Bête de sexe
Récit érotique écrit par Albin Thai [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-06-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Bête de sexe
Il s'approche de moi. Son regard est est impérieux. Il a une tête massive. Son sourire est acide. Quelque chose dans son attitude vous glace le sang. Il s'arrête devant moi. Je n'ose pas bouger. Il glisse sa main entre mes jambes et soupèse mes couilles. Satisfait, il se colle contre moi et vérifie la rondeur et la taille de mes fesses.
- Parfait ! Fit-il.
Il sort un bandeau noir et épais. Il le noue autour de ma nuque, me rendant aveugle. Il commence à défaire les boutons de ma chemise et me l'ôte. Il sent la transpiration. Ses mains parcourent mon torse. Il émet un grognement d'aise. Ensuite, il défait la ceinture de mon pantalon, et ouvre la braguette. Il me retourne contre le mur pour descendre mon jean, afin que tout le monde puisse voir mon cul. C'est le moment qu'il choisit pour descendre et ôter mon slip. Bientôt, mes chaussettes rejoignent mes chaussures qu'il m'a déjà enlevées. Je ne vois rien, mais j'entend les souffles saccadés et les soupirs des gens qui me regardent. Maintenant, des mains me palpent, et des langues me lèchent. Des doigts s'insinuent dans ma raie. Certains même s'introduisent dans mon cul. Des mains me saisissent par les bras et m'entrainent je ne sais où. On prend l'une des miennes et on referme mes doigts sur plusieurs sexes. D'autres mains m'attrappent par les cuisses et m'obligent à m'asseoir. D'autres, m'écartent les fesses. Je sens un gland se poser sur mon anus. Les mains supposées du gars assis par terre, me prennent par les hanches et m'empalent sur un gros sexe. Le gland, de belle taille, s'enfonce dans mon cul. Quand il est tout au fond, je suis assis sur les cuisses de son propriétaire. Je sens que plusieurs personnes s'approchent. Des glands, reconnaissables à leur odeur de sperme, cherchent à se glisser entre mes lèvres. Plusieurs réussissent. Certains s'enfoncent dans ma gorge. On me retourne face à mon enculeur et on m'allonge. Les sexes dans ma bouche, simulent l'acte sexuel. Ils vont même jusqu'à se vider dans ma bouche. Alors, on me relève puis on me couche sur le ventre de mon sodomite. Un autre personnage se met à genoux derrière moi et m'enfonce sa queue dans le cul, rejoignant celle qui me laboure déjà. Dans l'obscurité, j'entend plusieurs personnes qui s'astiquent le manche. La pluie de sperme que je reçois dans la figure, confirme que j'avais bien entendu les branlettes.
On m'a alors amené jusqu'à une autre attraction. Quand on m'y a enserré les poignets, j'ai reconnu tout de suite, pour m'en être déjà servi, l'engin de torture moyennageux. J'avais tout faux. En réalité, c'était une chaise banale, en bois, couchée, le dossier à terre. J'étais à genoux, les hanches glissées entre les pieds de la chaise. Mon ventre était collé au siège . Dans cette position, mon cul était proéminent et offert. J'ai été sodomisé à de nombreuses reprises. Devant, j'ai sucé autant de sexes que j'en ai pris dans le cul. Pas une seconde, je n'ai tenté d'enlever mon bandeau. Le fait d'être livré en pâture a de nombreux inconnus me donnait le sentiment d'être une attraction publique. Tous pouvaient se servir de ma bouche et de mon cul. Je crois même avoir reconnu des voix. Ils avaient préparé le spectacle depuis longtemps. Moi, j'étais loin de me plaindre. Sauf que, à force de jouir, sous le nombre de fellations et de sodomies, je commençais à perdre des forces.
Le maître d'oeuvre s'en aperçut et on me laissa dormir jusqu'à la nuit.
Les heures qui suivirent mon sommeil, furent inouies. Mes consommateurs en ont profité pour essayer toutes les postures imaginables. Plusieurs sexes dans la bouche, sodomies multiples et simultanées. Mes orifices étaient écartelés et même quelquefois sanguinolents.
Il n'empêche que j'ai passé une nuit inoubliable. Mais, je ne recommencerai sous aucun prétexte.
- Parfait ! Fit-il.
Il sort un bandeau noir et épais. Il le noue autour de ma nuque, me rendant aveugle. Il commence à défaire les boutons de ma chemise et me l'ôte. Il sent la transpiration. Ses mains parcourent mon torse. Il émet un grognement d'aise. Ensuite, il défait la ceinture de mon pantalon, et ouvre la braguette. Il me retourne contre le mur pour descendre mon jean, afin que tout le monde puisse voir mon cul. C'est le moment qu'il choisit pour descendre et ôter mon slip. Bientôt, mes chaussettes rejoignent mes chaussures qu'il m'a déjà enlevées. Je ne vois rien, mais j'entend les souffles saccadés et les soupirs des gens qui me regardent. Maintenant, des mains me palpent, et des langues me lèchent. Des doigts s'insinuent dans ma raie. Certains même s'introduisent dans mon cul. Des mains me saisissent par les bras et m'entrainent je ne sais où. On prend l'une des miennes et on referme mes doigts sur plusieurs sexes. D'autres mains m'attrappent par les cuisses et m'obligent à m'asseoir. D'autres, m'écartent les fesses. Je sens un gland se poser sur mon anus. Les mains supposées du gars assis par terre, me prennent par les hanches et m'empalent sur un gros sexe. Le gland, de belle taille, s'enfonce dans mon cul. Quand il est tout au fond, je suis assis sur les cuisses de son propriétaire. Je sens que plusieurs personnes s'approchent. Des glands, reconnaissables à leur odeur de sperme, cherchent à se glisser entre mes lèvres. Plusieurs réussissent. Certains s'enfoncent dans ma gorge. On me retourne face à mon enculeur et on m'allonge. Les sexes dans ma bouche, simulent l'acte sexuel. Ils vont même jusqu'à se vider dans ma bouche. Alors, on me relève puis on me couche sur le ventre de mon sodomite. Un autre personnage se met à genoux derrière moi et m'enfonce sa queue dans le cul, rejoignant celle qui me laboure déjà. Dans l'obscurité, j'entend plusieurs personnes qui s'astiquent le manche. La pluie de sperme que je reçois dans la figure, confirme que j'avais bien entendu les branlettes.
On m'a alors amené jusqu'à une autre attraction. Quand on m'y a enserré les poignets, j'ai reconnu tout de suite, pour m'en être déjà servi, l'engin de torture moyennageux. J'avais tout faux. En réalité, c'était une chaise banale, en bois, couchée, le dossier à terre. J'étais à genoux, les hanches glissées entre les pieds de la chaise. Mon ventre était collé au siège . Dans cette position, mon cul était proéminent et offert. J'ai été sodomisé à de nombreuses reprises. Devant, j'ai sucé autant de sexes que j'en ai pris dans le cul. Pas une seconde, je n'ai tenté d'enlever mon bandeau. Le fait d'être livré en pâture a de nombreux inconnus me donnait le sentiment d'être une attraction publique. Tous pouvaient se servir de ma bouche et de mon cul. Je crois même avoir reconnu des voix. Ils avaient préparé le spectacle depuis longtemps. Moi, j'étais loin de me plaindre. Sauf que, à force de jouir, sous le nombre de fellations et de sodomies, je commençais à perdre des forces.
Le maître d'oeuvre s'en aperçut et on me laissa dormir jusqu'à la nuit.
Les heures qui suivirent mon sommeil, furent inouies. Mes consommateurs en ont profité pour essayer toutes les postures imaginables. Plusieurs sexes dans la bouche, sodomies multiples et simultanées. Mes orifices étaient écartelés et même quelquefois sanguinolents.
Il n'empêche que j'ai passé une nuit inoubliable. Mais, je ne recommencerai sous aucun prétexte.
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j adorrais etre a ca place
