Black is beautiful (7) Black et White
Récit érotique écrit par Jolasuce [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-03-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Black is beautiful (7) Black et White
Nous arrivons au terme de mes contributions avec le récit d’une Blanche et d’une Noire.
White - La blanche m’a ouvert aux aventures hétérosexuelles et la noire, de nombreuses années plus tard, les a fermées . Quand, je parle de la blanche, je ne parle pas de la travailleuse du sexe qui m’a dépucelé mais de celle qui m’a introduit au monde féminin. Cette blanche, en fait, est ma cousine, j’étais tout jeune, inexpérimenté en amours féminines. Donc, cette année-là, avec ma cousine, nous nous sommes retrouvés, avec les parents pour quelques jours à la mer, dans un gite, donc pas question de copulation entre cousins à la maison. Un soir pourtant, dans ce Centre de loisirs, un bal est proposé. Nous y sommes allés tous les deux, je découvrais la sensation d’un corps féminin contre le mien. Je peux chanter avec Guy Béart : « Qu’on est bien dans les bras d’une personne de sexe opposé, qu’on est bien dans ces bras-là… » Oui, j’étais bien et j’avais déjà goûté, la veille, à ce plaisir là. Nous étions allés voir un film en plein air, ma cousine, n’était pas bien couverte et la fraicheur de la nuit la poussée dans mes bras. C’était mes premiers émois par le contact prolongé d’un corps féminin, je partais à la découverte de plaisirs autres que ceux procurés par mes mains et alimentés par mon imagination. Non, c’était du concret, et je la trouvais belle ma cousine, sa jeunesse sans doute et le désir profond de goûter avec elle aux “jeux interdits”. Après le bal, nous avons marché dans la nuit et nous avons trouvé un coin tranquille pour nous asseoir dans l’herbe. J’ai entrepris, avec beaucoup de maladresses, une approche par mes lèvres à la recherche des siennes, elle ne s’est pas dérobée, bien au contraire. Elle s’est allongée, gardant le contact avec ma bouche et m’a attiré sur elle. Je découvrais pour la première fois, un baiser avec pénétration de la langue. C’est elle, certes plus jeune mais bien plus expérimentée que moi, qui a introduit sa langue et titillé la mienne sagement gardée dans ma bouche. J’ai, à mon tour, tenté une sortie pour une exploration buccale. Pendant ce temps nos corps habillés, tentaient une danse érotique, elle enserrait ma taille de ses bras et ses mains ont dégagé mon dos, pour caresser mes reins et même les griffer légèrement. Ses ongles, labourant avec amour et désirs le bas de mon dos, provoquant une vibration telle que j’ai éjaculé sans retenue dans mon slip (première éjac sans les mains). Voilà ma première copulation avortée, l’orgasme a fait retomber mon désir et la honte a pris le dessus. Je me suis relevé, elle, toute surprise de cet échange si vite arrêté, m’a regardé interrogative. Je ne lui ai pas avoué avoir joui, je lui ai simplement dit que nous étions cousins. Retour à la maison, légèrement déçu de n’avoir pu maîtriser mon corps pour prolonger ce plaisir tout nouveau pour moi.
Une autre soirée, nous avons pu sortir tous les deux sans la présence des parents. Nous sommes allés jusqu’à la plage et là, ma cousine me parle des bains de minuit où l’on se baigne tout nu. Nous avons cherché un coin de plage tranquille où, semblait-il, il n’y avait personne. Nous avons déposé nos vêtement et nus comme deux vermisseaux, nous sommes allés nous plonger dans l’eau. Nos deux corps nus, pour la première fois, se frôlaient, se caressaient, s’enlaçaient et mon désir montait tout comme ma jeune verge orgueilleuse et avide de conquêtes. Mais je prenais conscience de mon manque de maîtrise et je me disais qu’il n’étais pas question que j’enceinte ma cousine n’ayant aucune envie de partager sa vie et mettre en danger notre avenir. Aussi, alors que nous nagions dans la mer baignée par la lune sous la voute étoilée, à l’aide d’une main, j’ai astiqué mon poireau pour l’amener à l’éjaculation. Tandis que je pratiquais un onanisme égoïste à côté de cette superbe créature, elle me dit : « On dirait que tu as froid, tu trembles ». En fait de tremblement, c’était une masturbation préventive pour ne pas féconder ma chère et tendre cousine. Repus d’avoir joui, je m’apprêtais à regagner la plage pour récupérer nos vêtements, mais voilà, la plage déserte ne l’était plus et nous étions coincés dans l’eau. Comment franchir cet espace entre nos vêtement et la mer sous une pleine lune lumineuse qui révélerait, sans aucun doute, notre nudité. Profitant d’une courte accalmie entre deux passages de promeneurs, nous sommes sortis de l’eau aussi précipitamment qu’Adam et Eve du paradis perdu. C’était mes premiers balbutiements amoureux.
Cette cousine a fait sa vie, a donné naissance à deux enfants, a divorcé. Lors d’un de mes passages en France, elle est venue me voir à la maison familiale. Chance, cet après-midi là, la famille était sortie, il me restait une fenêtre d’une heure pour honorer enfin cette cousine initiatrice. Nous avons fait l’amour, moi assis sur une chaise, un peu à la va-vite de peur d’être surpris par une arrivée inopinée. J’ai pu enfin pénétrer ce corps qui, quelques années auparavant, m’avait fait jouir deux fois sans accouplement. J’étais enfin en elle et j’ai bien astiqué mon poireau dans son fourreau humide de désir. Je la sentais toujours amoureuse de moi et prête à tout donner… Des années plus tard, lors d’une réunion de famille, je lui ai proposée un week-end en montagne dans un hôtel. Après une belle balade amoureuse sur des chemins enneigés nous avons retrouvé la chaleur de l’hôtel. Dans la chambre, je me suis mis à nu et je me suis laissé explorer par sa langue et ses caresses jusqu’à ce qu’elle vienne s’empaler une nouvelle fois sur ma queue qu’elle avait bien réveillée malgré mon âge. Ce sera ma dernière baise avec elle et, chose étrange, elle viendra juste un mois avant ma toute dernière copulation avec une femme (noire cette fois) et dans le même hôtel.
Black- J’ai rencontré Ernestine, la dernière noire de mes amours, au cours de travaux en France, elle avait besoin d’un graphiste pour réaliser des affiches, flyers et tracts. On lui avait donné mon nom. Nous avons passé pas mal d’heures à travailler ensembles avant que je n’entreprenne une action de séduction. Je sentais que ce serait pour moi une affaire. Un jour, j’ai tenté l’approche par une main posée sur la sienne. Puis je me suis enhardi avec des caresses encore très pudiques. Au bout de quelques jours, j’ai senti avoir ferré le poisson, j’ai posé mes lèvres, sur la joue puis sur ses lèvres, elle ne s’est pas refusée, mes mains sont devenues plus courageuses. Elle a eu un recul, me disant : “si quelqu’un vient”. Je lui ai dit qu’elle me troublait et j’avais envie d’elle. Elle n’était plus très jeune, mais bien plus jeune que moi. Elle m’a invité pour le lendemain soir chez elle, j’ai compris qu’on allait consommer… N’ayant plus baisé de filles depuis plusieurs années, j’étais tout excité de renouveler cette expérience, mes aventures d’homo passif avaient totalement pris le dessus. Le soir arrivant, n’y tenant plus et n’étant plus très sûr de me lancer dans cette aventure, je me suis masturbé comme un fou et à plusieurs reprises, vidant toute ma réserve. Je lui ai téléphoné pour lui dire que je ne viendrai pas car j’avais épuisé toutes mes cartouches. Il y a eu un cri de désespoir de l’autre côté du fil. Puis un long silence, enfin elle m’a dit : “viens quand même”.
Je suis allé à ce rendez-vous la queue basse d’avoir provoqué chez elle ce désir et de la décevoir par un geste tout égoïste. C’était une belle plante, noire, les seins ramollis mais toujours bandant à les presser et à les sucer. C’était ma dernière black avec qui je pourrai mettre à profit toutes ces années d’expérience sexuelle.
J’arrive, on s’embrasse et elle commence à me mettre à poil et prend en main mon asticot qui sous ses caresses retrouve une vigueur que je ne pensais pas avoir ce soir-là. Elle est offerte nue et m’entraîne vers la salle de bain. La baignoire est pleine, elle y entre et me demande de la rejoindre. Je pense qu’elle s’est imaginée faire l’amour dans la baignoire comme dans un film romantique. Mais nous n’étions pas au cinéma, elle était d’un gabarit imposant, mais pas grosse, puissante et comme je suis fin, certes, mais pas petit, la baignoire a eu du mal à nous contenir. Ce ne fut pas confortable, nous n’avons essayé en vain de nous accoupler, alors, nous nous sommes lavés mutuellement découvrant chacune des parties de notre corps. Je l’ai vue un peu déçu de n’avoir pas réalisé son fantasme. Nous sommes sortis pour nous sécher et rejoindre son grand lit d’amour. Avec elle, j’ai pratiqué le cunnilingus à fond, goûtant avec délectation, son fluide d’amour, un régal envoutant, je devenais accro et ça la gênait, elle était plus habituée à une copulation à la missionnaire qu’à la pratique du 69.
Après une relation suivie, je devais quitter la ville pour une autre destination. Je l’ai invitée un week-end dans ce fameux hôtel à la montagne. Nous n’avons pas marché, le temps maussade nous poussait à rester au lit. Nous sommes juste sortis pour reprendre des forces avec le repas du soir et nous avons remis la sauce, toute la nuit. Nous avons sonné l’hallali, conscients que ce serait sans doute notre dernière chasse à courre du sexe. Sur la route du retour, j’étais tellement fatigué, que je me suis assoupi au volant, elle m’a réveillé dans un cri de peur. Nous avons fait une halte, j’ai dormi et repris la route finale. Ainsi, s’est achevé mon accouplement au corps féminin. Bien plus tard, je ai croisé Ernestine, par hasard, elle a fait sa vie mais habite mes pensées.
Je terminerai mes contributions par un proverbe africain : « Lorsqu’un chasseur ne ramène plus de proie, il parle de ses exploits…. »
White - La blanche m’a ouvert aux aventures hétérosexuelles et la noire, de nombreuses années plus tard, les a fermées . Quand, je parle de la blanche, je ne parle pas de la travailleuse du sexe qui m’a dépucelé mais de celle qui m’a introduit au monde féminin. Cette blanche, en fait, est ma cousine, j’étais tout jeune, inexpérimenté en amours féminines. Donc, cette année-là, avec ma cousine, nous nous sommes retrouvés, avec les parents pour quelques jours à la mer, dans un gite, donc pas question de copulation entre cousins à la maison. Un soir pourtant, dans ce Centre de loisirs, un bal est proposé. Nous y sommes allés tous les deux, je découvrais la sensation d’un corps féminin contre le mien. Je peux chanter avec Guy Béart : « Qu’on est bien dans les bras d’une personne de sexe opposé, qu’on est bien dans ces bras-là… » Oui, j’étais bien et j’avais déjà goûté, la veille, à ce plaisir là. Nous étions allés voir un film en plein air, ma cousine, n’était pas bien couverte et la fraicheur de la nuit la poussée dans mes bras. C’était mes premiers émois par le contact prolongé d’un corps féminin, je partais à la découverte de plaisirs autres que ceux procurés par mes mains et alimentés par mon imagination. Non, c’était du concret, et je la trouvais belle ma cousine, sa jeunesse sans doute et le désir profond de goûter avec elle aux “jeux interdits”. Après le bal, nous avons marché dans la nuit et nous avons trouvé un coin tranquille pour nous asseoir dans l’herbe. J’ai entrepris, avec beaucoup de maladresses, une approche par mes lèvres à la recherche des siennes, elle ne s’est pas dérobée, bien au contraire. Elle s’est allongée, gardant le contact avec ma bouche et m’a attiré sur elle. Je découvrais pour la première fois, un baiser avec pénétration de la langue. C’est elle, certes plus jeune mais bien plus expérimentée que moi, qui a introduit sa langue et titillé la mienne sagement gardée dans ma bouche. J’ai, à mon tour, tenté une sortie pour une exploration buccale. Pendant ce temps nos corps habillés, tentaient une danse érotique, elle enserrait ma taille de ses bras et ses mains ont dégagé mon dos, pour caresser mes reins et même les griffer légèrement. Ses ongles, labourant avec amour et désirs le bas de mon dos, provoquant une vibration telle que j’ai éjaculé sans retenue dans mon slip (première éjac sans les mains). Voilà ma première copulation avortée, l’orgasme a fait retomber mon désir et la honte a pris le dessus. Je me suis relevé, elle, toute surprise de cet échange si vite arrêté, m’a regardé interrogative. Je ne lui ai pas avoué avoir joui, je lui ai simplement dit que nous étions cousins. Retour à la maison, légèrement déçu de n’avoir pu maîtriser mon corps pour prolonger ce plaisir tout nouveau pour moi.
Une autre soirée, nous avons pu sortir tous les deux sans la présence des parents. Nous sommes allés jusqu’à la plage et là, ma cousine me parle des bains de minuit où l’on se baigne tout nu. Nous avons cherché un coin de plage tranquille où, semblait-il, il n’y avait personne. Nous avons déposé nos vêtement et nus comme deux vermisseaux, nous sommes allés nous plonger dans l’eau. Nos deux corps nus, pour la première fois, se frôlaient, se caressaient, s’enlaçaient et mon désir montait tout comme ma jeune verge orgueilleuse et avide de conquêtes. Mais je prenais conscience de mon manque de maîtrise et je me disais qu’il n’étais pas question que j’enceinte ma cousine n’ayant aucune envie de partager sa vie et mettre en danger notre avenir. Aussi, alors que nous nagions dans la mer baignée par la lune sous la voute étoilée, à l’aide d’une main, j’ai astiqué mon poireau pour l’amener à l’éjaculation. Tandis que je pratiquais un onanisme égoïste à côté de cette superbe créature, elle me dit : « On dirait que tu as froid, tu trembles ». En fait de tremblement, c’était une masturbation préventive pour ne pas féconder ma chère et tendre cousine. Repus d’avoir joui, je m’apprêtais à regagner la plage pour récupérer nos vêtements, mais voilà, la plage déserte ne l’était plus et nous étions coincés dans l’eau. Comment franchir cet espace entre nos vêtement et la mer sous une pleine lune lumineuse qui révélerait, sans aucun doute, notre nudité. Profitant d’une courte accalmie entre deux passages de promeneurs, nous sommes sortis de l’eau aussi précipitamment qu’Adam et Eve du paradis perdu. C’était mes premiers balbutiements amoureux.
Cette cousine a fait sa vie, a donné naissance à deux enfants, a divorcé. Lors d’un de mes passages en France, elle est venue me voir à la maison familiale. Chance, cet après-midi là, la famille était sortie, il me restait une fenêtre d’une heure pour honorer enfin cette cousine initiatrice. Nous avons fait l’amour, moi assis sur une chaise, un peu à la va-vite de peur d’être surpris par une arrivée inopinée. J’ai pu enfin pénétrer ce corps qui, quelques années auparavant, m’avait fait jouir deux fois sans accouplement. J’étais enfin en elle et j’ai bien astiqué mon poireau dans son fourreau humide de désir. Je la sentais toujours amoureuse de moi et prête à tout donner… Des années plus tard, lors d’une réunion de famille, je lui ai proposée un week-end en montagne dans un hôtel. Après une belle balade amoureuse sur des chemins enneigés nous avons retrouvé la chaleur de l’hôtel. Dans la chambre, je me suis mis à nu et je me suis laissé explorer par sa langue et ses caresses jusqu’à ce qu’elle vienne s’empaler une nouvelle fois sur ma queue qu’elle avait bien réveillée malgré mon âge. Ce sera ma dernière baise avec elle et, chose étrange, elle viendra juste un mois avant ma toute dernière copulation avec une femme (noire cette fois) et dans le même hôtel.
Black- J’ai rencontré Ernestine, la dernière noire de mes amours, au cours de travaux en France, elle avait besoin d’un graphiste pour réaliser des affiches, flyers et tracts. On lui avait donné mon nom. Nous avons passé pas mal d’heures à travailler ensembles avant que je n’entreprenne une action de séduction. Je sentais que ce serait pour moi une affaire. Un jour, j’ai tenté l’approche par une main posée sur la sienne. Puis je me suis enhardi avec des caresses encore très pudiques. Au bout de quelques jours, j’ai senti avoir ferré le poisson, j’ai posé mes lèvres, sur la joue puis sur ses lèvres, elle ne s’est pas refusée, mes mains sont devenues plus courageuses. Elle a eu un recul, me disant : “si quelqu’un vient”. Je lui ai dit qu’elle me troublait et j’avais envie d’elle. Elle n’était plus très jeune, mais bien plus jeune que moi. Elle m’a invité pour le lendemain soir chez elle, j’ai compris qu’on allait consommer… N’ayant plus baisé de filles depuis plusieurs années, j’étais tout excité de renouveler cette expérience, mes aventures d’homo passif avaient totalement pris le dessus. Le soir arrivant, n’y tenant plus et n’étant plus très sûr de me lancer dans cette aventure, je me suis masturbé comme un fou et à plusieurs reprises, vidant toute ma réserve. Je lui ai téléphoné pour lui dire que je ne viendrai pas car j’avais épuisé toutes mes cartouches. Il y a eu un cri de désespoir de l’autre côté du fil. Puis un long silence, enfin elle m’a dit : “viens quand même”.
Je suis allé à ce rendez-vous la queue basse d’avoir provoqué chez elle ce désir et de la décevoir par un geste tout égoïste. C’était une belle plante, noire, les seins ramollis mais toujours bandant à les presser et à les sucer. C’était ma dernière black avec qui je pourrai mettre à profit toutes ces années d’expérience sexuelle.
J’arrive, on s’embrasse et elle commence à me mettre à poil et prend en main mon asticot qui sous ses caresses retrouve une vigueur que je ne pensais pas avoir ce soir-là. Elle est offerte nue et m’entraîne vers la salle de bain. La baignoire est pleine, elle y entre et me demande de la rejoindre. Je pense qu’elle s’est imaginée faire l’amour dans la baignoire comme dans un film romantique. Mais nous n’étions pas au cinéma, elle était d’un gabarit imposant, mais pas grosse, puissante et comme je suis fin, certes, mais pas petit, la baignoire a eu du mal à nous contenir. Ce ne fut pas confortable, nous n’avons essayé en vain de nous accoupler, alors, nous nous sommes lavés mutuellement découvrant chacune des parties de notre corps. Je l’ai vue un peu déçu de n’avoir pas réalisé son fantasme. Nous sommes sortis pour nous sécher et rejoindre son grand lit d’amour. Avec elle, j’ai pratiqué le cunnilingus à fond, goûtant avec délectation, son fluide d’amour, un régal envoutant, je devenais accro et ça la gênait, elle était plus habituée à une copulation à la missionnaire qu’à la pratique du 69.
Après une relation suivie, je devais quitter la ville pour une autre destination. Je l’ai invitée un week-end dans ce fameux hôtel à la montagne. Nous n’avons pas marché, le temps maussade nous poussait à rester au lit. Nous sommes juste sortis pour reprendre des forces avec le repas du soir et nous avons remis la sauce, toute la nuit. Nous avons sonné l’hallali, conscients que ce serait sans doute notre dernière chasse à courre du sexe. Sur la route du retour, j’étais tellement fatigué, que je me suis assoupi au volant, elle m’a réveillé dans un cri de peur. Nous avons fait une halte, j’ai dormi et repris la route finale. Ainsi, s’est achevé mon accouplement au corps féminin. Bien plus tard, je ai croisé Ernestine, par hasard, elle a fait sa vie mais habite mes pensées.
Je terminerai mes contributions par un proverbe africain : « Lorsqu’un chasseur ne ramène plus de proie, il parle de ses exploits…. »
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