BM... W !
Récit érotique écrit par Rollerbi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 29 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.4 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Rollerbi ont reçu un total de 168 726 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-04-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 5 795 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
BM... W !
Généralement, c’est moi qui prends les devants : je quitte. Là, allongée contre moi, Gaby m’annonce avec sérénité qu’elle désire mettre un terme à notre relation, invoquant le fait qu’on n’ira jamais plus loin « nous deux ». Pour ma part, les choses étaient claires dès le départ, nous prenions du plaisir ensemble, et puis « nous verrons bien où cela nous mène ! ». Aujourd’hui, il n’y a plus rien à voir, de toute évidence.
Ce petit bout de femme brune d’à peine 1,60 mètre au corps d’adolescente m’avait plu au premier regard. Son regard de braise, ses cheveux noirs aux reflets de geai la rendaient simplement irrésistible, je n’avais pas hésité longtemps pour l’aborder et lui faire la cour. Femme de caractère, ce n’est pas le premier soir que je l’avais conquise ni le deuxième d’ailleurs. Chose originale, elle m’avait embrassée passionnément alors que je la déposais devant chez elle, justement à l’issue du deuxième rendez-vous. Ma main se posa alors délicatement sur son ventre plat, tout en savourant ses lèvres. M’imaginant déjà la découvrir quelques minutes plus tard, mes doigts remontaient lentement vers ses seins. Une fois que ma main fut parvenue à destination, elle me demanda si je bandais. À ma réponse positive, elle me dit alors :
— Branle-toi, là, devant moi !
Déstabilisant, pour le moins, ce genre de demande. J’eus beau essayer de la convaincre de monter chez elle, ou bien de venir chez moi, rien à faire. Néanmoins, je m’exécutai, espérant… qu’elle change d’avis.
Le siège en bascule de quelques degrés, je dégrafais mon bénard, baissais mon caleçon, et ma queue bandée bondit hors de sa cage. Ses commentaires furent aussi hot qu’élogieux, puis de nouveau, elle m’intima l’ordre de me branler devant elle. Voyant qu’elle ne lâcherait pas, je me mis en branle de la main gauche, persuadé qu’en lui caressant le dos, ses lèvres viendraient à mon secours. C’est bien la première fois que je me branle au premier rendez-vous. Enfin, devant ma conquête, car en principe, c’est juste après lorsque l’on n’a pas pu conclure !
Ma main coulissait régulièrement sous le regard fixe de Gaby tandis qu’elle m’invitait à lui montrer ma jouissance. Elle consentit à poser sa tête contre mon torse, ce fut ma condition pour jouir, sous peine de tout remballer. Ses cheveux dans mon visage, je m’enhardis quelque peu, et c’est en l’étreignant fort contre moi que je lui balançai en plusieurs salves de mon plaisir en plein visage.
Ce n’est que le lendemain que je découvris son corps d’antilope, et ce fut également la dernière fois que mon sperme se perdit en sa présence. Pour l’heure, c’est notre complicité qui s’abîme. Son désir de construire est plus fort que nos orgasmes, je peux le comprendre, et ne tente d’ailleurs pas de lutter : la coupe est fêlée, les dés jetés.
Comprenant que Gaby ne plaisante pas, je me lève, enfile mes vêtements, dépose un tendre baiser sur ses lèvres pulpeuses, et sans un commentaire, me retire dans la nuit, la mort dans l’âme. Une rupture, provoquée comme subie, est un échec, et il n’y a aucune fierté à tirer, seulement un enseignement, tout au plus. Le Cintra m’accueille royalement, étalant son tapis de zinc rien que pour moi, privilège réservé aux V.I.P. Pas une âme, on doit être proche de la fermeture. Le Canadian Club que me sert le barman me réconforte temporairement, la Camel brouille ma vue, et la musique d’ambiance me les brise menu. Au troisième Whisky, je me dis que noyer ma tristesse dans l’alcool ne m’apportera rien, et décide de retourner affronter la nuit. L’air cru me fait du bien, et marche au fil des rues, l’alcool circulant dans mes veines m’apporte un pseudo-réconfort salvateur. La nuit porte conseil, dit-on. Et c’est vrai même sans forcément dormir. Mes pas me portent à travers la ville endormie, et sans même m’en rendre compte, je me retrouve une fois de plus à l’orée de ce grand parc où les hommes aiment à se retrouver quand vient le soir.
Assis sur un banc, j’en allume encore une, et la ritournelle reprend : homme, femme, quand vas-tu choisir une sexualité et t’y tenir ? Le temps t’est compté, un jour tu seras seul comme un con, tu verras. Pas de famille, pas d’enfants, des manies de vieux… C’est casse-couilles, une tronche, quand le compteur s’emballe. Et un homme seul est toujours mal accompagné…
— Je peux m’asseoir ? Putain, je ne l’avais même pas vu arriver, celui-là. J’acquiesce, il se pose à côté de moi, à la limite légale de promiscuité qu’un banc public tolère. Et il commence par la météo, alors que je n’ai rien projeté et surtout pas très envie de discuter. Je suis victime de mes pieds ! Ce sont eux qui m’ont tiré jusque-là !
— Écoute, je ne suce pas, je ne baise pas, j’ai une toute petite bite, et ma copine vient de me larguer, je ne sais même pas ce que je fous là. OK ? Ça, c’est dit, il va de cette façon probablement se lever et partir.
— Désolé. La mienne aussi, elle s’est barrée. Je me sens con, mais alors con… lâche-t-il.
— Désolé, dis-je en me sentant soudainement idiot d’avoir été si brutal. Il y a longtemps ?
Un mois, m’affirme-t-il. Et ce soir, il s’est dit que peut-être il rencontrerait un mec sympa pour passer un moment, qu’il en avait assez de partager ses larmes et ses branlettes avec sa boîte de Kleenex. Le temps qu’il m’explique son cas, je le dévisage un peu. La quarantaine, bonne gueule, jeans, chaussures de cuir, un superbe blouson « fleur de cuir »… ce n’est pas un indigent. Ses phrases sont formées, il sait s’exprimer, et il est direct, au moins.
Puis il me demande ce qui m’est arrivé… même si je ne baise pas ni ne suce. Il a de l’humour, au moins. À l’évocation de mon dernier rapport avec Gaby ce soir même, il me qualifie de veinard, que ses besoins ont toujours été importants, et que ses burnes lui remplacent presque le cerveau. Et à brûle-pourpoint, il me demande si j’ai déjà essayé avec un homme. Il a de toute évidence faim, et ne perd pas de temps.
— Disons que ce n’est pas la première fois que je me retrouve là. Et toi ? ne désirant pas abattre toutes mes cartes d’un coup.
— Au lycée, avec un copain. Il m’a sucé quelques fois, je l’ai branlé un peu, mais il en avait une toute petite, c’était frustrant. Et une autre fois il y a quelques années, un mec m’a abordé sur un parking d’autoroute. Il m’a divinement sucé, le pied total. Et ce soir, je t’ai vu arriver, je me suis dit que tu ne devais pas être une folle, tu n’as pas l’air… louche. me livre-t-il en massant son entrejambe.
— On a une chose en commun : on n’aime pas les petites bites ! dis-je avec ironie
— Ma femme m’a toujours dit que j’en avais au moins pour deux, risque-t-il alors, un peu décoincé. Ma bite aurait bien besoin d’un peu de compagnie, ce soir. Tu… veux la voir ?
Je m’approche un peu de lui tout en disant que je n’ai pas trop la tête à la bagatelle, posant ma main sur sa bosse d’un geste quelque peu désinvolte. Il s’avère tout de même que ce premier contact est fort sympathique, « ça » a l’air bien dodu ; une verge très dessinée irradie ma paume d’une douce chaleur. Bien que peu enclin à un banal plan qui se bornerait à une petite pipe derrière un buisson, là… je lui propose toutefois de nous isoler dans sa voiture, même si la nuit est calme. Il suffit que je me penche sur lui pour que quelques excités déboulent comme des mouches, et j’argumente sur le fait que son jouet semble mériter un peu plus d’intimité. Il accepte sans hésiter, mais me confie avoir tout autant le trac que l’envie, et s’excuse déjà d’être un peu puceau sur ce coup.
Nous faisons quelques pas en nous rapprochant du parking, ce qui me permet de jauger sa démarche, et de voir que nous faisons la même taille. Sortant ses clefs de sa poche, il bipe et c’est un superbe coupé BMW qui répond à l’appel. Je siffle d’admiration alors qu’il m’invite à monter côté passager. Les portes refermées, je lui propose de prendre la route vers la montagne. Nous pourrons alors discuter en roulant et voir autre chose que le cul… des voitures. Dans un délicieux feulement, la voiture s’ébranle…
Tout en enchaînant les virages, Jérome me parle de sa femme, de sa beauté, de son corps… et m’explique que son boulot l’a tellement accaparé ces 2 dernières années, qu’il ne s’est pas rendu compte à quel point elle s’ennuyait. Et à l’approche des 40 ans, une femme a besoin de plaire, d’entendre qu’elle est désirable… Un « ami » est passé par là, appliquant le vieux dicton à la lettre : la femme d‘un ami, c’est sacré. Elle passe avant les autres ! Et tout est allé très vite. Trop vite. Il est rentré un soir après 3 jours de déplacement, elle était partie avec toutes ses affaires. Sur la table, une lettre coincée sous une bouteille de vin… l’effondrement.
Je l’invite à se garer sur un parking situé sur les hauteurs. De là, nous avons une vue magnifique sur toute la ville, et ce n’est pas à une telle heure de la nuit que l’on viendra nous casser les pieds. Ni les couilles d’ailleurs. Sur un fond musical sympathique, je me permets de lui demander pourquoi un beau mec comme lui ne cherche pas plutôt une nouvelle copine, ou ne se paie pas les services d’une professionnelle, et vient chercher du sexe dans un endroit aussi glauque que ce parc ?
— Depuis cette superbe pipe que ce mec m’a fait vivre, j’ai un petit goût d’inachevé, l’impression de louper quelque chose d’enrichissant. Avant de me consoler dans les bras d’une autre femme, il va falloir que j’oublie la mienne, et c’est trop frais, il me faudra du temps. Et puis le cul d’une femme, ça, je connais ! Un homme, ce n’est pas la même chose. Enfin, j’imagine ! C’est plus physique, moins cérébral, plus pour le sexe, je pense, enfin… j’espère ! Et pas la peine de lui faire la cour des heures durant pour finir avec une fille qui ne suce pas ou ne sait même pas te rouler une pelle. Et puis j’aimerais beaucoup goûter le sexe d’un homme, savoir ce que cela fait de sucer.
—Tout un programme ! Mais j’ai fait l’amour juste avant de te rencontrer, je ne vais pas te la proposer. Par contre, j’ai beaucoup aimé ce que j’ai senti dans ton pantalon, assis sur le banc.
— En revanche, moi je suis propre ! Tu ne suces vraiment pas ? risque-t-il timidement. Il est carré, franc, et a besoin d’attentions particulières, le personnage est attachant. Lentement, l’envie de mettre un goût sur le sexe, dont ma paume a deviné les contours, me picotte le bout de ma langue.
— Il ne faut pas écouter toutes les légendes urbaines, et encore moins y croire lorsque vient la nuit. J’accepte de me pencher sur ton cas. Montre-la-moi vite. dis-je en retirant mon blouson pour être plus à mon aise.
Il recule son siège et d’instinct, s’allonge pour que je puisse m’occuper de lui plus aisément. Il dégrafe sa ceinture, déboutonne son pantalon, puis relève également sa chemise. Même s’il s’agit d’une pipe en voiture, un peu de sensualité ne nuit pas, je ne veux pas spécialement l’essorer en quelques secondes. Ma main glisse dans l’ouverture et rencontre une belle grosse bébête ainsi qu’une solide paire de couilles, confirmant que je ne devrais pas perdre mon temps. Naturellement, ses fesses se soulèvent et de ses doigts, il descend son pantalon jusque sur ses chevilles. Ainsi libre de ses entraves, il écarte de lui-même ses jambes, s’offrant ainsi à mes yeux habitués à la pénombre, révélant pleinement la beauté de son solide sexe.
Son torse puissant et son ventre plat quasiment imberbe se terminent sur quelques poils pubiens entretenus, juste au-dessus d’une belle verge renflée. Ses lourdes et volumineuses couilles sont parfaitement en rapport avec sa queue, il dispose d’un sérieux matos, une belle arme, bandée au 3/4, le gland presque recouvert par un prépuce qui semble ronger son frein pour libérer toute l’artillerie. Sa queue est à l’image de sa voiture, c’est une belle cylindrée !
Ma main droite vient malaxer ses belles grosses boules alors que la gauche traverse son abdomen juste au-dessus du pubis, mes lèvres lui chuchotant que son corps est passionnant, qu’il me donne envie de le goûter, de le sucer.
— Putain… je sais que je ne vais pas tenir longtemps, j’en ai trop envie. Suce-moi, s'il te plaît. Suce-moi vite, j’ai les burnes qui vont exploser tant elles sont pleines.
Comprenant l’imminence de la situation, je le maintiens par la base tandis que ma bouche se pose sur l’énorme bonbon que forme son bout en pleine croissance, et descend en le décalottant, ce qui lui arrache un gémissement si caractéristique de l’abandon, ou de l’aboutissement. De la langue, je découvre la douceur de son beau gland, m’attardant longuement sur le frein, ma main cajolant toujours ses testicules. La bouche pleine de salive, je dévale l’épaisse hampe en de lents va-et-vient langoureux, gagnant quelques centimètres à chaque aller-retour, pour souvent remonter lécher son gros nœud maintenant en pleine érection. Sa solide queue occupe complètement l’espace, plus j’en avale, plus il en pousse ! Et, bien que je ne sois pas parti pour une aventure ce soir en traînant mes guêtres dans ce foutu parc, je ne regrette pas ce qui coulisse dans ma bouche en ce moment. Jérome bande maintenant comme un cerf, mes lèvres le parcourent avec appétit, prenant autant de plaisir à le sucer qu’à l’entendre me dire qu’il va hurler tellement je lui fais du bien.
Il ne tiendra pas, c’est une évidence, mais cela n’a aucune importance. Ma fellation est douce, régulière, jouant cycliquement de la langue sur son gros gland dur, massant ses belles couilles pour bien les stimuler, et veillant à bien pomper sa hampe en l’aspirant fort pour la comprimer. À peine sept ou huit minutes de ce traitement suffisent. Il me crie de faire attention, car il va jouir, pensant probablement que je me vais me retirer pour le finir à la main !
Il est vrai que nous n’avons pas parlé des modalités avant, mais avec le plaisir que m’apporte une telle queue, il est hors de question pour moi de gâcher l’instant et de ne pas le laisser venir entre mes lèvres. Je garde le même rythme langoureux et le sens se tendre, se gorger de sang. À l’instant où son bassin part vers le ciel, le majeur de ma main droite lui presse le scrotum tout en conservant ses burnes dans ma main. Ma main gauche enchâsse fermement la base de sa longue hampe, alors que de puissantes ondes le parcourent. Son sperme me claque dans la bouche, brûlant, fougueux, goûteux, en de longues giclées que je m’empresse d’avaler. De nombreuses secondes, il jouit ainsi, violemment, semblant aussi incapable d’arrêter de crier son plaisir que de disperser son abondante semence, comme s’il déversait d’un coup entre mes lèvres l’excès de sa solitude forcée.
Comme à mon habitude, je raccompagne sa belle verge dans sa retraite, le léchouillant gentiment pendant qu’il se détend, avant de gober ses belles couilles pour les remercier du sperme qu’elles viennent de me donner. Son goût de mâle se combine alors à celui de son nectar, laissant à jamais son empreinte intime gravée dans ma mémoire. Délicatement, de la pointe de la langue, je parcours sa grosse bête maintenant au repos sur son ventre, baise son gland, et me redresse silencieusement, tandis que la radio lance “Have a drink on me” d’AC/DC. Ironie ? En tous cas, je savoure le plaisir de l’avoir fait jouir, et dégusté.
— Je… je ne m’attendais pas du tout… à un truc pareil. Je pensais… je ne sais pas, moi... que tu me finisses à la main ! Oh le pied que tu m’as fait prendre ! C’était génial. Je ne suis pas ton premier mec, c’est clair.
— Si, si, je t’assure. Tu es le premier… de la journée ! Tu sais, je viens de me prendre un râteau, et je ne pensais pas du tout me retrouver entre les jambes de quelqu’un en déambulant dans les rues ce soir. Ni homme, ni femme. J’étais plutôt parti pour prendre une cuite, seul, dans un bistrot.
— Y a pas d’alcool dans mon sperme, je te le garantis, tu peux y aller tant que tu veux !
— Tu as une queue formidable et un sperme délicieux, je pourrais te sucer toute la nuit ! Tu as exactement le genre de calibre que j’aime prendre entre les fesses. J’aime les larges pénétrations, être rempli en douceur. C’est comme si ça ne s’arrêtait jamais, on a le sentiment de goûter à l’éternité.
— Heureux qu’elle te satisfasse. Wouahh, tu m’as fait décoller. Tu es complètement bi ?
Sans trop lâcher son sexe, me voilà parti à lui expliquer mon amour pour les deux sexes, ma propension à pouvoir prendre du plaisir avec un homme lorsque son sexe me plaît, lorsqu’il est propre et sympathique, acceptant sans aucun problème qu’il me sodomise lorsque “le courant passe bien”, et que sa bite est éligible à l’acte. Sucer, baiser, avaler, mais pas de pelles avec un mec !
Nous discutons ouvertement, et il n’hésite pas à me questionner sur mon ressenti, ce que m’apporte le sexe d’un homme, si je suis viril lorsque je suis avec une femme, si la sodomie est douloureuse. Il m’avoue ne jamais avoir pris une femme par derrière, que son épouse lui avait toujours systématiquement refusé ce plaisir, alors qu’elle adorait pourtant le sexe en général. Rien d’étonnant lorsque l’on découvre le calibre de la bête, c’est du XXXL, et peu de femmes raffolent de ce genre de jouet dans le croupion. Les mecs sont plus téméraires, ou plus masos ? !
À un moment, nous sortons en griller une, tous deux appuyés contre son capot de voiture, les lumières de la ville s’étalant à nos pieds. De compagnie agréable, nous refaisons le monde, nous sommes bien là, à prendre le frais, et je le lui fais remarquer.
— Euh… tu m’as beaucoup soulagé ! ironise-t-il. On y prendrait vite goût !
— Tu prêches un convaincu. Le foutre d’un homme, si tu aimes, tu ne peux plus t’en passer. Sucer, ça devient une addiction, c’est un peu comme pour les vampires. Sucer sans aller jusqu’au bout, sans avaler, ou tout au moins laisser mon amant s’oublier entre mes lèvres, finalement, ne m’apporte pas grand-chose. Et pour peu que la queue soit belle...
— Tu me fais bander rien qu’à t’entendre en parler. Tu peux me sucer encore un peu, s'il te plaît ? Cette fois, je devrais tenir un peu plus longtemps, si tu veux…
— Quoi, si je veux ?
En guise de réponse, sa main vient me peloter les fesses, me faisant comprendre que tirer un petit coup... Décidément, ce mec commence à bien me plaire, et je réalise que depuis que je suis en sa compagnie, Gaby ne me manque finalement pas tant que cela. C’est incroyable, ce don qu’ont certains mecs pour occuper l’espace !
Pour toute réponse, je dégrafe mon pantalon, le fais glisser avec mon caleçon pour le retirer.
À poil au beau milieu de la nuit sur un parking à quelques dizaines de mètres de la route, mon côté provoc prend le pas, la situation, tout comme la belle bite de Jérome, m’excite.
— Tu es un chaud, toi ! me lance-t-il en débouclant sa ceinture, satisfait de mon acquiescement. Je me penche sur lui alors qu’il dégrafe son pantalon, et sa belle queue luisante se retrouve livrée à la lumière lunaire. Ma main la lui agrippe et ma bouche ouverte l’engloutit jusqu’aux couilles d’une seule traite. Lui, c’est ma tête qu’il attrape, appréciant mon enthousiasme, et son autre main vient caresser mes fesses libres d’accès. Toujours sensuellement, je pompe son gros sexe gonflant rapidement entre mes lèvres, veillant bien à l’honorer sur le plus de longueur possible. Ma langue joue allègrement lorsque je n’ai plus que son gland en moi, je l’aspire fort pour lui “tirer le sang à la tête”. Ses petits cris de satisfaction me parviennent à peine tant la tâche m’absorbe, et ses doigts qui découvrent un nouveau terrain de jeu m’émoustillent. Ils ne tardent pas à m’investir le rectum, à en tester la souplesse, l’élasticité. Qu’elle est bonne, sa bite, bien renflée, volumineuse, son gros gland lisse tendre comme un énorme bonbon en gélatine…
Alors que sa bonne barre bien humide de ma salive martèle mon visage, j’aspire une à une ses boules fermes, n’hésitant pas à les “remorquer” un peu pour bien l’aguicher, puis passe un bras entre ses jambes pour venir lui pétrir les fesses, tout en lui disant que sa queue me plaît, qu’il devra décharger au moins autant que tout à l’heure, que je n’aime pas les “petits joueurs”, qu’il ne fasse pas semblant de bander lorsqu’il va me la mettre.
Je lui mords maintenant la hampe en parcourant sa raie du plat de ma main, et sens bien au travers des soubresauts de sa bite que cette caresse ne lui est pas indifférente, je m’attarde vers son anus et le masse en appuyant mon index et mon majeur réunis, sans toutefois chercher à le pénétrer. Lui ne s’en prive pas, me doigtant de plus en plus intensément. Mon cul se réveille, réalisant la potentialité de ce qui circule entre mes lèvres, et le plaisir que cette bite va lui procurer ! C’est son gland qui me pénètre de nouveau jusqu’aux amygdales, large au possible, gonflé à bloc. Cette pine me fait trop bander, il me la faut. Sa bite est enflée, ma bouche est grande ouverte, et il me traverse le crâne, je suis prêt.
— Ta queue m’excite, j’ai trop envie que tu me prennes. Elle est si grosse, j’adore ça ! Tu vas me « gabariser ».
— Ca risque rien, tu es sûr ? Et si quelqu’un arrive ?
— On sera plus nombreux ! Et toi, tu risques de me faire jouir très fort ! Laisse-moi faire, ne jouis pas trop vite et tout ira bien. Viens !
Je me mouille les doigts et m’enduit l’anus de ma salive. Ce qui est pratique, c’est que lorsque l’on suce, au bout d’un moment, la salive s’épaissit et devient un peu gluante, remplaçant agréablement tout lubrifiant, j’y ai souvent eu recours. Je m’en masse très fort les bords de mon trou pour bien l’assouplir, il en aura besoin.
Par expérience, je sais que lorsque j’ai vraiment envie de me faire prendre, je peux y parvenir pratiquement à sec, avec un minimum d’excitation. Bavant copieusement sur son gland le temps de quelques aller-retour et je me redresse, prêt à me livrer.
— J’ai trop envie de la sentir me traverser le ventre. Viens vite me la mettre.
Sans perdre de temps, je me tourne et prends appui sur le capot tout en saisissant la lourde queue de Jérome pour l’attirer entre mes fesses. Le contact mouillé de son gland contre mon anus établi, je le promène circulairement plusieurs fois en lui demandant de bien s’enfoncer en moi, puis le place juste à l’entrée de mes reins.
— Vas-y, viens jouir en moi, fais-moi hurler.
D’instinct, ses mains me saisissent aux hanches et déjà ses reins le propulsent délicatement vers moi. Mes mains écartent mes fesses au maximum, et son gland repousse enfin mon sphincter. Je pousse pour bien m’ouvrir en reculant par petits coups légers vers lui pour bien lui faire comprendre qu’il doit plonger graduellement. Son bout bien gluant de salive me pourfend et ma main se saisit de sa queue pour l’immobiliser quelques instants.
— Je ne te fais pas mal ? s’inquiète-t-il alors. Tu es tellement serré !
— Non, c’est toi qui es surdimensionné, je prends juste le temps de m’ouvrir à ta queue. Viens, encule-moi lentement maintenant.
Je sens ses doigts me serrer les hanches, et sa barre coulisse en moi timidement. Ma main se pose à plat contre son pubis, et chaque fois que j’ai besoin qu’il recule, une simple pression le lui fait comprendre. Avec beaucoup de délicatesse malgré l’embonpoint de son membre, Jérome investit mes reins, et ses commentaires en disent long sur le plaisir qu’il “en tire”. Sa large queue me procure un plaisir fou en distendant mon trou au maximum alors que ses couilles sont encore loin derrière.
— Ta queue est faite pour mes fesses, enfonce-toi bien profond, fais-moi jouir. Je veux que tu jouisses en moi, que tu m’inondes de ton foutre, brûle-moi de ta semence.
Mon invitation le motive, et en quelques coups de reins, le voilà planté jusqu’à la garde. Qu’il est gros, long, chaud comme un fer rouge. Ses couilles dans ma main, je l’attire en moi en lui disant de ne pas me ménager, de m’enculer sérieusement, de penser à son plaisir avant tout. Lui me dit qu’il se sent bien en moi, que je suis profond, qu’il ne pensait jamais pouvoir toute me la mettre, et qu’il ne tiendra pas aussi longtemps qu’il le voudrait tant il est serré entre mes fesses.
Je place un genou sur le capot et m’allonge de tout mon long, offert au maximum. Ses bourses viennent lourdement s’écraser contre mes fesses à chaque plongée, m’arrachant des râles de plaisir. Il me calibre avec régularité, me faisant grimper au rideau avec une incroyable rapidité, certainement parce que je le désire véritablement.
- Tu me baises bien, tu sais déjà comment faire pour me faire vibrer. J’aime les grosses queues, et la tienne est si bonne... vas-y, vide-la en moi, décharge entre mes fesses, donne-moi tout !
Est-ce parce qu’il a mon assentiment ? Toujours est-il que ses râles s’intensifient, et il me dit qu’il ne va pas tarder à jouir, de me tenir prêt. Ma main passe sous moi pour venir agripper ses burnes en répétant de me la mettre plus fort, de me remplir le cul de sa queue et de son foutre.
Soudain, il s’accélère la cadence et plante d’un coup son dard au plus profond de mon ventre, ses couilles s’écrasent contre le bas de ma fesse; d’intenses soubresauts parcourent sa hampe, son gland me dilate les intestins, il me semble être juste derrière mon nombril tant il est en moi. Raide, il palpite et m’envoie d’énormes giclées de sperme, généreux comme lorsqu’il a joui dans ma bouche un peu plus tôt. L’intense chaleur qui caractérise les éjaculations “inséminantes” traverse agréablement mon ventre, m’inondant de foutre, certes, mais surtout de sérénité, de bonheur. L’éjaculation de Jérome me comble de ce plaisir indicible que seuls celles et ceux qui aiment recevoir le sperme de leur amant peuvent comprendre. C’est comme une onde de choc, une décharge électrique, à laquelle se mêlent le plaisir d’offrir à celui de recevoir, mix de goûts et de sensations extrêmes. Et faire jouir un homme, dans sa bouche comme entre ses fesses, c’est recevoir un véritable cadeau.
Totalement immobile en moi, le temps semble s’être arrêté pour Jérome, il savoure son orgasme, le premier entre mes reins, et j’espère déjà qu’il voudra bien réitérer ce délicieux voyage avec moi. Usant d’intenses petites contractions, je le cajole en moi tout en le sentant doucement débander. Lentement, il recule, entraînant son sabre glissant hors de moi. Sans un commentaire, je me glisse à ses pieds, porte une main à ses bourses, tandis que l’autre saisit sa lourde hampe mollissante à la base et remonte vers le gland pour récupérer les dernières gouttes que contient son urètre. Ma langue cajoleuse vient les recueillir directement sur son méat, puis mes lèvres se referment autour de lui pour le nettoyer avec beaucoup d’application. Son délicieux goût me parvient, sa belle queue débandant lentement sous mes tendres coups de langue. Comme presque à chaque fois, je n’arrive pas à rendre un sexe qui m’apporte tant de plaisir.
Tout en me redressant, je pose ma main sur ses belles couilles en lui disant qu’il m’a beaucoup réconforté ce soir, qu’il m’a donné ce dont j’avais besoin, alors que je pensais n’avoir besoin de rien. Maintenant, s’il le désire, nous pourrions nous revoir…
Alors qu’il me redescend en ville pour me déposer vers ma voiture, je sens sa semence glisser en moi. Le remerciant pour la qualité et le volume de ses éjaculations, je lui demande s’il réagit toujours ainsi. Il avoue avoir “une certaine facilité”, et c’est ainsi qu’une fois arrivés à destination, Jérôme me redonne sa belle verge à sucer. Son siège en couchette, c’est sous l’œil attentif d’un mec en quête de sexe venu voir “qui débarquait” qu’il décharge encore une fois entre mes lèvres gourmandes en me traitant d’insatiable. Remis de ses émotions, les couilles enfin vides, nous échangeons nos coordonnées. Nous convenons de “faire quelque chose” dès vendredi soir. Cela nous laisse deux jours pour nous reposer.
Ce petit bout de femme brune d’à peine 1,60 mètre au corps d’adolescente m’avait plu au premier regard. Son regard de braise, ses cheveux noirs aux reflets de geai la rendaient simplement irrésistible, je n’avais pas hésité longtemps pour l’aborder et lui faire la cour. Femme de caractère, ce n’est pas le premier soir que je l’avais conquise ni le deuxième d’ailleurs. Chose originale, elle m’avait embrassée passionnément alors que je la déposais devant chez elle, justement à l’issue du deuxième rendez-vous. Ma main se posa alors délicatement sur son ventre plat, tout en savourant ses lèvres. M’imaginant déjà la découvrir quelques minutes plus tard, mes doigts remontaient lentement vers ses seins. Une fois que ma main fut parvenue à destination, elle me demanda si je bandais. À ma réponse positive, elle me dit alors :
— Branle-toi, là, devant moi !
Déstabilisant, pour le moins, ce genre de demande. J’eus beau essayer de la convaincre de monter chez elle, ou bien de venir chez moi, rien à faire. Néanmoins, je m’exécutai, espérant… qu’elle change d’avis.
Le siège en bascule de quelques degrés, je dégrafais mon bénard, baissais mon caleçon, et ma queue bandée bondit hors de sa cage. Ses commentaires furent aussi hot qu’élogieux, puis de nouveau, elle m’intima l’ordre de me branler devant elle. Voyant qu’elle ne lâcherait pas, je me mis en branle de la main gauche, persuadé qu’en lui caressant le dos, ses lèvres viendraient à mon secours. C’est bien la première fois que je me branle au premier rendez-vous. Enfin, devant ma conquête, car en principe, c’est juste après lorsque l’on n’a pas pu conclure !
Ma main coulissait régulièrement sous le regard fixe de Gaby tandis qu’elle m’invitait à lui montrer ma jouissance. Elle consentit à poser sa tête contre mon torse, ce fut ma condition pour jouir, sous peine de tout remballer. Ses cheveux dans mon visage, je m’enhardis quelque peu, et c’est en l’étreignant fort contre moi que je lui balançai en plusieurs salves de mon plaisir en plein visage.
Ce n’est que le lendemain que je découvris son corps d’antilope, et ce fut également la dernière fois que mon sperme se perdit en sa présence. Pour l’heure, c’est notre complicité qui s’abîme. Son désir de construire est plus fort que nos orgasmes, je peux le comprendre, et ne tente d’ailleurs pas de lutter : la coupe est fêlée, les dés jetés.
Comprenant que Gaby ne plaisante pas, je me lève, enfile mes vêtements, dépose un tendre baiser sur ses lèvres pulpeuses, et sans un commentaire, me retire dans la nuit, la mort dans l’âme. Une rupture, provoquée comme subie, est un échec, et il n’y a aucune fierté à tirer, seulement un enseignement, tout au plus. Le Cintra m’accueille royalement, étalant son tapis de zinc rien que pour moi, privilège réservé aux V.I.P. Pas une âme, on doit être proche de la fermeture. Le Canadian Club que me sert le barman me réconforte temporairement, la Camel brouille ma vue, et la musique d’ambiance me les brise menu. Au troisième Whisky, je me dis que noyer ma tristesse dans l’alcool ne m’apportera rien, et décide de retourner affronter la nuit. L’air cru me fait du bien, et marche au fil des rues, l’alcool circulant dans mes veines m’apporte un pseudo-réconfort salvateur. La nuit porte conseil, dit-on. Et c’est vrai même sans forcément dormir. Mes pas me portent à travers la ville endormie, et sans même m’en rendre compte, je me retrouve une fois de plus à l’orée de ce grand parc où les hommes aiment à se retrouver quand vient le soir.
Assis sur un banc, j’en allume encore une, et la ritournelle reprend : homme, femme, quand vas-tu choisir une sexualité et t’y tenir ? Le temps t’est compté, un jour tu seras seul comme un con, tu verras. Pas de famille, pas d’enfants, des manies de vieux… C’est casse-couilles, une tronche, quand le compteur s’emballe. Et un homme seul est toujours mal accompagné…
— Je peux m’asseoir ? Putain, je ne l’avais même pas vu arriver, celui-là. J’acquiesce, il se pose à côté de moi, à la limite légale de promiscuité qu’un banc public tolère. Et il commence par la météo, alors que je n’ai rien projeté et surtout pas très envie de discuter. Je suis victime de mes pieds ! Ce sont eux qui m’ont tiré jusque-là !
— Écoute, je ne suce pas, je ne baise pas, j’ai une toute petite bite, et ma copine vient de me larguer, je ne sais même pas ce que je fous là. OK ? Ça, c’est dit, il va de cette façon probablement se lever et partir.
— Désolé. La mienne aussi, elle s’est barrée. Je me sens con, mais alors con… lâche-t-il.
— Désolé, dis-je en me sentant soudainement idiot d’avoir été si brutal. Il y a longtemps ?
Un mois, m’affirme-t-il. Et ce soir, il s’est dit que peut-être il rencontrerait un mec sympa pour passer un moment, qu’il en avait assez de partager ses larmes et ses branlettes avec sa boîte de Kleenex. Le temps qu’il m’explique son cas, je le dévisage un peu. La quarantaine, bonne gueule, jeans, chaussures de cuir, un superbe blouson « fleur de cuir »… ce n’est pas un indigent. Ses phrases sont formées, il sait s’exprimer, et il est direct, au moins.
Puis il me demande ce qui m’est arrivé… même si je ne baise pas ni ne suce. Il a de l’humour, au moins. À l’évocation de mon dernier rapport avec Gaby ce soir même, il me qualifie de veinard, que ses besoins ont toujours été importants, et que ses burnes lui remplacent presque le cerveau. Et à brûle-pourpoint, il me demande si j’ai déjà essayé avec un homme. Il a de toute évidence faim, et ne perd pas de temps.
— Disons que ce n’est pas la première fois que je me retrouve là. Et toi ? ne désirant pas abattre toutes mes cartes d’un coup.
— Au lycée, avec un copain. Il m’a sucé quelques fois, je l’ai branlé un peu, mais il en avait une toute petite, c’était frustrant. Et une autre fois il y a quelques années, un mec m’a abordé sur un parking d’autoroute. Il m’a divinement sucé, le pied total. Et ce soir, je t’ai vu arriver, je me suis dit que tu ne devais pas être une folle, tu n’as pas l’air… louche. me livre-t-il en massant son entrejambe.
— On a une chose en commun : on n’aime pas les petites bites ! dis-je avec ironie
— Ma femme m’a toujours dit que j’en avais au moins pour deux, risque-t-il alors, un peu décoincé. Ma bite aurait bien besoin d’un peu de compagnie, ce soir. Tu… veux la voir ?
Je m’approche un peu de lui tout en disant que je n’ai pas trop la tête à la bagatelle, posant ma main sur sa bosse d’un geste quelque peu désinvolte. Il s’avère tout de même que ce premier contact est fort sympathique, « ça » a l’air bien dodu ; une verge très dessinée irradie ma paume d’une douce chaleur. Bien que peu enclin à un banal plan qui se bornerait à une petite pipe derrière un buisson, là… je lui propose toutefois de nous isoler dans sa voiture, même si la nuit est calme. Il suffit que je me penche sur lui pour que quelques excités déboulent comme des mouches, et j’argumente sur le fait que son jouet semble mériter un peu plus d’intimité. Il accepte sans hésiter, mais me confie avoir tout autant le trac que l’envie, et s’excuse déjà d’être un peu puceau sur ce coup.
Nous faisons quelques pas en nous rapprochant du parking, ce qui me permet de jauger sa démarche, et de voir que nous faisons la même taille. Sortant ses clefs de sa poche, il bipe et c’est un superbe coupé BMW qui répond à l’appel. Je siffle d’admiration alors qu’il m’invite à monter côté passager. Les portes refermées, je lui propose de prendre la route vers la montagne. Nous pourrons alors discuter en roulant et voir autre chose que le cul… des voitures. Dans un délicieux feulement, la voiture s’ébranle…
Tout en enchaînant les virages, Jérome me parle de sa femme, de sa beauté, de son corps… et m’explique que son boulot l’a tellement accaparé ces 2 dernières années, qu’il ne s’est pas rendu compte à quel point elle s’ennuyait. Et à l’approche des 40 ans, une femme a besoin de plaire, d’entendre qu’elle est désirable… Un « ami » est passé par là, appliquant le vieux dicton à la lettre : la femme d‘un ami, c’est sacré. Elle passe avant les autres ! Et tout est allé très vite. Trop vite. Il est rentré un soir après 3 jours de déplacement, elle était partie avec toutes ses affaires. Sur la table, une lettre coincée sous une bouteille de vin… l’effondrement.
Je l’invite à se garer sur un parking situé sur les hauteurs. De là, nous avons une vue magnifique sur toute la ville, et ce n’est pas à une telle heure de la nuit que l’on viendra nous casser les pieds. Ni les couilles d’ailleurs. Sur un fond musical sympathique, je me permets de lui demander pourquoi un beau mec comme lui ne cherche pas plutôt une nouvelle copine, ou ne se paie pas les services d’une professionnelle, et vient chercher du sexe dans un endroit aussi glauque que ce parc ?
— Depuis cette superbe pipe que ce mec m’a fait vivre, j’ai un petit goût d’inachevé, l’impression de louper quelque chose d’enrichissant. Avant de me consoler dans les bras d’une autre femme, il va falloir que j’oublie la mienne, et c’est trop frais, il me faudra du temps. Et puis le cul d’une femme, ça, je connais ! Un homme, ce n’est pas la même chose. Enfin, j’imagine ! C’est plus physique, moins cérébral, plus pour le sexe, je pense, enfin… j’espère ! Et pas la peine de lui faire la cour des heures durant pour finir avec une fille qui ne suce pas ou ne sait même pas te rouler une pelle. Et puis j’aimerais beaucoup goûter le sexe d’un homme, savoir ce que cela fait de sucer.
—Tout un programme ! Mais j’ai fait l’amour juste avant de te rencontrer, je ne vais pas te la proposer. Par contre, j’ai beaucoup aimé ce que j’ai senti dans ton pantalon, assis sur le banc.
— En revanche, moi je suis propre ! Tu ne suces vraiment pas ? risque-t-il timidement. Il est carré, franc, et a besoin d’attentions particulières, le personnage est attachant. Lentement, l’envie de mettre un goût sur le sexe, dont ma paume a deviné les contours, me picotte le bout de ma langue.
— Il ne faut pas écouter toutes les légendes urbaines, et encore moins y croire lorsque vient la nuit. J’accepte de me pencher sur ton cas. Montre-la-moi vite. dis-je en retirant mon blouson pour être plus à mon aise.
Il recule son siège et d’instinct, s’allonge pour que je puisse m’occuper de lui plus aisément. Il dégrafe sa ceinture, déboutonne son pantalon, puis relève également sa chemise. Même s’il s’agit d’une pipe en voiture, un peu de sensualité ne nuit pas, je ne veux pas spécialement l’essorer en quelques secondes. Ma main glisse dans l’ouverture et rencontre une belle grosse bébête ainsi qu’une solide paire de couilles, confirmant que je ne devrais pas perdre mon temps. Naturellement, ses fesses se soulèvent et de ses doigts, il descend son pantalon jusque sur ses chevilles. Ainsi libre de ses entraves, il écarte de lui-même ses jambes, s’offrant ainsi à mes yeux habitués à la pénombre, révélant pleinement la beauté de son solide sexe.
Son torse puissant et son ventre plat quasiment imberbe se terminent sur quelques poils pubiens entretenus, juste au-dessus d’une belle verge renflée. Ses lourdes et volumineuses couilles sont parfaitement en rapport avec sa queue, il dispose d’un sérieux matos, une belle arme, bandée au 3/4, le gland presque recouvert par un prépuce qui semble ronger son frein pour libérer toute l’artillerie. Sa queue est à l’image de sa voiture, c’est une belle cylindrée !
Ma main droite vient malaxer ses belles grosses boules alors que la gauche traverse son abdomen juste au-dessus du pubis, mes lèvres lui chuchotant que son corps est passionnant, qu’il me donne envie de le goûter, de le sucer.
— Putain… je sais que je ne vais pas tenir longtemps, j’en ai trop envie. Suce-moi, s'il te plaît. Suce-moi vite, j’ai les burnes qui vont exploser tant elles sont pleines.
Comprenant l’imminence de la situation, je le maintiens par la base tandis que ma bouche se pose sur l’énorme bonbon que forme son bout en pleine croissance, et descend en le décalottant, ce qui lui arrache un gémissement si caractéristique de l’abandon, ou de l’aboutissement. De la langue, je découvre la douceur de son beau gland, m’attardant longuement sur le frein, ma main cajolant toujours ses testicules. La bouche pleine de salive, je dévale l’épaisse hampe en de lents va-et-vient langoureux, gagnant quelques centimètres à chaque aller-retour, pour souvent remonter lécher son gros nœud maintenant en pleine érection. Sa solide queue occupe complètement l’espace, plus j’en avale, plus il en pousse ! Et, bien que je ne sois pas parti pour une aventure ce soir en traînant mes guêtres dans ce foutu parc, je ne regrette pas ce qui coulisse dans ma bouche en ce moment. Jérome bande maintenant comme un cerf, mes lèvres le parcourent avec appétit, prenant autant de plaisir à le sucer qu’à l’entendre me dire qu’il va hurler tellement je lui fais du bien.
Il ne tiendra pas, c’est une évidence, mais cela n’a aucune importance. Ma fellation est douce, régulière, jouant cycliquement de la langue sur son gros gland dur, massant ses belles couilles pour bien les stimuler, et veillant à bien pomper sa hampe en l’aspirant fort pour la comprimer. À peine sept ou huit minutes de ce traitement suffisent. Il me crie de faire attention, car il va jouir, pensant probablement que je me vais me retirer pour le finir à la main !
Il est vrai que nous n’avons pas parlé des modalités avant, mais avec le plaisir que m’apporte une telle queue, il est hors de question pour moi de gâcher l’instant et de ne pas le laisser venir entre mes lèvres. Je garde le même rythme langoureux et le sens se tendre, se gorger de sang. À l’instant où son bassin part vers le ciel, le majeur de ma main droite lui presse le scrotum tout en conservant ses burnes dans ma main. Ma main gauche enchâsse fermement la base de sa longue hampe, alors que de puissantes ondes le parcourent. Son sperme me claque dans la bouche, brûlant, fougueux, goûteux, en de longues giclées que je m’empresse d’avaler. De nombreuses secondes, il jouit ainsi, violemment, semblant aussi incapable d’arrêter de crier son plaisir que de disperser son abondante semence, comme s’il déversait d’un coup entre mes lèvres l’excès de sa solitude forcée.
Comme à mon habitude, je raccompagne sa belle verge dans sa retraite, le léchouillant gentiment pendant qu’il se détend, avant de gober ses belles couilles pour les remercier du sperme qu’elles viennent de me donner. Son goût de mâle se combine alors à celui de son nectar, laissant à jamais son empreinte intime gravée dans ma mémoire. Délicatement, de la pointe de la langue, je parcours sa grosse bête maintenant au repos sur son ventre, baise son gland, et me redresse silencieusement, tandis que la radio lance “Have a drink on me” d’AC/DC. Ironie ? En tous cas, je savoure le plaisir de l’avoir fait jouir, et dégusté.
— Je… je ne m’attendais pas du tout… à un truc pareil. Je pensais… je ne sais pas, moi... que tu me finisses à la main ! Oh le pied que tu m’as fait prendre ! C’était génial. Je ne suis pas ton premier mec, c’est clair.
— Si, si, je t’assure. Tu es le premier… de la journée ! Tu sais, je viens de me prendre un râteau, et je ne pensais pas du tout me retrouver entre les jambes de quelqu’un en déambulant dans les rues ce soir. Ni homme, ni femme. J’étais plutôt parti pour prendre une cuite, seul, dans un bistrot.
— Y a pas d’alcool dans mon sperme, je te le garantis, tu peux y aller tant que tu veux !
— Tu as une queue formidable et un sperme délicieux, je pourrais te sucer toute la nuit ! Tu as exactement le genre de calibre que j’aime prendre entre les fesses. J’aime les larges pénétrations, être rempli en douceur. C’est comme si ça ne s’arrêtait jamais, on a le sentiment de goûter à l’éternité.
— Heureux qu’elle te satisfasse. Wouahh, tu m’as fait décoller. Tu es complètement bi ?
Sans trop lâcher son sexe, me voilà parti à lui expliquer mon amour pour les deux sexes, ma propension à pouvoir prendre du plaisir avec un homme lorsque son sexe me plaît, lorsqu’il est propre et sympathique, acceptant sans aucun problème qu’il me sodomise lorsque “le courant passe bien”, et que sa bite est éligible à l’acte. Sucer, baiser, avaler, mais pas de pelles avec un mec !
Nous discutons ouvertement, et il n’hésite pas à me questionner sur mon ressenti, ce que m’apporte le sexe d’un homme, si je suis viril lorsque je suis avec une femme, si la sodomie est douloureuse. Il m’avoue ne jamais avoir pris une femme par derrière, que son épouse lui avait toujours systématiquement refusé ce plaisir, alors qu’elle adorait pourtant le sexe en général. Rien d’étonnant lorsque l’on découvre le calibre de la bête, c’est du XXXL, et peu de femmes raffolent de ce genre de jouet dans le croupion. Les mecs sont plus téméraires, ou plus masos ? !
À un moment, nous sortons en griller une, tous deux appuyés contre son capot de voiture, les lumières de la ville s’étalant à nos pieds. De compagnie agréable, nous refaisons le monde, nous sommes bien là, à prendre le frais, et je le lui fais remarquer.
— Euh… tu m’as beaucoup soulagé ! ironise-t-il. On y prendrait vite goût !
— Tu prêches un convaincu. Le foutre d’un homme, si tu aimes, tu ne peux plus t’en passer. Sucer, ça devient une addiction, c’est un peu comme pour les vampires. Sucer sans aller jusqu’au bout, sans avaler, ou tout au moins laisser mon amant s’oublier entre mes lèvres, finalement, ne m’apporte pas grand-chose. Et pour peu que la queue soit belle...
— Tu me fais bander rien qu’à t’entendre en parler. Tu peux me sucer encore un peu, s'il te plaît ? Cette fois, je devrais tenir un peu plus longtemps, si tu veux…
— Quoi, si je veux ?
En guise de réponse, sa main vient me peloter les fesses, me faisant comprendre que tirer un petit coup... Décidément, ce mec commence à bien me plaire, et je réalise que depuis que je suis en sa compagnie, Gaby ne me manque finalement pas tant que cela. C’est incroyable, ce don qu’ont certains mecs pour occuper l’espace !
Pour toute réponse, je dégrafe mon pantalon, le fais glisser avec mon caleçon pour le retirer.
À poil au beau milieu de la nuit sur un parking à quelques dizaines de mètres de la route, mon côté provoc prend le pas, la situation, tout comme la belle bite de Jérome, m’excite.
— Tu es un chaud, toi ! me lance-t-il en débouclant sa ceinture, satisfait de mon acquiescement. Je me penche sur lui alors qu’il dégrafe son pantalon, et sa belle queue luisante se retrouve livrée à la lumière lunaire. Ma main la lui agrippe et ma bouche ouverte l’engloutit jusqu’aux couilles d’une seule traite. Lui, c’est ma tête qu’il attrape, appréciant mon enthousiasme, et son autre main vient caresser mes fesses libres d’accès. Toujours sensuellement, je pompe son gros sexe gonflant rapidement entre mes lèvres, veillant bien à l’honorer sur le plus de longueur possible. Ma langue joue allègrement lorsque je n’ai plus que son gland en moi, je l’aspire fort pour lui “tirer le sang à la tête”. Ses petits cris de satisfaction me parviennent à peine tant la tâche m’absorbe, et ses doigts qui découvrent un nouveau terrain de jeu m’émoustillent. Ils ne tardent pas à m’investir le rectum, à en tester la souplesse, l’élasticité. Qu’elle est bonne, sa bite, bien renflée, volumineuse, son gros gland lisse tendre comme un énorme bonbon en gélatine…
Alors que sa bonne barre bien humide de ma salive martèle mon visage, j’aspire une à une ses boules fermes, n’hésitant pas à les “remorquer” un peu pour bien l’aguicher, puis passe un bras entre ses jambes pour venir lui pétrir les fesses, tout en lui disant que sa queue me plaît, qu’il devra décharger au moins autant que tout à l’heure, que je n’aime pas les “petits joueurs”, qu’il ne fasse pas semblant de bander lorsqu’il va me la mettre.
Je lui mords maintenant la hampe en parcourant sa raie du plat de ma main, et sens bien au travers des soubresauts de sa bite que cette caresse ne lui est pas indifférente, je m’attarde vers son anus et le masse en appuyant mon index et mon majeur réunis, sans toutefois chercher à le pénétrer. Lui ne s’en prive pas, me doigtant de plus en plus intensément. Mon cul se réveille, réalisant la potentialité de ce qui circule entre mes lèvres, et le plaisir que cette bite va lui procurer ! C’est son gland qui me pénètre de nouveau jusqu’aux amygdales, large au possible, gonflé à bloc. Cette pine me fait trop bander, il me la faut. Sa bite est enflée, ma bouche est grande ouverte, et il me traverse le crâne, je suis prêt.
— Ta queue m’excite, j’ai trop envie que tu me prennes. Elle est si grosse, j’adore ça ! Tu vas me « gabariser ».
— Ca risque rien, tu es sûr ? Et si quelqu’un arrive ?
— On sera plus nombreux ! Et toi, tu risques de me faire jouir très fort ! Laisse-moi faire, ne jouis pas trop vite et tout ira bien. Viens !
Je me mouille les doigts et m’enduit l’anus de ma salive. Ce qui est pratique, c’est que lorsque l’on suce, au bout d’un moment, la salive s’épaissit et devient un peu gluante, remplaçant agréablement tout lubrifiant, j’y ai souvent eu recours. Je m’en masse très fort les bords de mon trou pour bien l’assouplir, il en aura besoin.
Par expérience, je sais que lorsque j’ai vraiment envie de me faire prendre, je peux y parvenir pratiquement à sec, avec un minimum d’excitation. Bavant copieusement sur son gland le temps de quelques aller-retour et je me redresse, prêt à me livrer.
— J’ai trop envie de la sentir me traverser le ventre. Viens vite me la mettre.
Sans perdre de temps, je me tourne et prends appui sur le capot tout en saisissant la lourde queue de Jérome pour l’attirer entre mes fesses. Le contact mouillé de son gland contre mon anus établi, je le promène circulairement plusieurs fois en lui demandant de bien s’enfoncer en moi, puis le place juste à l’entrée de mes reins.
— Vas-y, viens jouir en moi, fais-moi hurler.
D’instinct, ses mains me saisissent aux hanches et déjà ses reins le propulsent délicatement vers moi. Mes mains écartent mes fesses au maximum, et son gland repousse enfin mon sphincter. Je pousse pour bien m’ouvrir en reculant par petits coups légers vers lui pour bien lui faire comprendre qu’il doit plonger graduellement. Son bout bien gluant de salive me pourfend et ma main se saisit de sa queue pour l’immobiliser quelques instants.
— Je ne te fais pas mal ? s’inquiète-t-il alors. Tu es tellement serré !
— Non, c’est toi qui es surdimensionné, je prends juste le temps de m’ouvrir à ta queue. Viens, encule-moi lentement maintenant.
Je sens ses doigts me serrer les hanches, et sa barre coulisse en moi timidement. Ma main se pose à plat contre son pubis, et chaque fois que j’ai besoin qu’il recule, une simple pression le lui fait comprendre. Avec beaucoup de délicatesse malgré l’embonpoint de son membre, Jérome investit mes reins, et ses commentaires en disent long sur le plaisir qu’il “en tire”. Sa large queue me procure un plaisir fou en distendant mon trou au maximum alors que ses couilles sont encore loin derrière.
— Ta queue est faite pour mes fesses, enfonce-toi bien profond, fais-moi jouir. Je veux que tu jouisses en moi, que tu m’inondes de ton foutre, brûle-moi de ta semence.
Mon invitation le motive, et en quelques coups de reins, le voilà planté jusqu’à la garde. Qu’il est gros, long, chaud comme un fer rouge. Ses couilles dans ma main, je l’attire en moi en lui disant de ne pas me ménager, de m’enculer sérieusement, de penser à son plaisir avant tout. Lui me dit qu’il se sent bien en moi, que je suis profond, qu’il ne pensait jamais pouvoir toute me la mettre, et qu’il ne tiendra pas aussi longtemps qu’il le voudrait tant il est serré entre mes fesses.
Je place un genou sur le capot et m’allonge de tout mon long, offert au maximum. Ses bourses viennent lourdement s’écraser contre mes fesses à chaque plongée, m’arrachant des râles de plaisir. Il me calibre avec régularité, me faisant grimper au rideau avec une incroyable rapidité, certainement parce que je le désire véritablement.
- Tu me baises bien, tu sais déjà comment faire pour me faire vibrer. J’aime les grosses queues, et la tienne est si bonne... vas-y, vide-la en moi, décharge entre mes fesses, donne-moi tout !
Est-ce parce qu’il a mon assentiment ? Toujours est-il que ses râles s’intensifient, et il me dit qu’il ne va pas tarder à jouir, de me tenir prêt. Ma main passe sous moi pour venir agripper ses burnes en répétant de me la mettre plus fort, de me remplir le cul de sa queue et de son foutre.
Soudain, il s’accélère la cadence et plante d’un coup son dard au plus profond de mon ventre, ses couilles s’écrasent contre le bas de ma fesse; d’intenses soubresauts parcourent sa hampe, son gland me dilate les intestins, il me semble être juste derrière mon nombril tant il est en moi. Raide, il palpite et m’envoie d’énormes giclées de sperme, généreux comme lorsqu’il a joui dans ma bouche un peu plus tôt. L’intense chaleur qui caractérise les éjaculations “inséminantes” traverse agréablement mon ventre, m’inondant de foutre, certes, mais surtout de sérénité, de bonheur. L’éjaculation de Jérome me comble de ce plaisir indicible que seuls celles et ceux qui aiment recevoir le sperme de leur amant peuvent comprendre. C’est comme une onde de choc, une décharge électrique, à laquelle se mêlent le plaisir d’offrir à celui de recevoir, mix de goûts et de sensations extrêmes. Et faire jouir un homme, dans sa bouche comme entre ses fesses, c’est recevoir un véritable cadeau.
Totalement immobile en moi, le temps semble s’être arrêté pour Jérome, il savoure son orgasme, le premier entre mes reins, et j’espère déjà qu’il voudra bien réitérer ce délicieux voyage avec moi. Usant d’intenses petites contractions, je le cajole en moi tout en le sentant doucement débander. Lentement, il recule, entraînant son sabre glissant hors de moi. Sans un commentaire, je me glisse à ses pieds, porte une main à ses bourses, tandis que l’autre saisit sa lourde hampe mollissante à la base et remonte vers le gland pour récupérer les dernières gouttes que contient son urètre. Ma langue cajoleuse vient les recueillir directement sur son méat, puis mes lèvres se referment autour de lui pour le nettoyer avec beaucoup d’application. Son délicieux goût me parvient, sa belle queue débandant lentement sous mes tendres coups de langue. Comme presque à chaque fois, je n’arrive pas à rendre un sexe qui m’apporte tant de plaisir.
Tout en me redressant, je pose ma main sur ses belles couilles en lui disant qu’il m’a beaucoup réconforté ce soir, qu’il m’a donné ce dont j’avais besoin, alors que je pensais n’avoir besoin de rien. Maintenant, s’il le désire, nous pourrions nous revoir…
Alors qu’il me redescend en ville pour me déposer vers ma voiture, je sens sa semence glisser en moi. Le remerciant pour la qualité et le volume de ses éjaculations, je lui demande s’il réagit toujours ainsi. Il avoue avoir “une certaine facilité”, et c’est ainsi qu’une fois arrivés à destination, Jérôme me redonne sa belle verge à sucer. Son siège en couchette, c’est sous l’œil attentif d’un mec en quête de sexe venu voir “qui débarquait” qu’il décharge encore une fois entre mes lèvres gourmandes en me traitant d’insatiable. Remis de ses émotions, les couilles enfin vides, nous échangeons nos coordonnées. Nous convenons de “faire quelque chose” dès vendredi soir. Cela nous laisse deux jours pour nous reposer.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Rollerbi
6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
superbement écrit!
90 % du plaisir vient de là
90 % du plaisir vient de là
J'ai vécu une situation similaire. Largué vers 20h, j'ai picolé comme un fou pour me réveiller le matin chez un mec que j'avais défoncé toute la nuit. Une première pour moi mais pas une dernière, j'ai trop kiffé ! Depuis, je suis bi, en couple mais je baise mes deux beaux-frères gay !
Hummmm, des séparations comme ça, j'en ai pas connu des masses ! Finalement c'était un mal pour un mâle. J'espère qu'on aura droit au récit des retrouvailles du vendredi.
Super histoire, est elle réelle ? j'aimerai tellement vivre cette histoire !
Super!Très érotique et une petite dose d'humour:)
Une très belle histoire sensuelle et tué bien écrite.