black actif avec trav, première experience - histoire érotique

Je me rappelle comment tout à commencer. Je devais avoir quinze ans. J’étais dans le métro pour rentrer après avoir été au cinéma sur Paris. J’étais dans mes pensées, tout en écoutant mon lecteur cd quand une femme s’installe face à moi. Je ne fais pas attention, mais d’après le rapide regard, il s’agit d’une personne assez grande.
Au bout d’un moment, je relève la tête et croise son regard. Il ne me faut pas longtemps pour comprendre qu’il s’agit d’un travesti. Il est plutôt féminin, portant admirablement bien une belle robe noire. Mais c’est son regard qui trahit son appartenance sexuel. Je ne sais pas pourquoi mais j’ai été subjugué par cette personne. Je fis attention de ne pas me faire griller, mais j’aimais la contempler. Son visage, ses lèvres, sa fausse poitrine.

Je pense que c’est cette rencontre qui m’a donné envie d’ouvrir la porte du troisième sexe.

Même si la prise de conscience ne se fait pas de suite. Il faut attendre six ans pour que j’ose regarder ma première vidéo porno avec un travesti.
Je me suis toujours considéré comme un hétéro, hors de question qu’on touche à mon cul, mais pourtant j’avais envie de découvrir d’autres sensations. Je n’avais jamais sodomisé personne. Je me demandais ce que l’on pouvait ressentir en étant serré dans les fesses de quelqu’un.

Il m’a fallu attendre au moins un an avant que j’ose passer le cap. Merci internet. Il existe toujours des sites qui permettent de rencontrer des personnes pour du sexe.
Je réponds à une annonce, tout en glissant ma photo. Le lendemain, bingo, j’avais une réponse et une invitation pour le vendredi.

On était mercredi, j’avais deux jours devant moi. Dans deux jours, je ne serai plus le même homme, j’aurai découvert d’autres plaisirs pour le meilleur ou pour le pire.


Le jour J, les heures semblent passer lentement. Je m’ennuie terriblement en cours, ne pouvant pas m’empêcher d’imaginer ce qui m’attendait.
Lorsque 19 heures sonne enfin, je suis devant sa porte, à frapper trois coups dessus. Comme toute entrée théâtrale qui se respecte.

La dénommée Christelle ouvre la porte et je suis immédiatement subjugué par sa beauté. Je ne vous aucun traits masculin, juste une femme magnifique. Elle porte une nuisette noire transparente en soie. Cela lui donne un coté mante religieuse. Tous ses gestes sont délicats, doux et féminin. Je suis déjà sous le charme, sans même m’en rendre compte.

Son regard pervers affiché sur le visage laisse présager de belles choses pour la suite. Mais étant novice et timide, je n'ose soutenir très longtemps son regard.
Malheureusement ce moment est rapidement gâché par le regard qu'elle me jette ensuite. Comme si elle était déçue. Elle me dit qu'elle s'attendait à un sportif musclé.
Je le prends plutôt mal mais je le garde pour moi. Je me dis que c'est peut être un signe et que ce n'est pas mon heure de céder à la tentation.

Au moment où je m'apprête à faire demi-tour, elle me fait signe. Sans réfléchir plus longuement, je franchis les derniers pas qui me séparent d'elle.
Christelle ne cache pas sa déception et me dis qu'elle consent à me sucer pour le déplacement.
Je me dis que c'est déjà un début. Au moins j'aurai mis un pied dans ce nouveau monde.
J'ai déjà été sucé par le passé, toujours par une femme. On m'a toujours dis que les hommes savaient le mieux sucer mais je n'avais jamais tenté l'expérience.
Christelle se met à genou devant moi, voulant en finir rapidement. Lorsque tout d'un coup l'expression sur son visage change. Elle pensait découvrir un gringalet et finalement découvre un homme avec des jambes musclés. Je ne suis pas un amateur des salles de sport. J’ai toujours préféré le sport de chambre. Mais je m'entretiens, principalement en faisant des randonnées.
Elle me baisse rapidement le jeans qui se retrouve en quelques secondes à mes pieds. Elle écarquille les yeux de surprise et enfin son sourire revient. Elle commence à me caresser les jambes. Son contact est doux, électrique. Je me laisse faire, n'étant plus qu'une marionnette entre ses mains. Le contact de ses mains ajouté à celui de l'effleurement de sa nuisette sur mon corps, me fait ressentir une chaleur dans mon sexe. Une chaleur très, très agréable.
Elle m'embrasse les jambes tout en les cajolant, appréciant leurs forces. Mon sexe se dresse d'un coup, mû d'une excitation extrême. Il commence à me faire mal, coincé qu'il est dans mon caleçon.
En découvrant cela, Christelle rit, heureuse de son résultat.

- voyons la bête ! s'exclame-t-elle avant de retirer lentement le caleçon.
Mon cœur s'excite comme jamais dans ma poitrine. Je n'ai pas autant été excité depuis longtemps.

Elle continue son supplice en m'embrassant tout autour. Elle éclate de rire en me voyant autant désarçonné. Cela l'amuse de voir l'effet qu'elle produit sur ma pauvre personne.
D’un coup, elle enfonce ma queue dans la bouche. Elle l'enfonce profondément, avant de ressortir et de l'embrasser partout. Crachant dessus pour l’humidifier encore plus. Elle l'a reprend en bouche, donnant des petits coups de langue qui me plongent dans le nirvana. On ne m'a jamais sucé comme ça. Pourquoi je n'ai jamais connu ça avant? Ce n’est pas normal que ça soit aussi bon ! J’en veux encore et encore.
Étant un grand rêveur, j'ai parfois tendance à laisser mon esprit vagabondé. Mais pas cette fois. Je veux être dans le moment présent à 100% pour ne rien rater.
C’est mon dépucelage. C’est sans doute la première et la dernière fois qu'une telle situation m'arrive. Alors autant en profiter à fond.
Je l'entends gémir pendant qu'elle me suce avec plus de vigueur. Elle veut l'avaler tout entier et ne laissez aucune miettes. Elle fait un travail remarquable. Je baisse les yeux et voir sa tête s'activait sur mon sexe. Une image de toute beauté. J’adorais pouvoir l'immortaliser.
Soudain elle se relève et je vois dans son regard qu'elle en veut plus.

Tout se passe tellement vite que je n'ai pas vraiment le temps de réfléchir ou de me poser des questions. Je vis le moment. C’est ce qui compte.
Elle s’empresse de regarder dans les tiroirs de sa commode, toute excitée, renversant des objets avant de finir par trouver le sacré graal : une capote.
Elle s’excuse une nouvelle fois pour son comportement à mon arrivée. Elle n’avait pas vu que j’étais mine de rien musclé. Je ne peux pas lui en vouloir, surtout pas après le plaisir qu’elle vient de me procurer. Je lui dis qu’elle est toute pardonnée.
Elle m’enfile la capote en deux, trois secondes. On sait tout de suite quand on a affaire à une professionnelle. Même moi, il me faudrait un peu plus de temps.
- Enfiles moi !
J’en meurs d’envie. Je suis venu pour ça, c’est le moment. Le moment où je vais ressentir un tout autre plaisir. Le dernier trou interdit. C’est maintenant.
Par contre, je ne me vois pas lui mentir. Je ne veux pas qu’elle s’attende à un pro de la baise et qu’au final, elle se rende compte qu’elle a affaire à un débutant.
- C’est ma première fois. Je n’ai jamais fait ça avant.

Elle se tourne vers moi, avec un plus grand sourire sur les lèvres. Elle semble grandement apprécier la nouvelle. Elle va dépuceler un mec. C’est son cul qui va me faire découvrir une toute autre jouissance pour la première fois.
- Tu vas kiffer grave !
Elle retire rapidement ses longues bottes en cuir, se penche sur le lit et d’une main experte attrape mon sexe et m’attire dans son dos. Elle l’enfonce tout doucement dans son cul. Aucune obstruction dans le passage. Elle doit avoir l’habitude car ma queue rentre comme du beurre, avant de disparaitre entre ses deux magnifiques auréoles que sont ses fesses.

Elle tremble de tout son corps, pendant qu’elle apprécie ce moment de calme avant la tempête. Elle peut sentir mon sexe entier en elle. On ne fait plus qu’un. Juste elle et moi. Il n’existe pas plus belle communion. Je ressens comme des pressions sur mon sexe, pendant qu’elle contracte son cul. C’est très très loin d’être déplaisant.

Pour moi, c’est tout autre monde qui s’ouvre à moi. Je ressens des plaisirs comme jamais je n’ai ressenti. C’est un sentiment tellement difficile à d’écrire. C’est une chaleur agréable qui remonte jusqu’au cerveau. On sent que notre sexe est serré dans une cavité fine. Mais il peut malgré tout faire son travail en allant et en venant dans cet orifice.

Elle me dit qu’elle adore les queues des noirs ébène, qu’elle aime leur manière de la défoncer.

Je comprends le message et commence à faire mon sport, à faire de jolies mouvements de hanche à l’intérieur d’elle, la tenant tout contre moi.
A l’inverse de faire l’amour avec une femme, quand on fait l’amour avec une trans ou un travesti, on peut y aller à fond et tout donner. Pas de pitié, pas de répit, plus on y va fort et plus le plaisir est bon.
Etant dans une forme olympique, je m’active, donnant tout ce que j’ai. Je la sens prendre également du plaisir. Elle me demande d’aller parfois plus lentement ou plus vite. Je m’exécute, donnant de puissants coups de hanche. Mon sexe reste bien au fond d’elle, n’ayant aucune envie de sortir. Il a trouvé une grotte qu’il n’a plus envie de quitter. C’est son antre pour toujours.

J’ai l’impression d’avoir toujours fait ça. C’est tellement naturel. Je continue à la besogner avec force mais en même temps avec douceur. Je ne suis pas un bestial qui ne pense qu’au sexe brutal. Non je suis pour la douceur avec un peu de force quand il le faut.
Elle agrippe fortement mes mains, lorsqu’elle est traversée par un rayon de plaisir. Elle s’immobilise pendant quelques secondes, arcbouté, laissant le plaisir se rependre tout en elle. Elle pousse un long soupir d’aise, en se mordant la lèvre pour ne pas hurler.
Je lui laisse quelques secondes de repos avant de continuer encore plus fort, donnant tout ce que j’ai. J’aime le bruit de mes hanches contre ses fesses. Je transpire à grosses gouttes. Je souris en me disant que je suis en train de faire mon cardio de la semaine.

Soudain, je sens le plaisir qui monte de plus en plus. J’agrippe encore plus ses fesses avant de jouir dans son cul, au fond de sa capote. Je ne m’en suis pas rendu compte mais j’avais retenu ma respiration pendant que mon sexe crachait de forts jets. Je pousse un petit son, un mélange de cri et de croassement. Je n’avais jamais rien expérimenté de tels. C’était un voyage incroyable.
On se laisse tomber tous les deux au sol, trop épuisés après tant d’efforts. Je ne peux m’empêcher de sourire comme un crétin, heureux d’avoir découvert de nouveaux plaisirs.
On se quitte en promettant de se revoir. Après cette visite, je me suis dit que je voulais fermer cette porte. Que j’avais été au bout de l’aventure, mais que maintenant il était temps de revenir dans le monde des hétéros….
Il m’a fallu une semaine avant de replonger ah !!