Big... bang
Récit érotique écrit par Rollerbi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-10-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Big... bang
Il ne s’agit pas là de ma “toute première fois”, mais de ma toute première grosse bite. Mon premier mec était vraiment très bien bâti et a su en quelques soirées me faire aimer le sexe entre hommes. Quelque peu déniaisé, j’ai commencé à explorer le côté homo afin de connaître mes limites et surtout de savoir quel type d’homme me convenait le mieux. Il m’a fallu ouvrir quelques braguettes pour comprendre que tous n’étaient pas aussi bien montés que mon initiateur. Mais un jour pas fait comme un autre, j’ai eu du mal à croire ce que je découvrais. C’était ma toute première... grosse bite.
Et cette quéquette de concours est arrivée... en R30 TX ! Non, ce n’est pas un processeur, mais une voiture. Une Renault. Elle s’immobilise juste à quelques mètres de moi et je peux entendre de la musique s’échappant de sa vitre ouverte. Je sors de mes bosquets pour apercevoir le conducteur et m’en faire une idée en empruntant le trottoir dans sa direction. Le gars me regarde, et lorsque je suis à sa hauteur, baisse complètement sa vitre en me souriant. Pas besoin de tergiverser bien longtemps, il me salut d’un signe de tête, me faisant comprendre qu’il désire engager la conversation.
Les premières paroles sont presque toujours d’une grande banalité, ne servent finalement qu’à briser la glace. J’étais jeune, et même si je savais plutôt me lâcher, parfois, les premiers instants pouvaient être assez gênants, à fortiori en journée. L’homme d’une trentaine d’années, vêtu d’un costard dont la veste trônait sur le siège arrière, m’invite à le rejoindre pour papoter. Il me demande si je suis un habitué des lieux tout en retirant sa cravate et déboutonnant le col de sa chemise. En fait, je viens de temps à autre, au gré de mes envies, mais lui confie ne pas toujours trouver “l’objet de mes désirs”. Ce à quoi il me répond... être là, à condition qu’il puisse les satisfaire, ces fameux désirs.
Je me suis déjà retrouvé dans une voiture dont le propriétaire ne correspondait sexuellement pas à mes attentes. Alors plutôt que de perdre notre temps pour être déçu, j’explique directement rechercher des hommes plutôt bien montés. Cela peut paraître abrupt, mais a le mérite d’être honnête. Arborant un beau sourire, il me répond que je devrais être satisfait avec lui.
Il vient également ici dans l’espoir de passer un moment sympa autant que pour libérer quelques évidentes tensions, recherchant une tendre bouche... et plus si affinité. Il ponctue ses derniers mots en saisissant fermement son paquet, affichant toujours un grand sourire, précisant par ce geste qu’il a besoin d’évacuer le trop-plein. Son autre main vient se poser sur ma cuisse : les choses sont dites. Je caresse timidement le tissu de son pantalon en passant sur son entrejambe bien rempli ; l’ambiance du “juste avant” est dynamisante lorsqu’il va se passer quelque chose. Je ressens souvent quelques picotements dans le ventre, un mélange de désir, d’excitation et d’appréhension. Mais plutôt que de nous exploser à la vue de tous, nous convenons d’aller dans un coin un peu plus intime que sur le parking ou dans les fourrés. Il démarre et en roulant me dit aussi qu’il préfère la délicatesse à l’expéditif, dans la mesure du possible, argumentant qu’il fonctionne beaucoup au feeling. Par ailleurs, le dialogue est étonnamment facile, continu et naturel... Après avoir parcouru une poignée de kilomètres, nous nous arrêtons dans un petit chemin au bord d’un ruisseau. Très excité, ma main glisse de sa cuisse vers la bosse convoitée. Il recule son siège et incline le dossier, m’invitant à en faire autant tout en dégrafant son pantalon. Il le baisse sans pudeur sur ses genoux, mettant à nu ses organes : un sexe d’un volume incroyable. Une veine très saillante se promène en zébrant son épaisse hampe avant de s’évanouir à proximité du prépuce. Le gland est presque entièrement recouvert, ne laissant que le sommet du nœud découvrir le monde de son gros œil unique. Un vrai monstre endormi. Cette bête de concours me laisse abasourdi, sans voix et mes yeux sortent de leur orbite.
- Surpris ? Tu ne m’as pas dit que tu espérais un mec bien monté ? lance-t-il le plus simplement du monde.
C’est un sacré matos qu’il exhibe devant moi, du jamais vu. Je pensais vraiment que ce genre de sexe ne se trouvait que dans les bouquins pornos ! Une première génère toujours un cocktail de sensations inoubliables. Le premier flirt, la première fois où la paume de ma main a étreint le sein d’une femme, la première fois que l’on se déshabille devant une fille, la première fois où mes lèvres se sont posées sur une petite chatte... La première pénétration vaginale, cette chaleur irradiante, cette douce étreinte autour de mon membre.
Puis le premier homme nu, un an plus tôt, sachant qu’il s’agissait de découvrir une sexualité taxée comme étant immorale par notre société, une déviance même, selon certains !
Imaginez ce tout premier contact lorsque ma main a saisi cette hampe bien plus épaisse que la mienne, la première fois que mes lèvres ont rencontré ce gland, sa chaleur... La première fois que ce tout premier amant... a joui dans ma bouche ! La toute première fois où son gland a pénétré mon ventre en dilatant tendrement mon petit cul vierge. La toute première fois où il a rempli mon ventre de son abondante semence. Chaque première voit une bolée d’hormones débouler dans les veines et euphorise tout un corps, autant qu’il grave l’instant dans la mémoire.
Et ce soir, le propriétaire de ce bel organe, visiblement habitué à susciter l’émotion, me propose en souriant de m’en occuper plutôt que de la regarder. À peine a-t-il ouvert sa chemise qu’il se met à caresser mon dos pour m’inviter à me pencher sur lui. Fasciné et fort impressionné par cette puissance, je commence par soupeser ce monstre de chair. Elle est incroyablement lourde et encombrante, car encore molle. Mes doigts n’en font pas le tour. Son gros nœud, encore recouvert de son prépuce, dépasse largement de ma main et ploie sous son propre poids.
— Je n’en ai encore jamais vu d‘aussi grosse ! ne puis-je m’empêcher de dire, le cœur battant. En même temps, j’ai 20 ans, et n’ai que quelques mois d’expérience avec les hommes !
— On y va tranquillement. Nous ne sommes pas pressés ?
— Pressé, certainement pas. Seulement impressionné par le volume.
Je le décalotte et mes lèvres s’ouvrent pour apprécier ma rencontre. Son goût et son odeur d’homme enivrent mes sens. Son nœud tendre se déforme au passage de mes lèvres pour retrouver tout son volume dans ma bouche et en occuper tout l’espace. Pour quitter ma bouche, il s’étire dans l’autre sens, glisse entre mes lèvres. Drôles et exquises sensations qu’offrent les très gros volumes. Je joue avec son méat, le lèche comme une glace, puis le ravale avec passion, en tentant d’avaler une partie de la hampe. De mon autre main, je lui attrape les bourses. Elles sont à l’échelle de la bête, bien gonflée, plutôt pendantes.
Je savoure ma veine en engouffrant cette queue qui durcit et s’allonge graduellement en mettant mes maxillaires à rude épreuve. Sa main parcourant mon dos et ses appréciations me rassurent sur ma prestation. Il m’encourage à bien le sucer, me demande si j’aime ça. Je respire fort et mon bas-ventre chauffe sous l’excitation. Je ressens souvent une douce chaleur qui envahit tout le bas de mon ventre et mon rectum lorsqu’un mec me plaît. Et lui me plaît ! À sa demande, je m’occupe de ses couilles, aspire sa généreuse peau tout en le branlant lentement. Sa main descend maintenant vers mes fesses par-dessus mon jean ; mes lèvres, elles, remontent le long de son épaisse hampe, sucent son frein, puis lèchent de nouveau sa queue jusqu’aux couilles... je suis sur un petit nuage. Comme pour un jouet hi-tech rempli de fonctions inédites, je meurs d’envie de tout découvrir sans trop savoir par où débuter.
Comme mon fessier semble l’intéresser, je me redresse rapidement pour l’aider. En deux secondes, j’envoie valser mes chaussures et retire mon futal, me retrouvant à demi nu dans cette voiture, sur ce petit chemin au bord de l’eau. Mais qu’importe, je replonge m’occuper de cette grosse queue maintenant bien bandée dont le gland repose sur le nombril de son propriétaire. Je tète ce gros nœud au rythme de sa main posée sur ma nuque. Son autre main découvre mon corps, plus particulièrement mon cul qui chauffe d’ailleurs de plus en plus. Ses doigts agrippent mes bourses et les malaxent, ce qui me donne encore plus d’entrain pour pomper sa queue. Il appuie bien sa main sur ma nuque pour que je le prenne loin en bouche, et pétrit mes fesses en me disant qu’il apprécie autant ce qu’il voit que ce qu’il sent. Son majeur parcourt ma raie un moment avant de se poser sur mon anus, dont il enfonce gentiment les portes, comme pour en tester l’élasticité. Il s’y enfonce sans forcer, juste en m’arrachant un râle de plaisir aussitôt étouffé pas son bâillon.
— Tu aimes te faire prendre ? me lance-t-il alors que son doigt me pénètre tout naturellement.
— Oui, avec beaucoup de douceur. Mais... la tienne est beaucoup trop grosse, elle me fait un peu peur !
— Je suis certain que tu vas l’adorer. Je te trouve trop gourmand pour ne pas la vouloir en toi.
Et toujours cette boule de feu qui consume mes reins et tout le bas-ventre. Plus je m’acharne sur sa queue, plus je la trouve énorme, plus je l’aime. En effet, l’idée de me faire sauter m’excite. Mais avec un truc pareil, c’est perdre une deuxième fois mon pucelage. Et ça, je n’ai pas envie de le faire là, sur le capot de la voiture ! Plus il me doigte, plus je me trémousse pour aller à la rencontre de sa paume. En un rien de temps, ce sont deux doigts qui me sondent, et qui me donnent encore plus envie de lui dévorer sa bite de cheval. Je me démonte la mâchoire sur ce membre obsessionnel tout en remuant du cul pour mieux le sentir m’explorer.
— Ton cul m’excite, tu me donnes envie de te prendre. Hummm... tu as tellement l’air d’aimer ça.
Trois doigts me fouillent allègrement maintenant, mon cul fait des ruades, car déjà son corps tout entier me pénètre. Alors qu’il s’occupe de moi, il m’explique qu’il adorerait sentir mon cul lui masser la queue, qu’il désirerait m’entendre crier de plaisir. Et si j’imagine bien le plaisir qu’il pourrait me faire vivre, je ne me vois pas me faire prendre dans cette espace si restreint.
— Pas ici. Dis-je entre deux aller-retour. Je veux bien que tu me la mettes, mais pas ici.
— J’en ai trop envie, tu me fais bander comme un âne !
Mon esprit part dans tous les sens, partagé entre ce qu’il se passe en haut et en bas. Je la trouve immense, je désire plus que tout la sentir passer en moi, mais pas dans n’importe quelles conditions. Pourtant, je ne voudrais pas qu’il reparte sans l’avoir reçu en moi. Je tente alors ma chance en lui proposant, sans trop y croire, qu’il vienne dans mon appartement.
— Chez moi. chuchotais-je. Viens chez moi, on sera mieux. Tu pourras me prendre comme tu veux. OK ?
— Hummmmmm... volontiers. Mais fais-moi jouir maintenant, tu m’as trop chauffé. Suce-moi fort s'il te plaît. Je pourrai te sauter plus longtemps après. Tu m’as mis les couilles en feu !
J’empoigne alors cette queue renflée à deux mains pour mieux le branler au rythme de mes succions. Ma bouche distendue et presque douloureuse plonge inlassablement autour de son gland et ma main coulisse pour branler ce puissant mâle de plus en plus vite. Malgré l’inconfort de ma position, ses doigts me procurent d’incroyables frissons dans tout mon ventre, et ce ne sont que des doigts !
Je n’aurais jamais imaginé ressentir autant de choses quelques mois plus tôt. Je rêver de queues, de giclées de sperme brûlant en bouche, de 69 entre hommes, mais pas vraiment de sodomie ! Stéphane m’a fait découvrir ce côté hypersensible de mon anatomie. Sous ses doux mouvements de bassin lors de lentes et profondes étreintes, j’ai découvert la jouissance anale, la vraie, ravageuse, car purement cérébrale. Mon corps s’en souvient et recherche maintenant ce plaisir rare, si rare qu’il en est d’autant plus précieux. J’ai bien retenté l’expérience avec d’autres mecs, mais soit ils n’étaient pas assez bien montés, soit ils ne pensaient qu’à leur plaisir. Je me contente donc la plupart du temps de leur tailler une bonne pipe, je prends mon pied ainsi et y trouve mon compte. Mais pas celui-là, je suis sûr de moi, il m’inspire confiance et je ne me sens pas une seconde en danger.
Je souffle presque autant que mon partenaire dans cette course au plaisir. Son ventre se tend à plusieurs reprises, et ses lourdes couilles remontent de plus en plus souvent vers la base de sa verge. Il m’avertit qu’il va bientôt décharger, me dit de faire attention. Peut-être croit-il que son sperme me fait peur, car beaucoup de mecs ne reçoivent pas la semence de leur partenaire en bouche. Mais pour moi, il ne peut en être autrement ! Boire la jouissance de l’autre est aussi important que de le sucer, c’est fondamental, c’est MA jouissance et MA récompense.
Alors qu’il émet un son grave continu, son nœud se dilate, d’un coup son ventre se creuse, ses burnes sont remontées de part et d’autre de la hampe. Soudain, une onde remonte le long de sa bite de cheval ; une contraction si forte que je la ressens dans mes doigts qui le branle fort. C’est alors qu’un formidable flot de foutre remplit ma bouche, libérant son puissant goût de mâle. Malgré ma petite expérience de suceur, je sais qu’il ne faut pas traîner pour avaler avec certains hommes. Et en effet, dans un élan purement syncinétique annonçant une nouvelle averse, ses doigts se replantent dans mon rectum alors qu’une autre salve jaillit de son méat pour me nourrir de plus belle. Jets après jets, mes mains serrent son mât en remontant vers le gland, ramener sa sève à ma bouche avide. Je rêve parfois d’une éjaculation sans fin qui me “gaverait” de ce breuvage si cher à mes papilles. Mais hélas, un dernier coup de reins terrasse mon asperseur. Presque aussitôt, le gland retrouve son volume “standard” en glissant vers une phase de repos. Sous mes yeux, ses belles bourses se détendent, la gravité se réattribue ses lois en repoussant les lourdes gonades au fond de leur sac. Ma main les palpe tendrement, comme pour les remercier du plaisir qu’elles viennent de m’offrir, et mon homme du moment retire délicatement ses doigts de mon fondement pour étreindre mes fesses avec fermeté.
Dans un silence absolu, ma bouche peut de nouveau accueillir un peu plus de longueur de cette verge de concours pour un doux câlin et profiter des dernières gouttes de sperme si précieuses. La grosse veine joue avec mes lèvres encore quelques minutes d’une douce caresse buccale, et son membre, bien qu’encore tuméfié, retrouve sa place sur les bourses, là où je l’ai découvert un peu plus tôt. Je me sens vraiment bien, là, tout de suite. La tête posée sur son ventre, le nez perdu dans ses poils pubiens, ma main flattant ce 3 pièces dont le goût musqué est encore très présent en bouche.
— Waouh, tu m’as fait une pipe d’enfer, c’était... génial. Merci ! me complimente-t-il en gratifiant ma croupe d’une étreinte. Tu avales toujours ?
— C’est moi qui te remercie. Quelle queue ! Elle est vraiment impressionnante et quelles giclées ! J’adore le goût du sperme. Je n’y résiste pas.
— C’est vraiment bon de jouir dans une bouche.
— Je n’imagine même pas recracher.
— Tu n’as pas peur que j’en redemande ?
— Pire encore : je n’attends que ça.
— Tu me veux toujours chez toi ? Ton cul me donne envie de faire sa connaissance.
— Plus que jamais, mais... tout doux. Promis ?
— Tu ne le regretteras pas, promis.
Nous restons ainsi peut-être encore 10 minutes, pas plus pressés l’un que l’autre de rompre l’harmonie du moment. Il promène ses mains avec tendresse sur ma croupe et le bas de mon dos, alors que je câline son bel organe. Quoi qu’il en soit, nous sommes tous les deux d’accord sur un point précis : notre étreinte ne sera pas complète tant qu’il ne m’aura pas fait jouir en me prenant. La chaudière est en effet toujours en veille au fond de mon ventre, il est temps de renfiler nos vêtements... pour mieux nous déshabiller une fois de plus.
Nous allons directement chez moi sans que je récupère ma voiture, je me débrouillerais plus tard. Chemin faisant, j’avoue avoir un peu peur qu’il me prenne. Relatant mon inexpérience, je lui parle de mon dépucelage, de la façon dont Stéphane m’a fait découvrir la sodomie, de sa bienveillance, de la délicatesse avec laquelle il m’a initié. Ce à quoi il rétorque qu’être bien monté n’est pas forcément synonyme de bourrin et qu’il entend bien me donner du plaisir. J’insiste en lui demandant d’y aller doucement. Longtemps s’il veut, mais doucement. Dans l’ascenseur, il se plaque derrière moi en me collant son sexe contre mes fesses en saisissant mon paquet, chuchotant à mon oreille qu’il allait bientôt me faire beaucoup de bien. Même si je sais à peu près avec qui “je monte”, mon cœur bat fort, ma timidité refait un peu surface. Pourtant, je le veux, et le plus longtemps possible !
À peine la porte de mon studio refermée, je lui propose à boire, peut-être plus pour gagner du temps que par pure hospitalité d’ailleurs. Le paradoxe du débutant, “je veux, mais en même temps... j’angoisse un peu !” Un jus de fruit fait l’affaire, je le rejoins sur mon clic-clac et nous sers deux verres. De toute évidence très tactile, il pose sa main sur ma cuisse, certainement un peu pour me rappeler que nous ne sommes pas là que pour trinquer.
— J’ai vraiment envie de toi. me lance-t-il calmement. Mais si tu ne te sens pas prêt, je ne vais pas te forcer. Je ne veux que ton plaisir. Et un peu le mien aussi ! Tu voudras encore me sucer, si je reviens te voir ?
— J’ai très envie de toi aussi, mais un peu le trac... Tu comprends ?
— On va y aller tout doucement, c’est toi qui vas mener le jeu, à ton rythme. Mais tu vas adorer, j’en suis certain. Tu me déshabilles ?
Diplomate, psychologue, il sait me mettre à l’aise et contourner les obstacles. Il se cale au fond du clic-clac. Je commence par lui ôter sa chemise et découvre qu’il est assez velu, plutôt svelte sans être un athlète. Son parfum agréable est relativement présent sans pour autant me sauter aux narines; je lui retire ensuite ses “shoes” et ses chaussettes, remonte pour dégrafer sa ceinture, ouvre son pantalon, le fais glisser pour le lui retirer et termine par son caleçon. Sa queue est toujours là, toujours aussi belle et attirante.
— À moi de te déshabiller maintenant.
Il pose un genou sur le canapé et sans se hâter m’effeuille. J’en profite pour cajoler de la main son irrésistible organe qui commence à reprendre du volume. Une fois complètement nu, je me laisse glisser de côté et ma bouche retrouve avec appétit son intimité. Je le suce longuement, il ne tarde pas à rebander, et j’en ai vraiment plein la bouche et plein les mains ; de son côté, il couvre mon corps de caresses sans pour autant oublier de s’attarder sur ma queue, puis sur mon anus, d’y plonger deux doigts avant de repartir.
— Quelle bouche tu as ! Tu suces divinement bien.
— Pourtant, elle n’est pas facile à sucer. Mais tellement bonne !
— Ne fais pas un blocage sur sa taille. Pense plutôt au plaisir qu’elle te donne et à celui que tu m’offres.
Je comprends l’allusion, et me sens de nouveau “open”, en tout cas suffisamment excité pour le recevoir. Je m’excuse et disparais un instant dans la salle de bains. Hormis un pipi obligatoire avant toute pénétration, c’est aussi pour y attraper un tube de vaseline. Accroupie, j’applique directement l’embout du tube dans mon anus et écrase un peu le tube. Le contact froid de la pommade se fait nettement sentir, j’y mets la dose, mais compte tenu de l’engin... j’en étale encore un peu tout autour de ma rosette et me doigte un peu pour bien graisser l’étroit passage avant de revenir vers mon homme le cœur battant, le ventre en feu, les joues chaudes, la queue en demi-érection.
Assis confortablement, souriant, il se caresse la queue pour en entretenir la rigidité. Je dépose le tube de vaseline sur la table basse, le message est clair, en piste.
- Viens vite, viens sur moi. me dit-il, aux anges. J’en ai autant envie que toi.
Comme j’entreprends de lui présenter mon dos, il m’invite plutôt à lui faire face.
- On va le faire ensemble, j’ai besoin de te voir. Ne t’inquiète pas, je suis très “câlin”, mais pas du tout “bisous”. Argue-t-il sur un ton des plus posés.
J’aurais pu tomber sur un “pointeur”, un “baiseur”, un “casseur de cul”, mais non, il s’agit juste d’un homme aimant le sexe. Je le chevauche donc de face, m’accroupis de part et d’autre de ses cuisses, et abaisse mes fesses jusqu’à ce qu’elles entrent en contact avec son sexe. Mes mains écartent mes fesses au maximum pendant qu’il frotte son gland à l’intérieur de ma raie pour repérer les lieux en étalant la pommade. Il passe plusieurs fois sur ma petite porte jusqu’au moment où il se met en place. Depuis très longtemps, je sais qu’il faut pousser pour ne pas avoir mal à la pénétration, et se contracter plus ou moins fort lorsque le sexe (ou le gode) recule. Le sphincter est un muscle et plus il s’échauffe, plus il devient souple.
Sa main libre saisit ma nuque pour m’obliger à venir plaquer mon torse contre lui, ma tête sur son épaule. D’une lente poussée, je me laisse aller en arrière, poussant le plus fort possible sur mon sphincter pour m’empaler. L’énorme nœud d’abord s’écrase et s’aplatit en repoussant les chairs, mais celles-ci cèdent rapidement sous la pression. Il s’engage lentement, change de forme pour devenir une ogive pénétrante. Chaque millimètre de progression me distend l’anus à la limite de la douleur, je sais qu’il va passer d’un coup, c’est pour cela que j’incline mon bassin d’avant en arrière afin de bien me dilater. Avec des mots simples, il me guide, m’invite à prendre le temps qu’il faut, s’inquiète de savoir si la douleur est supportable. Après une longue inspiration, il suffit d’une petite poussée pour qu’enfin le nœud passe. Le réflexe me fait me contracter douloureusement sur sa queue au niveau du frein, m’arrachant un cri de douleur lorsque survient une violente brûlure. Figé sur place, le souffle coupé, mais la tête toujours au creux de son épaule, j’attends que la désagréable sensation s’estompe, ce qui ne tarde pas.
Son nœud passé, il n’a plus besoin de maintenir sa verge maintenant, c’est la mienne à demi-molle qu’il masturbe doucement. La douleur lentement s’estompe et je peux reprendre ma danse oscillante et pénétrante. La hampe redevient très épaisse une fois l’étranglement à la base du gland passé. Elle me distend la rondelle, et je ressens clairement la progression de son nœud dans mon rectum. J’essaie de bien synchroniser mes contractions et commence de timides aller-retour. Ses paroles me tranquillisent et dérivent mon esprit tant occupé à gérer un tel stress. D’un autre côté, je ressens une certaine fierté, et suis également très conscient de vivre un moment exceptionnel.
Au fil des minutes, mon ventre devient beaucoup plus tolérant. Il ne doit être en moi que d’une dizaine de centimètres, mais je décide d’arrêter toute progression. Le but n’étant pas de m’éventrer, je vais et viens en remontant lentement. Je cherche maintenant à revenir lentement jusqu’à la base du gland pour mieux le reprendre en moi et ainsi m’habituer à son énorme sexe. Accompagner par ses encouragements, je commence à éprouver du plaisir à le contenir, à le sentir coulisser en moi.
La queue de Stéphane m’avait beaucoup impressionné avec ses 20 x 5. Elle avait suscité beaucoup d’appréhension de ma part, mais donné tant de plaisir dès les premières minutes critiques écoulées. Celle-ci est beaucoup plus volumineuse, beaucoup plus large, me donne le sentiment d’avoir atteint mes limites, mais avec une amplitude croissante mon cul reçoit ce monstre dont la tête dilate mes intestins. D’incroyables frissons s’emparent régulièrement de tout mon être, des sensations qui me prédisposent au plaisir. Cette intense stimulation m’oblige à descendre toujours plus bas sur son vît. Il me motive en disant que je vais lui gober son gros dard tellement je l’aspire fort, que je suis du genre à en redemander, et qu’il va m’en donner tant que j’en veux. Ces mots me dynamisent, me mettent en confiance, et c’est avec toujours plus d’entrain que je m’empale. La gêne et les tiraillements se dissipent au profit d’un plaisir naissant.
— Ooohhh,.. Que c’est bon. Putain que c’est bon ! criais-je, la tête toujours dans son cou. Elle est énorme, mais c’est ça qui est bon.
— Tu t’y habitues à ma grosse quéquette, hein ! Tu sens ma chaleur dans ton ventre ?
— Je ne sens pas que ça, m’écriais-je en haletant.
Cela fait un bon moment que je fais des va-et-vient en veillant à bien respecter les contractions de mon sphincter, une bonne quinzaine de centimètres m’investissent maintenant, et si on veut progresser, il va falloir trouver l’accord qui nous convient. La massue de chair glisse hors de moi en me redressant, mais je n’ai pas le sentiment que mon cul s’est refermé pour autant.
En un rien de temps, j’ouvre le clic-clac et en arrache la housse. Pas mal de copines se sont retrouvées sur ce lit lorsque le flirt se déroulait comme prévu, et cette pensée me traverse l’esprit à cet instant. Ce soir, c’est bien moi qui ouvre le lit, mais c’est également moi qui écarte les jambes !
Lorsque l’on se retrouve sur le lit, il se place contre moi, l’énorme barre plaquée dans mon dos. Je le saisis à pleine main et le guide entre mes fesses. Sans le moindre heurt, il me possède de nouveau. Mon rectum se détend instantanément sur son passage, m’offrant les sensations que j’attends d’une pénétration anale. Je ne cherche pas la performance, ni à confectionner un tableau de chasse. Je n’aspire pas à me faire démonter ou casser le cul ni à être “la femelle” d’un mec ! Je prends seulement beaucoup de plaisir à me faire prendre, lorsque cela est bien fait. Et un sexe très large...
C’est maintenant à lui qu’incombe le mouvement. La position “en cuillère” est plus relaxante pour moi. Les reins bien cambrés, je tiens sa queue par la base, lui à posé sa main sur mon pubis et s’engage par petites poussées. Ses coups de reins sont respectueux, sa queue me pénètre toujours davantage en m’irradiant de sensations que je n’aurais jamais pensé être aussi enivrantes, dynamisantes. Un véritable paradoxe entre éclatement et plaisir, ou plutôt un délicieux mélange des deux. En fait, sa queue est une pompe à endorphine et chaque passage de son nœud m’injecte une dose de bienêtre.
Plus il s’enfonce, plus il me stimule par des mots crus, plus j’aime ce qu’il me fait, et lui demande même d’aller un peu plus profond maintenant. L’épaisse hampe glisse hors de moi pour y revenir toujours plus librement. Il réitère quelques fois cette manœuvre qui m’excite terriblement, à tel point que j’envoie les fesses en arrière pour le retrouver au plus vite dans mon ventre. Et ce sont de véritables bouffées de chaleur qui se diffusent sur mon visage lorsqu’il propulse son nœud. Ses couilles butent maintenant régulièrement mes fesses, ce sont donc bien plus de 20 cm qui me pénètrent et me submerge de plaisir. La tête m’en tourne, saoule de toutes les infos que mon esprit doit gérer, sans compter les mots crus qui décuplent mon excitation. Il n’est en aucun cas vulgaire ou irrespectueux, il est simplement incroyablement stimulant, sexuellement comme cérébralement.
Pendant une éternité, il me baise avec tendresse, n’ayant besoin de reculer que de quelques centimètres avant de revenir échouer son pubis contre ma croupe. Lorsque de nouveau il quitte mon ventre et son gland se dégage de mon anus, un drôle de sentiment m’envahit tant il m’a habitué à l’obésité de sa hampe. Un vide immense se fait sentir, et c’est comme si tout l’air frais de la pièce emplissait mon rectum. Méticuleusement, il parcourt alors ma raie de son large gland, puis me demande si je veux encore de lui.
- Ouiiii, remet-la moi, s’il te plaît. C’est trop bon. l’implorais-je en étreignant les draps à pleine main. Encule-moi tout doucement, rempli-moi de toi. Tu vas me faire hurler !
Et il se renfonce en m’arrachant des râles de bonheur. Je n’aurais jamais pensé devenir vulgaire en me faisant prendre, mais j’ai dans les veines un mélange d’hormones, je dois être proche de l’overdose. Il est loin de me labourer et ne cherche pas à abuser de la situation ! Il va et vient régulièrement, ce n’est que le fait que sa queue est... immense ! Pas besoin d’en faire beaucoup pour donner un maximum de sensations. Il est en train de me faire découvrir toute la magie d’une grosse queue bien employée. Je voudrais que le temps s’arrête et surfer indéfiniment sur cette vague de plaisir.
Sans trop m’en rendre compte, je me retrouve à plat ventre, mes cuisses jointes entre les siennes. Il me semble encore plus long et c’est comme si je n’avais plus de bas ventre. Je répète en boucle qu’il me baise trop bien, que j’adore sa queue ; je lui parle de ses couilles qui ballottent à la naissance de mes fesses, lui crie qu’il peut jouir en moi, que je veux tout de lui, qu’il peut me baiser où et quand il le désire, autant qu’il le désire.
— Tu en veux encore ? Tu veux que je te prenne encore un peu ? Mets-toi à quatre pattes.
Il se retire le temps de me redresser et déjà je lui tends ma croupe pour qu’il se glisse entre mes jambes. Lorsqu’il pose son nœud à l’entrée, j’envoie mon cul en arrière en passant ma main entre mes jambes pour lui saisir les couilles. Sa dague plonge en moi, ses mains saisissent mes hanches, et en trois grandes poussées il est tout au fond. Un bonheur indicible me submerge instantanément, la tête m’en tourne, de terribles bouffées de chaleur m’asphyxient, et pourtant il me faut de l’action.
— Qu’est-ce qu’il est bon ton joli cul ! C’est un plaisir de te prendre. On te l’a déjà dit ?
— Oui, mais personne ne m’a donné autant de sensations. Remplis-moi de ta queue, de ton foutre !
Je l’implore de s’activer, arguant que mes fesses sont dédiées à son plaisir, que j’aime que ses couilles battent les miennes et que je voudrais qu’il me remplisse de sperme. Les quelques centimètres supplémentaires qu’il m’enfonce, s’il distendent monstrueusement mon ventre, provoque un électrochoc. Il accélère le rythme crescendo, répond à mes attentes en portant davantage ses coups. Ses burnes copulent avec les miennes, j’en crie de plaisir, le ventre en feu, la tête remplie d’éclaires multicolores, submergées par le sentiment de plus être en capacité de gérer.
Je ne suis qu’un tunnel de chair traversé par le train du bonheur. Tout s’emballe lorsque mon enculeur crie qu’il va décharger. Sans savoir pour quelle raison, je n’ai alors qu’à agripper fermement mes bourses pour qu’à mon tour je commence à éjaculer, le goût de son foutre intensément présent dans ma bouche. Je tutoie l’orgasme anal, le vrai, sans réellement le savoir.
Ses doigts soudainement crispés dans la chair de mes hanches, il me propulse à plusieurs reprises sa turgescence aux confins de mes intestins pour y déverser sa semence en longues giclées. En réaction, je jouis bruyamment sous ses assauts finals, l’anus secoué de multiples spasmes. Il ne m’est pas vraiment possible de ressentir distinctement ses jets de sperme. Mais je perçois très nettement son nœud qui se dilate à chacune de ses salves, immédiatement suivi d’une sorte d’effervescence brûlante, sortes d’étranges gargouillis, comme si des bulles éclataient au bout de sa queue.
Au-delà de ces intenses sensations physiques, il y a surtout cette extrême plénitude, cette béatitude qui m’envahit. Faire l’amour avec une femme, la pénétrer et gérer sa propre endurance pour lui permettre d’accéder à sa jouissance est une chose merveilleuse pour un homme. Mais croyez-moi, pouvoir se libérer mentalement de cette “obligation de résultat” afin de devenir totalement passif (mais certainement pas inactif !), de ne plus aller chercher le plaisir, mais de le recevoir tel un cadeau est une expérience hors du commun, une véritable offrande que nous fait notre partenaire.
Il s’immobilise enfin, immense, que dis-je, gigantesque, et pourtant son plaisir continue de se diffuser en moi comme une onde se propageant en vaguelettes à la surface d’une étendue d’eau. Ses doigts quittent mes hanches, redeviennent caressants et parcourent maintenant mon dos.
Je me sens soudain incroyablement bien. J’ai joui d’une façon totalement inattendue, incomparable à ce que Stéphane m’avait fait vivre. Je pense avoir été beaucoup plus libéré et disposé ce soir ; j’avais terriblement besoin d’un homme. Les circonstances m’ont permis de l’apprécier, de savourer l’instant.
Repus, imbriqués l’un dans l’autre, nous glissons sur le côté, savourant ce calme après ce splendide orgasme. En quelques minutes silencieuses, je le sens retrouver une taille plus raisonnable au creux de mes reins, en appréciant la douce chaleur qui tapisse encore mon ventre, le calme après la tempête, en quelque sorte.
Toutes sortes de pensées vont et viennent dans mon esprit cotonneux, jusqu’à ce que je ressente le besoin de le remercier pour ce qu’il vient de me faire vivre. Nous avons longuement parlé ce soir-là, allongés sur le lit. Nous avons fait plus ample connaissance. Étrangement, pas le moindre sentiment de gêne n’est venu polluer cet échange, alors qu’en général, après l’orgasme, la plupart des hommes ne pensent qu’à se rhabiller et partir. Je l’ai sucé de nouveau avec énormément de tendresse jusqu’à lui dérober sa douce semence. Il n’est reparti que bien plus tard, après avoir échangé nos coordonnées et qu’il ait pris une douche. Je restais nu ce soir-là ; de mon anus délicieusement ouvert en endolori s’écoulait régulièrement un peu de son sperme.
Nous nous sommes revus plusieurs fois et ça a toujours été un festival. Nous n’avons jamais utilisé de préservatifs. Le sida faisait à peine parler de lui et nous n’avions pas conscience du danger que représentaient nos pratiques. C’est un peu après Patrick que j’ai commencé à me protéger. J’ai certes eu beaucoup de chance de passer à travers ; j’ai pu connaître le sexe nature, déguster de belles queues et recevoir leur sperme tant en bouche qu’ailleurs. Ces plaisirs sont aujourd’hui soumis à tellement de conditions qu’ils ne sont pratiquement plus envisageables.
Et cette quéquette de concours est arrivée... en R30 TX ! Non, ce n’est pas un processeur, mais une voiture. Une Renault. Elle s’immobilise juste à quelques mètres de moi et je peux entendre de la musique s’échappant de sa vitre ouverte. Je sors de mes bosquets pour apercevoir le conducteur et m’en faire une idée en empruntant le trottoir dans sa direction. Le gars me regarde, et lorsque je suis à sa hauteur, baisse complètement sa vitre en me souriant. Pas besoin de tergiverser bien longtemps, il me salut d’un signe de tête, me faisant comprendre qu’il désire engager la conversation.
Les premières paroles sont presque toujours d’une grande banalité, ne servent finalement qu’à briser la glace. J’étais jeune, et même si je savais plutôt me lâcher, parfois, les premiers instants pouvaient être assez gênants, à fortiori en journée. L’homme d’une trentaine d’années, vêtu d’un costard dont la veste trônait sur le siège arrière, m’invite à le rejoindre pour papoter. Il me demande si je suis un habitué des lieux tout en retirant sa cravate et déboutonnant le col de sa chemise. En fait, je viens de temps à autre, au gré de mes envies, mais lui confie ne pas toujours trouver “l’objet de mes désirs”. Ce à quoi il me répond... être là, à condition qu’il puisse les satisfaire, ces fameux désirs.
Je me suis déjà retrouvé dans une voiture dont le propriétaire ne correspondait sexuellement pas à mes attentes. Alors plutôt que de perdre notre temps pour être déçu, j’explique directement rechercher des hommes plutôt bien montés. Cela peut paraître abrupt, mais a le mérite d’être honnête. Arborant un beau sourire, il me répond que je devrais être satisfait avec lui.
Il vient également ici dans l’espoir de passer un moment sympa autant que pour libérer quelques évidentes tensions, recherchant une tendre bouche... et plus si affinité. Il ponctue ses derniers mots en saisissant fermement son paquet, affichant toujours un grand sourire, précisant par ce geste qu’il a besoin d’évacuer le trop-plein. Son autre main vient se poser sur ma cuisse : les choses sont dites. Je caresse timidement le tissu de son pantalon en passant sur son entrejambe bien rempli ; l’ambiance du “juste avant” est dynamisante lorsqu’il va se passer quelque chose. Je ressens souvent quelques picotements dans le ventre, un mélange de désir, d’excitation et d’appréhension. Mais plutôt que de nous exploser à la vue de tous, nous convenons d’aller dans un coin un peu plus intime que sur le parking ou dans les fourrés. Il démarre et en roulant me dit aussi qu’il préfère la délicatesse à l’expéditif, dans la mesure du possible, argumentant qu’il fonctionne beaucoup au feeling. Par ailleurs, le dialogue est étonnamment facile, continu et naturel... Après avoir parcouru une poignée de kilomètres, nous nous arrêtons dans un petit chemin au bord d’un ruisseau. Très excité, ma main glisse de sa cuisse vers la bosse convoitée. Il recule son siège et incline le dossier, m’invitant à en faire autant tout en dégrafant son pantalon. Il le baisse sans pudeur sur ses genoux, mettant à nu ses organes : un sexe d’un volume incroyable. Une veine très saillante se promène en zébrant son épaisse hampe avant de s’évanouir à proximité du prépuce. Le gland est presque entièrement recouvert, ne laissant que le sommet du nœud découvrir le monde de son gros œil unique. Un vrai monstre endormi. Cette bête de concours me laisse abasourdi, sans voix et mes yeux sortent de leur orbite.
- Surpris ? Tu ne m’as pas dit que tu espérais un mec bien monté ? lance-t-il le plus simplement du monde.
C’est un sacré matos qu’il exhibe devant moi, du jamais vu. Je pensais vraiment que ce genre de sexe ne se trouvait que dans les bouquins pornos ! Une première génère toujours un cocktail de sensations inoubliables. Le premier flirt, la première fois où la paume de ma main a étreint le sein d’une femme, la première fois que l’on se déshabille devant une fille, la première fois où mes lèvres se sont posées sur une petite chatte... La première pénétration vaginale, cette chaleur irradiante, cette douce étreinte autour de mon membre.
Puis le premier homme nu, un an plus tôt, sachant qu’il s’agissait de découvrir une sexualité taxée comme étant immorale par notre société, une déviance même, selon certains !
Imaginez ce tout premier contact lorsque ma main a saisi cette hampe bien plus épaisse que la mienne, la première fois que mes lèvres ont rencontré ce gland, sa chaleur... La première fois que ce tout premier amant... a joui dans ma bouche ! La toute première fois où son gland a pénétré mon ventre en dilatant tendrement mon petit cul vierge. La toute première fois où il a rempli mon ventre de son abondante semence. Chaque première voit une bolée d’hormones débouler dans les veines et euphorise tout un corps, autant qu’il grave l’instant dans la mémoire.
Et ce soir, le propriétaire de ce bel organe, visiblement habitué à susciter l’émotion, me propose en souriant de m’en occuper plutôt que de la regarder. À peine a-t-il ouvert sa chemise qu’il se met à caresser mon dos pour m’inviter à me pencher sur lui. Fasciné et fort impressionné par cette puissance, je commence par soupeser ce monstre de chair. Elle est incroyablement lourde et encombrante, car encore molle. Mes doigts n’en font pas le tour. Son gros nœud, encore recouvert de son prépuce, dépasse largement de ma main et ploie sous son propre poids.
— Je n’en ai encore jamais vu d‘aussi grosse ! ne puis-je m’empêcher de dire, le cœur battant. En même temps, j’ai 20 ans, et n’ai que quelques mois d’expérience avec les hommes !
— On y va tranquillement. Nous ne sommes pas pressés ?
— Pressé, certainement pas. Seulement impressionné par le volume.
Je le décalotte et mes lèvres s’ouvrent pour apprécier ma rencontre. Son goût et son odeur d’homme enivrent mes sens. Son nœud tendre se déforme au passage de mes lèvres pour retrouver tout son volume dans ma bouche et en occuper tout l’espace. Pour quitter ma bouche, il s’étire dans l’autre sens, glisse entre mes lèvres. Drôles et exquises sensations qu’offrent les très gros volumes. Je joue avec son méat, le lèche comme une glace, puis le ravale avec passion, en tentant d’avaler une partie de la hampe. De mon autre main, je lui attrape les bourses. Elles sont à l’échelle de la bête, bien gonflée, plutôt pendantes.
Je savoure ma veine en engouffrant cette queue qui durcit et s’allonge graduellement en mettant mes maxillaires à rude épreuve. Sa main parcourant mon dos et ses appréciations me rassurent sur ma prestation. Il m’encourage à bien le sucer, me demande si j’aime ça. Je respire fort et mon bas-ventre chauffe sous l’excitation. Je ressens souvent une douce chaleur qui envahit tout le bas de mon ventre et mon rectum lorsqu’un mec me plaît. Et lui me plaît ! À sa demande, je m’occupe de ses couilles, aspire sa généreuse peau tout en le branlant lentement. Sa main descend maintenant vers mes fesses par-dessus mon jean ; mes lèvres, elles, remontent le long de son épaisse hampe, sucent son frein, puis lèchent de nouveau sa queue jusqu’aux couilles... je suis sur un petit nuage. Comme pour un jouet hi-tech rempli de fonctions inédites, je meurs d’envie de tout découvrir sans trop savoir par où débuter.
Comme mon fessier semble l’intéresser, je me redresse rapidement pour l’aider. En deux secondes, j’envoie valser mes chaussures et retire mon futal, me retrouvant à demi nu dans cette voiture, sur ce petit chemin au bord de l’eau. Mais qu’importe, je replonge m’occuper de cette grosse queue maintenant bien bandée dont le gland repose sur le nombril de son propriétaire. Je tète ce gros nœud au rythme de sa main posée sur ma nuque. Son autre main découvre mon corps, plus particulièrement mon cul qui chauffe d’ailleurs de plus en plus. Ses doigts agrippent mes bourses et les malaxent, ce qui me donne encore plus d’entrain pour pomper sa queue. Il appuie bien sa main sur ma nuque pour que je le prenne loin en bouche, et pétrit mes fesses en me disant qu’il apprécie autant ce qu’il voit que ce qu’il sent. Son majeur parcourt ma raie un moment avant de se poser sur mon anus, dont il enfonce gentiment les portes, comme pour en tester l’élasticité. Il s’y enfonce sans forcer, juste en m’arrachant un râle de plaisir aussitôt étouffé pas son bâillon.
— Tu aimes te faire prendre ? me lance-t-il alors que son doigt me pénètre tout naturellement.
— Oui, avec beaucoup de douceur. Mais... la tienne est beaucoup trop grosse, elle me fait un peu peur !
— Je suis certain que tu vas l’adorer. Je te trouve trop gourmand pour ne pas la vouloir en toi.
Et toujours cette boule de feu qui consume mes reins et tout le bas-ventre. Plus je m’acharne sur sa queue, plus je la trouve énorme, plus je l’aime. En effet, l’idée de me faire sauter m’excite. Mais avec un truc pareil, c’est perdre une deuxième fois mon pucelage. Et ça, je n’ai pas envie de le faire là, sur le capot de la voiture ! Plus il me doigte, plus je me trémousse pour aller à la rencontre de sa paume. En un rien de temps, ce sont deux doigts qui me sondent, et qui me donnent encore plus envie de lui dévorer sa bite de cheval. Je me démonte la mâchoire sur ce membre obsessionnel tout en remuant du cul pour mieux le sentir m’explorer.
— Ton cul m’excite, tu me donnes envie de te prendre. Hummm... tu as tellement l’air d’aimer ça.
Trois doigts me fouillent allègrement maintenant, mon cul fait des ruades, car déjà son corps tout entier me pénètre. Alors qu’il s’occupe de moi, il m’explique qu’il adorerait sentir mon cul lui masser la queue, qu’il désirerait m’entendre crier de plaisir. Et si j’imagine bien le plaisir qu’il pourrait me faire vivre, je ne me vois pas me faire prendre dans cette espace si restreint.
— Pas ici. Dis-je entre deux aller-retour. Je veux bien que tu me la mettes, mais pas ici.
— J’en ai trop envie, tu me fais bander comme un âne !
Mon esprit part dans tous les sens, partagé entre ce qu’il se passe en haut et en bas. Je la trouve immense, je désire plus que tout la sentir passer en moi, mais pas dans n’importe quelles conditions. Pourtant, je ne voudrais pas qu’il reparte sans l’avoir reçu en moi. Je tente alors ma chance en lui proposant, sans trop y croire, qu’il vienne dans mon appartement.
— Chez moi. chuchotais-je. Viens chez moi, on sera mieux. Tu pourras me prendre comme tu veux. OK ?
— Hummmmmm... volontiers. Mais fais-moi jouir maintenant, tu m’as trop chauffé. Suce-moi fort s'il te plaît. Je pourrai te sauter plus longtemps après. Tu m’as mis les couilles en feu !
J’empoigne alors cette queue renflée à deux mains pour mieux le branler au rythme de mes succions. Ma bouche distendue et presque douloureuse plonge inlassablement autour de son gland et ma main coulisse pour branler ce puissant mâle de plus en plus vite. Malgré l’inconfort de ma position, ses doigts me procurent d’incroyables frissons dans tout mon ventre, et ce ne sont que des doigts !
Je n’aurais jamais imaginé ressentir autant de choses quelques mois plus tôt. Je rêver de queues, de giclées de sperme brûlant en bouche, de 69 entre hommes, mais pas vraiment de sodomie ! Stéphane m’a fait découvrir ce côté hypersensible de mon anatomie. Sous ses doux mouvements de bassin lors de lentes et profondes étreintes, j’ai découvert la jouissance anale, la vraie, ravageuse, car purement cérébrale. Mon corps s’en souvient et recherche maintenant ce plaisir rare, si rare qu’il en est d’autant plus précieux. J’ai bien retenté l’expérience avec d’autres mecs, mais soit ils n’étaient pas assez bien montés, soit ils ne pensaient qu’à leur plaisir. Je me contente donc la plupart du temps de leur tailler une bonne pipe, je prends mon pied ainsi et y trouve mon compte. Mais pas celui-là, je suis sûr de moi, il m’inspire confiance et je ne me sens pas une seconde en danger.
Je souffle presque autant que mon partenaire dans cette course au plaisir. Son ventre se tend à plusieurs reprises, et ses lourdes couilles remontent de plus en plus souvent vers la base de sa verge. Il m’avertit qu’il va bientôt décharger, me dit de faire attention. Peut-être croit-il que son sperme me fait peur, car beaucoup de mecs ne reçoivent pas la semence de leur partenaire en bouche. Mais pour moi, il ne peut en être autrement ! Boire la jouissance de l’autre est aussi important que de le sucer, c’est fondamental, c’est MA jouissance et MA récompense.
Alors qu’il émet un son grave continu, son nœud se dilate, d’un coup son ventre se creuse, ses burnes sont remontées de part et d’autre de la hampe. Soudain, une onde remonte le long de sa bite de cheval ; une contraction si forte que je la ressens dans mes doigts qui le branle fort. C’est alors qu’un formidable flot de foutre remplit ma bouche, libérant son puissant goût de mâle. Malgré ma petite expérience de suceur, je sais qu’il ne faut pas traîner pour avaler avec certains hommes. Et en effet, dans un élan purement syncinétique annonçant une nouvelle averse, ses doigts se replantent dans mon rectum alors qu’une autre salve jaillit de son méat pour me nourrir de plus belle. Jets après jets, mes mains serrent son mât en remontant vers le gland, ramener sa sève à ma bouche avide. Je rêve parfois d’une éjaculation sans fin qui me “gaverait” de ce breuvage si cher à mes papilles. Mais hélas, un dernier coup de reins terrasse mon asperseur. Presque aussitôt, le gland retrouve son volume “standard” en glissant vers une phase de repos. Sous mes yeux, ses belles bourses se détendent, la gravité se réattribue ses lois en repoussant les lourdes gonades au fond de leur sac. Ma main les palpe tendrement, comme pour les remercier du plaisir qu’elles viennent de m’offrir, et mon homme du moment retire délicatement ses doigts de mon fondement pour étreindre mes fesses avec fermeté.
Dans un silence absolu, ma bouche peut de nouveau accueillir un peu plus de longueur de cette verge de concours pour un doux câlin et profiter des dernières gouttes de sperme si précieuses. La grosse veine joue avec mes lèvres encore quelques minutes d’une douce caresse buccale, et son membre, bien qu’encore tuméfié, retrouve sa place sur les bourses, là où je l’ai découvert un peu plus tôt. Je me sens vraiment bien, là, tout de suite. La tête posée sur son ventre, le nez perdu dans ses poils pubiens, ma main flattant ce 3 pièces dont le goût musqué est encore très présent en bouche.
— Waouh, tu m’as fait une pipe d’enfer, c’était... génial. Merci ! me complimente-t-il en gratifiant ma croupe d’une étreinte. Tu avales toujours ?
— C’est moi qui te remercie. Quelle queue ! Elle est vraiment impressionnante et quelles giclées ! J’adore le goût du sperme. Je n’y résiste pas.
— C’est vraiment bon de jouir dans une bouche.
— Je n’imagine même pas recracher.
— Tu n’as pas peur que j’en redemande ?
— Pire encore : je n’attends que ça.
— Tu me veux toujours chez toi ? Ton cul me donne envie de faire sa connaissance.
— Plus que jamais, mais... tout doux. Promis ?
— Tu ne le regretteras pas, promis.
Nous restons ainsi peut-être encore 10 minutes, pas plus pressés l’un que l’autre de rompre l’harmonie du moment. Il promène ses mains avec tendresse sur ma croupe et le bas de mon dos, alors que je câline son bel organe. Quoi qu’il en soit, nous sommes tous les deux d’accord sur un point précis : notre étreinte ne sera pas complète tant qu’il ne m’aura pas fait jouir en me prenant. La chaudière est en effet toujours en veille au fond de mon ventre, il est temps de renfiler nos vêtements... pour mieux nous déshabiller une fois de plus.
Nous allons directement chez moi sans que je récupère ma voiture, je me débrouillerais plus tard. Chemin faisant, j’avoue avoir un peu peur qu’il me prenne. Relatant mon inexpérience, je lui parle de mon dépucelage, de la façon dont Stéphane m’a fait découvrir la sodomie, de sa bienveillance, de la délicatesse avec laquelle il m’a initié. Ce à quoi il rétorque qu’être bien monté n’est pas forcément synonyme de bourrin et qu’il entend bien me donner du plaisir. J’insiste en lui demandant d’y aller doucement. Longtemps s’il veut, mais doucement. Dans l’ascenseur, il se plaque derrière moi en me collant son sexe contre mes fesses en saisissant mon paquet, chuchotant à mon oreille qu’il allait bientôt me faire beaucoup de bien. Même si je sais à peu près avec qui “je monte”, mon cœur bat fort, ma timidité refait un peu surface. Pourtant, je le veux, et le plus longtemps possible !
À peine la porte de mon studio refermée, je lui propose à boire, peut-être plus pour gagner du temps que par pure hospitalité d’ailleurs. Le paradoxe du débutant, “je veux, mais en même temps... j’angoisse un peu !” Un jus de fruit fait l’affaire, je le rejoins sur mon clic-clac et nous sers deux verres. De toute évidence très tactile, il pose sa main sur ma cuisse, certainement un peu pour me rappeler que nous ne sommes pas là que pour trinquer.
— J’ai vraiment envie de toi. me lance-t-il calmement. Mais si tu ne te sens pas prêt, je ne vais pas te forcer. Je ne veux que ton plaisir. Et un peu le mien aussi ! Tu voudras encore me sucer, si je reviens te voir ?
— J’ai très envie de toi aussi, mais un peu le trac... Tu comprends ?
— On va y aller tout doucement, c’est toi qui vas mener le jeu, à ton rythme. Mais tu vas adorer, j’en suis certain. Tu me déshabilles ?
Diplomate, psychologue, il sait me mettre à l’aise et contourner les obstacles. Il se cale au fond du clic-clac. Je commence par lui ôter sa chemise et découvre qu’il est assez velu, plutôt svelte sans être un athlète. Son parfum agréable est relativement présent sans pour autant me sauter aux narines; je lui retire ensuite ses “shoes” et ses chaussettes, remonte pour dégrafer sa ceinture, ouvre son pantalon, le fais glisser pour le lui retirer et termine par son caleçon. Sa queue est toujours là, toujours aussi belle et attirante.
— À moi de te déshabiller maintenant.
Il pose un genou sur le canapé et sans se hâter m’effeuille. J’en profite pour cajoler de la main son irrésistible organe qui commence à reprendre du volume. Une fois complètement nu, je me laisse glisser de côté et ma bouche retrouve avec appétit son intimité. Je le suce longuement, il ne tarde pas à rebander, et j’en ai vraiment plein la bouche et plein les mains ; de son côté, il couvre mon corps de caresses sans pour autant oublier de s’attarder sur ma queue, puis sur mon anus, d’y plonger deux doigts avant de repartir.
— Quelle bouche tu as ! Tu suces divinement bien.
— Pourtant, elle n’est pas facile à sucer. Mais tellement bonne !
— Ne fais pas un blocage sur sa taille. Pense plutôt au plaisir qu’elle te donne et à celui que tu m’offres.
Je comprends l’allusion, et me sens de nouveau “open”, en tout cas suffisamment excité pour le recevoir. Je m’excuse et disparais un instant dans la salle de bains. Hormis un pipi obligatoire avant toute pénétration, c’est aussi pour y attraper un tube de vaseline. Accroupie, j’applique directement l’embout du tube dans mon anus et écrase un peu le tube. Le contact froid de la pommade se fait nettement sentir, j’y mets la dose, mais compte tenu de l’engin... j’en étale encore un peu tout autour de ma rosette et me doigte un peu pour bien graisser l’étroit passage avant de revenir vers mon homme le cœur battant, le ventre en feu, les joues chaudes, la queue en demi-érection.
Assis confortablement, souriant, il se caresse la queue pour en entretenir la rigidité. Je dépose le tube de vaseline sur la table basse, le message est clair, en piste.
- Viens vite, viens sur moi. me dit-il, aux anges. J’en ai autant envie que toi.
Comme j’entreprends de lui présenter mon dos, il m’invite plutôt à lui faire face.
- On va le faire ensemble, j’ai besoin de te voir. Ne t’inquiète pas, je suis très “câlin”, mais pas du tout “bisous”. Argue-t-il sur un ton des plus posés.
J’aurais pu tomber sur un “pointeur”, un “baiseur”, un “casseur de cul”, mais non, il s’agit juste d’un homme aimant le sexe. Je le chevauche donc de face, m’accroupis de part et d’autre de ses cuisses, et abaisse mes fesses jusqu’à ce qu’elles entrent en contact avec son sexe. Mes mains écartent mes fesses au maximum pendant qu’il frotte son gland à l’intérieur de ma raie pour repérer les lieux en étalant la pommade. Il passe plusieurs fois sur ma petite porte jusqu’au moment où il se met en place. Depuis très longtemps, je sais qu’il faut pousser pour ne pas avoir mal à la pénétration, et se contracter plus ou moins fort lorsque le sexe (ou le gode) recule. Le sphincter est un muscle et plus il s’échauffe, plus il devient souple.
Sa main libre saisit ma nuque pour m’obliger à venir plaquer mon torse contre lui, ma tête sur son épaule. D’une lente poussée, je me laisse aller en arrière, poussant le plus fort possible sur mon sphincter pour m’empaler. L’énorme nœud d’abord s’écrase et s’aplatit en repoussant les chairs, mais celles-ci cèdent rapidement sous la pression. Il s’engage lentement, change de forme pour devenir une ogive pénétrante. Chaque millimètre de progression me distend l’anus à la limite de la douleur, je sais qu’il va passer d’un coup, c’est pour cela que j’incline mon bassin d’avant en arrière afin de bien me dilater. Avec des mots simples, il me guide, m’invite à prendre le temps qu’il faut, s’inquiète de savoir si la douleur est supportable. Après une longue inspiration, il suffit d’une petite poussée pour qu’enfin le nœud passe. Le réflexe me fait me contracter douloureusement sur sa queue au niveau du frein, m’arrachant un cri de douleur lorsque survient une violente brûlure. Figé sur place, le souffle coupé, mais la tête toujours au creux de son épaule, j’attends que la désagréable sensation s’estompe, ce qui ne tarde pas.
Son nœud passé, il n’a plus besoin de maintenir sa verge maintenant, c’est la mienne à demi-molle qu’il masturbe doucement. La douleur lentement s’estompe et je peux reprendre ma danse oscillante et pénétrante. La hampe redevient très épaisse une fois l’étranglement à la base du gland passé. Elle me distend la rondelle, et je ressens clairement la progression de son nœud dans mon rectum. J’essaie de bien synchroniser mes contractions et commence de timides aller-retour. Ses paroles me tranquillisent et dérivent mon esprit tant occupé à gérer un tel stress. D’un autre côté, je ressens une certaine fierté, et suis également très conscient de vivre un moment exceptionnel.
Au fil des minutes, mon ventre devient beaucoup plus tolérant. Il ne doit être en moi que d’une dizaine de centimètres, mais je décide d’arrêter toute progression. Le but n’étant pas de m’éventrer, je vais et viens en remontant lentement. Je cherche maintenant à revenir lentement jusqu’à la base du gland pour mieux le reprendre en moi et ainsi m’habituer à son énorme sexe. Accompagner par ses encouragements, je commence à éprouver du plaisir à le contenir, à le sentir coulisser en moi.
La queue de Stéphane m’avait beaucoup impressionné avec ses 20 x 5. Elle avait suscité beaucoup d’appréhension de ma part, mais donné tant de plaisir dès les premières minutes critiques écoulées. Celle-ci est beaucoup plus volumineuse, beaucoup plus large, me donne le sentiment d’avoir atteint mes limites, mais avec une amplitude croissante mon cul reçoit ce monstre dont la tête dilate mes intestins. D’incroyables frissons s’emparent régulièrement de tout mon être, des sensations qui me prédisposent au plaisir. Cette intense stimulation m’oblige à descendre toujours plus bas sur son vît. Il me motive en disant que je vais lui gober son gros dard tellement je l’aspire fort, que je suis du genre à en redemander, et qu’il va m’en donner tant que j’en veux. Ces mots me dynamisent, me mettent en confiance, et c’est avec toujours plus d’entrain que je m’empale. La gêne et les tiraillements se dissipent au profit d’un plaisir naissant.
— Ooohhh,.. Que c’est bon. Putain que c’est bon ! criais-je, la tête toujours dans son cou. Elle est énorme, mais c’est ça qui est bon.
— Tu t’y habitues à ma grosse quéquette, hein ! Tu sens ma chaleur dans ton ventre ?
— Je ne sens pas que ça, m’écriais-je en haletant.
Cela fait un bon moment que je fais des va-et-vient en veillant à bien respecter les contractions de mon sphincter, une bonne quinzaine de centimètres m’investissent maintenant, et si on veut progresser, il va falloir trouver l’accord qui nous convient. La massue de chair glisse hors de moi en me redressant, mais je n’ai pas le sentiment que mon cul s’est refermé pour autant.
En un rien de temps, j’ouvre le clic-clac et en arrache la housse. Pas mal de copines se sont retrouvées sur ce lit lorsque le flirt se déroulait comme prévu, et cette pensée me traverse l’esprit à cet instant. Ce soir, c’est bien moi qui ouvre le lit, mais c’est également moi qui écarte les jambes !
Lorsque l’on se retrouve sur le lit, il se place contre moi, l’énorme barre plaquée dans mon dos. Je le saisis à pleine main et le guide entre mes fesses. Sans le moindre heurt, il me possède de nouveau. Mon rectum se détend instantanément sur son passage, m’offrant les sensations que j’attends d’une pénétration anale. Je ne cherche pas la performance, ni à confectionner un tableau de chasse. Je n’aspire pas à me faire démonter ou casser le cul ni à être “la femelle” d’un mec ! Je prends seulement beaucoup de plaisir à me faire prendre, lorsque cela est bien fait. Et un sexe très large...
C’est maintenant à lui qu’incombe le mouvement. La position “en cuillère” est plus relaxante pour moi. Les reins bien cambrés, je tiens sa queue par la base, lui à posé sa main sur mon pubis et s’engage par petites poussées. Ses coups de reins sont respectueux, sa queue me pénètre toujours davantage en m’irradiant de sensations que je n’aurais jamais pensé être aussi enivrantes, dynamisantes. Un véritable paradoxe entre éclatement et plaisir, ou plutôt un délicieux mélange des deux. En fait, sa queue est une pompe à endorphine et chaque passage de son nœud m’injecte une dose de bienêtre.
Plus il s’enfonce, plus il me stimule par des mots crus, plus j’aime ce qu’il me fait, et lui demande même d’aller un peu plus profond maintenant. L’épaisse hampe glisse hors de moi pour y revenir toujours plus librement. Il réitère quelques fois cette manœuvre qui m’excite terriblement, à tel point que j’envoie les fesses en arrière pour le retrouver au plus vite dans mon ventre. Et ce sont de véritables bouffées de chaleur qui se diffusent sur mon visage lorsqu’il propulse son nœud. Ses couilles butent maintenant régulièrement mes fesses, ce sont donc bien plus de 20 cm qui me pénètrent et me submerge de plaisir. La tête m’en tourne, saoule de toutes les infos que mon esprit doit gérer, sans compter les mots crus qui décuplent mon excitation. Il n’est en aucun cas vulgaire ou irrespectueux, il est simplement incroyablement stimulant, sexuellement comme cérébralement.
Pendant une éternité, il me baise avec tendresse, n’ayant besoin de reculer que de quelques centimètres avant de revenir échouer son pubis contre ma croupe. Lorsque de nouveau il quitte mon ventre et son gland se dégage de mon anus, un drôle de sentiment m’envahit tant il m’a habitué à l’obésité de sa hampe. Un vide immense se fait sentir, et c’est comme si tout l’air frais de la pièce emplissait mon rectum. Méticuleusement, il parcourt alors ma raie de son large gland, puis me demande si je veux encore de lui.
- Ouiiii, remet-la moi, s’il te plaît. C’est trop bon. l’implorais-je en étreignant les draps à pleine main. Encule-moi tout doucement, rempli-moi de toi. Tu vas me faire hurler !
Et il se renfonce en m’arrachant des râles de bonheur. Je n’aurais jamais pensé devenir vulgaire en me faisant prendre, mais j’ai dans les veines un mélange d’hormones, je dois être proche de l’overdose. Il est loin de me labourer et ne cherche pas à abuser de la situation ! Il va et vient régulièrement, ce n’est que le fait que sa queue est... immense ! Pas besoin d’en faire beaucoup pour donner un maximum de sensations. Il est en train de me faire découvrir toute la magie d’une grosse queue bien employée. Je voudrais que le temps s’arrête et surfer indéfiniment sur cette vague de plaisir.
Sans trop m’en rendre compte, je me retrouve à plat ventre, mes cuisses jointes entre les siennes. Il me semble encore plus long et c’est comme si je n’avais plus de bas ventre. Je répète en boucle qu’il me baise trop bien, que j’adore sa queue ; je lui parle de ses couilles qui ballottent à la naissance de mes fesses, lui crie qu’il peut jouir en moi, que je veux tout de lui, qu’il peut me baiser où et quand il le désire, autant qu’il le désire.
— Tu en veux encore ? Tu veux que je te prenne encore un peu ? Mets-toi à quatre pattes.
Il se retire le temps de me redresser et déjà je lui tends ma croupe pour qu’il se glisse entre mes jambes. Lorsqu’il pose son nœud à l’entrée, j’envoie mon cul en arrière en passant ma main entre mes jambes pour lui saisir les couilles. Sa dague plonge en moi, ses mains saisissent mes hanches, et en trois grandes poussées il est tout au fond. Un bonheur indicible me submerge instantanément, la tête m’en tourne, de terribles bouffées de chaleur m’asphyxient, et pourtant il me faut de l’action.
— Qu’est-ce qu’il est bon ton joli cul ! C’est un plaisir de te prendre. On te l’a déjà dit ?
— Oui, mais personne ne m’a donné autant de sensations. Remplis-moi de ta queue, de ton foutre !
Je l’implore de s’activer, arguant que mes fesses sont dédiées à son plaisir, que j’aime que ses couilles battent les miennes et que je voudrais qu’il me remplisse de sperme. Les quelques centimètres supplémentaires qu’il m’enfonce, s’il distendent monstrueusement mon ventre, provoque un électrochoc. Il accélère le rythme crescendo, répond à mes attentes en portant davantage ses coups. Ses burnes copulent avec les miennes, j’en crie de plaisir, le ventre en feu, la tête remplie d’éclaires multicolores, submergées par le sentiment de plus être en capacité de gérer.
Je ne suis qu’un tunnel de chair traversé par le train du bonheur. Tout s’emballe lorsque mon enculeur crie qu’il va décharger. Sans savoir pour quelle raison, je n’ai alors qu’à agripper fermement mes bourses pour qu’à mon tour je commence à éjaculer, le goût de son foutre intensément présent dans ma bouche. Je tutoie l’orgasme anal, le vrai, sans réellement le savoir.
Ses doigts soudainement crispés dans la chair de mes hanches, il me propulse à plusieurs reprises sa turgescence aux confins de mes intestins pour y déverser sa semence en longues giclées. En réaction, je jouis bruyamment sous ses assauts finals, l’anus secoué de multiples spasmes. Il ne m’est pas vraiment possible de ressentir distinctement ses jets de sperme. Mais je perçois très nettement son nœud qui se dilate à chacune de ses salves, immédiatement suivi d’une sorte d’effervescence brûlante, sortes d’étranges gargouillis, comme si des bulles éclataient au bout de sa queue.
Au-delà de ces intenses sensations physiques, il y a surtout cette extrême plénitude, cette béatitude qui m’envahit. Faire l’amour avec une femme, la pénétrer et gérer sa propre endurance pour lui permettre d’accéder à sa jouissance est une chose merveilleuse pour un homme. Mais croyez-moi, pouvoir se libérer mentalement de cette “obligation de résultat” afin de devenir totalement passif (mais certainement pas inactif !), de ne plus aller chercher le plaisir, mais de le recevoir tel un cadeau est une expérience hors du commun, une véritable offrande que nous fait notre partenaire.
Il s’immobilise enfin, immense, que dis-je, gigantesque, et pourtant son plaisir continue de se diffuser en moi comme une onde se propageant en vaguelettes à la surface d’une étendue d’eau. Ses doigts quittent mes hanches, redeviennent caressants et parcourent maintenant mon dos.
Je me sens soudain incroyablement bien. J’ai joui d’une façon totalement inattendue, incomparable à ce que Stéphane m’avait fait vivre. Je pense avoir été beaucoup plus libéré et disposé ce soir ; j’avais terriblement besoin d’un homme. Les circonstances m’ont permis de l’apprécier, de savourer l’instant.
Repus, imbriqués l’un dans l’autre, nous glissons sur le côté, savourant ce calme après ce splendide orgasme. En quelques minutes silencieuses, je le sens retrouver une taille plus raisonnable au creux de mes reins, en appréciant la douce chaleur qui tapisse encore mon ventre, le calme après la tempête, en quelque sorte.
Toutes sortes de pensées vont et viennent dans mon esprit cotonneux, jusqu’à ce que je ressente le besoin de le remercier pour ce qu’il vient de me faire vivre. Nous avons longuement parlé ce soir-là, allongés sur le lit. Nous avons fait plus ample connaissance. Étrangement, pas le moindre sentiment de gêne n’est venu polluer cet échange, alors qu’en général, après l’orgasme, la plupart des hommes ne pensent qu’à se rhabiller et partir. Je l’ai sucé de nouveau avec énormément de tendresse jusqu’à lui dérober sa douce semence. Il n’est reparti que bien plus tard, après avoir échangé nos coordonnées et qu’il ait pris une douche. Je restais nu ce soir-là ; de mon anus délicieusement ouvert en endolori s’écoulait régulièrement un peu de son sperme.
Nous nous sommes revus plusieurs fois et ça a toujours été un festival. Nous n’avons jamais utilisé de préservatifs. Le sida faisait à peine parler de lui et nous n’avions pas conscience du danger que représentaient nos pratiques. C’est un peu après Patrick que j’ai commencé à me protéger. J’ai certes eu beaucoup de chance de passer à travers ; j’ai pu connaître le sexe nature, déguster de belles queues et recevoir leur sperme tant en bouche qu’ailleurs. Ces plaisirs sont aujourd’hui soumis à tellement de conditions qu’ils ne sont pratiquement plus envisageables.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Superbement excitante. Vivement la suite que j'attends avec impatience déjà.
cette histoire est a la fois tendre et érotique, personnellement cela m'a fait penser a une relation forte mm si mon amant n'avait pas un membre aussi gros que celui de cette histoire, mais la sensation et la complicite sont bien rendues ds ce récit,
très belle écriture , histoire très "émouvante" d'un érotisme torride avec un souci du moindre détail . du vécu !
C'est vraiment magnifique... j'ai eu l'occasion de connaître le plaisir avec des sexes vraiment énorme et le plaisir dépasse totalement la douleur...
Superbe histoire avec la nostalgie d'une époque révolue