Beur devenu Beurette apres un controle dla BAC

Récit érotique écrit par Beurettedad [→ Accès à sa fiche auteur]
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Beur devenu Beurette apres un controle dla BAC
Dressé par l’Autorité
Karim avait toujours été un vrai mec de quartier. 18 ans, basket bien serrées, survêt Nike impeccable, démarche assurée. Il était respecté dans son bloc, jamais le dernier à clasher ou à lever la voix quand il le fallait. Il avait grandi avec l’idée qu’un homme, un vrai, ça devait être fort, dominant, invincible.
Mais Karim avait un secret. Un truc inavouable, qu’il refoulait chaque jour en bombant le torse et en adoptant une voix plus grave qu’elle ne l’était vraiment. Parce que la vérité, c’est qu’il rêvait d’autre chose. Il n’aurait jamais osé le dire à ses potes, mais parfois, il traînait sur des sites chelous, tombait sur des vidéos où des mecs prenaient le rôle de beurettes soumises. Il regardait, il fantasmait, et il se haïssait après.
Mais tout ça, c’était dans sa tête. Du moins, jusqu’à ce fameux soir.
Le contrôle qui a tout changé
Ce soir-là, Karim rentrait chez lui après une virée en scooter avec ses potes. Comme d’habitude, il roulait vite, musique à fond, profitant de la fraîcheur de la nuit. Puis, il a vu les gyrophares derrière lui.
« Merde… »
Il savait ce que ça voulait dire. Contrôle. Les flics de son quartier adoraient ça, surtout avec des mecs comme lui. Il a soupiré, a ralenti et s’est arrêté sur le bas-côté. Deux policiers sont sortis de leur voiture, mais c’est surtout l’un d’eux qui a capté son attention.
Grand, baraqué, regard perçant sous la casquette de la BAC. Il devait avoir la quarantaine, une gueule de mec qui avait vu trop de choses et qui aimait rappeler qu’il avait le pouvoir.
« Descends du scooter », a ordonné le policier d’une voix froide.
Karim s’est exécuté, serrant les dents. Il connaissait le processus. Vérification des papiers, petite fouille humiliante, remarques méprisantes. Mais ce flic-là, ce Jean-Michel – comme l’a appelé son collègue – semblait prendre son temps. Il l’observait d’un air étrange, un léger sourire au coin des lèvres.
« Un vrai petit caïd, hein ? Toujours à faire les malins dans vos cités… »
Karim n’a rien répondu. Mieux valait ne pas envenimer la situation. Mais Jean-Michel s’est approché, trop près.
« J’aime pas les petits insolents dans ton genre », a-t-il murmuré. « Faudrait peut-être vous apprendre le respect… »
Un frisson a parcouru Karim. C’était bizarre. Le ton, le regard, la posture du flic… Ce n’était pas un simple contrôle.
Tout s’est enchaîné trop vite. Jean-Michel l’a forcé à le suivre derrière la voiture de patrouille, à l’abri des regards. Il l’a plaqué contre le capot, mais au lieu de le menotter ou de lui faire une fouille standard, il a glissé une main sur son boule »
Karim a voulu protester, mais il s’est tétanisé sous l’autorité du policier. Il sentait son souffle sur sa peau, son parfum mêlé à l’odeur du cuir de son uniforme. C’était malsain. C’était interdit. Mais putain, il sentait son corps réagir malgré lui.
Jean-Michel a souri en voyant son trouble.
« J’le savais… Vous jouez les durs, mais au fond, vous êtes tous les mêmes. »
Karim voulu hurler mais le policier lui baillonna la bouche.
« Mmmmpff…mmpff » -Karim se débattait autant qu’il pouvait
Il essayait de fuir ça vrai nature, le policier l’emmena au comico pour s’occuper de lui…
La suite? Dites moi ce que vous en pensez
Karim avait toujours été un vrai mec de quartier. 18 ans, basket bien serrées, survêt Nike impeccable, démarche assurée. Il était respecté dans son bloc, jamais le dernier à clasher ou à lever la voix quand il le fallait. Il avait grandi avec l’idée qu’un homme, un vrai, ça devait être fort, dominant, invincible.
Mais Karim avait un secret. Un truc inavouable, qu’il refoulait chaque jour en bombant le torse et en adoptant une voix plus grave qu’elle ne l’était vraiment. Parce que la vérité, c’est qu’il rêvait d’autre chose. Il n’aurait jamais osé le dire à ses potes, mais parfois, il traînait sur des sites chelous, tombait sur des vidéos où des mecs prenaient le rôle de beurettes soumises. Il regardait, il fantasmait, et il se haïssait après.
Mais tout ça, c’était dans sa tête. Du moins, jusqu’à ce fameux soir.
Le contrôle qui a tout changé
Ce soir-là, Karim rentrait chez lui après une virée en scooter avec ses potes. Comme d’habitude, il roulait vite, musique à fond, profitant de la fraîcheur de la nuit. Puis, il a vu les gyrophares derrière lui.
« Merde… »
Il savait ce que ça voulait dire. Contrôle. Les flics de son quartier adoraient ça, surtout avec des mecs comme lui. Il a soupiré, a ralenti et s’est arrêté sur le bas-côté. Deux policiers sont sortis de leur voiture, mais c’est surtout l’un d’eux qui a capté son attention.
Grand, baraqué, regard perçant sous la casquette de la BAC. Il devait avoir la quarantaine, une gueule de mec qui avait vu trop de choses et qui aimait rappeler qu’il avait le pouvoir.
« Descends du scooter », a ordonné le policier d’une voix froide.
Karim s’est exécuté, serrant les dents. Il connaissait le processus. Vérification des papiers, petite fouille humiliante, remarques méprisantes. Mais ce flic-là, ce Jean-Michel – comme l’a appelé son collègue – semblait prendre son temps. Il l’observait d’un air étrange, un léger sourire au coin des lèvres.
« Un vrai petit caïd, hein ? Toujours à faire les malins dans vos cités… »
Karim n’a rien répondu. Mieux valait ne pas envenimer la situation. Mais Jean-Michel s’est approché, trop près.
« J’aime pas les petits insolents dans ton genre », a-t-il murmuré. « Faudrait peut-être vous apprendre le respect… »
Un frisson a parcouru Karim. C’était bizarre. Le ton, le regard, la posture du flic… Ce n’était pas un simple contrôle.
Tout s’est enchaîné trop vite. Jean-Michel l’a forcé à le suivre derrière la voiture de patrouille, à l’abri des regards. Il l’a plaqué contre le capot, mais au lieu de le menotter ou de lui faire une fouille standard, il a glissé une main sur son boule »
Karim a voulu protester, mais il s’est tétanisé sous l’autorité du policier. Il sentait son souffle sur sa peau, son parfum mêlé à l’odeur du cuir de son uniforme. C’était malsain. C’était interdit. Mais putain, il sentait son corps réagir malgré lui.
Jean-Michel a souri en voyant son trouble.
« J’le savais… Vous jouez les durs, mais au fond, vous êtes tous les mêmes. »
Karim voulu hurler mais le policier lui baillonna la bouche.
« Mmmmpff…mmpff » -Karim se débattait autant qu’il pouvait
Il essayait de fuir ça vrai nature, le policier l’emmena au comico pour s’occuper de lui…
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Yes, bon début, hâte de lire la suite
J'ai beaucoup aimé ce début. J'attends la suite avec impatience. 😉
Bon début hâte de découvrir la suite.

