Body-painting vulgaire à la webcam - histoire érotique

02-02-2025

Je me touche sur internet. Je vais dans ma chambre et je rencontre des hommes via un site de tchat. Ensuite, on échange nos contacts sur le web et je m'exhibe en vidéo. Parfois, j'envoie des photos. Depuis peu, je demande à être notée assez sévèrement. J'ai 6/10 parce que c'est flou, 2/10 parce que ma chatte n'est pas rasée convenablement, 9/10 quand je me montre me doucher. J'ai eu un 10/10. Heureusement, car je donne tout. Tout pour séduire ces Maîtres éphémères. Nous nous aimons le temps d'une heure de sexe à distance pourtant leurs violentes insultes restent gravées dans ma mémoire. J'exulte les yeux fermés en m'en souvenant au moment de jouir, souvent seule, car je complexe de mon visage entièrement froncé lorsque je jouis. Je ne souffrirai pas d'avoir moins de 5/10 si ces Maîtres me voyaient ainsi.

Je suis une chienne, une truie pour eux, et ils rêvent de têter mes mamelles, "85C, gros nichons, chatte rasée une fois toutes les deux semaines, épilation des aisselles toutes les semaines avec les jambes. 1m67, poids qui varie entre 60 et 65kg", réponds-je à leur "t cmt ?". Mes seins sont lourds, c'est ça mon excuse face à mes complexes. Fuck mon poids, je suis une putain de bonasse. Et en plus c'est assez normal.

Mon mec est là parfois quand je m'exhibe dans le salon. Il est très ouvert d'esprit mais j'ai interdiction de rencontrer ces fous de mon cul en réalité. Mais j'ai le droit d'afficher mon cul que je cambre façon "chien tête en bas", comprenne qui pourra, je suis enfin au niveau intermédiaire au yoga. Je le pratique chez moi, dans mon 35m carré. Je bouge la table du salon, je dépose le tapis au sol et je salue le soleil. J'ai l'impression de blasphémer. Je mérite de grosses fessées. Mais je parle de ça comme si je voulais qu'on ait la vision de mon cul en l'air alors que je suis très sérieuse. Il ne faut pas sexualiser le sport, mais je me suis amusée en caméra à effectuer un geste de ma pratique (tout ça pour dire ça).

Vous savez, écrire m'aide à extérioriser et prendre du recul sur ma sexualité bien remplie. Je me fais beaucoup insulter et je trouve cela sain d'en parler un peu. J'adore ça, j'adore, j'adore, j'adore, mais je ne veux pas qu'ils m'obnubilent et me transformer réellement en leur Soumise cochonne à leurs pieds sur internet. Il faut que je réussisse à tout donner, car j'en ai envie, tout en me préservant.

Submissivement Vôtre,
Ô Maîtres Sacrés,

Pardonnez que je sois si salope, je demeure à vous, vous seul, Maître. Oui, Vous... et Madame.

05-02-2025

J'ai gardé le contact de quatre hommes sur internet. Je me branle à la webcam devant eux, je change de tenues. Je passe de la tenue d'Eve à un pyjama en soie rouge en passant par un top moulant duquel je fais sortir mes gros nichons pointus. Tout cela pendant que mon mec se branle dans le canapé. Il tourne la tête à gauche et observe mon clitoris paré d'une pince à linge, et à droite où il fait face à son film porno préféré. Une main sur la bite, l'autre autour de mon cou. Le paradis. C'est une sorte de sexualité 2.0 et je l'adore. Je suis du genre "cérébrale" alors lire et écrire à des pervers lubriques en rut m'excite pendant que mon Maître m'insulte de tous les noms en me voyant me pavaner.

En effet, j'adore me prendre en photo. Je partage les plus belles à des inconnus pour leur bon plaisir. Salope et fière de l'être. Pour moi la salope n'existe pas, c'est une construction sociale pour nous humilier toujours un peu plus. On ne juge pas la sexualité de ces Messieurs, pourquoi jugerait-on la mienne ?

J'ai réalisé deux fantasmes. Je me suis déshabillée, douchée, lavée deux fois les cheveux, rasée la chatte devant deux mecs en cam. Et l'autre, c'était de faire la vaisselle, le pantalon aux genoux, un gode dans la chatte et la culotte enfoncée dans la fente de mon cul, toujours face à la webcam. J'adore. Il a joui deux fois Celui de la vaisselle. Je les aime bien ces messieurs même si je regrette d'être sûre qu'ils m'enregistrent sans mon accord. Ne pas avoir le bénéfice du doute, comme ça pas de déception. C'est la loi de la jungle d'internet. D'où l'importance de cacher son visage dans mon cas. Mon Maître va jouir. Je l'entends gémir, oh. Il a dit : "bon je vais prendre ta petite chatte." Je reviens.

C'était bon !!! Il m'a prise comme une chienne en levrette sur le canapé. Rapidement. On a fait l'amour hier et on s'est amusé à écrire sur mon corps. On a rebaptisé mes seins. L'un s'appelle Salope et l'autre Pute. Ensuite, il a dessiné deux flèches près des adducteurs en direction de mon vagin et a écrit "vide-couille" par-dessus. Voilà, je suis son vide-couille, nous venons encore de le prouver. Aussi, je ne me suis pas encore lavée, en sale truie que j'incarne et les écritures sont encore un peu visibles. Donc, j'ai espoir qu'un des hommes va me demander ce qu'il y a écrit quand nous seront en cam. Je leur voue une tendresse et mon défi secret c'est qu'ils la ressentent aussi. Mais je connais ma place de Soumise ! Je ne suis rien, et c'est mon Maître qui m'accorde une existence. Ainsi, ce n'est que du bonus voire un privilège de voir gicler les bites de ces Messieurs. Un honneur qu'ils daignent entreprendre une discussion avec la chose insignifiante que j'ai la chance d'incarner. Tout ça pour incarner quelque chose. Andouille.

C'est une belle journée. Je vais me montrer aux trois Messieurs que j'aime bien, après. Sûrement les trois en même temps. Pour l'occasion, j'ai revêtu un gilet noir que je boutonne jusqu'en haut, un t-shirt à bretelles très moulant et un soutien-gorge un peu petit pour faire ressortir une belle fente entre mes seins. Puis, un pantalon moulant et les ongles de mes pieds sont vernis en rouge. Je vais faire un strip-tease.


P.S. Je n'ai pas réussi à faire partir les traces en une fois ;) Je suis restée plusieurs jours avec "vide-couille" sous le nombril.