Bizutage
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Bizutage
Myriam taquine Martine par jeu, ravie d’avoir quelqu’un à asticoter.
-Ne fais pas cette tête ! Lui fait-elle.
Martine lui lance un regard sombre et vide d’un trait le reste de café.
Myriam pivote son siège de mon côté et lance sa jambe à mon assaut.
Myriam a la quarantaine à l’époque, mère de famille. Elle est simple et sans embrouille, mais très portée sur le sexe. Très typée puisqu’elle est Tunisienne, elle est pas moins depuis pas mal de temps ma maîtresse. Et il ne se passe pas une semaine sans qu’en est une relation sexuelle torride. Mais ça personne ne le sait.
Mais ce soir je ne sais pas pourquoi Myriam a besoin de se montrée. Et la voilà qui de la plante des pieds, elle masse mes testicules à travers l’étoffe de mon pantalon, me fixant de ses yeux sombres.
Je suis dans l’incapacité de la repousser, et cela malgré la présence de Martine. Sans parfaitement connaître cette dernière, puisqu’en vient nous l’octroyer dans l’équipe, je la devine réservée, pas du genre à dire ce qu’elle voit. La cinquantaine, rousse aux jambes musclées.
Donc Myriam dans son mouvement a fait remonter sa jupe sur ses cuisses, révélant la bosse de son sexe gainé de nylon blanc.
-Ça tombe bien qu’on soit tous les trois. Lâche Myriam, j’ai envie que notre tout nouvelle collègue Martine voit quel bon collègue tu es, Alain !
J’perçois Martine se raidit et ses joues se colorées.
-Tu sais Martine, ajoute Myriam, ta venue dans le groupe mérite un bizutage, comme d’autre avant toi.
A sa voix je sens qu’elle ne plaisante pas.
-Pourquoi est-ce que tu dis cela ? Réagit Martine.
Myriam éclate de rire.
- Comment trouves-tu Alain physiquement bien sûr ?
- Charmant !
- Donc tu ne serais pas contre de passer un bon moment avec lui ?
- C’est bien ce que je suis en train de faire !
- Allons pas de comédie avec nous Martine ! Lâche-t-elle, en se levant et on se dégrafant sa jupe, qu’elle laisse tomber sur le sol, avant de faire rouler son slip sur ses hanches.
- Je pense que tu vas nous adorer !
Je me retrouve une fois n’est pas coutume, le témoin des jeux vicieux de Myriam. Avec Martine dans le rôle de la victime. Nue à partir de la taille, Myriam écarte les jambes, puis, jugeant que ce serait insuffisant, pose son pied sur la chaise pour mieux exhiber son sexe renflé. Son pubis rasé s’entrouvre d’une manière obscène sur les babines trop longues recroquevillées d’être restées longtemps confinées dans la culotte de nylon.
-Je suis toute trempée !
Du bout des doigts, la voilà qui déplie les longues lèvres, fait saillir son gros bouton. Je vois dans ses yeux la même lueur lubrique que lors de chacun de nos relations sexuelles.
-Tu me suce Alain ! Montre comment tu te débrouilles bien à notre nouvelle collègue !
Je pivote de ma chaise, et approche mon visage du sexe rasé et y pose les lèvres. Je me mets à frissonner en embrassant les chairs lisses odorantes et renflées du pubis. Je sors la langue et la passe sur la fente. Je monte et descend le long des lèvres fripées aux goûts acidulés, les repoussant, fouillant les replis avec une application gourmande.
-Oui, comme ça ! Comme d’habitude c’est bon !
Rien ne m’excite autant que d’être traitée comme un esclave du sexe ! J’aspire les longues babines entre mes lèvres, les étirent avant de les ravaler, aussi loin que je le peux, frottant mon visage contre la vulve luisante, suçotant le bouton gonflé. Myriam passe la main dans mes cheveux. Me flattant comme un animal de compagnie.
-Qu’attends-tu ? Lance-t-elle à l’égard de Martine. Cela ne te fait rien de nous voir ?
Avec des gestes fébriles, elle aussi se débarrasse de sa robe. Dessous elle porte une guêpière de dentelle noire, qui laisse libre une bonne partie de ses seins. Il ne m’en fallait pas plus pour me faire monter le degré de mon excitation. Je décolle néanmoins ma bouche du sexe de Myriam pour m’approcher de Martine.
- Pour ton bizutage, il serait bien que tu t’occuper de lui !
- C’est ça le droit d’entrée ?
- Oh sache ma belle, que je n’autorise pas à tout le monde de toucher mon Alain !
Cela fait sourire Martine. La bouche entrouverte, les yeux rivés aux miens, la voilà qu’elle glisse les deux mains entre ses cuisses. Elle se masturbe. Encouragé je défais mon pantalon, baisse mon slip et dirige ma queue vers la bouche de Martine qui la reçoit, passive, entrouvrant même les lèvres pour absorber le gland.
Sans cesser de se caresser et de geindre, elle me suce avec application. Creusant les joues pour mieux m’aspirer, elle fait rouler sa langue autour du gland, me tète à petits coups.
Myriam, pour sa part, elle s’est assise pour mieux suivre la scène qu’en lui offre. Un peu de sueur perle sur son front. Cuisses largement écartées, elle se caresse mollement. Plutôt que pour jouir, c’est pour m’exciter qu’elle fait ça. En prenant la peine de m’exhiber sa vulve tondue, avec ses longues lèvres chiffonnées encore luisante de ma salive.
Martine pousse un cri, ses mouvements s’accélèrent, comme pour marquer son agrément, elle lève vers moi des yeux brillants.
Je me retire d’entre ses lèvres, dès que je sens mes reins se nouer. Luttant contre mon plaisir, je serre mes doigts autour de ma tige. Dirigeant mon gland sur le visage soumis de Martine. Lorsque la première giclée vient lui cingler le front, elle ferme les yeux par réflexe, mais ne se détourne pas pour autant. J’éjacule abondamment, la souillant de coulées gluantes, sous les encouragements de Myriam.
-Vas-y, arrose-la, je sens qu’elle aime ça !
Je plaque ses lèvres sur son mamelon, l’aspire vigoureusement, et ma langue entame une danse endiablée avec le téton qui n’en réclame pas tant, pas si vite, pas si fort, et qui se dresse comme pour donner le change au muscle qui l’entortille vigoureusement.
À cet assaut, Martine gémit sourdement, expire bruyamment, et tout son corps semble se relâcher d’un seul coup.
-Eh bien ! Fait Myriam tu as l’air d’aimer ça la coquine !
Je demande à Myriam de venir m’aider à débarrasser Martine de sa guêpière. Là je mordille, mes lèvres bondissent rapidement sur l’autre téton pour lui administrer un traitement assez semblable.
La respiration de Martine est devenue saccadée. De la langue et des lèvres, j’arpente les contours de son ventre creusé depuis son sternum, je parcours les abords du nombril du bout de la langue, je m’amuse à le fouiller, lentement, je m’attarde quelques secondes et reprend ma folle descente jusqu’à la frontière de son slip.
Des dents, je tiraille sur l’élastique, doucement. J’avance ma langue dessous, jusqu’à atteindre les premiers poils rêches. Martine s’effondre dans un long soupir de soulagement.
Et très vite un spasme court secoue son ventre, et un effluve se diffuse à mes narines. Martine expire longuement. Je ne pense plus à rien d’autre qu’à son plaisir, et elle se lâche, la coquine. Un nouveau spasme la secoue, la tord brutalement, sous les yeux ravis de Myriam.
Je promène mes lèvres sur le tissu, sur le côté, les frotte de haut en bas, le long de ses grandes lèvres. Je fais glisser ma main le long de sa hanche, Martine soupire profondément. Je l’assaille de toutes parts, de mes mains, de ma bouche. Mes doigts se faufilent sous l’élastique de son slip, les longent d’un côté à l’autre, reviennent, plongent vers une fesse. Martine se cambre, pour m’inciter à continuer mes découvertes.
Je tire sur la culotte de Martine. Comme instinctivement, elle soulève les fesses. Je tire doucement sur le nylon et emmène sa culotte jusqu’à mi-cuisses. Sa vulve n’est qu’à quelques centimètres de mon visage. Ma langue s’approche et parcourt ses lèvres toutes humides. Le goût en est un peu âcre. Un mélange de cyprine, de sueur, et probablement quelques légères traces d’urine. Tout ceci est venu si vite, si spontanément, poussées par une irrépressible envie, nous n’avons bien évidemment pas eu le temps de faire une toilette intime. Tant pis, le désir est le plus fort, je me mets à lécher avec avidité le sexe offert de ma chère collègue.
C’est alors que Myriam m’incite à me placer au-dessus d’elle, en tête-bêche. Une fois positionné, je me remets au travail, je lape sa chatte. Martine pousse un long soupir, un très long soupir. Je ne suis pas mécontent de lui donné autant de plaisir. Mais je reste tout de même sur ma faim, moi. Va-t-elle se montrer égoïste ?
Il me faut encore patienter un peu, pour qu’enfin elle daigne bien vouloir prendre l’initiative de me donner autant de plaisir que je lui donne. Instinctivement, elle m’empoigne, comme par réflexe, la queue. Elle souffle doucement sur mon gland. Je pousse un long gémissement rauque pour informer à Martine que j’apprécie sa caresse. Elle souffle à nouveau, plus fort, par petits à-coups. Je sens la pointe de sa langue qui me lape. J’étouffe un nouveau cri et je plonge à nouveau mes lèvres sur le bouton décapuchonné de désir. Je l’aspire, comme j’avance mes hanches, sans brusquerie, mon gland venant se placer à l’entrée de la bouche de Martine.
Je fais aller ma langue au plus profond de son vagin, Martine est en train de me rendre fou, je ne peux retenir quelques gémissements de plaisir. Ma langue fouille, s’insinue entre ses chairs, lui arrachant aussi des cris étouffés.
Petit à petit, j’entame une remonté insidieusement vers l’objet de mes désirs. Son clitoris, fièrement dressé, qui n’est plus qu’à quelques millimètres de ma langue.
Je ressens une violente décharge de plaisir tant Martine me pompe bien, sous les encouragements de Myriam. Je fais de même, faisant tourner ma langue autour de son bouton. Je tourne, tourne, passe dessus de temps en temps, tourne autour à nouveau. Je le prends entre mes lèvres et me mets à le sucer comme je l’aurais fait avec une petite bite. Cela déclenche des soubresauts qui agitent soudain Martine, et elle me fait pareil avec ma queue, m’offrant d’indescriptibles sensations qui me font monter de plus en plus haut à la jouissance.
Nos langues s’acharnent avec passion, nous procurons des vagues successives de sensations indescriptibles. Martine jouit soudainement, avec force et exaltation.
Emporter dans son délire, la voilà qui encercle d’une main mon sexe et place l’autre main sous ses couilles. J’expire bruyamment. Elle commence à faire aller et venir doucement sa bouche sur ma queue gonflée à tout rompre, s’arrête brusquement, le gland contre le palais. Elle serre ma hampe, je gémis. Avec de petits coups de reins j’essais de faire coulisser mon sexe entre ses lèvres.
Je lèche, elle suce. Me garderait-elle en bouche jusqu’à la fin ?
Je préfère comme j’ai fait plus tôt me retirer au tout dernier moment et gicler sur son menton, sur sa poitrine voir même sur ses lèvres. Au même instant, la jouissance terrasse de nouveau Martine.
Il est temps pour moi de penser à ma jouissance. Je me retire de la bouche de Martine, et je suis tout de suite pris en charge par Myriam. Me prenant en main, elle glisse mon gland devant l’entrée de son sexe et s’empale doucement. Sa chatte s’ouvre et m’absorbe, non sans un gémissement. Elle est brûlante et je sens que mon sexe glisse bien dans cette mouille. Elle descend jusqu’à ce qu’elle me fourre au fond de son vagin, puis elle reste immobile.
- Tu peux comme les fois précédentes jouir dans ma chatte. Me fait-elle poliment.
Elle bouge doucement son conduit brûlant et s’active jusqu’à m’arracher des cris de jouissance. Ses gros seins bougent au rythme imposé par elle-même. Je ne sais plus si je dois jouir ou si je dois me maîtriser face à elle. Mais vaincu par le désir, je sens que je ne peux plus lutter.
Je sens le corps de mon amante se cambrer et surtout je sens au niveau de mon sexe une inondation de mouille m’éclabousser mes couilles et mon bas-ventre. Elle ne cache pas son plaisir, le partageant avec Martine, et hurle comme une folle en gigotant dans tous les sens, mon sexe fiché dans le sien. Les contactions se font et je viens à mon tour de cracher toute ma semence dans ce sexe brûlant et humide.
Allongées toutes les trois au sol. Sonnées par notre jouissance réciproque. Nous restons de longues minutes à contempler le plafond. Nos mains s’égarent, nos doigts se mêlent. Je me sens bien. Martine et Myriam aussi. J’aime être l’amant de Myriam. Nous sommes si bien ensemble.
Mais les meilleures choses ont une fin. Nous nous rhabillons à regret.
De retour chez moi, je fais le point. Et maintenant qu’allait-il bien pouvoir se passer entre moi et Martine. Je devrais sans doute faire comme s’il ne c’était rien passé. Voir comment elle allait réagir ? Oui je pense que je vais faire cela !
-Ne fais pas cette tête ! Lui fait-elle.
Martine lui lance un regard sombre et vide d’un trait le reste de café.
Myriam pivote son siège de mon côté et lance sa jambe à mon assaut.
Myriam a la quarantaine à l’époque, mère de famille. Elle est simple et sans embrouille, mais très portée sur le sexe. Très typée puisqu’elle est Tunisienne, elle est pas moins depuis pas mal de temps ma maîtresse. Et il ne se passe pas une semaine sans qu’en est une relation sexuelle torride. Mais ça personne ne le sait.
Mais ce soir je ne sais pas pourquoi Myriam a besoin de se montrée. Et la voilà qui de la plante des pieds, elle masse mes testicules à travers l’étoffe de mon pantalon, me fixant de ses yeux sombres.
Je suis dans l’incapacité de la repousser, et cela malgré la présence de Martine. Sans parfaitement connaître cette dernière, puisqu’en vient nous l’octroyer dans l’équipe, je la devine réservée, pas du genre à dire ce qu’elle voit. La cinquantaine, rousse aux jambes musclées.
Donc Myriam dans son mouvement a fait remonter sa jupe sur ses cuisses, révélant la bosse de son sexe gainé de nylon blanc.
-Ça tombe bien qu’on soit tous les trois. Lâche Myriam, j’ai envie que notre tout nouvelle collègue Martine voit quel bon collègue tu es, Alain !
J’perçois Martine se raidit et ses joues se colorées.
-Tu sais Martine, ajoute Myriam, ta venue dans le groupe mérite un bizutage, comme d’autre avant toi.
A sa voix je sens qu’elle ne plaisante pas.
-Pourquoi est-ce que tu dis cela ? Réagit Martine.
Myriam éclate de rire.
- Comment trouves-tu Alain physiquement bien sûr ?
- Charmant !
- Donc tu ne serais pas contre de passer un bon moment avec lui ?
- C’est bien ce que je suis en train de faire !
- Allons pas de comédie avec nous Martine ! Lâche-t-elle, en se levant et on se dégrafant sa jupe, qu’elle laisse tomber sur le sol, avant de faire rouler son slip sur ses hanches.
- Je pense que tu vas nous adorer !
Je me retrouve une fois n’est pas coutume, le témoin des jeux vicieux de Myriam. Avec Martine dans le rôle de la victime. Nue à partir de la taille, Myriam écarte les jambes, puis, jugeant que ce serait insuffisant, pose son pied sur la chaise pour mieux exhiber son sexe renflé. Son pubis rasé s’entrouvre d’une manière obscène sur les babines trop longues recroquevillées d’être restées longtemps confinées dans la culotte de nylon.
-Je suis toute trempée !
Du bout des doigts, la voilà qui déplie les longues lèvres, fait saillir son gros bouton. Je vois dans ses yeux la même lueur lubrique que lors de chacun de nos relations sexuelles.
-Tu me suce Alain ! Montre comment tu te débrouilles bien à notre nouvelle collègue !
Je pivote de ma chaise, et approche mon visage du sexe rasé et y pose les lèvres. Je me mets à frissonner en embrassant les chairs lisses odorantes et renflées du pubis. Je sors la langue et la passe sur la fente. Je monte et descend le long des lèvres fripées aux goûts acidulés, les repoussant, fouillant les replis avec une application gourmande.
-Oui, comme ça ! Comme d’habitude c’est bon !
Rien ne m’excite autant que d’être traitée comme un esclave du sexe ! J’aspire les longues babines entre mes lèvres, les étirent avant de les ravaler, aussi loin que je le peux, frottant mon visage contre la vulve luisante, suçotant le bouton gonflé. Myriam passe la main dans mes cheveux. Me flattant comme un animal de compagnie.
-Qu’attends-tu ? Lance-t-elle à l’égard de Martine. Cela ne te fait rien de nous voir ?
Avec des gestes fébriles, elle aussi se débarrasse de sa robe. Dessous elle porte une guêpière de dentelle noire, qui laisse libre une bonne partie de ses seins. Il ne m’en fallait pas plus pour me faire monter le degré de mon excitation. Je décolle néanmoins ma bouche du sexe de Myriam pour m’approcher de Martine.
- Pour ton bizutage, il serait bien que tu t’occuper de lui !
- C’est ça le droit d’entrée ?
- Oh sache ma belle, que je n’autorise pas à tout le monde de toucher mon Alain !
Cela fait sourire Martine. La bouche entrouverte, les yeux rivés aux miens, la voilà qu’elle glisse les deux mains entre ses cuisses. Elle se masturbe. Encouragé je défais mon pantalon, baisse mon slip et dirige ma queue vers la bouche de Martine qui la reçoit, passive, entrouvrant même les lèvres pour absorber le gland.
Sans cesser de se caresser et de geindre, elle me suce avec application. Creusant les joues pour mieux m’aspirer, elle fait rouler sa langue autour du gland, me tète à petits coups.
Myriam, pour sa part, elle s’est assise pour mieux suivre la scène qu’en lui offre. Un peu de sueur perle sur son front. Cuisses largement écartées, elle se caresse mollement. Plutôt que pour jouir, c’est pour m’exciter qu’elle fait ça. En prenant la peine de m’exhiber sa vulve tondue, avec ses longues lèvres chiffonnées encore luisante de ma salive.
Martine pousse un cri, ses mouvements s’accélèrent, comme pour marquer son agrément, elle lève vers moi des yeux brillants.
Je me retire d’entre ses lèvres, dès que je sens mes reins se nouer. Luttant contre mon plaisir, je serre mes doigts autour de ma tige. Dirigeant mon gland sur le visage soumis de Martine. Lorsque la première giclée vient lui cingler le front, elle ferme les yeux par réflexe, mais ne se détourne pas pour autant. J’éjacule abondamment, la souillant de coulées gluantes, sous les encouragements de Myriam.
-Vas-y, arrose-la, je sens qu’elle aime ça !
Je plaque ses lèvres sur son mamelon, l’aspire vigoureusement, et ma langue entame une danse endiablée avec le téton qui n’en réclame pas tant, pas si vite, pas si fort, et qui se dresse comme pour donner le change au muscle qui l’entortille vigoureusement.
À cet assaut, Martine gémit sourdement, expire bruyamment, et tout son corps semble se relâcher d’un seul coup.
-Eh bien ! Fait Myriam tu as l’air d’aimer ça la coquine !
Je demande à Myriam de venir m’aider à débarrasser Martine de sa guêpière. Là je mordille, mes lèvres bondissent rapidement sur l’autre téton pour lui administrer un traitement assez semblable.
La respiration de Martine est devenue saccadée. De la langue et des lèvres, j’arpente les contours de son ventre creusé depuis son sternum, je parcours les abords du nombril du bout de la langue, je m’amuse à le fouiller, lentement, je m’attarde quelques secondes et reprend ma folle descente jusqu’à la frontière de son slip.
Des dents, je tiraille sur l’élastique, doucement. J’avance ma langue dessous, jusqu’à atteindre les premiers poils rêches. Martine s’effondre dans un long soupir de soulagement.
Et très vite un spasme court secoue son ventre, et un effluve se diffuse à mes narines. Martine expire longuement. Je ne pense plus à rien d’autre qu’à son plaisir, et elle se lâche, la coquine. Un nouveau spasme la secoue, la tord brutalement, sous les yeux ravis de Myriam.
Je promène mes lèvres sur le tissu, sur le côté, les frotte de haut en bas, le long de ses grandes lèvres. Je fais glisser ma main le long de sa hanche, Martine soupire profondément. Je l’assaille de toutes parts, de mes mains, de ma bouche. Mes doigts se faufilent sous l’élastique de son slip, les longent d’un côté à l’autre, reviennent, plongent vers une fesse. Martine se cambre, pour m’inciter à continuer mes découvertes.
Je tire sur la culotte de Martine. Comme instinctivement, elle soulève les fesses. Je tire doucement sur le nylon et emmène sa culotte jusqu’à mi-cuisses. Sa vulve n’est qu’à quelques centimètres de mon visage. Ma langue s’approche et parcourt ses lèvres toutes humides. Le goût en est un peu âcre. Un mélange de cyprine, de sueur, et probablement quelques légères traces d’urine. Tout ceci est venu si vite, si spontanément, poussées par une irrépressible envie, nous n’avons bien évidemment pas eu le temps de faire une toilette intime. Tant pis, le désir est le plus fort, je me mets à lécher avec avidité le sexe offert de ma chère collègue.
C’est alors que Myriam m’incite à me placer au-dessus d’elle, en tête-bêche. Une fois positionné, je me remets au travail, je lape sa chatte. Martine pousse un long soupir, un très long soupir. Je ne suis pas mécontent de lui donné autant de plaisir. Mais je reste tout de même sur ma faim, moi. Va-t-elle se montrer égoïste ?
Il me faut encore patienter un peu, pour qu’enfin elle daigne bien vouloir prendre l’initiative de me donner autant de plaisir que je lui donne. Instinctivement, elle m’empoigne, comme par réflexe, la queue. Elle souffle doucement sur mon gland. Je pousse un long gémissement rauque pour informer à Martine que j’apprécie sa caresse. Elle souffle à nouveau, plus fort, par petits à-coups. Je sens la pointe de sa langue qui me lape. J’étouffe un nouveau cri et je plonge à nouveau mes lèvres sur le bouton décapuchonné de désir. Je l’aspire, comme j’avance mes hanches, sans brusquerie, mon gland venant se placer à l’entrée de la bouche de Martine.
Je fais aller ma langue au plus profond de son vagin, Martine est en train de me rendre fou, je ne peux retenir quelques gémissements de plaisir. Ma langue fouille, s’insinue entre ses chairs, lui arrachant aussi des cris étouffés.
Petit à petit, j’entame une remonté insidieusement vers l’objet de mes désirs. Son clitoris, fièrement dressé, qui n’est plus qu’à quelques millimètres de ma langue.
Je ressens une violente décharge de plaisir tant Martine me pompe bien, sous les encouragements de Myriam. Je fais de même, faisant tourner ma langue autour de son bouton. Je tourne, tourne, passe dessus de temps en temps, tourne autour à nouveau. Je le prends entre mes lèvres et me mets à le sucer comme je l’aurais fait avec une petite bite. Cela déclenche des soubresauts qui agitent soudain Martine, et elle me fait pareil avec ma queue, m’offrant d’indescriptibles sensations qui me font monter de plus en plus haut à la jouissance.
Nos langues s’acharnent avec passion, nous procurons des vagues successives de sensations indescriptibles. Martine jouit soudainement, avec force et exaltation.
Emporter dans son délire, la voilà qui encercle d’une main mon sexe et place l’autre main sous ses couilles. J’expire bruyamment. Elle commence à faire aller et venir doucement sa bouche sur ma queue gonflée à tout rompre, s’arrête brusquement, le gland contre le palais. Elle serre ma hampe, je gémis. Avec de petits coups de reins j’essais de faire coulisser mon sexe entre ses lèvres.
Je lèche, elle suce. Me garderait-elle en bouche jusqu’à la fin ?
Je préfère comme j’ai fait plus tôt me retirer au tout dernier moment et gicler sur son menton, sur sa poitrine voir même sur ses lèvres. Au même instant, la jouissance terrasse de nouveau Martine.
Il est temps pour moi de penser à ma jouissance. Je me retire de la bouche de Martine, et je suis tout de suite pris en charge par Myriam. Me prenant en main, elle glisse mon gland devant l’entrée de son sexe et s’empale doucement. Sa chatte s’ouvre et m’absorbe, non sans un gémissement. Elle est brûlante et je sens que mon sexe glisse bien dans cette mouille. Elle descend jusqu’à ce qu’elle me fourre au fond de son vagin, puis elle reste immobile.
- Tu peux comme les fois précédentes jouir dans ma chatte. Me fait-elle poliment.
Elle bouge doucement son conduit brûlant et s’active jusqu’à m’arracher des cris de jouissance. Ses gros seins bougent au rythme imposé par elle-même. Je ne sais plus si je dois jouir ou si je dois me maîtriser face à elle. Mais vaincu par le désir, je sens que je ne peux plus lutter.
Je sens le corps de mon amante se cambrer et surtout je sens au niveau de mon sexe une inondation de mouille m’éclabousser mes couilles et mon bas-ventre. Elle ne cache pas son plaisir, le partageant avec Martine, et hurle comme une folle en gigotant dans tous les sens, mon sexe fiché dans le sien. Les contactions se font et je viens à mon tour de cracher toute ma semence dans ce sexe brûlant et humide.
Allongées toutes les trois au sol. Sonnées par notre jouissance réciproque. Nous restons de longues minutes à contempler le plafond. Nos mains s’égarent, nos doigts se mêlent. Je me sens bien. Martine et Myriam aussi. J’aime être l’amant de Myriam. Nous sommes si bien ensemble.
Mais les meilleures choses ont une fin. Nous nous rhabillons à regret.
De retour chez moi, je fais le point. Et maintenant qu’allait-il bien pouvoir se passer entre moi et Martine. Je devrais sans doute faire comme s’il ne c’était rien passé. Voir comment elle allait réagir ? Oui je pense que je vais faire cela !
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Merci Renifleur pour ces délicieuses histoires
Cyrille
Cyrille