Black is beautiful (6) Black in France
Récit érotique écrit par Jolasuce [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-03-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Black is beautiful (6) Black in France
Voici le récit de mes aventures avec 3 Africaines en France connues chastement en Afrique. Tout d’abord Odette (prénom changé). Je l’ai connue en Afrique, nous avons travaillé ensemble deux ou trois ans avant qu’elle s’en aille en France. Elle n’a pas le charme, ni la séduction des précédentes, est-ce pour cela que je n’avais pas entrepris de drague avec elle ? Lors d’un congé, je l’ai retrouvée en France, nous avons passé un après-midi touristique comme deux amis, heureux de se retrouver, le soir venu après un repas au restau, nous sommes allés au cinéma et là dans la pénombre de la salle, j’ai senti une main se poser sur ma cuisse. La laissant faire, elle est remontée insensiblement vers le siège de mon plaisir. Une caresse enveloppante sur mon pantalon, mon engin, n’est pas resté indifférent à cette approche sensuelle et s’est vite trouvé à l’étroit. Je l’ai libéré et la main exploratrice l’a saisi pour un long massage fort agréable. Je me suis penché vers Odette à la recherche de ses lèvres pulpeuses, tandis que ma main partait à la découverte de son intimité. Mais elle a retenue mon geste me disant qu’elle a eu ses règles. J’ai donc laissé triturer mon sexe pendant toute la projection du film, les yeux fermés pour goûter aux zones sensibles excitées de ma queue en érection. Je veillais toute fois à ne pas jouir et à garder ma semence pour un éventuel futur prometteur. La séance de massage et cinématographique terminée nous nous sommes rendus au lieu d’hébergement, et dans le noir, j’ai rejoint sa chambre. J’ai mis à terre le matelas pour éviter que le lit, par ses grincements, ne trahisse une activité devant rester secrète.
Rapidement, je me suis mis à nu, pendant qu’elle se dévêtait. Heureusement, elle était au terme de ses règles, sa serviette hygiénique ne révélant plus de trace, j’allais pouvoir plonger ma verge dans son intimité en toute tranquillité. Je me suis donné à fond, elle était réceptive et active, je sentais qu’elle prenait un plaisir intense dans cet échange de nos fluides amoureux. Je l’ai prise sans recherche acrobatique, simplement en position du missionnaire, nos deux corps synchrones enlacés dans une danse copulatoire. Quand l’orgasme ne pouvait plus être reporté, j’ai explosé en elle et je lui ai donné toute ma semence, me disant qu’en fin de règles, elle ne devait pas être fécondable. Nous sommes restés un long moment de la nuit, à prolonger ce plaisir par des caresses sensuelles, et des baiser langoureux. Au petit matin, avant le réveil des résidents, j’ai rejoint mes pénates, comblé d’avoir plongé dans ce monde de sensualité et de sexualité plénières avec une partenaire que je n’avais pas calculée, comme quoi… Nous devions nous rendre dans ma famille ; en cours de route, elle m’a dit qu’elle regrettait de ne m’avoir pas vu un mois plus tôt car à ce moment là, elle était encore vierge. L’âge avançant, elle a craint que son hymen soit plus difficile à déflorer. Elle est donc allée voir son gynécologue pour lui partager ses peurs et lui demander de lui ôter sa virginité. Celui-ci a chaussé un préservatif et l’a pénétrée, elle a trouvé cet acte médical douloureux. Moi, j’avoue que je n’avais aucune envie de lui prendre sa petite fleur, préférant profiter un maximum de son vagin ouvert pour une copulation tout en plaisir et sans douleur. Ainsi elle a pu me donner tout la jouissance dont elle a rêvé et j’ai pu goûter sans limite cette étreinte amoureuse.
Dans ma famille, nulle question de parler de nos exploits sexuels passés ou futurs. Une chance, la maison de vacances familiale est à la campagne, nous en avons profiter pour une petite escapade et dans le fourré d’un petit bois tout proche, nous avons remis le couvert. Je me suis assis sur un tronc, la bite à l’air, après avoir ôté sa culotte, Odette est venue s’empaler sur mon pic fièrement dressé. En pleine nature nous avons joué la parade nuptiale avant un orgasme campagnard de première. Puis, nous avons repris tranquillement notre ballade pour effacer cette petite folie bucolique et revenir auprès des miens comme deux amis ayant devisé tranquillement en chemin.
J’ai eu l’occasion de la voir à nouveau, nous nous donnions rendez-vous dans des hôtels de gare pour des ébats intenses sachant qu’ils nous étaient comptés. Une amie à elle, nous a prêté son appartement, nous pouvions alors passer de longs moments ensembles, c’était l’été, nous vivions nus, j’aimais contempler son corps tandis qu’elle s’adonnait aux travaux ménagers. Elle n’est pas “noire - noire” comme dirait Murielle Robin, non, elle est “teint clair” (ainsi définie sur sa carte d’identité).
Elle m’a dit qu’elle était allée voir son gynécologue pour obtenir la pilule contraceptive. Nous pouvions, sans crainte faire l’amour (Sans doute, nos deux premiers coïts menés à terme l’ont-elle inquiétée). Nous étions d’accord que nos ébats n’ouvraient pas la perspective d’une vie commune. C’était pour elle un entraînement en attendant de trouver un mari. Ce qui est fait, elle a trouvé un français et lui a donné un enfant.
La deuxième, Éliane, la Peule, je l’ai connue chez son mari en Afrique. Ils ont ensuite déménagé en France, et j’ai eu l’occasion de la voir seule, ils avaient un petit appart à Paris, son mari étant resté à la maison familiale. Nous avons commencé des sorties nocturnes en tout bien tout honneur. Je n’avais nul intention de draguer une femme mariée. Mais voilà, au cours d’une sortie cinéma, le film un peu violent a précipité Eliane contre moi. Et moi,(émoi) mâle, je l’ai accueillie sur mon sein protecteur, une douce chaleur m'envahit. Mes lèvres se sont posées sur sa tête crépue, j’aime les femmes au naturel sans chevelure défrisée. Ce n’est pas allé plus loin, mais au sortir de la salle, je lui ai tendu mes lèvres qu’elle a saisi aussitôt, ce qui voulait être un chaste baiser, s’est transformé en un échange gourmand de nos langues et de nos fluides. En prenant sa respiration, elle m’a dit : « Enfin, depuis le temps que j’attendais cet instant ! » Moi, tout surpris et un peu pataud, je n’avais pas compris que depuis notre rencontre, elle me lançait des signaux pour que je la prenne sans retenue.
Serrés l’un contre l’autre nous avons poursuivi notre marche jusqu’à son appartement pour enfin exprimer pleinement les sentiments que nous avions l’un envers l’autre. La porte à peine fermée, nous nous sommes déshabillé gardant, le plus possible, nos lèvres collées l’une à l’autre dans un long baisé langoureux. Précédemment, j’avais déjà fait allusion à cette Peule qui n’avait pas la finesse des traits de ma gazelle. De plus, étant maman, sa poitrine ne pointait plus aussi fièrement mais c’était une baiseuse hors paire et super active à la recherche de toutes les positions du kama Soutra, elle m’en a appris un rayon sans doute s’était-elle bien entraînée avec son mari. Me voilà commettant l’adultère avec passion, sans penser au mari cocu. Mais je crois que c’était un couple assez libre car elle m’a raconté qu’ils ont fait des parties à trois, elle offrait à son cher époux de belles blacks. Mais, nous n’avons jamais évoqué notre aventure avec lui d’autant qu’on s’était servi sans sa permission.
Chaque occasion était bonne pour une baise intense. Mais le souvenir le plus fort qui me reste avec elle, en dehors de nos gymnastiques sexuelles, c’est lors d’une visite chez eux. De passage, j’avais demandé l’hospitalité d’une nuit sans imaginer quelle nuit elle allait m’offrir. Sagement, la soirée achevée, je me suis retiré dans la chambre d’hôte et me suis endormi. Au milieu de la nuit, je ne puis dire l’heure, j’ai senti un corps nu se plaquer contre moi, j’ai compris que l’audacieuse avait quitté le lit conjugal pour rejoindre son amant. Elle m’annonce tout de go qu’elle vient de faire l’amour avec son époux et qu’il s’est endormi, son vagin tout humide du sperme de celui-ci. Elle tenait une petite serviette entre ses cuisses pour ne pas laisser de traces dans son déplacement adultérin. Et j’ai donc plongé ma queue dans son sexe encore tout frétillant et chargé de semence. Elle n’a pas voulu que je porte ma bouche à son con pour que je puisse goûter à la sève de son mari, je ne lui ai pas dit que je tétait des queues pour m’abreuver. Elle n’aime pas le sperme en bouche. Je me suis contenté des salives mêlées, apportant la mienne à sa bouche et nous avons fait l’amour, ma verge plongeant joyeusement dans ce vase débordant d’amour, (son mari, un gros éjaculateur) sensations fortes garanties.
La troisième black enfin, connue elle aussi en Afrique, à l’époque elle était fine presque maigre, grande et élancée. Comme elle avait une enfant sans compagnon, je n’ai pas chercher à l’approcher. Elle, non plus, je ne l’ai pas calculée alors qu’elle était une fort belle jeune maman. La présence de sa fille sans doute étant une barrière naturelle à tout approche sexuelle sans visée de vie à commune. Je l’ai retrouvé en France, à l’occasion de sessions de formation. Un dimanche, je lui ai proposé de visiter la région où j’avais passé mon enfance. Temps ensoleillé, nous avons sillonné les chemins, l’un près de l’autre. Plusieurs fois, j’ai eu à lui prendre la main pour lui éviter une chute, ses chaussures n’étant pas adaptées à une telle ballade. Finalement, pour plus de sureté, elle a pris mon bras et tel un joli couple (en tout innocence) nous avons poursuivi notre promenade campagnarde.
C’est à la nuit tombante que nous avons rejoint la voiture devant nous ramener à notre Centre de formation où nous logions. Il faisait maintenant nuit noire, et tout en conduisant, j’ai senti une main se poser sur mon genou. Je l’ai accueillie sans réagir poursuivant ma route, attentif à ma conduite. Mais imperceptiblement, je me suis rendu compte que cette main posée innocemment sur mon genou, se trouvait déjà à mi-cuisse, étrange. Au fur et à mesure que nous nous approchions de notre point de chute, la main progressait si lentement, qu’il fallait toute mon attention pour réaliser le but final de sa translation. Nous étions à l’entrée de la ville, sa main toujours posée sur ma cuisse, mais son petit doigt se détachait pour titiller une bosse naissante, située entre mes jambes et qui commençait à se sentir à l’étroit. Aussi, tenant le volant d’une main, j’ai dégagée ma queue tendue vers ces caresses si discrètes. J’ai eu droit à une prise en main totale de ma verge toute heureuse des attentions qui lui étaient prodiguées. Malheureusement, nous étions déjà arrivés à bon port, à mon goût un peu trop rapidement car cette approche tout en finesse et subtilité a été un vrai délice ; heureusement, qu’elle promettait une suite plus intense et plus profonde. Je l’ai accompagnée nuitamment, sans éclairer les couloirs jusqu’à sa chambre et je lui ai dit d’entrer seule et de tirer les rideaux. Je l’ai rejoins, quelle fougue, nous nous sommes retrouvés nus d’un coup. J’envisageais de longues caresses avant d’enfiler ma queue dans son intimité mais, elle, avide de sexe s’est jetée sur lui et l’a englouti, j’étais assis sur le lit, c’est elle qui a mené la danse comme si son vagin avait été privé depuis de long mois de verges actives. Nous avons fait l’amour trois fois, je crois, avec une pause intime. Puis, totalement épuisé, je l’ai laissée à ses rêves nourris de nos ébats pour rejoindre ma chambre.
Avec elle aussi, les hôtels nous ont servi de lieu de rendez-vous. Ce que j’aimais, c’est qu’elle m’attendait nue quand j’arrivais dans la chambre après une journée de labeurs loin d’elle. Je pouvais jouir en elle sans crainte, elle prenait la pilule.
Un soir, où il n’était pas possible de nous retrouver dans une même chambre, nous sommes allés dans un parc nuitamment et je l’ai prise par derrière et me suis introduit dans son con pas dans son cul, (je n’ai sodomisé aucune de mes conquêtes féminines). J’ai ensemencé le sol de mon sperme car elle n’avait pu prendre sa pilule. Repassant une quinzaine de jours plus tard sur le lieu de nos ébats debout, une plante avait fleuri, je l’ai cueillie et séchée en souvenir de notre amour. Elle est retournée en Afrique, et là, lors d’un de mes voyages, nous avons pu faire l’amour une dernière fois dans sa voiture car elle s’était mise en couple.
Rapidement, je me suis mis à nu, pendant qu’elle se dévêtait. Heureusement, elle était au terme de ses règles, sa serviette hygiénique ne révélant plus de trace, j’allais pouvoir plonger ma verge dans son intimité en toute tranquillité. Je me suis donné à fond, elle était réceptive et active, je sentais qu’elle prenait un plaisir intense dans cet échange de nos fluides amoureux. Je l’ai prise sans recherche acrobatique, simplement en position du missionnaire, nos deux corps synchrones enlacés dans une danse copulatoire. Quand l’orgasme ne pouvait plus être reporté, j’ai explosé en elle et je lui ai donné toute ma semence, me disant qu’en fin de règles, elle ne devait pas être fécondable. Nous sommes restés un long moment de la nuit, à prolonger ce plaisir par des caresses sensuelles, et des baiser langoureux. Au petit matin, avant le réveil des résidents, j’ai rejoint mes pénates, comblé d’avoir plongé dans ce monde de sensualité et de sexualité plénières avec une partenaire que je n’avais pas calculée, comme quoi… Nous devions nous rendre dans ma famille ; en cours de route, elle m’a dit qu’elle regrettait de ne m’avoir pas vu un mois plus tôt car à ce moment là, elle était encore vierge. L’âge avançant, elle a craint que son hymen soit plus difficile à déflorer. Elle est donc allée voir son gynécologue pour lui partager ses peurs et lui demander de lui ôter sa virginité. Celui-ci a chaussé un préservatif et l’a pénétrée, elle a trouvé cet acte médical douloureux. Moi, j’avoue que je n’avais aucune envie de lui prendre sa petite fleur, préférant profiter un maximum de son vagin ouvert pour une copulation tout en plaisir et sans douleur. Ainsi elle a pu me donner tout la jouissance dont elle a rêvé et j’ai pu goûter sans limite cette étreinte amoureuse.
Dans ma famille, nulle question de parler de nos exploits sexuels passés ou futurs. Une chance, la maison de vacances familiale est à la campagne, nous en avons profiter pour une petite escapade et dans le fourré d’un petit bois tout proche, nous avons remis le couvert. Je me suis assis sur un tronc, la bite à l’air, après avoir ôté sa culotte, Odette est venue s’empaler sur mon pic fièrement dressé. En pleine nature nous avons joué la parade nuptiale avant un orgasme campagnard de première. Puis, nous avons repris tranquillement notre ballade pour effacer cette petite folie bucolique et revenir auprès des miens comme deux amis ayant devisé tranquillement en chemin.
J’ai eu l’occasion de la voir à nouveau, nous nous donnions rendez-vous dans des hôtels de gare pour des ébats intenses sachant qu’ils nous étaient comptés. Une amie à elle, nous a prêté son appartement, nous pouvions alors passer de longs moments ensembles, c’était l’été, nous vivions nus, j’aimais contempler son corps tandis qu’elle s’adonnait aux travaux ménagers. Elle n’est pas “noire - noire” comme dirait Murielle Robin, non, elle est “teint clair” (ainsi définie sur sa carte d’identité).
Elle m’a dit qu’elle était allée voir son gynécologue pour obtenir la pilule contraceptive. Nous pouvions, sans crainte faire l’amour (Sans doute, nos deux premiers coïts menés à terme l’ont-elle inquiétée). Nous étions d’accord que nos ébats n’ouvraient pas la perspective d’une vie commune. C’était pour elle un entraînement en attendant de trouver un mari. Ce qui est fait, elle a trouvé un français et lui a donné un enfant.
La deuxième, Éliane, la Peule, je l’ai connue chez son mari en Afrique. Ils ont ensuite déménagé en France, et j’ai eu l’occasion de la voir seule, ils avaient un petit appart à Paris, son mari étant resté à la maison familiale. Nous avons commencé des sorties nocturnes en tout bien tout honneur. Je n’avais nul intention de draguer une femme mariée. Mais voilà, au cours d’une sortie cinéma, le film un peu violent a précipité Eliane contre moi. Et moi,(émoi) mâle, je l’ai accueillie sur mon sein protecteur, une douce chaleur m'envahit. Mes lèvres se sont posées sur sa tête crépue, j’aime les femmes au naturel sans chevelure défrisée. Ce n’est pas allé plus loin, mais au sortir de la salle, je lui ai tendu mes lèvres qu’elle a saisi aussitôt, ce qui voulait être un chaste baiser, s’est transformé en un échange gourmand de nos langues et de nos fluides. En prenant sa respiration, elle m’a dit : « Enfin, depuis le temps que j’attendais cet instant ! » Moi, tout surpris et un peu pataud, je n’avais pas compris que depuis notre rencontre, elle me lançait des signaux pour que je la prenne sans retenue.
Serrés l’un contre l’autre nous avons poursuivi notre marche jusqu’à son appartement pour enfin exprimer pleinement les sentiments que nous avions l’un envers l’autre. La porte à peine fermée, nous nous sommes déshabillé gardant, le plus possible, nos lèvres collées l’une à l’autre dans un long baisé langoureux. Précédemment, j’avais déjà fait allusion à cette Peule qui n’avait pas la finesse des traits de ma gazelle. De plus, étant maman, sa poitrine ne pointait plus aussi fièrement mais c’était une baiseuse hors paire et super active à la recherche de toutes les positions du kama Soutra, elle m’en a appris un rayon sans doute s’était-elle bien entraînée avec son mari. Me voilà commettant l’adultère avec passion, sans penser au mari cocu. Mais je crois que c’était un couple assez libre car elle m’a raconté qu’ils ont fait des parties à trois, elle offrait à son cher époux de belles blacks. Mais, nous n’avons jamais évoqué notre aventure avec lui d’autant qu’on s’était servi sans sa permission.
Chaque occasion était bonne pour une baise intense. Mais le souvenir le plus fort qui me reste avec elle, en dehors de nos gymnastiques sexuelles, c’est lors d’une visite chez eux. De passage, j’avais demandé l’hospitalité d’une nuit sans imaginer quelle nuit elle allait m’offrir. Sagement, la soirée achevée, je me suis retiré dans la chambre d’hôte et me suis endormi. Au milieu de la nuit, je ne puis dire l’heure, j’ai senti un corps nu se plaquer contre moi, j’ai compris que l’audacieuse avait quitté le lit conjugal pour rejoindre son amant. Elle m’annonce tout de go qu’elle vient de faire l’amour avec son époux et qu’il s’est endormi, son vagin tout humide du sperme de celui-ci. Elle tenait une petite serviette entre ses cuisses pour ne pas laisser de traces dans son déplacement adultérin. Et j’ai donc plongé ma queue dans son sexe encore tout frétillant et chargé de semence. Elle n’a pas voulu que je porte ma bouche à son con pour que je puisse goûter à la sève de son mari, je ne lui ai pas dit que je tétait des queues pour m’abreuver. Elle n’aime pas le sperme en bouche. Je me suis contenté des salives mêlées, apportant la mienne à sa bouche et nous avons fait l’amour, ma verge plongeant joyeusement dans ce vase débordant d’amour, (son mari, un gros éjaculateur) sensations fortes garanties.
La troisième black enfin, connue elle aussi en Afrique, à l’époque elle était fine presque maigre, grande et élancée. Comme elle avait une enfant sans compagnon, je n’ai pas chercher à l’approcher. Elle, non plus, je ne l’ai pas calculée alors qu’elle était une fort belle jeune maman. La présence de sa fille sans doute étant une barrière naturelle à tout approche sexuelle sans visée de vie à commune. Je l’ai retrouvé en France, à l’occasion de sessions de formation. Un dimanche, je lui ai proposé de visiter la région où j’avais passé mon enfance. Temps ensoleillé, nous avons sillonné les chemins, l’un près de l’autre. Plusieurs fois, j’ai eu à lui prendre la main pour lui éviter une chute, ses chaussures n’étant pas adaptées à une telle ballade. Finalement, pour plus de sureté, elle a pris mon bras et tel un joli couple (en tout innocence) nous avons poursuivi notre promenade campagnarde.
C’est à la nuit tombante que nous avons rejoint la voiture devant nous ramener à notre Centre de formation où nous logions. Il faisait maintenant nuit noire, et tout en conduisant, j’ai senti une main se poser sur mon genou. Je l’ai accueillie sans réagir poursuivant ma route, attentif à ma conduite. Mais imperceptiblement, je me suis rendu compte que cette main posée innocemment sur mon genou, se trouvait déjà à mi-cuisse, étrange. Au fur et à mesure que nous nous approchions de notre point de chute, la main progressait si lentement, qu’il fallait toute mon attention pour réaliser le but final de sa translation. Nous étions à l’entrée de la ville, sa main toujours posée sur ma cuisse, mais son petit doigt se détachait pour titiller une bosse naissante, située entre mes jambes et qui commençait à se sentir à l’étroit. Aussi, tenant le volant d’une main, j’ai dégagée ma queue tendue vers ces caresses si discrètes. J’ai eu droit à une prise en main totale de ma verge toute heureuse des attentions qui lui étaient prodiguées. Malheureusement, nous étions déjà arrivés à bon port, à mon goût un peu trop rapidement car cette approche tout en finesse et subtilité a été un vrai délice ; heureusement, qu’elle promettait une suite plus intense et plus profonde. Je l’ai accompagnée nuitamment, sans éclairer les couloirs jusqu’à sa chambre et je lui ai dit d’entrer seule et de tirer les rideaux. Je l’ai rejoins, quelle fougue, nous nous sommes retrouvés nus d’un coup. J’envisageais de longues caresses avant d’enfiler ma queue dans son intimité mais, elle, avide de sexe s’est jetée sur lui et l’a englouti, j’étais assis sur le lit, c’est elle qui a mené la danse comme si son vagin avait été privé depuis de long mois de verges actives. Nous avons fait l’amour trois fois, je crois, avec une pause intime. Puis, totalement épuisé, je l’ai laissée à ses rêves nourris de nos ébats pour rejoindre ma chambre.
Avec elle aussi, les hôtels nous ont servi de lieu de rendez-vous. Ce que j’aimais, c’est qu’elle m’attendait nue quand j’arrivais dans la chambre après une journée de labeurs loin d’elle. Je pouvais jouir en elle sans crainte, elle prenait la pilule.
Un soir, où il n’était pas possible de nous retrouver dans une même chambre, nous sommes allés dans un parc nuitamment et je l’ai prise par derrière et me suis introduit dans son con pas dans son cul, (je n’ai sodomisé aucune de mes conquêtes féminines). J’ai ensemencé le sol de mon sperme car elle n’avait pu prendre sa pilule. Repassant une quinzaine de jours plus tard sur le lieu de nos ébats debout, une plante avait fleuri, je l’ai cueillie et séchée en souvenir de notre amour. Elle est retournée en Afrique, et là, lors d’un de mes voyages, nous avons pu faire l’amour une dernière fois dans sa voiture car elle s’était mise en couple.
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