a raison et alors ? Son doigt arrive, il me caresse l’anus. S’il veut entrer qu’il le fasse, je n’ai rien contre. Il me branle le cul, je sens son autre main sur la chatte. Des doigts fouillent mon intimité. Le salop, il me branle aussi la moule. Il va me faire jouir trop vite.
Je pars debout juste appuyée contre lui. J’ai même lâché sa queue. Je la reprends pour le masturber à fond. Je pense qu’il ne pourra pas me la mettre si je le fais jouir. J’arrête ce que je fais.
Il me pousse lentement vers le divan de la salle à manger. J’y tombe assise, les jambes ouvertes exprès. Il reste debout devant moi. Je vois sa queue raide, ses couilles relevées. Mon Dieu, qu’il me baise… J’ai à nouveau sa bite dans la main. Je la serre fort à lui faire mal. Et là, j’ai envie de l’avoir dans la bouche. Le gland est tendant, je vais le mordre un peu avant….Avant qu’il m’empêche de le sucer. Il est à genoux en adoration devant mon abricot. Aves ses mains il écarte les cuisses. Je lui montre sans pudeur toute ma chatte. Sa tête s’installe entre mes cuisses. Je la sens monter, arriver vers l’entrejambes. Son souffle chaud me fait vibrer. Sa langue est posée sur le clitoris qu’il a su trouver de suite. Il me lèche longuement sans se presser. Et moi je lève mes cuisses, je les passe sur ses épaules. Je suis toute à lui ainsi mise. Il me fait jouir trois ou quatre fois de suite. Il y a longtemps que je n’ai pas joui ainsi.
Il se relève, je vois sa queue droite, avec ses petits mouvements de bas en haut. Elle est belle cette pine qu’il va me planter dans le ventre. Il s’assoit à mes cotés, me caresse les seins, m’embrasse. J’ai encore la bite dans la main, je ne m’en lasse pas. Je fais de légers va-et-vient. Sa grosseur me convient parfaitement. Il est normal, pas très gros ni trop faible. Je la veux vite.
Il me fait lever pour me mettre sur ses genoux. Sa main revient sur l’abricot. Il me branle encore. Je le veux lui, pas seulement sa main. Je jouis encore une foie, je ne sais plus combien de fois j’ai joui. Il me change de place, je suis sur lui, les jambes autour des siennes. J’avance contre lui.
Enfin je sens sa queue sur le con. Je me glisse le plus possible vers la queue. Elle est là, contre moi. Je pousse encore un peu et enfin il entre. J’ouvre ma chatte ou plutôt elle s’ouvre sans difficulté tellement elle est mouillée. C’est bon je me penche en arrière pour qu’elle soit plus pleine. Il ne me tient que les fesses et la hanches. C’est bon, je vais jouir encore.
Il n’attend pas mon plaisir, il me change de position j’ai mon cul vers sa bite. Il veut l’enculer. Tant mieux, il y a longtemps que je n’ai pas eu de pine à cet endroit. Pour être plus à l’aise j’arrive à écarter les fesses avec mes mains. Je le sens approcher, je le sens entrer doucement sur la pointe des pieds. Il me fait à peine mal quand il pénètre. Mon anus est totalement dilaté. Il peut me baiser le cul tant qu’il lui plait. Si je reste immobile au début, je fais aller et venir mon cul vers sa queue. Il passe sa main sur le clitoris. Il me branle alors que normalement c’est moi qui le fais quand je suis enculée. Je préfère quand je me le fais, je remplace sa main par la mienne. Le plaisir monte, monte sans cesse. C’est bon de se faire mettre par le petit trou.
Nous jouissons pratiquement ensemble. Il sort de mon cul. J’ai encore envie de lui. Je me relève, me mets à genoux devant lui, lui prend la queue dans la bouche. Mes lèvres forment une prison où il débande doucement. Son reste de sperme évade sur la langue. Un drôle de gout, celui de mon cul sans doute. Je déguste tout. Je le veux encore. C’est promis, demain il vient me baiser encore, je l’ai bien fait jouir.
Je décide d’aller faire un tour au sexe shop du coin. Tant pis pour le qu’en-dira-t-on.
Vêtue comme un fantôme avec un vieil imper gris déformé, je passe pour ce que je ne suis pas, une fille des rues.
Je ne sais même pas ce que je viens chercher. Alors je farfouille, je passe d’un rayon à l’autre. J’hésite à acheter un godemiché. Je ne me vois pas me baiser seule avec ce genre d’outil. C’est en sortant du magasin que je butte sur un homme assez jeune, pour moi en tout cas. Un éblouissement me saisi. Il est beau ce type, il doit être bien monté, il doit bien baiser !!!!
Il entre dans le magasin, je l’y suis. Il cherche parmi les revues pornos. Je le regarde quand il commence à bander, oh, à peine, mais moi je sais qu’il ne lui en faut pas beaucoup pour bander comme un âne. Et puis j’ai envie de le voir. Tant pis s’il me rejette, je passe derrière lui, je tends la main et hop sur sa bite. Je me trompais, il ne bandait pas. Maintenant je le sens commencer à grossir. Je masse la queue dans son pantalon.
Il se retourne, je ne le lâche pas. Il comprend mon besoin ou le sien venu grâce à moi. Sans se préoccuper du lieu, il m’embrasse. Ma langue et la sienne jouent un court instant. Je prends sa taille, je le guide vers la sortie.
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Nous sommes chez moi. Il y fait chaud, bonne excuse pour me mettre à l’aise. Mon soutien gorge en dentelle me sert au moins à me montrer. Il me prend dans ses bras. Je suis consciente que s’il m’embrasse ce n’est que pour me baiser comme il veut, qu’il pourra me faire ce qu’il désire. Je mouille rien que de penser à sa bite en moi. Il enlève vite les remparts de ma poitrine. Même si mes seins tombent un peu, ils restent consommables. J’en ai la certitude quand il pose ses lèvres sur les aréoles. Il y a si longtemps qu’un homme ne m’avait pas sucé et léché la poitrine. Je le récompense en remettant ma main sur lui. Il est dur, il va me défoncer. Pendant qu’il passe sa main sur la chatte, je sors sa bite. J’arrive à défaire la ceinture, ouvrir le zip : le pantalon tombe. Je fais tomber aussi le slip.
J’ai la main pleine de sa bite. Je le masturbe à peine. Le gland est chaud, très chaud. J’ai envie de le lécher, le sucer un peu le faire jouir dans la bouche pour avoir en moi, encore au moins une fois le goût de sperme.
Il passe ses mains sur les fesses. Pour me coller à lui. Sa queue est contre le ventre. Je la sens bien là. Instinctivement je bouge mon ventre contre lui. Sa pine roule, c’est excitant. Je me sens comme la première fois quand mon chéri de l’époque voulait me baiser. Je me refuser à lui par principe. A l’époque les filles refusaient toujours. Je le faisais exprès alors qu’au fond de moi je le voulais. Ses mains pressent mes fesses, quand je me laissais faire.
Il cherche à passer entre les globes. Je crois savoir ce qu’il veut : me caresser le cul. Si ça peut lui faire plaisir, moi je suis d’accord. Il entre vers le cul, j’écarte les fesses, il s’approche dangereusement de l’endroit. Il me tarde qu’il y arrive. Il pense peut-être que je suis dévergondée. Il a raison et alors ? Son doigt arrive, il me caresse l’anus. S’il veut entrer qu’il le fasse, je n’ai rien contre. Il me branle le cul, je sens son autre main sur la chatte. Des doigts fouillent mon intimité. Le salop, il me branle aussi la moule. Il va me faire jouir trop vite.
Je pars debout juste appuyée contre lui. J’ai même lâché sa queue. Je la reprends pour le masturber à fond. Je pense qu’il ne pourra pas me la mettre si je le fais jouir. J’arrête ce que je fais.
Il me pousse lentement vers le divan de la salle à manger. J’y tombe assise, les jambes ouvertes exprès. Il reste debout devant moi. Je vois sa queue raide, ses couilles relevées. Mon Dieu, qu’il me baise… J’ai à nouveau sa bite dans la main. Je la serre fort à lui faire mal. Et là, j’ai envie de l’avoir dans la bouche. Le gland est tendant, je vais le mordre un peu avant….Avant qu’il m’empêche de le sucer. Il est à genoux en adoration devant mon abricot. Aves ses mains il écarte les cuisses. Je lui montre sans pudeur toute ma chatte. Sa tête s’installe entre mes cuisses. Je la sens monter, arriver vers l’entrejambes. Son souffle chaud me fait vibrer. Sa langue est posée sur le clitoris qu’il a su trouver de suite. Il me lèche longuement sans se presser. Et moi je lève mes cuisses, je les passe sur ses épaules. Je suis toute à lui ainsi mise. Il me fait jouir trois ou quatre fois de suite. Il y a longtemps que je n’ai pas joui ainsi.
Il se relève, je vois sa queue droite, avec ses petits mouvements de bas en haut. Elle est belle cette pine qu’il va me planter dans le ventre. Il s’assoit à mes cotés, me caresse les seins, m’embrasse. J’ai encore la bite dans la main, je ne m’en lasse pas. Je fais de légers va-et-vient. Sa grosseur me convient parfaitement. Il est normal, pas très gros ni trop faible. Je la veux vite.
Il me fait lever pour me mettre sur ses genoux. Sa main revient sur l’abricot. Il me branle encore. Je le veux lui, pas seulement sa main. Je jouis encore une foie, je ne sais plus combien de fois j’ai joui. Il me change de place, je suis sur lui, les jambes autour des siennes. J’avance contre lui.
Enfin je sens sa queue sur le con. Je me glisse le plus possible vers la queue. Elle est là, contre moi. Je pousse encore un peu et enfin il entre. J’ouvre ma chatte ou plutôt elle s’ouvre sans difficulté tellement elle est mouillée. C’est bon je me penche en arrière pour qu’elle soit plus pleine. Il ne me tient que les fesses et la hanches. C’est bon, je vais jouir encore.
Il n’attend pas mon plaisir, il me change de position j’ai mon cul vers sa bite. Il veut l’enculer. Tant mieux, il y a longtemps que je n’ai pas eu de pine à cet endroit. Pour être plus à l’aise j’arrive à écarter les fesses avec mes mains. Je le sens approcher, je le sens entrer doucement sur la pointe des pieds. Il me fait à peine mal quand il pénètre. Mon anus est totalement dilaté. Il peut me baiser le cul tant qu’il lui plait. Si je reste immobile au début, je fais aller et venir mon cul vers sa queue. Il passe sa main sur le clitoris. Il me branle alors que normalement c’est moi qui le fais quand je suis enculée. Je préfère quand je me le fais, je remplace sa main par la mienne. Le plaisir monte, monte sans cesse. C’est bon de se faire mettre par le petit trou.
Nous jouissons pratiquement ensemble. Il sort de mon cul. J’ai encore envie de lui. Je me relève, me mets à genoux devant lui, lui prend la queue dans la bouche. Mes lèvres forment une prison où il débande doucement. Son reste de sperme évade sur la langue. Un drôle de gout, celui de mon cul sans doute. Je déguste tout. Je le veux encore. C’est promis, demain il vient me baiser encore, je l’ai bien fait jouir.
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Les avis des lecteurs
Une histoire à la Fabriss est toujours un délice equilibré, réaliste et loin de situations impossibles. C'est la force de Fabriss. L'