Black is beautiful (3) les duettistes
Récit érotique écrit par Jolasuce [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-03-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Black is beautiful (3) les duettistes
Je filais le parfait amour sexuel avec Marie, lorsque Yolande à fait appel à moi pour une conférence, ce qui m’a permis de la rejoindre dans son exil. Après la conférence, prétextant une mise au point, nous avons laissé s’en aller tous les participants et nous nous sommes retrouvés seuls pour une étreinte et un jeu sexuel sauvage, à la barbe et au nez des autres, revivant ces moments furtifs volés quand nous nous donnions l’un à l’autre. Ce fut bref non par la durée de notre copulation mais parce que nous n’avons pu baiser qu’une seule fois, le temps nous était compté, la conférence terminée.
J’ai intitulé cet article, les duettistes car c’est à ce moment-là que j’ai pratiqué le sexe en alternance avec Marie et Yolande, qui, quelques temps plus tard, déçue de son poste est revenue au pays alors que je couchais avec sa sœur. Notre étreinte volée à sans doute fortement contribué à sa décision. Mais me voilà avec deux filles à baiser sans que l’une ne soupçonne l’autre, je ne pouvais me soustraire sans éveiller des doutes chez elles.
Nous sommes allés profiter du beau temps et de la mers et me voici avec mes deux conquêtes sur une belle plage à perte de vue. Après la baignade et le pique-nique nous avons fait la sieste à l’ombre d’un palmier. Mais comme je n’arrivais pas à dormir, excité de la présence de ces deux nymphes que je n’avais pas le droit de toucher en même temps car officiellement, il n’y avait rien entre nous. Je me suis levé pour parcourir la plage déserte à cette heure-ci à cause de la chaleur, Yolande est venue me rejoindre laissant Marie endormie. Et sur cette belle plage, je l’ai embrassé, retrouvant la fougue de nos premiers émois. J’ai écarté le bas de son maillot de bain pour admirer son sexe tant désiré, j’ai dégagé ma queue, trop serrée dans mon slip de bain et toute excitée de retrouver ce nid douillet qui, tant de fois, l’avait ravie. Nous avons fait l’amour sur la plage, ayant pour seul témoin le soleil brûlant.
Apaisés par un orgasme puissant, ma semence fécondant le sable chaud, nous avons fait disparaitre toute trace nos corps transis pour ne laisser aucun témoignage de cette relation intime et nous avons rejoint Marie. J’ai vu dans les yeux de celle-ci qu’elle avait compris, mais nous n’en avons jamais parlé, donc toujours rien officiellement entre sa sœur et moi.
(Ouvrons une parenthèse) J’étais déjà venu me baigner avec Marie dans cette lagune. Toujours friande de nouveauté, dans l’eau, elle m’a ôté mon slip de bain et elle a dégagé pour elle son bas-ventre. Nos deux corps se sont enlacés sous l’eau alors qu’en extérieur rien ne laissait paraître, elle s’est enfilée sur ma verge, l’entrée n’était pas facile car pas de lubrification possible, même naturelle malgré le désir très fort de faire l’amour. Avec patience, elle a pu engloutir entièrement ma tige, ses jambes croisées autour de mes hanches. De l’extérieur, le haut de nos corps sans étreinte, ne donnaient pas l’impression de faire l’amour, mais un jeune, passant par là nous a signifié qu’il n’était pas dupe et nous a encouragé à poursuivre notre baise des lagunes. (fermons la parenthèse).
Nous voilà donc tous les trois à plongés dans cette lagune ou j’avais fait l’amour avec Marie. Cette dernière a proposé que nous nous mettions complètement nus malgré les touristes présents. À son signal, nous devions nous relever et dévoiler, un brève instant, notre nudité. C’est la seule fois où j’ai pu voir mes deux amantes complètement nues en même temps. Le lendemain nous trouvions tous les trois dans la chambre pour la sieste, je me suis allongé en slip sur le lit et les deux sœurs se sont couchées elles aussi en slip, seins à l’air de chaque côté de moi. La sieste chaste achevée, Marie s’est levée pour aller s’asseoir au bureau, un simple rideau nous séparait. J’ai alors commencé mes caresses sur Yolande qui s’est enlacée sur moi et je l’ai pénétré en douceur pour ne pas éveiller de soupçons. Je pense que Marie, n’était pas dupe et qu’elle nous a laissés volontairement tous les deux pour que nous puissions renouveler notre copulation de la veille. À partir de ce jour-là, je n’ai plus pu faire l’amour avec Marie (sauf une unique et dernière fois). Elle s’est refusée, me signifiant par là qu’elle n’a pas apprécié que je me donne à sa sœur mais sans jamais aborder le sujet. À cette époque, je devais quitter ce pays et partir en voiture. L’avant veille de mon départ, Marie m’a rejoint pour passer la nuit avec moi. Nous étions nus dans le lit mais son intimité était fermée par une ceinture de chasteté symbolique. J’étais tout proche d’elle, goûtant l’odeur de sa peau mais ne pouvant la toucher. Dame Morphée nous a entraînés dans des rêves érotiques, du moins pour moi. Et au matin, alors que Marie sommeillait encore, j’admirais cette croupe qui m’avait tant donné de plaisir. Je n’ai pu y résister, et ma verge puissamment tendue s’est introduite dans ce territoire alors interdit, elle a trouvé naturellement le chemin de sa chatte, humide de désir. Mon ventre plaqué contre ses fesse et mon poireau bien planté dans son abricot, je l’ai simplement entendu dire “Oh” et elle s’est laissée prendre comme au temps de nos ébats quotidiens. Ce sera la dernière fois que nos sexes s’uniront. Nous sommes restés de très très bons amis, je resté devenu son confident, nous nous sommes retrouvés même en France où elle a poursuivi ses étude avant de retourner au pays, mais nous étions devenus chastes l’un envers l’autre. Elle a tenté d’autres aventures qui l’ont profondément blessée car elle était en quête d’amour et pas seulement de sexe. C’était donc l’avant veille du départ, la veille, c’est Yolande qui est venue partager ma couche pour ma dernière nuit dans ce pays. Elle s’est glissée dans mes draps pour me faire une fellation, en souvenir de celle qu’elle m’avait offerte un jour dans la voiture. Je dois dire que de mon côté, je n’ai pratiqué aucun cunilingus avec ces deux sœurs à la chatte pourtant si gourmande, je n’étais pas encore bien doué en amour féminin et cela demeure un regret pour moi. Nous avons passé une nuit de folle baise sachant que ce serait peut-être la der des ders.
Au petit matin, il faisait encore nuit, je l’ai raccompagnée chez elle et j’ai pris la longue route vers ma nouvelle destination. Elle m’a avouée qu’une de ses sœurs aînées voulait profiter de ma voiture, elle lui a dit qu’il n’y avait pas de place alors qu’il y en avait mais, à son sourire, j’ai compris qu’elle ne tenait pas à ce qu’elle m’accompagne dans un voyage de deux jours où tout aurait pu arriver. J’ai donc loupé de peu la triade, me contentant de ce binôme sensuel.
Yolande, est venue me visiter, et nous avons, à nouveau, joué de la bête à deux dos dans des lieux insolites, j’en ai cassé une lunette de toilettes, elle, me chevauchant. La nuit, la voiture a été propice à nos ébats amoureux. Nous ne pouvions coucher ensemble , il fallait donc profiter des moindres moments d’intimité offerts. Depuis, Yolande s’est mariée et a deux beaux enfants.
Merci à vous deux pour tout le plaisir partagé, vous resterez mes préférées malgré la concurrence dans mes voyages sexuels.
J’ai intitulé cet article, les duettistes car c’est à ce moment-là que j’ai pratiqué le sexe en alternance avec Marie et Yolande, qui, quelques temps plus tard, déçue de son poste est revenue au pays alors que je couchais avec sa sœur. Notre étreinte volée à sans doute fortement contribué à sa décision. Mais me voilà avec deux filles à baiser sans que l’une ne soupçonne l’autre, je ne pouvais me soustraire sans éveiller des doutes chez elles.
Nous sommes allés profiter du beau temps et de la mers et me voici avec mes deux conquêtes sur une belle plage à perte de vue. Après la baignade et le pique-nique nous avons fait la sieste à l’ombre d’un palmier. Mais comme je n’arrivais pas à dormir, excité de la présence de ces deux nymphes que je n’avais pas le droit de toucher en même temps car officiellement, il n’y avait rien entre nous. Je me suis levé pour parcourir la plage déserte à cette heure-ci à cause de la chaleur, Yolande est venue me rejoindre laissant Marie endormie. Et sur cette belle plage, je l’ai embrassé, retrouvant la fougue de nos premiers émois. J’ai écarté le bas de son maillot de bain pour admirer son sexe tant désiré, j’ai dégagé ma queue, trop serrée dans mon slip de bain et toute excitée de retrouver ce nid douillet qui, tant de fois, l’avait ravie. Nous avons fait l’amour sur la plage, ayant pour seul témoin le soleil brûlant.
Apaisés par un orgasme puissant, ma semence fécondant le sable chaud, nous avons fait disparaitre toute trace nos corps transis pour ne laisser aucun témoignage de cette relation intime et nous avons rejoint Marie. J’ai vu dans les yeux de celle-ci qu’elle avait compris, mais nous n’en avons jamais parlé, donc toujours rien officiellement entre sa sœur et moi.
(Ouvrons une parenthèse) J’étais déjà venu me baigner avec Marie dans cette lagune. Toujours friande de nouveauté, dans l’eau, elle m’a ôté mon slip de bain et elle a dégagé pour elle son bas-ventre. Nos deux corps se sont enlacés sous l’eau alors qu’en extérieur rien ne laissait paraître, elle s’est enfilée sur ma verge, l’entrée n’était pas facile car pas de lubrification possible, même naturelle malgré le désir très fort de faire l’amour. Avec patience, elle a pu engloutir entièrement ma tige, ses jambes croisées autour de mes hanches. De l’extérieur, le haut de nos corps sans étreinte, ne donnaient pas l’impression de faire l’amour, mais un jeune, passant par là nous a signifié qu’il n’était pas dupe et nous a encouragé à poursuivre notre baise des lagunes. (fermons la parenthèse).
Nous voilà donc tous les trois à plongés dans cette lagune ou j’avais fait l’amour avec Marie. Cette dernière a proposé que nous nous mettions complètement nus malgré les touristes présents. À son signal, nous devions nous relever et dévoiler, un brève instant, notre nudité. C’est la seule fois où j’ai pu voir mes deux amantes complètement nues en même temps. Le lendemain nous trouvions tous les trois dans la chambre pour la sieste, je me suis allongé en slip sur le lit et les deux sœurs se sont couchées elles aussi en slip, seins à l’air de chaque côté de moi. La sieste chaste achevée, Marie s’est levée pour aller s’asseoir au bureau, un simple rideau nous séparait. J’ai alors commencé mes caresses sur Yolande qui s’est enlacée sur moi et je l’ai pénétré en douceur pour ne pas éveiller de soupçons. Je pense que Marie, n’était pas dupe et qu’elle nous a laissés volontairement tous les deux pour que nous puissions renouveler notre copulation de la veille. À partir de ce jour-là, je n’ai plus pu faire l’amour avec Marie (sauf une unique et dernière fois). Elle s’est refusée, me signifiant par là qu’elle n’a pas apprécié que je me donne à sa sœur mais sans jamais aborder le sujet. À cette époque, je devais quitter ce pays et partir en voiture. L’avant veille de mon départ, Marie m’a rejoint pour passer la nuit avec moi. Nous étions nus dans le lit mais son intimité était fermée par une ceinture de chasteté symbolique. J’étais tout proche d’elle, goûtant l’odeur de sa peau mais ne pouvant la toucher. Dame Morphée nous a entraînés dans des rêves érotiques, du moins pour moi. Et au matin, alors que Marie sommeillait encore, j’admirais cette croupe qui m’avait tant donné de plaisir. Je n’ai pu y résister, et ma verge puissamment tendue s’est introduite dans ce territoire alors interdit, elle a trouvé naturellement le chemin de sa chatte, humide de désir. Mon ventre plaqué contre ses fesse et mon poireau bien planté dans son abricot, je l’ai simplement entendu dire “Oh” et elle s’est laissée prendre comme au temps de nos ébats quotidiens. Ce sera la dernière fois que nos sexes s’uniront. Nous sommes restés de très très bons amis, je resté devenu son confident, nous nous sommes retrouvés même en France où elle a poursuivi ses étude avant de retourner au pays, mais nous étions devenus chastes l’un envers l’autre. Elle a tenté d’autres aventures qui l’ont profondément blessée car elle était en quête d’amour et pas seulement de sexe. C’était donc l’avant veille du départ, la veille, c’est Yolande qui est venue partager ma couche pour ma dernière nuit dans ce pays. Elle s’est glissée dans mes draps pour me faire une fellation, en souvenir de celle qu’elle m’avait offerte un jour dans la voiture. Je dois dire que de mon côté, je n’ai pratiqué aucun cunilingus avec ces deux sœurs à la chatte pourtant si gourmande, je n’étais pas encore bien doué en amour féminin et cela demeure un regret pour moi. Nous avons passé une nuit de folle baise sachant que ce serait peut-être la der des ders.
Au petit matin, il faisait encore nuit, je l’ai raccompagnée chez elle et j’ai pris la longue route vers ma nouvelle destination. Elle m’a avouée qu’une de ses sœurs aînées voulait profiter de ma voiture, elle lui a dit qu’il n’y avait pas de place alors qu’il y en avait mais, à son sourire, j’ai compris qu’elle ne tenait pas à ce qu’elle m’accompagne dans un voyage de deux jours où tout aurait pu arriver. J’ai donc loupé de peu la triade, me contentant de ce binôme sensuel.
Yolande, est venue me visiter, et nous avons, à nouveau, joué de la bête à deux dos dans des lieux insolites, j’en ai cassé une lunette de toilettes, elle, me chevauchant. La nuit, la voiture a été propice à nos ébats amoureux. Nous ne pouvions coucher ensemble , il fallait donc profiter des moindres moments d’intimité offerts. Depuis, Yolande s’est mariée et a deux beaux enfants.
Merci à vous deux pour tout le plaisir partagé, vous resterez mes préférées malgré la concurrence dans mes voyages sexuels.
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