Bézelbuth fêle comme un démon
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-10-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Bézelbuth fêle comme un démon
A genoux sur son petit tapis de prière, les mains aux hanches de son partenaire, Bézelbuth s'active laborieusement, énergiquement, généreusement.
La pipe est son truc préféré.
Elle pratique depuis nuit des temps, légende des siècles.
Princesse des enfers, elle mouille du ventre autant qu'elle fait bander celui à qui elle fait l'offrande de sa bouche.
C'est le salaire qu'elle reçoit pour les plaisirs qu'elle prodigue.
Les humeurs fluides et acqueuses qui nappent son entre-cuisse serrée sont soin hydratant caudalie et Bézelbuth se sent monter au paradis de bien-être. Le creux d'elle est devenu son unique raison d'être, son extase, son accomplissement.
Bézelbuth est prêtresse de sacrifices païens, sorte d'enfant de cœur de messe primitive, de rite ancien, érotique et sulfureux.
Elle aime jouer de mise en scène. C'est pour cela que Bézelbuth ne pratique que dans son antre, chez elle, à son domicile.
Par nuit noire et ciel dégagé.
Le petit tapis est orienté plein sud. Ainsi par la grande baie vitrée, la patientèle peut admirer le grand chariot. Ne jouit-on pas mieux quand on a sous les yeux comme horizon haut la Grande Ourse ? N'est-on pas déjà en voyage galactique, gland torturé et couilles serrées, quand face à soi, on admire l'astérisme polaire, immense et silencieux.
Megrez, la plus lumineuse fait jonction du manche au bol de la casserole.
Le gars pense, quand je vais décharger, ce sera, dans son gosier, Voie Lactée resplendissante de son obscure clarté.
Il est plus ému encore de l'infini auquel Sybille lui permet d'accéder et le plaisir remonte le long de son échine jusqu'aux cervicales. Il en sent le goût suave jusque sur ses lèvres à lui.
Bézelbuth s'applique.
Sa bouche rouge matte intense coulisse le long de la bite, loin sur le pubis velu de l'homme jusqu'à presque quitter l'extrémité humide du gland. Lentement.
Le rouge à lèvres glam et sexy gloss n'a laissé aucune trace sur la tige raide.
Il jette un coup d'œil sur la chevelure noire de la fille qui avance recule devant lui. La dizaine de bougies éparpillées sur les étagères éclaire d'ambiance bohème la pièce, le lieu de l'acte sacrificiel. Les lumières fasseillent et on ne sait réellement qui de la bite du gars ou de la tête de la fille est en mouvement. Relativité comme disait Albert...
Ses neurones sont maintenant tous connectés très exactement entre hauts de cuisse et bas de ventre, géographie d'anatomie. Des milliards de gigabits s'agitent et montent en mayonnaise.
On lui a appris à retenir son souffle et que le meilleur est dans l'attente. Il bascule dans le zen, dans la décontraction extrème. Hors de question de balancer en vain dans le gosier de la fille. Il sait avoir mieux à faire et donner destin possible à tous ces petits lui qui vermiculent. Ses roupes, tendues du scrotum serré, roulent sous les mains habiles de la prétresse qui les presse, comme vestale adoratrice.
Bézelbuth a compris.
Bézelbuth est partie en arrière, genoux toujours sur son tapis persan minuscule, la tête posée chevelure sombre étalée sur le parquet, et son corps arqué offert, bras en croix. Son bassin haut levé présentant touffe noire épaisse frisée ruisselante.
La fente est ouverte et palpite comme œil de cyclope dardé vers le pieu tendu, comme en attente, comme en invite.
La bouche de la fille est ouverte en un bâillement et sa tête basculée en arrière cherche une sorte d'abîme de vertige. Ses yeux, immenses, voient leurs pupilles s'élargir lors que le garçon se penche pour la rejoindre et d'un même élan la couvrir de son corps lourd la biser de bouche tendre et la planter de son bitos exacerbé.
La floppée de spermatos dégorgés par le gland turgescent part aussitôt en horde précoce assaillante du col pour, chacun d'eux sa chance, gagner. Ils nagent de leur longue queue fébrile tandis que rugit le cri démoniaque de Belzébuth en bon accueil et miracle de connivence.
Bézelbuth se sent bien dans sa vie. Elle l'écrira sur les pages de la Loi et demain l'éternité en fera Vérité révélée.
La pipe est son truc préféré.
Elle pratique depuis nuit des temps, légende des siècles.
Princesse des enfers, elle mouille du ventre autant qu'elle fait bander celui à qui elle fait l'offrande de sa bouche.
C'est le salaire qu'elle reçoit pour les plaisirs qu'elle prodigue.
Les humeurs fluides et acqueuses qui nappent son entre-cuisse serrée sont soin hydratant caudalie et Bézelbuth se sent monter au paradis de bien-être. Le creux d'elle est devenu son unique raison d'être, son extase, son accomplissement.
Bézelbuth est prêtresse de sacrifices païens, sorte d'enfant de cœur de messe primitive, de rite ancien, érotique et sulfureux.
Elle aime jouer de mise en scène. C'est pour cela que Bézelbuth ne pratique que dans son antre, chez elle, à son domicile.
Par nuit noire et ciel dégagé.
Le petit tapis est orienté plein sud. Ainsi par la grande baie vitrée, la patientèle peut admirer le grand chariot. Ne jouit-on pas mieux quand on a sous les yeux comme horizon haut la Grande Ourse ? N'est-on pas déjà en voyage galactique, gland torturé et couilles serrées, quand face à soi, on admire l'astérisme polaire, immense et silencieux.
Megrez, la plus lumineuse fait jonction du manche au bol de la casserole.
Le gars pense, quand je vais décharger, ce sera, dans son gosier, Voie Lactée resplendissante de son obscure clarté.
Il est plus ému encore de l'infini auquel Sybille lui permet d'accéder et le plaisir remonte le long de son échine jusqu'aux cervicales. Il en sent le goût suave jusque sur ses lèvres à lui.
Bézelbuth s'applique.
Sa bouche rouge matte intense coulisse le long de la bite, loin sur le pubis velu de l'homme jusqu'à presque quitter l'extrémité humide du gland. Lentement.
Le rouge à lèvres glam et sexy gloss n'a laissé aucune trace sur la tige raide.
Il jette un coup d'œil sur la chevelure noire de la fille qui avance recule devant lui. La dizaine de bougies éparpillées sur les étagères éclaire d'ambiance bohème la pièce, le lieu de l'acte sacrificiel. Les lumières fasseillent et on ne sait réellement qui de la bite du gars ou de la tête de la fille est en mouvement. Relativité comme disait Albert...
Ses neurones sont maintenant tous connectés très exactement entre hauts de cuisse et bas de ventre, géographie d'anatomie. Des milliards de gigabits s'agitent et montent en mayonnaise.
On lui a appris à retenir son souffle et que le meilleur est dans l'attente. Il bascule dans le zen, dans la décontraction extrème. Hors de question de balancer en vain dans le gosier de la fille. Il sait avoir mieux à faire et donner destin possible à tous ces petits lui qui vermiculent. Ses roupes, tendues du scrotum serré, roulent sous les mains habiles de la prétresse qui les presse, comme vestale adoratrice.
Bézelbuth a compris.
Bézelbuth est partie en arrière, genoux toujours sur son tapis persan minuscule, la tête posée chevelure sombre étalée sur le parquet, et son corps arqué offert, bras en croix. Son bassin haut levé présentant touffe noire épaisse frisée ruisselante.
La fente est ouverte et palpite comme œil de cyclope dardé vers le pieu tendu, comme en attente, comme en invite.
La bouche de la fille est ouverte en un bâillement et sa tête basculée en arrière cherche une sorte d'abîme de vertige. Ses yeux, immenses, voient leurs pupilles s'élargir lors que le garçon se penche pour la rejoindre et d'un même élan la couvrir de son corps lourd la biser de bouche tendre et la planter de son bitos exacerbé.
La floppée de spermatos dégorgés par le gland turgescent part aussitôt en horde précoce assaillante du col pour, chacun d'eux sa chance, gagner. Ils nagent de leur longue queue fébrile tandis que rugit le cri démoniaque de Belzébuth en bon accueil et miracle de connivence.
Bézelbuth se sent bien dans sa vie. Elle l'écrira sur les pages de la Loi et demain l'éternité en fera Vérité révélée.
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