BLANCHETTE et les SEPT PERSONNES de PETITE TAILLE.

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : BLANCHETTE et les SEPT PERSONNES de PETITE TAILLE. Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-04-2015 dans la catégorie Plus on est
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BLANCHETTE et les SEPT PERSONNES de PETITE TAILLE.
Je m’appelle Blanchette au moment où je commence à vous raconter ce qu’il m’est arrivé, je suis au volant de la voiture du souteneur qui avait décidé de me faire travailler dans les bas-fonds de la ville de Toulon.
À vingt ans, il y avait bien longtemps que je n’étais plus vierge ayant vécu dans les quartiers nord de Marseille où la loi du plus fort était souvent la règle même pour une fille.
Pour être tranquille avec les garçons de notre bande, je m’occupais de leur verge chacun leur tour et je les tenais par la peau des couilles. Le premier qui me manquait de respect ne pouvait pas venir me retrouver dans mon lit pendant un mois.
Avec cette méthode, je vivais heureuse dans notre cité.
Quand Tonio un bel Italien s’est arrêté avec sa Porche et qu’il m’a demandé si je connaissais Djino, le pizzaiolo, j’étais incapable de lui dire si celui qui travaillait sur la place s’appelait par ce nom.
Ne connaissant pas la cité, il m’a demandé de monter avec lui et de me guider jusqu’à luiNous n’avions pas fait cent mètres sur les cinq cents qui devaient nous conduire à la place qu’il m’avait déjà dit que j’étais très belle.
Pourquoi me méfier alors que je suis une bombe depuis que mes seins ont pointé leurs grosses fraises sous mon débardeur ne mettant jamais de soutien lolos ?
Ma chevelure blonde de même couleur que le duvet de ma chatte faisait partie des choses qui faisaient bander mes copains.
Après avoir garé sa voiture, il m’a proposé de venir manger une pizza avec lui.
Mes parents n’étaient pas riches et leur faire économiser un repas ne les ennuieraient pas.
Je l’ai vu parler au pizzaiolo et téléphoné en me regardant.
Le repas terminé, il m’a proposé avant de me raccompagner devant mon immeuble de me faire un tour avec sa voiture et me faire voir, comment elle filait lorsqu’il appuyait sur le champignon.
Avec la vieille 4L toute défoncée que je m’étais acheté l’été dernier après avoir vendu des glaces aux touristes. Touristes qui venaient pour que je les serve pour voir mes roberts lorsque je me penchais pour faire leurs boules que par envie de pistache ou de fraises.
C’est sûr, elle crachait sa voiture et lorsqu’il s’est arrêté pour faire cracher son sexe en moi, n’ayant jamais eu d’homme aussi beau que cet Italien. J’ai accepté de sortir de la voiture trop exiguë pour une petite baise et le laisser me prendre les bras en croix sur le capot tout chaud de son bolide.
Un bolide va vite mais mon italien encore plus vite, il y avait un homme bien connu qui se vantait de faire cela en cinq minutes douche compris.
Je venais de trouver mieux sauf la douche que nous n’avions pas.
J’ai eu une petite envie et je lui ai demandé de m’attendre le temps que je la satisfasse.
J’allais me baiser derrière un arbre lorsqu’une vipère a filé près de moi.
Je me suis déplacé sans me rendre compte, je me rapprochais de la voiture.
L’homme était en train de téléphoner avec son portable et la conversation qu’il tenait avait beaucoup d’intérêt pour moi.
Il était ni plus ni moins en train de me vendre au patron d’un bordel clandestin Toulonnais. Il a même ajouté que j’avais un joli coup de rein et que les marins feraient la queue pour se vider en moi.
Alors qu’il venait de raccrocher et qu’il s’était un peu éloigné de la voiture pour piser un petit boc, j’ai fait la seule chose que je devais faire.
J’ai sauté au volant et j’ai démarré pied au plancher.
Je l’ai vu courir derrière la voiture et avec ses chaussures faites pour frimer, je l’ai vu s’étaler de tout son long.
Dès que je ne l’ai plus vu, j’ai levé le pied même si le bolide que je conduisais me chauffait la chatte chaque fois que j’appuyais.
Je cherchais à rejoindre Marseille mais un moment j’étais dans une forêt complètement perdue.
La nuit tombait et d’un seul coup un sanglier est passé devant la voiture.
J’ai freiné mais elle est partie en dérapage et puis rideau adieu la vie.
La nuit est tombée sur moi et j’ai vu un long tunnel blanc venir vers moi.

Lorsque je suis revenu à moi, en ressortant le tunnel blanc, je me suis aperçu que j’étais dans un lit nu. J’ai voulu bouger mais une douleur est venu de mon épaule.
J’ai regardé et elle était bandée.
J’étais dans une chambre dans un grand lit et entouré de meubles en bois fabriqué maison.
Je m’interrogeais et d’un coup la voiture en dérapage m’est revenue en mémoire.
Quelqu’un avait dû me trouver et me soigner.
Je devais être mal réveillé ou carrément encore dans les vapes lorsqu’une tête m’est apparue dans le chambranle de ma porte ouverte de la chambre.
Cela ne pouvait pa être une tête car ce que j’avais vu une fraction de seconde était à la hauteur de la serrure de cette porte.
Je devais devenir folle lorsque j’ai vu entrer à petits pas, un, deux, trois, quatre, cinq, six et la première tête, sept nains.
Le premier semblait être le chef et est venu me dire qu’il m’avait trouvé la tête dans une bauge de sanglier. J’avais la tête presque sous l’eau stagnante après avoir été éjecté par la portière qui s’était ouverte.
Il s’est présenté, je m’appelle « Prof » et j’essaye de gérer cette bande de bon à rien que sont mes frères.
Moi nos parents m’ont appelé « Joyeux » car tout le temps de votre séjour je vous ferais rire.
Il faut que je lui dise mon nom Prof ?
Non, « Grincheux » la dame a bien compris qui tu es.
Moi, je suis « Timide ». J’ai peur d’une belle dame comme vous.
Mes frères ont fait des conquêtes moi jamais.
Prof, vous avez encore laissé la fenêtre ouverte, je vais prendre froid.
« Atchoum », va-la fermer toi-même.
La dame est bien gentille mais quand allons-nous aller au lit, la journée de travail m’a épuisé et je manque de sommeil.
Madame, vous comprenez pourquoi mes parents l’ont appelé « Dormeur, » nous n’arrivons jamais à le réveiller le matin pour partir au bois. Derrière ses frères la tête que j’avais vue en premier avait l’air de se cacher.
Je lui demande et toi qui es-tu ?
« C’est moi » a été sa seule réponse.
Une fois de plus Prof est venu au secours de son frère. Il s’appelle « Simplet ».
Je demande à Prof qui m’avait déshabillé et pourquoi j’étais nue ?
Il m’a expliqué qu’alors qu’il suivait un papillon, Simplet est venu les avertir qu’une dame gisait dans la boue à quelques kilomètres de chez nous. Ils étaient venus rapidement car leur pauvre frère était incapable d’inventer une telle histoire.
Lorsqu’ils m’ont vu et sorti de mon trou. Grincheux et Joyeux sont retournés à la maison chercher le chariot à roulette que j’ai fabriqué après en avoir dessiné les plans pour que Simplet s’amuse lorsque nous travaillons.
C’est toujours moi qui dois me déplacer lorsqu’il y a un problème.
Moi cela m’a amusé de tiré jusqu’ici.
On peut comprendre tout de suite qui vient de s’exprimer.
On a eu du mal à te déshabiller pour te mettre dans le bac à douche. Nos parents qui ont construit la maison n’étaient pas de petite taille et ne s’attendaient pas à avoir sept nabots comme nous.
Nous t’avons lavé.
Je t’ai coiffé me dit Dormeur, j’ai réussi à bien te brosser sans m’endormir tellement, tu es belle.
Pour te monter dans le lit de nos parents, nous nous sommes tous mis et j’ai pu te soigner.
Simplet a tenu à me faire un compliment en me disant qu’il avait vu ma chatte comme celle qu’il voyait sur les sites pornos sur Internet.
Incroyable, j’avais envie de me pincer si je ne rêvais pas. Ces petits hommes avaient bien su s’occuper de moi.
J’ai ressenti le besoin d’aller au petit coin. Prof m’a montré la porte de la salle de bains et sur un ordre, les sept frères se sont retournés. Non, six, car Simplet est resté à me regarder allant même jusqu’à la porte en disant qu’elle était belle la dame.
Lorsque je suis revenu vers mon lit, je leur dis qu’ils pouvaient m’appeler « Blanchette » et que je ferai tout pour les remercier.
J’ai demandé à Prof où étaient mes affaires ?
Lui qui depuis que je le connaissais était toujours sûr de, lui avait l’air très gêné.
À force de lui demander de s’expliquer, il a fini par me dire qu’ils avaient demandé Simplet de faire tremper mes affaires couvertes de boue. Il avait tellement chargé de bois sous la lessiveuse, que la température avait tout fait rétrécir et qu’ils n’étaient pas possibles qu’eux-mêmes les mettent.
Ils ne restaient même pas d’affaire de ses parents car ils ont tout donné à un cousin et une cousine.
J’étais coincé. Chez moi, j’aimais me promener nue comme je n’avais pas d’affaire, j’ai pensé prendre un drap. J’avais envie de les aider alors, c’est à poil que j’ai commencé à tourner dans la maison.
Les aider, c’était impossible la maison était une vraie bonbonnière et lorsque je suis revenu dans ma chambre, mon lit était fait.
Je suis retourné dans la cuisine et le couvert était mis. Nous venions de manger ma soupe lorsque j’ai senti que l’on me caressait la chatte. J’ai cru qu’ils avaient un chat qui me frôlait avec sa queue mais en baisant la tête, j’ai vu Simplet qui me caressait.
Il savait y faire avec mon clitoris, j’étais à deux doigts de la jouissance lorsque Prof voyant que quelque chose m’arrivait et ne voyant pas son frère lui a demandé de ne pas ennuyer la dame.
Quelque con ce Prof, depuis que l’Italien m’avait couché sur le capot de sa Porche et ne sachant pas combien de temps j’étais resté dans les vapes ma vulve habituée à retrouver les copains commençait à avoir faim.
Aussitôt la cuisine rangée, ils sont allés se coucher. Mes aventures les avaient retardés pour préparer la commande de bois qui leur avait été passée.

Je dormais lorsque dans la nuit, j’ai eu l’impression qu’une chose se glissait sous mes draps.
Intrigué j’ai passé ma main et j’ai saisi un bâton d’une taille que je n’avais jamais vue.
L’un des sept frères avait décidé de venir m’honorer et arrivait avec des arguments plus que convaincants.
Que faire, le repousser ou me laisser faire ?
Très vite ma chatte a choisi pour moi et j’ai écarté les cuisses pour le diriger en moi ; mon vagin était totalement trempé comme si un torrent en sortait. Dès que ce véritable manche de pioche m’a perforé, j’étais tellement rempli qu’un orgasme est arrivé venant le long de ma colonne vertébrale.
J’assure que je me souviens de ce premier orgasme mais tous ceux qui ont suivi m’ont laissé pantelante. Les cris de plaisir que ce petit homme me procurait ont dû s’entendre dans toutes les chambres des autres frères.
Le sperme qu’il a propulsé en moi conjugué à ma mouille, on fait que j’ai senti que mon vagin était dans l’impossibilité de tout garder.
Je me suis endormi et lorsque je me suis réveillé, j’avais Simplet dans mes bras, qui dormait satisfait de ce que nous avions fait ensemble.
Je ne croyais pas ce que c’était lui qui possédait une verge de cette envergure et en soulevant le drap force a été de constater que je n’avais pas rêvé et qu’il était monté comme un taureau.
Je me suis levé et lorsque j’ai rejoint la cuisine, ils étaient tous au bois pour travailler.
Sur la table deux petits déjeuners nous attendaient.
J’ai beaucoup apprécié les beaux sentiments et la solidarité qu’ils y avaient entre les frères et surtout avec Simplet à qui il manquait quelque chose mais certainement pas dans son pantalon.
Il est venu sur la chaise à côté de moi comme si son cerveau ne se souvenait plus que nous avions baisé ensemble.
Notre café bu, je me suis agenouillée et j’ai ressorti l’objet de mes envies.
Je l’ai sucé en ayant du mal à mettre son gland dans ma bouche. Il a bandé rapidement et quelques minutes après j’avais la même quantité de sperme à avaler que le bol de café qui m’avait empli l’estomac.
J’ai fait notre vaisselle et de nouveau, il était derrière moi à m’embrasser les fesses sa verge tendue.
Je l’ai un peu grondé et il a rentré son matériel.
Il m’a pris la main et m’a entraîné dehors. Il faisait beau et il m’a guidé jusqu’au chantier de ses frères.
J’étais nue mais la chaleur de cette forêt ne m’incitait pas à me couvrir.
À quelques mètres de l’endroit où ils travaillaient j’ai entendu le bruit des tronçonneuses et des cognées.
Ils ne chaumaient pas et je comprenais pourquoi Prof les couchait de bonne heure le soir.
Je me suis assise sur une souche et une grande partie du temps, je me suis régalé à les voir travailler comme de vraies fourmis.

La nuit d’après, j’espérais que Simplet allait venir me voir.
Il l’a fait et bien fait me faisant jouir aussi fort, voire plus fort que le premier jour.
Tout se passait bien lorsque j’ai senti le drap se soulever créant un léger mouvement de vent et que j’ai clairement entendu éternuer. Dans le même temps le pieu considérable de la veille se retrouvait dans ma main.
Le premier qui devait être Atchoum s’est couché sur le dos et m’a attiré pour me pénétrer par la chatte pendant que monsieur grosse verge me défonçait littéralement l’anus en me sodomisant comme jamais personne ne m’avait déchiré.
Êtres pris par deux bites gros format étaient formidables et je ne regrettais pas mon accident surtout que mon épaule me faisait de moins en moins mal. Je jouissais de plus en plus et de plus en plus fort et toute douleur devenait un plaisir.
Ce qui était divin, c’était de sentir ses deux bites se frotter sur ma paroi intime entre mon vagin et mon anus. Rapidement j’ai senti les petites terminaisons nerveuses de cette paroi s’échauffer et m’aidais à avoir une jouissance extrême.
J’espérais bien recommencer une double pénétration le plus rapidement possible.
Mon corps était trempé et n’aspirait qu’à jouir et à avoir des orgasmes.
Lorsque je me suis réveillé comme hier seul Simplet dormait dans mes bras. Je l’ai laissé dormir et j’ai rejoint ses frères sur leur lieu de travail.
À partir de ce moment, trouvant certainement qu’il leur fallait attendre trop longtemps pour pouvoir me pénétrer. Que leur sexe hyper tendu les gênait dans leur pantalon pour travailler. Chaque fois que l’un d’eux en sentait l’envie, me prenait sur une couverture qu’ils apportaient pour déjeuner le midi et où je me prélassais en les attendant.
Jamais mon corps ne m’avait plus appartenu car les coups de boutoir que je prenais dans la journée n’avaient d’égale que ceux que mon bel amant de la nuit venait me donner.
Après Simplet, le dernier des sept frères le mieux monté c’était Prof qui pour autant ne me donnait pas autant de plaisir que son petit frère.
Un après-midi où mon corps avait été dévasté toute la nuit par mon amant préféré. Atchoum, Dormeur et Joyeux ont commencé à s’occuper de moi. Atchoum m’a pris l’anus en me plaçant sur lui, Dormeur est venu investir ma chatte et Joyeux me l’a mise dans la bouche.
Voyant cela, Prof m’a placé la sienne dans une main. Grincheux maugréait car on ne lui avait pas laissé ma chatte alors je l’ai empoigné avec l’autre main.
Seul Timide, qui était assis sur une souche, regardait n’osant approcher.
Même là m’occupant et réussissant à satisfaire cinq verges en même temps, je n’ai pas aussi bien joui qu’avec celle de Simplet qui n’était pas là certainement en train de courir après un papillon.
J’étais contente car il rechargeait, ses batteries pour mieux venir me prendre toujours la nuit d’une façon ingénieuse toujours différente qui me transportait plus loin sur le chemin de nos plaisirs réciproques.
Lorsque je redescendrai vers Marseille, il faudra que je trouve un producteur de films X et que nous fassions tous les deux la série de films pornos. « Blanchette se fait prendre par son nain préféré. » « Blanchette se fait sodomiser par son amant Simplet ».

Pendant trois semaines mon corps, plus ils lui en donnaient et plus ils en demandaient. Ils lui ont fait passer des moments inoubliables pour le restant de ma vie.

D’un coup, une tache blanche est apparue et une jeune femme avec une blouse blanche s’est mise à me demander si j’étais là. Elle recommençait toujours la même phrase à m’en donner mal à la têteQuelle idiote, je ne peux pas être là car je suis avec les sept frères dans la forêt.

Lorsque je suis sortie trois semaines après l’accident que j’avais eu avec la Porche en percutant un sanglier. La police l’a retrouvé mort dans le fossé.
Je suis allé prendre ma 4L, J’ai recherché l’endroit où le maquereau Italien m’a prise sur le capot pour repartir de ce point et pour rechercher la route que j’avais suivie.
J’avais envie de retrouver la maison où j’ai été heureuse et surtout retrouver le petit Simplet.

Dix ans plus tard, je n’ai pas retrouvé Simplet mais Adrien qui est devenu mon mari.
Il habitait comme moi les quartiers nord de Marseille et à comme particularité en plus d’être ingénieur dans une usine de raffinage de Fos-sur-mer de mesurer 1 m 20 et être monté comme mon amant perdu d’un sexe qui me comble chaque fois qu’il me prend.
Son pieu m’a fait deux enfants un garçon qui a 10 ans mesure déjà 1 m 71. Et une fille véritable petite poupée aussi blonde que sa maman qui mesure 60 cm.
J’y fais très attention de peur qu’on ne me la casse.
Peut-être que ce sera elle qui retrouvera les frères que je ne regrette plus depuis mon mariage avec Adrien, l’homme que j’aime.

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