Bizutage rituel

- Par l'auteur HDS PLUME77 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Bizutage rituel Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-01-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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Bizutage rituel
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Issue d’un milieu modeste, Sophie petite blonde aux yeux bleus et à la peau claire de 18 ans, avait obtenu une bourse pour faire ses études supérieures. Son père employé à la voirie dans une petite ville du Tarn, lui avait enseigné le respect de l’autorité, la sienne en premier lieu, celle de ces institutions et la reconnaissance à la nation souveraine. Sa mère gardait des enfants en plus de son petit frère, qui avait huit maintenant. D’un naturel enclin à reconnaître l’autorité, elle avait bien réussi dans ses études, avec une mention au BAC, qui faisait la fierté de ses parents.

Ils se saignaient aux quatre veines pour lui payer une colocation avec deux autres filles qui étaient en seconde année dans la même FAC que leur fille. Le studio sous les toits au sixième étage sans ascenseur, était situé dans le cinquième arrondissement, il donnait sur une petite rue sombre et n’avait rien de grandiose. Vingt-cinq mètres carrés qui comportaient trois lits, une douche, un WC, une table avec trois chaises, une kitchenette aménagée et une penderie ou s’entassaient les vêtements des trois filles. Le studio appartenait au père de Clara, comme plusieurs appartements de l’immeuble.

D’entrée Sophie reconnaissait le leadership de Clara, la grande brune aux seins opulents et la seconde colocataire, Louane qui avait un air de faux-cul. Cette dernière était aux petits soins pour Clara avant son arrivée, elle semblait se venger de l’année précédente ou elle était son faire valoir. Le rôle de cette dernière s’inversait à l’arrivée de Sophie. C’est en effet elle que Clara choisissait pour être son larbin. Peut-être du fait qu’elle était une bleue à la FAC ou bien à cause de son âge, Sophie avait trois ans de moins que Clara qui redoublait sa première année de médecine. Sa taille était également une raison inavouée pour Sophie de subir la prépondérance de Clara, qui faisait une tête de plus qu’elle.

Toujours est-il que Sophie, elle était rebaptisée So par Clara, elle devait faire les tâches ménagères, les lits des deux filles et était corvéable à merci. Elle devait même assumer des tâches inavouables pour les deux autres. Elle avait essayé de rouspéter, mais Clara lui avait fait baisser les yeux et ordonné de le faire à chaque fois qu’elle s’adressait à elle, tout comme son père le faisait. La réminiscence des roustes que son père lui donnait, notamment les fessées cul nu à un âge avancé, avait raison de sa possible rébellion.




Sophie entrait en première année de FAC de médecine à Paris, le mot juste est université. Ses parents voulaient la meilleure école pour ses études. Elle avait entendu parler des bizutages et savait qu’ils étaient interdits depuis 1998 et le code de l’éducation. Le président organisait, par délégation c’est le syndicat étudiant qui s’en chargeait, une soirée d’intégration avec buffet, bal costumé et un jeu sans grande originalité. Toujours dans la légalité, il s’agissait pour les étudiants et étudiantes entrant dans la fonction de boire cul sec une bouteille d’eau d’un litre, en passant sous un portique fait de carton, y était inscrit des doctrines désuètes, comme la reconnaissance et l’obligation d’obéissance aux élèves plus anciens. Le bal animé par un élève de cinquième année avait un orchestre rock formé par des anciens de la FAC. So avalait sa bouteille d’eau en deux fois, ce qui lui valait les sifflets et quolibets des étudiants et étudiantes, Clara la disputaient devant l’assemblée qui l’avait sifflée. Un garçon qui s’était étouffé faisait la même erreur. Elle passait néanmoins une agréable soirée en discutant avec ce même garçon un peu timide avec qui elle buvait un coca-cola. Il était plutôt réservé et discret, il osait lui prendre la main, mais pas plus.

Le soir même Clara lui imposait un gage pour lui avoir mis la honte devant tout le monde. Elle devait se mettre nue, descendre dans la rue et embrasser le trottoir. Le ton de Clara ne supportait pas le renoncement et Louane, toujours incisive, y allait de ses menaces si elle refusait. So qui n’avait jamais quitté le giron familial et ne s’était jamais mise nue que devant les filles du club de natation, était impressionnée par la demande et se mettait à pleurer. Elle suppliait en se jetant à ses genoux, tout en baissant le regard, elle voulait que Clara lui demande ce qu’elle voulait, mais pas ça.




Clara ne lâchait rien, lui expliquait que c’était la règle du bizutage qu’elle avait raté. Elle lui faisait comprendre que la France entière était impactée par son manque de sérieux et que pour se racheter elle devait de son propre gré faire ce qu’elle lui ordonnait. Sinon elle serait obligée de prévenir son père et sa mère. Clara avait fait mouche, elle était fine psychologue. Las de refuser et rassemblant tout son courage, So abdiquait et acceptait d’obéir, la peur que ses parents puissent être informés, la glaçait d’effrois. C’est Louane qui devait l’accompagner pour vérifier qu’elle faisait bien son gage.

So était mise nue devant l’unique fenêtre ouverte en grand sur la rue. La proximité de la façade en face, l’étroitesse de la rue aidant, laissait la possibilité que quelqu’un puisse la voir. Dans un réflexe puritain elle croisait ses bras sur son torse, une claque et l’injonction de ne jamais cacher ses seins devant elle ou d’autre, lui remettait les idées à l’endroit.

So tremblait, mais ce n’était pas de froid. Elle regardait par-dessus son épaule pour voir si personne ne la regardait. Clara faisait durer le plaisir du déshabillage et lui faisait savoir qu’elle ne devait plus mettre ni culotte, ni soutien-gorge, que ses seins tenaient tout seuls car ils étaient trop petites pour être soutenue. Elle lui pinçait les tétons qui très sensibles dardaient de suite. Elle se moquait de la modestie de ses vêtements, elle ne portait que des marques, ce qui la positionnait un peu plus aux yeux de So. La toison découverte quand la culotte tombait, les faisait éclater de rire, So ne savait plus où se mettre tellement elle avait honte de ses poils en batailles.

« Mais ma fille, tu n’es plus à la campagne, ici c’est Paris, allez, on rase tout ça, c’est la honte si on te voit dans cet état-là devant chez nous. »
Louane avait déjà récupéré le matériel pour l’opération. So ne bougeait plus, les bras le long du corps, elle était comme paralysée. Clara la faisait monter pour s’allonger sur la table et remonter ses jambes pour avoir un accès plus facile à son ouverture. Louane faisait une photo de son sexe offert. So avait les yeux fermés, Clara assise face à sa chatte écarquillée, la jetait dans une telle honte qu’elle se disait qu’elle ne s’en remettrait jamais. Les deux filles s’amusaient comme des petites folles à humilier leur colocataire. Louane agitait la bombe à raser et en enduisait le pubis de So en dirigeant la mousse sur son entrejambe. Elle massait les poils et la chair pour l’enduire au maximum. Clara avait un rasoir rose et commençait par le dessous du nombril et descendait vers ventre, elle s’arrêtait au ras du clitoris, le titillant au passage avec le bout du doigt, le manche du rasoir finissait dans sa chatte. So n’était pas de bois et le bouton de rose s’épanouissait rapidement en montrant le bout de son nez décapuchonné. Sa cyprine perlait et les vexations des deux filles contribuaient à son envie de jouir.

Les filles regardaient So, les yeux baissés, elle ressentait une honte terrible et Clara lui rappelait qu’elle devait toujours avoir les lèvres entrouvertes au cas où elle aurait envie d’y glisser ce qu’elle avait envie. Louane devançait les désirs de Clara, elle introduisait deux doigts dans sa bouche et elle devait mimer une fellation alors que Clara la rasait. So laissait entendre un léger gémissement, ce qui amusait énormément Clara. Le débroussaillage, comme disait Clara, durait un moment et Louane lâchait la bouche pour s’occuper d’autres lèvres qu’elle écartait pour que Clara puisse faire un travail impeccable entre ses cuisses grandes ouvertes. La chair enfin lisse, les deux filles testaient la douceur de la peau, Clara rinçait la chatte grande ouverte et déjà luisante de cyprine de So. Elle n’avait pas l’habitude d’être regardée d’aussi près, surtout dans l’excitation qui la gagnait. Seul le gynécologue et ses parents qui l’accompagnaient ce jour-là, avaient pu voir d’aussi près son vagin. Elle se sentait encore plus nue maintenant, une légère fraîcheur arrivait sur sa chatte.

Louane prenait une photo en gros plan avant de l’aider à descendre de la table. Elle maniait son smartphone et faisait rapidement un montage avant et après. Elles s’esclaffaient toutes les deux et montraient la photo à So, qui ne savait plus oùse mettre, sa timidité légendaire remontait à la surface et elle rougissait comme une petite fille prise en faute. Sa fente rose apparaissait ouverte et offerte à qui voulait la voir, son clitoris montrait le bout de son nez recouvert de la cyprine qui brillait d’envie. Le moment redouté arrivait et Louane la prenait vigoureusement par la main pour l’entraîner à sa suite. Passer la porte du studio, elles commençaient à descendre l’escalier, So avait la peur au ventre de rencontrer un voisin. Arriver enfin au niveau de la rue, elle se précipitait pour embrasser le sol, pressé de remonter. Mais Clara à la fenêtre ne l’entendait pas de cette oreille.

« Fais-la pisser dans le caniveau la puppy girl. »
Elle bredouillait que ce n’était pas prévu, mais rien n’y faisait, Louane appuyait sur son dos pour l’empêcher de se relever et la traînait vers le caniveau. Heureusement qu’a trois du matin un jour de semaine, il n’y a pas foule dans le quartier. Elle s’accroupissait et se soulageait comme une petite chienne que sa maîtresse promène. Elle savait qu’elle avait tout intérêt à ne pas traîner et son jet puissant rebondissait sur le sol de granit des pavés, éclaboussant ses chevilles. Louane lui faisait secouer ses fesses pour terminer les dernières gouttes, disait-elle.

Des bruits se faisaient entendre au loin et Louane décidait qu’il était temps de remonter dans leur logis. La soirée se terminait par une dernière humiliation, So devait rester nue au-dessus de sa couette pour aérer son cul, Clara avait décidé qu’elle devait être nue le plus souvent possible pour effacer la honte d’avoir échoué à la soirée d’intégration. Clara lui interdisait de se caresser sans sa permission. So s’attendait à bien pire et s’endormait soulager d’avoir échappé à des turpitudes qu’elle imaginait bien pires. Elle aurait aimé se masturber tellement la soirée l’avait amené au bord de l’orgasme.

Les jours qui suivirent c’est Louane qui surveillait que So ne mette pas de sous-vêtement et que dès qu’elles étaient ensemble, So soit à poil, si l’on peut dire. Elle prenait goût à être nue sous sa jupe ou son pantalon. D’ailleurs Clara ne tardait pas à lui interdire de se couvrir les jambes et même de les croiser, sa chatte devait toujours lui être accessible. Elle allait même jusqu’à lui payer une robe, deux jupes et plusieurs chemisiers, qu’elle choisissait en fonction de ce qu’elle voulait pour So. Bien sûr le décolleter, la transparence et la longueur, était ce qui guidait son choix. Les trois premiers boutons des chemisiers ne devaient jamais être fermés, sous peine de punition.

Les soirées étaient autant d’épreuves redoutées par So. Clara et Louane inventaient toujours une humiliation nouvelle à lui faire subir. So en avait pris son partie et se laissait mener, elle y trouvait une espèce de plaisir malsain, sa soumission était actée et elle ne la remettait pas en question. Elle s’accommodait de ce que l’on exigeait d’elle, y mettait même un certain zèle. Elle se remémorait à ces moments-là, le mercredi qu’elle passait avec son grand-père qui la gardait lorsque ses parents étaient au travail. La similitude avec certaines attitudes était flagrante maintenant pour elle, la résilience était en marche pour lui apporter les éléments qui lui manquaient pour apprécier et expliquer pleinement sa situation actuelle.

Clara avait une aura reconnue à l’intérieur de la FAC et l’aisance que l’argent de son père lui apportait n’y était pas étrangère. Elle avait un petit ami, Jean-Eudes, qui était également le secrétaire du principal syndicat d’étudiants de la FAC et il avait la confiance du président de l’université, il connaissait personnellement le recteur.

Clara avait fait venir So dans le local du syndicat pour lui présenter son amoureux. Seulement ce n’était pas exactement ce que So croyait. La présentation avait tournée à l’exhibition d’entrée. Clara avait fait entrer So et à peine la porte refermée, elle lui soulevait la robe pour montrer comment elle l’avait rasé, à Jean-Eudes. Elle lui tripotait la chatte et les seins sans prendre aucune précaution a la rudesse de ses gestes.

Jean-Eudes assis derrière son bureau appréciait sans aucune gêne la situation, Clara avait bien manœuvré pensait-il. La robe ne tardait pas à passer au-dessus de la tête de So, la laissant nue les bras ballants face au jeune homme qui se rinçait l’œil sans complexe. La porte verrouillée par Clara, le jeune homme faisait le tour de la fille entièrement dévêtue devant lui, en spectateur intéressé. Mais il n’était pas question pour lui de toucher à la chose de sa petite amie, Clara ne l’aurait pas autorisé. C’était elle qui lui écartait les lèvres pour montrer l’intérieur rose de son vagin, une fois que So avait placé ses pieds le plus éloigné l’un de l’autre. C’est encore elle qui la faisait mettre à quatre pattes et marcher dans la pièce en obéissant sans retenue à ses ordres. C’est tout juste si elle tolérait qu’il la touche avec la règle plate qui lui servait à montrer au tableau noir, les points essentiels qu’il expliquait aux jeunes étudiants et étudiantes. Il ne se privait pas d’en user pour tester ses tétons en forme de tétines pour bébé, les faire bander bien dur en les tapotant. De même le passage de la règle entre ses lèvres offertes, procurait au garçon une érection bien visible au niveau de sa braguette.

« Bravo ma chérie, elle est bien dressée, nous allons pouvoir terminer le bizutage de ces deux minables. »
Le manège durait un moment et Clara s’amusait beaucoup avec sa petite chienne, elle arrivait à la faire aboyer, Jean-Eudes était ravi et embrassait goulûment Clara en regardant So dans la plus grande détresse, enfin c’est l’image qu’elle donnait. Clara tripotait Jean-Eudes au travers du tissu de son pantalon et elle pouvait voir entre les lèvres luisantes de So, le jus de la jeune fille excitée. Mais So aimait être ainsi exposée, Clara l’avait révélé à elle-même. Des coups à la porte interrompaient le trio et le responsable du syndicat étudiant était obligé de mettre un terme à la présentation.

Clara avait été très excitée par la prestation de So devant son petit ami et ne voulait pas en rester là. Elle entraînait So dans les toilettes pour qu’elle lui fasse une langue. Un pied sur la lunette des WC, Clara tenait So par les cheveux pour lui écraser la tête contre sa chatte aux grandes lèvres longues et violacées. So devait mordiller la chair, l’aspirer, s’en délecter. Elle qui n’avait jamais eu de relation saphique, était gâtée. Elle lui jutait dans la bouche et le visage complètement inondé So lui demandait si elle pouvait se faire jouir. Clara la courbait sur la porcelaine de la cuvette et enfonçait ses doigts dans la chatte lubrifiée. So criait son plaisir tellement fort, que Clara lui ballonnait la bouche de sa main libre. Le rapport avait été violent à l’image de leurs envies respectives et complémentaires. So en avait maintenant pleine conscience, elle était une soumise parfaite et se complaisait dans son rôle.




Rien n’arrête le bizutage quand son heure est venue.

Clara et Jean-Eudes avaient réservé une salle dans le sous-sol de la faculté, encombré de matériel médical obsolète, pour réunir So et la seconde personne qui avait raté le bizutage, à savoir Sylvain, étudiant en première année comme So. La complicité du gardien était nécessaire et l’homme, retraité de l’enseignement qui vivait dans la faculté, était présent en guise de récompense au service rendu. Louane la copine abonnée aux basses œuvres, était là aussi. Pour la cérémonie le couple de tourmenteur avait revêtu une robe d’avocat avec le chapeau assorti et chacun était muni d’une baguette longue et fine. Le décor était planté et il impressionnait les deux bizuths. Une table était dressée au centre de la vaste pièce et un damier était posé dessus, chaque carré était couvert, non pas de pions, mais avec des minis verres remplis d’un liquide blanc, de la vodka.

Clara prenait les choses en main, elle remerciait Roger le gardien de la confiance qu’il leur faisait et d’un coup de baguette faisait bouger les deux bizuths vers la table. Elle ordonnait à Louane de bien vouloir les mettre à poil tous les deux. Le vieux gardien nettoyait ses lunettes pour ne rien rater de la prestation qui lui était offerte. Louane pratiquait par alternance. Une pièce ôtée à So et une à Sylvain. Pour So le chemisier et la jupe enlevé, elle se retrouvait nue rapidement et comme Clara lui avait appris, jambe écartées les bras le long du corps, les yeux baissés et les lèvres ouvertes. Pour Sylvain, c’était un peu plus long. Le gilet, la chemise, le jean, les chaussettes et le caleçon, avant d’apercevoir une bite molle, mais large sur une paire de couilles bien remplies. Il tentait de dissimuler son service trois-pièces de ses mains, mais un double coup de baguette et la voix tonitruante de Clara remettaient les choses en place.

Jean-Eudes assis à côté de Roger, échangeait ses impressions avec ce dernier, la petite fente rose de So inspirait Roger qui réclamait de la voir mieux. Louane regardait Clara, qui d’un signe de tête lui donnait son accord. Louane guidait So devant les deux hommes et la faisait allonger au sol. Les jambes levées, Louane faisait l’honneur du corps de So en écartant sa chatte pour que les mâles puissent apprécier l’intérieur de la vulve de la jeune fille couchée à leurs pieds. Jean-Eudes ne pouvait s’empêcher de rentrer sa baguette entre les lèvres bombées de la proie offerte. La jalousie pointait son nez et Clara ordonnait à son petit monde de prendre place à la table. Il s’agissait de faire une partie de dames et de boire chaque verre, pris à l’adversaire. Louane veillait au bon déroulement de la partie et les verres vidés cul sec ne tardaient pas à faire effet. Roger avait droit lui aussi à boire la vodka, mais pas dans un petit verre, mais directement à la bouteille.

C’est Sylvain qui gagnait la partie et il avait le droit de se faire sucer par So. En fait ce n’était pas un droit, mais un ordre et il sautait sur l’occasion pour présenter sa bite qui avait gagné en longueur et rectitude à So. Louane l’avait mise à genoux et Clara tournait autour d’elle. Pendant la fellation So sentait la chaussure de Clara fouiller son sexe ouvert par la position écartée de ses cuisses. Elle haletait autant par le sexe qui fouillait sa bouche que par le pied qui se frayait un chemin dans son vagin. Elle jouissait rapidement par ce qu’on lui infligeait et déclenchait la foudre de Clara qui ne l’avait pas autorisé à prendre du plaisir. Elle prenait So par les cheveux et Sylvain se retrouvait la bite raide qui avait des soubresauts. Clara menait So aux pieds de Roger.

« Elle va vous sucer cette petite chienne en chaleur, n’hésitez pas à la maltraiter , elle adore ça. »
Roger défaisait son pantalon et laissait apparaître une bite bien en chair qu’il introduisait d’un coup entre les lèvres de So. Contrairement à Sylvain ce n’était pas la chaleur douce des lèvres qu’il cherchait, mais le fond de sa gorge ou il faisait glisser à grands coups de boutoir son sexe noueux. So cajolait ses couilles et il venait dans sa bouche, Clara ordonnait à So de ne pas avaler. Elle la faisait marcher à quatre pattes jusqu’à elle pour lui faire voir le sperme dans sa bouche et lui donnait la permission d’avaler ce nectar. Sylvain était contraint de se déplacer à quatre pattes également.

Elle les menait tous les deux vers un espace plus grand et les faisait jouer à saute-mouton. Le spectacle était divertissant et tous les quatre applaudissaient lors de passages difficiles. Ils se régalaient, les unes de voir la bite et les couilles de Sylvain aller en tout sens, les autres de voir les seins tressauter et la chatte s’ouvrir et se refermer à l’occasion des mouvements et des sauts. Clara et Jean-Eudes se servaient de leur baguette pour aiguiser ici et là certaines positions compliquées.

Les deux bizuths étaient en nage et devaient boire un litre d’eau d’un coup. Clara rappelait que s’ils n’y arrivaient pas cette fois-ci, ils seraient doublement punis et qu’il faudrait recommencer leur intégration. Ils passaient l’un et l’autre ce gage obligé avec brio. Louane proposait une punition pour So qui n’avait, à son avis, pas bien joué à saute-mouton. Clara et Jean-Eudes acceptaient le gage. Elle devait branler Sylvain avec la main gauche et le faire jouir avant qu’elle-même, pénétré avec un godemichet qu’avait amené Louane, ne jouisse. Sylvain se prêtait aux jeux sans réserve, il bandait toujours très fort. Le damier ôté de la table et So mise à plat ventre, était pénétré par l'olisbos que maniait Louane et de l’autre côté de la table, So branlait de la main gauche Sylvain. Louane s’acharnait tellement avec l’engin et lui titillait le clitoris en même temps, que So ne résistait pas à l’appel de l’orgasme, elle jouissait la première. Sylvain ne tardait pas à éjaculer et contrairement à ce qu’elle attendait, c’est Louane qui passait sa bouche autour de la bite du jeune étudiant pour récupérer son bon jus tiède.

La dernière épreuve orchestrée par Clara consistait à bander les yeux des deux participants et les mains attachées, ils devaient manger ce qu’on leur mettait dans la bouche. Pour corser le jeu, Sylvain avait une ficelle autour de la bite lestée d’un poids qui lui tirait le sexe vers le sol. So avait le godemichet fiché dans l’anus.

C’est Clara et son amoureux qui leur enfournaient la nourriture dans la bouche. Chacun devait dire ce qu’il mangeait avant l’autre. Ils testaient du chocolat, du sel, un cornichon, de la moutarde, du Nutella, du fromage, du citron, du beurre, une chips, un Marshmallow, de la noisette, de la farine, de la viande hachée et pour finir un asticot vivant.

Les bonnes réponses étaient partagées et même si la dernière était pour le moins équivoque, Clara leur donnait le droit de faire l’amour tous les deux . Ils baisèrent sur le sol devant quatre paires d’yeux attentifs à ce couple de bizuths qui avaient enfin réussi toutes les épreuves qualifiantes pour être acceptés au sein de la faculté de médecine.

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