BM... W La suite 2
Récit érotique écrit par Rollerbi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-07-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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BM... W La suite 2
L’eau tiède ruissèle agréablement sur mon corps, entraînant avec elle les tensions accumulées ses derniers jours. Un savonnage dans les règles de l’art fait office de massage. Bien qu’il soit 3h00 du matin, je ne voulais pas sombrer dans mon lit sans m’être lavé minutieusement.
Je frotte chaque parcelle de mon corps en me remémorant l’immense plaisir que Jérôme m’a donné. Les mains pleines de savon atteignent naturellement mon sexe, le caressant langoureusement.
— C’est surtout sur tes fesses qu’il s’est focalisé ! pensais-je à voix haute.
Guidés par cette pensée, mes doigts glissent entre mes fesses et se retrouvent à l’endroit même où mon amant ma si longuement pris. D’une simple contraction musculaire, mon anus s’ouvre et mes doigts y pénètrent sans forcer. Sa puissante verge m’a tellement besognée que j’en reste béant et du sperme s’en écoule encore.
— Entre les pipes et les sodomies, j’ai reçu ma dose de foutre ! continuais-je en revivant ses belles éjaculations.
Je rouvre l’eau et me rince longuement avant de retrouver mon lit. Mes dernières pensées sont pour sa queue, en me promettant de ne pas trop attendre pour le rencontrer de nouveau. Puis c’est au tour de Morphée, de me prendre. Quel mec, lui aussi !
Le samedi est de tout repos, ou presque. Ménage, linge et repassage en regardant un film. Je passe cette journée à poil, c’est ainsi que j’aime être chez moi. J’adore sentir ma verge virevolter lorsque je marche, et puis l’étreindre régulièrement me rassure : elle est bien là.
Un ami victime d’un grave accident avait dû subir de nombreuses opérations de reconstruction. Il me racontait qu’à chaque réveil après une anesthésie, il glissait une main sous les draps pour... vérifier. On est comme cela, nous, les mecs. Ça nous dépasse et nous mène par le bout du nez, la queue.
En fin d’après-midi, lorsque les ombres deviennent longues, je ne peux cesser de repenser à Jérôme. Je me fais violence jusqu’à la tombée de la nuit, mais lorsque les lampadaires s’allument, compulsivement, mes doigts composent les 8 chiffres de son numéro de téléphone.
— Je me demandais lequel allait craquer le premier ! lance-t-il lorsqu’il entend ma voix.
— Toi aussi, ça te démange ? Alors tu me rassures.
— Il me semble que dans un lit, nous nous entendons plutôt bien, nous serions idiots de ne pas en profiter, non ?
— C’est pas faut et j’ai très envie de te voir, c’était si bon hier soir que...
—Je peux être chez toi dans une trentaine de minutes, si tu veux.
À peine ai-je raccroché que je file me préparer à le recevoir. Quand je dis “le recevoir”, c’est de mes intestins que je parle. En quinze minutes, je suis prêt à lui offrir le meilleur de moi, autant de fois qu’il le désirera. Côté repas, j’ai largement de quoi nous nourrir, nous aviserons. Le temps de ranger ce qui traîne, le carillon tinte. J’espère que ce sera bien lui derrière la porte, car je suis totalement nu !
Il passe la porte, une bouteille de vin à la main, tout sourire de me trouver dans le plus simple appareil.
— Tu as trouvé facilement ! demandais-je en repoussant la porte.
— Parfait. dit-il en me regardant de la tête aux pieds.
— Choqué ? osais-je en verrouillant la porte.
— Bien au contraire. J’adore ta décontraction.
Mon évidente décontraction me dicte d’étreindre son entrejambe d’une main aimante. Son sexe, libre de sous-vêtements, se trouve prisonnier de mes doigts. Un besoin mutuel de palper nos anatomies semble évident puisque sa main flatte mes fesses.
— Waouh, cette queue me rend dingue. J’ai trop envie de te sucer. Viens vite !
Nous voilà dans la chambre sans aucun protocole. Son T-shirt vole sur le sol alors que j’ouvre ses jeans qui glissent à même le sol. Comme il s’assied au bord du lit, je lui retire ses mocassins et m’agenouille entre ses jambes.
J’embouche son gland encore calotté en soutenant ses grosses bourses ; je profite de son début d’érection pour le prendre le plus loin dans ma bouche pendant que cela est encore possible. Au retour, ma langue tourne entre son prépuce et son gland quelques fois, puis mes lèvres le décalottent en retournant à l’assaut de sa hampe épaisse. Enfin je retrouve son goût de mâle, sa chaleur et déjà son volume.
Cette queue est si bonne que j’en gémis de satisfaction. Je la maintiens par la base et la pompe avec application dans de longs mouvements en spirale. Le temps de courtes poses, je lèche le frein et la couronne, me bats les lèvres avec son gland massif. Loin de se plaindre de ce traitement, il se laisse tomber sur le lit. Ses belles burnes ainsi offertes sont gobées l’une après l’autre, la peau aspirée avant que je ne remonte le long de sa hampe en la léchant comme une friandise.
Il bande complètement maintenant et m’invite à le rejoindre en 69. Je suis tellement fasciné par la beauté et la grosseur de son sexe que j’en oublierais presque mes désirs. Ma verge est aussitôt engloutie par une bouche gourmande, ses doigts glissent entre mes fesses. Excité comme un puceau, j’engloutis sa hampe comme je le peux, frénétiquement, à m’en déboîter la mâchoire tant elle est large.
Déjà deux doigts me fouillent, mais j’en veux davantage et ondule ma croupe d’avant en arrière pour mieux le sentir. J’ai tellement hâte de sentir de que j’ai en bouche traverser mon ventre que je me dégage.
— J’ai très envie que tu me prennes… s'il te plaît.
— Tes désirs sont des ordres, très cher. Je vais te prendre tout doucement.
Je m’allonge à ses côtés et récupère un pot de gel dans la table de nuit.
— Monsieur est organisé ! Tu n’es donc pas novice ?
— Désolé, je t’ai menti. répondis-je en étalant un peu de gel sur mon anus. Un homme a abusé de moi la nuit dernière. Me trouveras-tu encore assez pur pour bénéficier de tes ardeurs, bel étalon ?
Pour toute réponse, Jérôme vient se blottir contre moi, en chien de fusil. Alors qu’il pose sa main sur ma hanche, je saisis sa queue pour en faire glisser le nœud dans le sillon de mes fesses.
— Qu’elle est grosse ! Elle me fascine et me fait frissonner de désir. C’est mon moment favori.
— Tes reins sont si accueillants, comment résister ?
Le gland trouve instinctivement sa place. À cet instant, 20 centimètres nous séparent. Je ne saurais dire lequel à le plus hâte de rejoindre l’autre, mais je pousse fort pour m’ouvrir et mon amant presse tendrement pour me pénétrer. La magie du désir mutuel fait le reste. Son gland repousse l’ourlet et se fraye un chemin, étirant et distendant toutes les chairs sur son passage. Une onde de chaleur se diffuse en vagues concentriques, ce qui sans nul doute serait l’expression de la douleur s’il s’agissait d’une première sodomie.
Mon esprit appelle son sexe avec tant de force qu’il entre royalement en moi en trois lentes poussées successives. Ma main, libéré de son mandrin, cajole maintenant ses imposantes bourses. Jérôme passe son bras sur mon ventre et me plaque tout contre lui, sa verge totalement immobile au fond de mon ventre. Son autre bras passe sous ma tête pour pouvoir caresser ma poitrine.
— Un gros câlin. marmonne-t-il. Tout doux.
— Que c’est bon de te sentir si gros, j’en avais tellement envie !
Presque à regret, je lâche ses bourses pour étreindre sa fesse ; ma jambe crochète la sienne et je commence à contracter mon sphincter. Avec de minuscules mouvements de son bassin, il reprend vie et coulisse dans la gaine qui le reçoit. Mes muqueuses font corps avec son sexe, le moindre mouvement excite toutes nos terminaisons nerveuses, et Dieu sait s’il y en a à cet endroit. Les quelques centimètres de débattement suffisent à nous enflammer. Nos peaux se frottent et deviennent moites, nos soufflent deviennent feulements, nos mains se retrouvent sur mon ventre et même nos doigts s’emmêlent.
D’instinct, nous ne baisons pas, nous faisons l’amour. L’instant n’est pas à la performance, mais à la tendresse. Je ressens distinctement l’ourlet de son gland frotter les parois de mon rectum, les veines de sa hampe riper au passage de mon sphincter et ses couilles qui viennent régulièrement s’échouer contre mes fesses offertes.
Nous ne parlons presque pas, ce ne sont que des onomatopées, des oui, des encore, agrémentés de caresses et d’effleurements... Sa queue gagne du terrain, se retire pour mieux revenir et diffuser son plaisir. Nous sommes partis par calme plat, le vent commence à se lever et une légère houle se forme. Mon ventre chaud l’aspire quand il s’enfonce, le réclame dès qu’il recule.
Ses mains sur mes hanches me guident d’avant en arrière. Les mouvements plus affirmés rendent son vît plus grand encore. Des frissons me parcourent de la tête aux pieds, eux aussi m’envahissent. Mon corps n’est plus qu’un rectum, toutes les informations partent de là !
Je le veux sur moi. Je glisse un oreiller sous mon ventre et l’entraîne sans nous désunir. Les reins cambrés, mes jambes écartées, le cul en l’air, Jérôme reprend sa possession. Dans cette position, il me paraît de plus en plus gros. Il me domine et c’est à lui qu’incombe la tâche de nous emmener vers la jouissance. Bien qu’il soit posé sur moi, il place ses genoux à l’intérieur des miens, m’obligeant à écarter encore plus les cuisses. L’épais sexe s’enfonce régulièrement en écrasant mes bourses avec les siennes.
— Attends-moi s'il te plaît. Tu vas me faire jouir tellement c’est bon. Ne t’arrêtes surtout pas ! l’implorais-je en tenant ses fesses de mes deux mains.
Il m’assène une série de coups longs qui déclenchent en moi une brûlure systématique annonçant que je vais décharger. Je sens son gland se dilater, frottant de plus en plus les parois, me donnant littéralement le tournis. Je marmonne son nom à chaque va-et-vient, puis soudain ma prostate cède.
— Oh ouiiii, je jouis ! Viens avec moi !
Ces quelques mots lui suffisent pour craquer à son tour. Comme j’éjacule de façon incontrôlée, il m’encule soudain jusqu’à la garde pour se déverser en de multiples spasmes. Son sperme, telle de la lave en fusion, semble attiser davantage l’incendie de mon ventre que l’éteindre. Je ne sais de combien de jets il m’abreuve, mais il est là où je le voulais et sa semence est bienvenue. Je plaque mon cul contre son pubis pour encore mieux le ressentir. La maison peut s’écrouler... aucune importance. N’appelle-t-on pas cela “la petite mort” ?
Lorsque nos esprits se remettent en place, je lui décris tout le bien qu’il m’a donné. Conscient de son poids, il se retire lentement, laissant mon cul grand ouvert et soudain bien dépourvu. Assis sur ses talons, il commente le diamètre de mon anus fraîchement libéré en flattant mes fesses.
— Quand je te dis qu’elle est grosse, tu me crois maintenant ? Fis-je en trémoussant ma croupe.
— Un jour, il faudra que tu m’expliques pourquoi tu n’as pas mal.
— Après. Pour l’instant, j’ai juste envie d’embrasser ta splendide queue.
Je dépose mon oreiller plein de sperme au pied du lit et prends place entre ses jambes, le cul en l’air pour conserver son jus en moi. La lourde queue amollissante et luisante de sperme plonge entre mes lèvres avec beaucoup de tendresse. Celui qui n’a jamais sucé et qui ne s’est jamais fait sodomiser ne peut comprendre, mais lorsqu’il y a une osmose entre deux êtres, le plaisir ne peut pas vraiment s’arrêter.
Nous avons joui tous les deux, mais pourtant notre plaisir continue. À demi molle, goûteuse à souhait, je m’en repais encore quelques minutes avant de m’allonger sur le ventre à ses côtés.
— Tu m’as fait jouir d’une intensité indécente, j’avais besoin de m’en occuper encore un peu, de la remercier pour le pied qu’elle me fait prendre. lui dis-je en caressant son ventre plat. J’en veux encore.
— C’était... génial. Je n’aurais jamais pensé qu’entre mecs, on puisse ressentir autant de sensualité.
— Euh... ça n’arrive que très rarement ! Et il ne suffit pas d’en avoir une grosse ! dis-je en secouant sa verge endormie. Ça se saurait !
— Tu n’as pas mal, t’es sûr ?
— Mon tout premier m’a appris plein d’astuces. Il en avait un très belle aussi. Moins épaisse que la tienne, mais... pour une première fois...
— Quel est le secret ?
— Je dirais... le mental, car si tu ne veux pas vraiment, il vaut mieux oublier. Ou se taper une petite quéquette. Mais ça, même pas en rêve. J’ai tenté, ce n’est pas pour moi.
— Et des grosses, tu en as rencontré beaucoup ?
— Quelques unes...
— Plus grosse que la mienne ?
— Oui, j’en ai croisé, mais si elles remplissent mes fesses, toutes ne remplissent pas leur office. Patrick était une exception. À peine plus large que toi, mais tellement doux et respectueux. Sinon, c’est un plan cul et on passe à autre chose. Sans respect ni tendresse, ça reste “hygiénique” et un peu fantastique.
Allongé à ses côtés, la tête dans ma main, je ne peux que caresser son ventre, cajoler son sexe et étreindre ses bourses tout en parlant.
— Et lorsque tu la découvres, tu ne t’es jamais demandé si elle allait rentrer ?
— Si ! La première fois avec Patrick, qu’est-ce qu’il était large ! Mais j’étais super excité, et le personnage me plaisait beaucoup. Enfin, avant de le voir nu, je l’appréciais déjà. Mais la plus impressionnante, c’était à Münich.
— Grosse ? Un black ?
— Non, Autrichien. Simplement énorme. Un truc de cirque !
— Tu l’as rencontré comment, si ce n’est pas indiscret ?
— Dans un bar à cocktails où j’allais deux ou trois fois par semaine. Je le voyais souvent, je le connaissais de vue. Un soir, je ne savais pas trop quoi boire. Il était sur le tabouret juste à ma droite. Et là, il me dit : “Si tu es fatigué, prends un Grand Matelot, sinon, le Petit Matelot est bon pour le moral !”. Puis il dit au barman que c’est pour son compte.
— Sympa ! Quel âge ?
— La trentaine, 35 tout au plus. Du coup, on fait connaissance. Il s’appelle Dieter et vient du Tyrol. On boit nos verres et je lui en paie une autre et là, un peu chaud, il me demande ce qu’un beau jeune homme comme moi cherche dans des les bars. Bref, il me drague, mais à demi-mot, me prenant probablement pour un perdreau de l’année. Le bar est plein, il y a un bruit terrible. Les Allemands parlent hyper fort. Mais le mec est sympa, bonne gueule, je le laisse venir. Mais au troisième verre.
— Ouais, en fait, vous étiez bourrés, non ?
— Pas tant que ça, je tenais bien l’alcool et lui aussi, apparemment. Au troisième verre, profitant du monde autour de nous, il se lève et se met contre moi. On ne s’entendait presque plus. Là, il pose une main sur ma cuisse et me dit que je suis très sympa, qu’il aimerait bien que l’on soit ailleurs.
— Au moins, un peu lourd, mais direct, le mec.
— Carrément, et ça m’excite. Je veux bien, mais premièrement, pas dans les chiottes du bar, et deuxièmement... je lui dis que j’aime “les belles queues”.
— Il ne l’a pas sorti en plein bar, quand même ?
— Non, il m’a seulement dit que je ne serai pas déçu. Là, tout est allé très vite. 10 minutes plus tard, on arrive chez lui. Il m’attrape par les fesses pour me plaquer contre lui et essaie de m’embrasser, ce dont j’ai horreur. J’esquive, il m’embrasse dans le cou en se frottant le bas-ventre contre moi. Je pense qu’il bande déjà, mais il me répond que non et qu’un câlin n’est un pas suffisant pour le faire bander ! Je palpe l’engin et effectivement, il n’est pas rigide. Mon cerveau ne croit plus ce que mes doigts lui racontent !
Tout en racontant cela, sa queue reste l’objet de mon attention. Mais elle s’est déjà rallongée. De mon côté, je sens son sperme se liquéfier dans mon anus et serre les fesses. De repenser à cela ravive certes ma libido, mais il ne reste visiblement pas de marbre !
— Je ne te dis pas mon excitation en sentant un si gros barreau. On arrive dans la chambre et là on se retrouve à poils vite fait bien fait. Je ne te dis pas le choc ! Entre ses jambes, il pend une trompe qui doit faire bien 20 centimètres et d’un putain de diamètre ! Mes doigts n’en font pas le tour, et son gland recouvert est plus large encore.
— Comme la mienne quand je bande ?
— Pratiquement, sauf que là, elle était molle. Mais tu n’as aucun complexe à avoir. le rassurais-je en tirant sur son frein pour exhiber fièrement son majestueux gland. Regarde un peu ce monstre ! Toi, tu es hors-,orme, lui, hors-concourt.
Je me penche sur son ventre et le prends doucement dans ma bouche en gloussant de plaisir. Mes lèvres s’échouent sur les poils de son pubis quelques secondes, puis remontent en l’aspirant. De la pointe de ma langue, j’aguiche son méat et lèche sa couronne. Sa main glisse le long de ma colonne vertébrale pour atterrir sur ma croupe. Sa caresse est aussi douce que ma fellation. Nous avons tout notre temps.
Sa hampe grossit à vue d’œil, mais ses couilles m’appellent. J’y perds mon nez et les aspire, les lèche, suce leur peau. Elles sont si volumineuses qu’une tient à peine dans ma bouche. Elles sentent le musc, l’homme viril.
— Je l’adore, ta grosse quéquette. Vraiment.
— Tu suces vraiment très bien ! lance l’homme en serrant fort ma fesse.
— Doucement avec mon cucul ! Ton sperme est juste au bord, si tu m’écartes les fesses, c’est le déluge. Mais j’aime trop sentir ton foutre en moi, ça me rassure.
— Coquin. Si je te sers un verre de vin, tu me racontes la suite avec ton Autrichien ? Ça m’excite, ta façon de raconter.
Comme j’acquiesce, il se lève et me demande où trouver des verres et un tire-bouchon. Le revoilà, la queue encore à l’horizontale, deux verres à la main.
— Alors ? insiste-t-il après que nous ayons trinqué.
— On se met en 69, je prends cette queue dans ma main. Ma première surprise est son poids. Elle est débandée et pèse très lourd, et le morceau qui dépasse se plie, je dois la prendre à deux mains. Son gland recouvert se dessine sous la peau. Je le décalotte et l’observe avant de le prendre entre mes lèvres. Large, lisse et souple. Je suis euphorique, j’en ai le ventre qui gargouille.
— Le stress ? La peur ?
— Hummmm... ton vin est délicieux. Merci ! Non, pas le stress, mais l’inconnu, le jamais vu ou la crainte de ne pas y arriver, plutôt. Bref, en forçant un peu, le gland passe et je l’embouche de justesse en tenant sa queue des deux mains. Et me voilà parti à tenter de sucer son nœud. Lui s’occupe directement de mon cul et moi j’essaie d’en avaler un max, mais là, sa hampe s’épaissit et commence à durcir. Au bout de 5 bonnes minutes, il bande vraiment, et c’est très très impressionnant, ma bouche me fait mal. Ses couilles sont quasiment à l’échelle, je les soupèse et les lèche en branlant sa queue de Titan. En le tenant à deux mains, son nœud dépassait presque d’une dizaine.
— Waouh ! J’en ai vu, mais dans les films pornos !
— Ben moi aussi, sauf ce jour-là. Plus je lui tétais le gland en le branlant, plus il me doigtait, j’ai bien compris qu’il voulait me prendre. Impossible de le sucer convenablement, mais je lui léchais la hampe et les couilles, tirais sur son frein en le suçant dans différents angles et il soufflait un peu plus vite. J’avais un peu peur de me faire sauter par un truc pareil, mais d’un autre côté, c’était un mec d’aplomb, on était dans un appart avec tout le confort ! Je me voyais bien en profiter ! Mon cul s’ouvrait et mouillait d’excitation. Ses doigts ne touchaient pas le bord, je grognais de plaisir en remuant du popotin. Je lui ai demandé s’il voulait me prendre, je te jure, j’étais dingue avec sa grosse queue. Son nœud me déformait la bouche, j’avais mal aux muscles, mais ce n’était pas grave.
— Tu réussissais à le sucer, malgré tout. Il devait apprécier.
— Il souffle et me doigte de plus belle, me dit qu’il aimerait me sauter, mais qu’il est trop excité pour tenir, qu’il voudrait jouir d’abord. D’une main, je lui cajole les couilles, de l’autre, je le branle sur 20 bons centimètres, j’en ai mal au bras. Son gland dans ma bouche est gros comme une balle de golfe... Puis il me dit de faire attention qu’il va jouir ! Tu connais mon addiction au foutre ? D’un coup de reins, il soulève ses fesses et décharge. Putain d’Adèle, ça se mérite, une pipe avec un mandrin pareil.
— Il a beaucoup déchargé, avec un truc aussi gros ?
— Pas spécialement. Une bonne dose, oui, mais pas autant que toi, par exemple. Bref, si lui était calmé, moi, j’avais le feu au cul grave ! De boire son foutre m’avait dynamisé. Je l’ai sucé encore un moment tout doucement, j’avais peur qu’il me dise de repartir. Mais non. On a causé, fumé une cloppe au lit, puis j’ai rejoué avec sa demi-molle, essayant d’en avaler le plus possible. Lui me disait de bien me détendre et qu’il ferait très attention, qu’il avait l’habitude.
— Je te reconnais bien là, tu es joueur, il a dû apprécier.
— Je pense, mais c’est moi qui vivais un rêve. À force de, il a fini par rebander et il fallait que j’essaie !
— Du gel à gogo et une prière ? Maso que tu es !
— Et du calme aussi. Il m’a tartiné de gel et mis sur sa queue également pendant qu’il bandait pas mal. Dur pour une queue aussi grosse d’être assez rigide. Je suis venu me placer au-dessus de son missile et me suis écarté les fesses à fond. Lui tenait sa queue sous son gland. Je descends en poussant au max, le gland force, force, force, mais ça fait longtemps que je ne m’étais plus fait prendre...
— La fonction crée l’organe, dit-on.
— C’est ça. Mais je le voulais, c’était jouable. Je recommence et là son nœud me pointe, on y était presque ! En deux ou trois essais, le gland finit par s’engager. Miaouuuuuuu !
— Mal ? Tu as dû hurler.
— Hurlé, non, plus de souffle pour le faire ! Et des sueurs froides. Un coup de pied au cul est de l’enfantillage à comparer. Mais en restant immobile et en respirant de grandes bouffées d’air, la douleur est passée assez rapidement. Je commence à remuer pour m’habituer à un tel diamètre. Lentement, je sens cette boule qui glisse à l’intérieur de mon ventre et mon trou qui se distend. Lui, patient, il ne bouge pas, et se contente de commenter et de m’encourager, de prendre mon temps. Il a été cool, Il a bien vu que je n’en étais pas à ma première bite ! Finalement, je le fais ressortir le temps de me mettre à genoux au-dessus de son torse. Là, je le replace et il m’encule beaucoup plus aisément. D’avant en arrière, sa queue me pénètre un peu plus et je ne te raconte pas les frissons et les sensations. On est dans une autre galaxie.
— Putain, tu me fais bander rien qu’en t’imaginant. Tu ne l’as pas pris en entier ? dit-il en se branlant langoureusement.
— Une bonne quinzaine de centimètres, sûr, peut-être vingt. Mais rien que son nœud, c’était presque un supplice ! Il m’aurait fallu plusieurs semaines pour m’habituer à un machin de gabarit. Un coup de reins et c’est l’hôpital, si tu n’es pas dilaté et graissé. Et à pomper, bonjour la corvée !
— Tu as pris ton pied ou c’était plus pour la performance ?
— Mentalement, oui, mais je n’ai pas eu d’éjaculation. Comme il venait de jouir, ça a duré un bon moment. Il lui suffisait de bouger son bassin pour que son nœud me laboure, c’était quand même pas mal. On a essayé plusieurs positions et baisé un moment jusqu’à ce qu’il décharge. Déjà qu’avec toi, je sens tes spasmes quand tu gicles... On aurait dit qu’il jouissait dans mon estomac.
— Il a aimé, au final ?
— Il était aux anges comme un mec qui décharge deux fois de suite sans avoir à se branler, non ? Je l’ai remercié pour l’expérience, puis caressé, branloté, soupesé, suçoté, bref, je savais que c’était un cas d’exception, je m’en suis... imprégné, dira-t-on. Mais j’ai eu vraiment mal au cul...
— Tu l’as revu ?
— Oui, une bonne semaine plus tard, de nouveau au bar. Puis j’ai fini chez lui.
— Et tu as plus apprécié, cette fois ?
— Disons que je savais à quoi m’attendre ! Alors d’’entrée, je lui tailler une bonne pipe pendant qu’il me préparait le terrain. Puis au moment de passer à l’acte, j’ai fait le con. Il m’a proposé du Poppers et j’en ai sniffé. Couché sur le côté, plein de gel, il est rentré facilement et je n’ai pas eu mal comme la première fois. Il m’a sauté un long moment, me disant de sniffer à plusieurs reprises. Il m’a sauté au moins une bonne heure et je n’étais pas si mal que ça. Je n’avais comme plaisir juste celui de ma dire : “T’as vu la queue que tu te tapes !”. Quand j’ai senti qu’il allait jouir, j’ai bloqué sa queue avec ma main pour éviter qu’il ne s’emballe. Mais je me rappelle encore de cette sensation d’éclatement, il me tringlait à grands coups pendant qu’il déchargeait en beuglant. Là, je n’en pouvais plus. Je me suis levé pour aller dans la salle de bain le cul en feu et la douleur au ventre. J’ai eu mal pendant 15 jours.
— Ça me rappelle le titre d’un film : L’expérience interdite. Non ?
— Absolument. Les petites bites, c’est pareil. Soit tu ne sens rien, soit tu tombes sur un excité et il te tape trop fort et te fait plus de mal que de bien. Toujours est-il que j’avais réalisé un fantasme, moi qui cherchais des queues toujours plus grosses, je savais qu’à part la performance, il n’y avait que la douleur. Et le Poppers, ça a été la seule et unique fois.
— On sent l’expérience et le vécu ! Comme quoi, il faut un juste milieu.
— Euh... le juste milieu majoré de deux tiers, c’est parfait. Juste comme toi. Trop grosse pour l’avaler à fond, mais délirante lorsqu’elle te traverse le ventre, et autant de fois qu’on le désir. Tu me fais confiance ?
— Je m’en remets entièrement à ton expérience. Tu m’as bien excité, avec ton histoire de cheval !
— Alors, laisse-moi te calmer.
Sur ces belles paroles, j’embouche son gland turgescent qui n’attend que mes soins. Les fesses serrées pour ne “rien perdre”, je caresse ses bourses en faisant coulisser le maximum de ce que je peux prendre en bouche. Ses mains se perdent tantôt sur mes fesses, tantôt dans mes cheveux. C’est une pipe toute tendre, tout en douceur que je lui prodigue. Lentement, son plaisir se précise, mais lorsque mon doigt pénètre son anus et presse sa prostate, un déluge de foutre savoureux en plusieurs vagues successives me comble de bonheur.
Je le déguste en conservant sa verge entre mes lèvres. Nous avons tout notre temps. La seule chose que j’espère, c’est qu’il jouisse une deuxième fois dans mon rectum. Mais ça, il ne le sait pas encore !
Je frotte chaque parcelle de mon corps en me remémorant l’immense plaisir que Jérôme m’a donné. Les mains pleines de savon atteignent naturellement mon sexe, le caressant langoureusement.
— C’est surtout sur tes fesses qu’il s’est focalisé ! pensais-je à voix haute.
Guidés par cette pensée, mes doigts glissent entre mes fesses et se retrouvent à l’endroit même où mon amant ma si longuement pris. D’une simple contraction musculaire, mon anus s’ouvre et mes doigts y pénètrent sans forcer. Sa puissante verge m’a tellement besognée que j’en reste béant et du sperme s’en écoule encore.
— Entre les pipes et les sodomies, j’ai reçu ma dose de foutre ! continuais-je en revivant ses belles éjaculations.
Je rouvre l’eau et me rince longuement avant de retrouver mon lit. Mes dernières pensées sont pour sa queue, en me promettant de ne pas trop attendre pour le rencontrer de nouveau. Puis c’est au tour de Morphée, de me prendre. Quel mec, lui aussi !
Le samedi est de tout repos, ou presque. Ménage, linge et repassage en regardant un film. Je passe cette journée à poil, c’est ainsi que j’aime être chez moi. J’adore sentir ma verge virevolter lorsque je marche, et puis l’étreindre régulièrement me rassure : elle est bien là.
Un ami victime d’un grave accident avait dû subir de nombreuses opérations de reconstruction. Il me racontait qu’à chaque réveil après une anesthésie, il glissait une main sous les draps pour... vérifier. On est comme cela, nous, les mecs. Ça nous dépasse et nous mène par le bout du nez, la queue.
En fin d’après-midi, lorsque les ombres deviennent longues, je ne peux cesser de repenser à Jérôme. Je me fais violence jusqu’à la tombée de la nuit, mais lorsque les lampadaires s’allument, compulsivement, mes doigts composent les 8 chiffres de son numéro de téléphone.
— Je me demandais lequel allait craquer le premier ! lance-t-il lorsqu’il entend ma voix.
— Toi aussi, ça te démange ? Alors tu me rassures.
— Il me semble que dans un lit, nous nous entendons plutôt bien, nous serions idiots de ne pas en profiter, non ?
— C’est pas faut et j’ai très envie de te voir, c’était si bon hier soir que...
—Je peux être chez toi dans une trentaine de minutes, si tu veux.
À peine ai-je raccroché que je file me préparer à le recevoir. Quand je dis “le recevoir”, c’est de mes intestins que je parle. En quinze minutes, je suis prêt à lui offrir le meilleur de moi, autant de fois qu’il le désirera. Côté repas, j’ai largement de quoi nous nourrir, nous aviserons. Le temps de ranger ce qui traîne, le carillon tinte. J’espère que ce sera bien lui derrière la porte, car je suis totalement nu !
Il passe la porte, une bouteille de vin à la main, tout sourire de me trouver dans le plus simple appareil.
— Tu as trouvé facilement ! demandais-je en repoussant la porte.
— Parfait. dit-il en me regardant de la tête aux pieds.
— Choqué ? osais-je en verrouillant la porte.
— Bien au contraire. J’adore ta décontraction.
Mon évidente décontraction me dicte d’étreindre son entrejambe d’une main aimante. Son sexe, libre de sous-vêtements, se trouve prisonnier de mes doigts. Un besoin mutuel de palper nos anatomies semble évident puisque sa main flatte mes fesses.
— Waouh, cette queue me rend dingue. J’ai trop envie de te sucer. Viens vite !
Nous voilà dans la chambre sans aucun protocole. Son T-shirt vole sur le sol alors que j’ouvre ses jeans qui glissent à même le sol. Comme il s’assied au bord du lit, je lui retire ses mocassins et m’agenouille entre ses jambes.
J’embouche son gland encore calotté en soutenant ses grosses bourses ; je profite de son début d’érection pour le prendre le plus loin dans ma bouche pendant que cela est encore possible. Au retour, ma langue tourne entre son prépuce et son gland quelques fois, puis mes lèvres le décalottent en retournant à l’assaut de sa hampe épaisse. Enfin je retrouve son goût de mâle, sa chaleur et déjà son volume.
Cette queue est si bonne que j’en gémis de satisfaction. Je la maintiens par la base et la pompe avec application dans de longs mouvements en spirale. Le temps de courtes poses, je lèche le frein et la couronne, me bats les lèvres avec son gland massif. Loin de se plaindre de ce traitement, il se laisse tomber sur le lit. Ses belles burnes ainsi offertes sont gobées l’une après l’autre, la peau aspirée avant que je ne remonte le long de sa hampe en la léchant comme une friandise.
Il bande complètement maintenant et m’invite à le rejoindre en 69. Je suis tellement fasciné par la beauté et la grosseur de son sexe que j’en oublierais presque mes désirs. Ma verge est aussitôt engloutie par une bouche gourmande, ses doigts glissent entre mes fesses. Excité comme un puceau, j’engloutis sa hampe comme je le peux, frénétiquement, à m’en déboîter la mâchoire tant elle est large.
Déjà deux doigts me fouillent, mais j’en veux davantage et ondule ma croupe d’avant en arrière pour mieux le sentir. J’ai tellement hâte de sentir de que j’ai en bouche traverser mon ventre que je me dégage.
— J’ai très envie que tu me prennes… s'il te plaît.
— Tes désirs sont des ordres, très cher. Je vais te prendre tout doucement.
Je m’allonge à ses côtés et récupère un pot de gel dans la table de nuit.
— Monsieur est organisé ! Tu n’es donc pas novice ?
— Désolé, je t’ai menti. répondis-je en étalant un peu de gel sur mon anus. Un homme a abusé de moi la nuit dernière. Me trouveras-tu encore assez pur pour bénéficier de tes ardeurs, bel étalon ?
Pour toute réponse, Jérôme vient se blottir contre moi, en chien de fusil. Alors qu’il pose sa main sur ma hanche, je saisis sa queue pour en faire glisser le nœud dans le sillon de mes fesses.
— Qu’elle est grosse ! Elle me fascine et me fait frissonner de désir. C’est mon moment favori.
— Tes reins sont si accueillants, comment résister ?
Le gland trouve instinctivement sa place. À cet instant, 20 centimètres nous séparent. Je ne saurais dire lequel à le plus hâte de rejoindre l’autre, mais je pousse fort pour m’ouvrir et mon amant presse tendrement pour me pénétrer. La magie du désir mutuel fait le reste. Son gland repousse l’ourlet et se fraye un chemin, étirant et distendant toutes les chairs sur son passage. Une onde de chaleur se diffuse en vagues concentriques, ce qui sans nul doute serait l’expression de la douleur s’il s’agissait d’une première sodomie.
Mon esprit appelle son sexe avec tant de force qu’il entre royalement en moi en trois lentes poussées successives. Ma main, libéré de son mandrin, cajole maintenant ses imposantes bourses. Jérôme passe son bras sur mon ventre et me plaque tout contre lui, sa verge totalement immobile au fond de mon ventre. Son autre bras passe sous ma tête pour pouvoir caresser ma poitrine.
— Un gros câlin. marmonne-t-il. Tout doux.
— Que c’est bon de te sentir si gros, j’en avais tellement envie !
Presque à regret, je lâche ses bourses pour étreindre sa fesse ; ma jambe crochète la sienne et je commence à contracter mon sphincter. Avec de minuscules mouvements de son bassin, il reprend vie et coulisse dans la gaine qui le reçoit. Mes muqueuses font corps avec son sexe, le moindre mouvement excite toutes nos terminaisons nerveuses, et Dieu sait s’il y en a à cet endroit. Les quelques centimètres de débattement suffisent à nous enflammer. Nos peaux se frottent et deviennent moites, nos soufflent deviennent feulements, nos mains se retrouvent sur mon ventre et même nos doigts s’emmêlent.
D’instinct, nous ne baisons pas, nous faisons l’amour. L’instant n’est pas à la performance, mais à la tendresse. Je ressens distinctement l’ourlet de son gland frotter les parois de mon rectum, les veines de sa hampe riper au passage de mon sphincter et ses couilles qui viennent régulièrement s’échouer contre mes fesses offertes.
Nous ne parlons presque pas, ce ne sont que des onomatopées, des oui, des encore, agrémentés de caresses et d’effleurements... Sa queue gagne du terrain, se retire pour mieux revenir et diffuser son plaisir. Nous sommes partis par calme plat, le vent commence à se lever et une légère houle se forme. Mon ventre chaud l’aspire quand il s’enfonce, le réclame dès qu’il recule.
Ses mains sur mes hanches me guident d’avant en arrière. Les mouvements plus affirmés rendent son vît plus grand encore. Des frissons me parcourent de la tête aux pieds, eux aussi m’envahissent. Mon corps n’est plus qu’un rectum, toutes les informations partent de là !
Je le veux sur moi. Je glisse un oreiller sous mon ventre et l’entraîne sans nous désunir. Les reins cambrés, mes jambes écartées, le cul en l’air, Jérôme reprend sa possession. Dans cette position, il me paraît de plus en plus gros. Il me domine et c’est à lui qu’incombe la tâche de nous emmener vers la jouissance. Bien qu’il soit posé sur moi, il place ses genoux à l’intérieur des miens, m’obligeant à écarter encore plus les cuisses. L’épais sexe s’enfonce régulièrement en écrasant mes bourses avec les siennes.
— Attends-moi s'il te plaît. Tu vas me faire jouir tellement c’est bon. Ne t’arrêtes surtout pas ! l’implorais-je en tenant ses fesses de mes deux mains.
Il m’assène une série de coups longs qui déclenchent en moi une brûlure systématique annonçant que je vais décharger. Je sens son gland se dilater, frottant de plus en plus les parois, me donnant littéralement le tournis. Je marmonne son nom à chaque va-et-vient, puis soudain ma prostate cède.
— Oh ouiiii, je jouis ! Viens avec moi !
Ces quelques mots lui suffisent pour craquer à son tour. Comme j’éjacule de façon incontrôlée, il m’encule soudain jusqu’à la garde pour se déverser en de multiples spasmes. Son sperme, telle de la lave en fusion, semble attiser davantage l’incendie de mon ventre que l’éteindre. Je ne sais de combien de jets il m’abreuve, mais il est là où je le voulais et sa semence est bienvenue. Je plaque mon cul contre son pubis pour encore mieux le ressentir. La maison peut s’écrouler... aucune importance. N’appelle-t-on pas cela “la petite mort” ?
Lorsque nos esprits se remettent en place, je lui décris tout le bien qu’il m’a donné. Conscient de son poids, il se retire lentement, laissant mon cul grand ouvert et soudain bien dépourvu. Assis sur ses talons, il commente le diamètre de mon anus fraîchement libéré en flattant mes fesses.
— Quand je te dis qu’elle est grosse, tu me crois maintenant ? Fis-je en trémoussant ma croupe.
— Un jour, il faudra que tu m’expliques pourquoi tu n’as pas mal.
— Après. Pour l’instant, j’ai juste envie d’embrasser ta splendide queue.
Je dépose mon oreiller plein de sperme au pied du lit et prends place entre ses jambes, le cul en l’air pour conserver son jus en moi. La lourde queue amollissante et luisante de sperme plonge entre mes lèvres avec beaucoup de tendresse. Celui qui n’a jamais sucé et qui ne s’est jamais fait sodomiser ne peut comprendre, mais lorsqu’il y a une osmose entre deux êtres, le plaisir ne peut pas vraiment s’arrêter.
Nous avons joui tous les deux, mais pourtant notre plaisir continue. À demi molle, goûteuse à souhait, je m’en repais encore quelques minutes avant de m’allonger sur le ventre à ses côtés.
— Tu m’as fait jouir d’une intensité indécente, j’avais besoin de m’en occuper encore un peu, de la remercier pour le pied qu’elle me fait prendre. lui dis-je en caressant son ventre plat. J’en veux encore.
— C’était... génial. Je n’aurais jamais pensé qu’entre mecs, on puisse ressentir autant de sensualité.
— Euh... ça n’arrive que très rarement ! Et il ne suffit pas d’en avoir une grosse ! dis-je en secouant sa verge endormie. Ça se saurait !
— Tu n’as pas mal, t’es sûr ?
— Mon tout premier m’a appris plein d’astuces. Il en avait un très belle aussi. Moins épaisse que la tienne, mais... pour une première fois...
— Quel est le secret ?
— Je dirais... le mental, car si tu ne veux pas vraiment, il vaut mieux oublier. Ou se taper une petite quéquette. Mais ça, même pas en rêve. J’ai tenté, ce n’est pas pour moi.
— Et des grosses, tu en as rencontré beaucoup ?
— Quelques unes...
— Plus grosse que la mienne ?
— Oui, j’en ai croisé, mais si elles remplissent mes fesses, toutes ne remplissent pas leur office. Patrick était une exception. À peine plus large que toi, mais tellement doux et respectueux. Sinon, c’est un plan cul et on passe à autre chose. Sans respect ni tendresse, ça reste “hygiénique” et un peu fantastique.
Allongé à ses côtés, la tête dans ma main, je ne peux que caresser son ventre, cajoler son sexe et étreindre ses bourses tout en parlant.
— Et lorsque tu la découvres, tu ne t’es jamais demandé si elle allait rentrer ?
— Si ! La première fois avec Patrick, qu’est-ce qu’il était large ! Mais j’étais super excité, et le personnage me plaisait beaucoup. Enfin, avant de le voir nu, je l’appréciais déjà. Mais la plus impressionnante, c’était à Münich.
— Grosse ? Un black ?
— Non, Autrichien. Simplement énorme. Un truc de cirque !
— Tu l’as rencontré comment, si ce n’est pas indiscret ?
— Dans un bar à cocktails où j’allais deux ou trois fois par semaine. Je le voyais souvent, je le connaissais de vue. Un soir, je ne savais pas trop quoi boire. Il était sur le tabouret juste à ma droite. Et là, il me dit : “Si tu es fatigué, prends un Grand Matelot, sinon, le Petit Matelot est bon pour le moral !”. Puis il dit au barman que c’est pour son compte.
— Sympa ! Quel âge ?
— La trentaine, 35 tout au plus. Du coup, on fait connaissance. Il s’appelle Dieter et vient du Tyrol. On boit nos verres et je lui en paie une autre et là, un peu chaud, il me demande ce qu’un beau jeune homme comme moi cherche dans des les bars. Bref, il me drague, mais à demi-mot, me prenant probablement pour un perdreau de l’année. Le bar est plein, il y a un bruit terrible. Les Allemands parlent hyper fort. Mais le mec est sympa, bonne gueule, je le laisse venir. Mais au troisième verre.
— Ouais, en fait, vous étiez bourrés, non ?
— Pas tant que ça, je tenais bien l’alcool et lui aussi, apparemment. Au troisième verre, profitant du monde autour de nous, il se lève et se met contre moi. On ne s’entendait presque plus. Là, il pose une main sur ma cuisse et me dit que je suis très sympa, qu’il aimerait bien que l’on soit ailleurs.
— Au moins, un peu lourd, mais direct, le mec.
— Carrément, et ça m’excite. Je veux bien, mais premièrement, pas dans les chiottes du bar, et deuxièmement... je lui dis que j’aime “les belles queues”.
— Il ne l’a pas sorti en plein bar, quand même ?
— Non, il m’a seulement dit que je ne serai pas déçu. Là, tout est allé très vite. 10 minutes plus tard, on arrive chez lui. Il m’attrape par les fesses pour me plaquer contre lui et essaie de m’embrasser, ce dont j’ai horreur. J’esquive, il m’embrasse dans le cou en se frottant le bas-ventre contre moi. Je pense qu’il bande déjà, mais il me répond que non et qu’un câlin n’est un pas suffisant pour le faire bander ! Je palpe l’engin et effectivement, il n’est pas rigide. Mon cerveau ne croit plus ce que mes doigts lui racontent !
Tout en racontant cela, sa queue reste l’objet de mon attention. Mais elle s’est déjà rallongée. De mon côté, je sens son sperme se liquéfier dans mon anus et serre les fesses. De repenser à cela ravive certes ma libido, mais il ne reste visiblement pas de marbre !
— Je ne te dis pas mon excitation en sentant un si gros barreau. On arrive dans la chambre et là on se retrouve à poils vite fait bien fait. Je ne te dis pas le choc ! Entre ses jambes, il pend une trompe qui doit faire bien 20 centimètres et d’un putain de diamètre ! Mes doigts n’en font pas le tour, et son gland recouvert est plus large encore.
— Comme la mienne quand je bande ?
— Pratiquement, sauf que là, elle était molle. Mais tu n’as aucun complexe à avoir. le rassurais-je en tirant sur son frein pour exhiber fièrement son majestueux gland. Regarde un peu ce monstre ! Toi, tu es hors-,orme, lui, hors-concourt.
Je me penche sur son ventre et le prends doucement dans ma bouche en gloussant de plaisir. Mes lèvres s’échouent sur les poils de son pubis quelques secondes, puis remontent en l’aspirant. De la pointe de ma langue, j’aguiche son méat et lèche sa couronne. Sa main glisse le long de ma colonne vertébrale pour atterrir sur ma croupe. Sa caresse est aussi douce que ma fellation. Nous avons tout notre temps.
Sa hampe grossit à vue d’œil, mais ses couilles m’appellent. J’y perds mon nez et les aspire, les lèche, suce leur peau. Elles sont si volumineuses qu’une tient à peine dans ma bouche. Elles sentent le musc, l’homme viril.
— Je l’adore, ta grosse quéquette. Vraiment.
— Tu suces vraiment très bien ! lance l’homme en serrant fort ma fesse.
— Doucement avec mon cucul ! Ton sperme est juste au bord, si tu m’écartes les fesses, c’est le déluge. Mais j’aime trop sentir ton foutre en moi, ça me rassure.
— Coquin. Si je te sers un verre de vin, tu me racontes la suite avec ton Autrichien ? Ça m’excite, ta façon de raconter.
Comme j’acquiesce, il se lève et me demande où trouver des verres et un tire-bouchon. Le revoilà, la queue encore à l’horizontale, deux verres à la main.
— Alors ? insiste-t-il après que nous ayons trinqué.
— On se met en 69, je prends cette queue dans ma main. Ma première surprise est son poids. Elle est débandée et pèse très lourd, et le morceau qui dépasse se plie, je dois la prendre à deux mains. Son gland recouvert se dessine sous la peau. Je le décalotte et l’observe avant de le prendre entre mes lèvres. Large, lisse et souple. Je suis euphorique, j’en ai le ventre qui gargouille.
— Le stress ? La peur ?
— Hummmm... ton vin est délicieux. Merci ! Non, pas le stress, mais l’inconnu, le jamais vu ou la crainte de ne pas y arriver, plutôt. Bref, en forçant un peu, le gland passe et je l’embouche de justesse en tenant sa queue des deux mains. Et me voilà parti à tenter de sucer son nœud. Lui s’occupe directement de mon cul et moi j’essaie d’en avaler un max, mais là, sa hampe s’épaissit et commence à durcir. Au bout de 5 bonnes minutes, il bande vraiment, et c’est très très impressionnant, ma bouche me fait mal. Ses couilles sont quasiment à l’échelle, je les soupèse et les lèche en branlant sa queue de Titan. En le tenant à deux mains, son nœud dépassait presque d’une dizaine.
— Waouh ! J’en ai vu, mais dans les films pornos !
— Ben moi aussi, sauf ce jour-là. Plus je lui tétais le gland en le branlant, plus il me doigtait, j’ai bien compris qu’il voulait me prendre. Impossible de le sucer convenablement, mais je lui léchais la hampe et les couilles, tirais sur son frein en le suçant dans différents angles et il soufflait un peu plus vite. J’avais un peu peur de me faire sauter par un truc pareil, mais d’un autre côté, c’était un mec d’aplomb, on était dans un appart avec tout le confort ! Je me voyais bien en profiter ! Mon cul s’ouvrait et mouillait d’excitation. Ses doigts ne touchaient pas le bord, je grognais de plaisir en remuant du popotin. Je lui ai demandé s’il voulait me prendre, je te jure, j’étais dingue avec sa grosse queue. Son nœud me déformait la bouche, j’avais mal aux muscles, mais ce n’était pas grave.
— Tu réussissais à le sucer, malgré tout. Il devait apprécier.
— Il souffle et me doigte de plus belle, me dit qu’il aimerait me sauter, mais qu’il est trop excité pour tenir, qu’il voudrait jouir d’abord. D’une main, je lui cajole les couilles, de l’autre, je le branle sur 20 bons centimètres, j’en ai mal au bras. Son gland dans ma bouche est gros comme une balle de golfe... Puis il me dit de faire attention qu’il va jouir ! Tu connais mon addiction au foutre ? D’un coup de reins, il soulève ses fesses et décharge. Putain d’Adèle, ça se mérite, une pipe avec un mandrin pareil.
— Il a beaucoup déchargé, avec un truc aussi gros ?
— Pas spécialement. Une bonne dose, oui, mais pas autant que toi, par exemple. Bref, si lui était calmé, moi, j’avais le feu au cul grave ! De boire son foutre m’avait dynamisé. Je l’ai sucé encore un moment tout doucement, j’avais peur qu’il me dise de repartir. Mais non. On a causé, fumé une cloppe au lit, puis j’ai rejoué avec sa demi-molle, essayant d’en avaler le plus possible. Lui me disait de bien me détendre et qu’il ferait très attention, qu’il avait l’habitude.
— Je te reconnais bien là, tu es joueur, il a dû apprécier.
— Je pense, mais c’est moi qui vivais un rêve. À force de, il a fini par rebander et il fallait que j’essaie !
— Du gel à gogo et une prière ? Maso que tu es !
— Et du calme aussi. Il m’a tartiné de gel et mis sur sa queue également pendant qu’il bandait pas mal. Dur pour une queue aussi grosse d’être assez rigide. Je suis venu me placer au-dessus de son missile et me suis écarté les fesses à fond. Lui tenait sa queue sous son gland. Je descends en poussant au max, le gland force, force, force, mais ça fait longtemps que je ne m’étais plus fait prendre...
— La fonction crée l’organe, dit-on.
— C’est ça. Mais je le voulais, c’était jouable. Je recommence et là son nœud me pointe, on y était presque ! En deux ou trois essais, le gland finit par s’engager. Miaouuuuuuu !
— Mal ? Tu as dû hurler.
— Hurlé, non, plus de souffle pour le faire ! Et des sueurs froides. Un coup de pied au cul est de l’enfantillage à comparer. Mais en restant immobile et en respirant de grandes bouffées d’air, la douleur est passée assez rapidement. Je commence à remuer pour m’habituer à un tel diamètre. Lentement, je sens cette boule qui glisse à l’intérieur de mon ventre et mon trou qui se distend. Lui, patient, il ne bouge pas, et se contente de commenter et de m’encourager, de prendre mon temps. Il a été cool, Il a bien vu que je n’en étais pas à ma première bite ! Finalement, je le fais ressortir le temps de me mettre à genoux au-dessus de son torse. Là, je le replace et il m’encule beaucoup plus aisément. D’avant en arrière, sa queue me pénètre un peu plus et je ne te raconte pas les frissons et les sensations. On est dans une autre galaxie.
— Putain, tu me fais bander rien qu’en t’imaginant. Tu ne l’as pas pris en entier ? dit-il en se branlant langoureusement.
— Une bonne quinzaine de centimètres, sûr, peut-être vingt. Mais rien que son nœud, c’était presque un supplice ! Il m’aurait fallu plusieurs semaines pour m’habituer à un machin de gabarit. Un coup de reins et c’est l’hôpital, si tu n’es pas dilaté et graissé. Et à pomper, bonjour la corvée !
— Tu as pris ton pied ou c’était plus pour la performance ?
— Mentalement, oui, mais je n’ai pas eu d’éjaculation. Comme il venait de jouir, ça a duré un bon moment. Il lui suffisait de bouger son bassin pour que son nœud me laboure, c’était quand même pas mal. On a essayé plusieurs positions et baisé un moment jusqu’à ce qu’il décharge. Déjà qu’avec toi, je sens tes spasmes quand tu gicles... On aurait dit qu’il jouissait dans mon estomac.
— Il a aimé, au final ?
— Il était aux anges comme un mec qui décharge deux fois de suite sans avoir à se branler, non ? Je l’ai remercié pour l’expérience, puis caressé, branloté, soupesé, suçoté, bref, je savais que c’était un cas d’exception, je m’en suis... imprégné, dira-t-on. Mais j’ai eu vraiment mal au cul...
— Tu l’as revu ?
— Oui, une bonne semaine plus tard, de nouveau au bar. Puis j’ai fini chez lui.
— Et tu as plus apprécié, cette fois ?
— Disons que je savais à quoi m’attendre ! Alors d’’entrée, je lui tailler une bonne pipe pendant qu’il me préparait le terrain. Puis au moment de passer à l’acte, j’ai fait le con. Il m’a proposé du Poppers et j’en ai sniffé. Couché sur le côté, plein de gel, il est rentré facilement et je n’ai pas eu mal comme la première fois. Il m’a sauté un long moment, me disant de sniffer à plusieurs reprises. Il m’a sauté au moins une bonne heure et je n’étais pas si mal que ça. Je n’avais comme plaisir juste celui de ma dire : “T’as vu la queue que tu te tapes !”. Quand j’ai senti qu’il allait jouir, j’ai bloqué sa queue avec ma main pour éviter qu’il ne s’emballe. Mais je me rappelle encore de cette sensation d’éclatement, il me tringlait à grands coups pendant qu’il déchargeait en beuglant. Là, je n’en pouvais plus. Je me suis levé pour aller dans la salle de bain le cul en feu et la douleur au ventre. J’ai eu mal pendant 15 jours.
— Ça me rappelle le titre d’un film : L’expérience interdite. Non ?
— Absolument. Les petites bites, c’est pareil. Soit tu ne sens rien, soit tu tombes sur un excité et il te tape trop fort et te fait plus de mal que de bien. Toujours est-il que j’avais réalisé un fantasme, moi qui cherchais des queues toujours plus grosses, je savais qu’à part la performance, il n’y avait que la douleur. Et le Poppers, ça a été la seule et unique fois.
— On sent l’expérience et le vécu ! Comme quoi, il faut un juste milieu.
— Euh... le juste milieu majoré de deux tiers, c’est parfait. Juste comme toi. Trop grosse pour l’avaler à fond, mais délirante lorsqu’elle te traverse le ventre, et autant de fois qu’on le désir. Tu me fais confiance ?
— Je m’en remets entièrement à ton expérience. Tu m’as bien excité, avec ton histoire de cheval !
— Alors, laisse-moi te calmer.
Sur ces belles paroles, j’embouche son gland turgescent qui n’attend que mes soins. Les fesses serrées pour ne “rien perdre”, je caresse ses bourses en faisant coulisser le maximum de ce que je peux prendre en bouche. Ses mains se perdent tantôt sur mes fesses, tantôt dans mes cheveux. C’est une pipe toute tendre, tout en douceur que je lui prodigue. Lentement, son plaisir se précise, mais lorsque mon doigt pénètre son anus et presse sa prostate, un déluge de foutre savoureux en plusieurs vagues successives me comble de bonheur.
Je le déguste en conservant sa verge entre mes lèvres. Nous avons tout notre temps. La seule chose que j’espère, c’est qu’il jouisse une deuxième fois dans mon rectum. Mais ça, il ne le sait pas encore !
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
super bien écrite et savamment maitrisé pour exciter le lecteur on s'y croirait et on voudrait y être, bravo continuez encore et encore