Bonne année - histoire érotique

Tout doucement, la fin d’année approchait à grands pas. Et, comme à chaque fois, la question se posait « Comment allait-on la fêter ? », dans ce contexte particulier ?
Malheureusement, Paulo ne pourrait être là que le premier janvier en soirée. La question du 31 se posait donc sans lui. Avec Abdel, on en a longuement discuté, sondant les goûts de chacun. Finalement, on décida de fêter ça en relativement petit comité, à savoir six personnes : Ali, Slimane, Paul, Fabrice, Abdel et moi. A charge pour chacun de proposer, en cours de soirée, une idée originale…Au cours de la soirée, il avait même été décidé qu’on changerait trois fois d’endroits. Allant chez les uns et les autres, au fil de la soirée. Tout fut commandé par traiteur, d’un commun accord.
On commença chez nous par un apéro plus que conséquent. A profusion. Abdel avait décidé d’accueillir les invités en étant juste vêtu d’un slip en lamé or, d’un nœud papillon en la mé argent et d’un loup noir. Effet garanti ! Ce fut joyeux dès le départ. Dansant aussi. Chacun s’était mis sur son 31. Assez vite, on fut tous assez chargés. L’ambiance n’en fut que plus chaude.
Sur le coup de dix heures, Fabrice et Paul nous proposèrent de traverser la rue pour aller chez eux pour déguster l’entrée. Il fallut insister lourdement pour qu’Abdel accepte de passer un pantalon et une chemise par-dessus son accoutrement. Là encore, vin blanc à foison et saint jacques à la tombée de poireaux ( extra ! ). L’ambiance monta encore d’un cran.
Vers 23heures 30, ce fut au tour de Slimane et d’Ali de nous proposer d’aller chez eux. Mais, auparavant, ils avaient imaginé une façon originale de finir l’année. Direction….la piscine. On entre comme des voleurs – Slimane avait déconnecté l’alarme-, on n’allume rien, et Slimane nous propose une kyrielle de slips de bain – récupérés chez nous avec la complicité d’Abdel -. Tout le monde à l’eau ! Non pas pour des compets mais pour un chahut monumental et des jeux d’eau qui s’apparentaient beaucoup à du catch…. Les douze coups de minuit arrivèrent là-dessus. On s’embrassa à pleines bouches, en se frottant. On se promit de revenir dans l’eau avant la fin de la nuit… Après s’être séché, on alla déguster chez Slimane de délicieux pavés de biche aux airelles. La fête continua de plus belle. Pour se chauffer à fond, Slimane nous avait proposé d’enfiler chacun un mini slip de bain. Les danses commençaient à être très très hots… La nuit s’avançait mais chacun voulait la vivre à fond jusqu’au petit matin … Le dessert – un somptueux opéra – fut salué par tous.
Sur le coup de quatre heures, Slimane nous reproposa « des jeux d’eau à caractère sexuel marqué ». On se retrouva à l’eau , toujours sans lumière. Slimane avait même amené une petite enceinte connectée qui nous envoyait une musique adéquate… Les couples se faisaient et se défaisaient au gré des envies, dans l’eau. Baisers fougueux, caresses appuyées, succions sous marines, doigtages…La panoplie complète se déroulait. Bien évidemment, Abdel était l’objet de toutes les attentions de la part d’Ali et de Slimane…Au gré des envies, chacun s’accoupla avec qui bon lui semblait, pour une séance semi immergée mais qui ne déboucha pas sur de la jouissance tout de suite. Il fallait pouvoir expérimenter d’autres partenaires avant. Ce fut ainsi un ballet érotique qui se déroula sur les côtés du grand bassin. Parfois à deux, parfois à trois. Certains, comme moi, gardèrent leur mini slip en écartant le fil arrière pour que le partenaire puisse glisser sa bite, d’autres enlevèrent tout, d’autres encore arrachèrent carrément le slip sous l’effet de leur pulsion ! Grâce à la poussée d’Archimède, c’était très très agréable et confortable d’embrocher quelqu’un par en dessous et de le soulever sans peine au gré de ses coups de bite. Pas trop besoin de gel en plus. L’ambiance était assez irréelle avec une très faible lumière bleutée et une musique planante.
Ce qui fait que tout le monde se mit à fourrer tout le monde, passant de l’un à l’autre au gré de sa fantaisie. On se prend par devant, par derrière… Toutes les bites sont tendues de désir. En petite profondeur, on peut même s’étendre sur le dos et se faire fourrer par son partenaire debout, sans aucune difficulté. A un moment, on se retrouve Paul, Abdel et moi collés côte à côte au mur avec trois mecs qui nous bourrent, qui nous fourrent, qui nous liment à qui mieux mieux. On sent nettement que, cette fois, ils veulent aller jusqu’à leur jouissance ultime. On se laisse faire bien volontiers, coopérant du mieux que l’on peut.
« -Walla ! Elle est trop bonne ta bite Fabrice ! » s’écrie Abdel« -Attends d’avoir goûté à la mienne, tu vas voir ! » rigole Slimane.
A quelques minutes d’intervalle, les trois prennent leur pied en nous inondant de leur sperme chaud. A notre tour, cette fois, de leur rendre la pareille. Abdel se prend Slimane, Paul se prend Ali et je fourre Fabrice. Les grognements de plaisir se font entendre de plus en plus fort. Une bonne séance de limage à fond et, à notre tour, on se lâche dans leurs ventres.
Satisfaits – pour le moment -, Slimane nous propose la douche collective – avec savonnage et caresses à profusion – puis, il nous a réservé une ultime surprise… Pour la fin de la nuit, il avait pensé à un truc assez original, là aussi. Plutôt que de repartir une énième fois chez quelqu’un pour y dormir, il avait imaginé de nous faire tous dormir dans ….le sauna sec ! Eh ben, c’était pas une mauvaise idée du tout. Bien sûr, il n’avait pas poussé le chauffage à 80°. Vingt degrés suffisaient. Un petit voyant rouge diffusait une très légère lumière. La porte légèrement entrouverte pour ne pas suffoquer, des tapis mousse de gym sur les bas flancs de bois et de grandes serviettes de bain en guise de couverture. Et le tour était joué.
On s’écroula tous de fatigue. Au cours de la nuit, je dus me lever – avec une gaule d’enfer - pour aller aux toilettes. En longeant le grand bassin pour m’y rendre, je vois deux mecs totalement nus s’agiter dans l’eau, en faisant des longueurs à un rythme d’enfer. Je devine qu’il ne peut s’agir que d’ Abdel et Slimane qui se tirent la bourre, avant de se tirer autre chose… Increvables, ces deux là !
Plus tard, pendant le reste du peu de nuit, j’entendis à nouveau des a llées et venues en direction du bas flanc d’Abdel – l’attrait de la nouveauté ! -… J’ouvris un œil. Malgré l’obscurité, je reconnus Ali qui rejoignait Abdel sur sa couche. Ils se mirent à se caresser gentiment, nus tous les deux, par-dessus la serviette. Puis Ali se glissa vers le bas ventre d’Abdel pour le sucer. Je vis le ventre d’Abdel se soulever pour mieux s’offrir à la bouche d’Ali. La fellation dura un sacré bout de temps. Puis Ali se glissa entre les cuisses d’Abdel pour le pénétrer doucement. Il le fourra et le lima ainsi pendant un temps super long, tout en douceur. C’était beau à voir le beau cul rebondi d’Ali se soulever et s’abaisser entre les cuisses d’Abdel, Parfois je voyais aussi la bite d’Ali quand il ressortait du ventre d’Abdel pour mieux le réempaler aussitôt. A d’autres moments, c’est Abdel qui levait ses jambes très haut pour venir poser ses chevilles sur les épaules d’Ali. Cela me chavirera toujours de voir ainsi deux jeunes et beaux rebeus entrain de faire l’amour. A un moment Ali eut un soubresaut et se bloqua. Il avait joui.
Au réveil, Paul me confie qu’il avait rendu – lui aussi – une petite visite à Abdel cette nuit. Hé bé, il a pas du dormir beaucoup Abdel…Vers les onze heures, Abdel émerge en poussant un cri :« -P….n, les mecs ! J’ai jamais passé une nuit pareille !! Merci à tous !!! . Vous êtes tous de sacrés baiseurs ! MERCIIIII ! Je vous adore ! BONNE ANNEE !!! »On ne pouvait mieux dire.
Surtout que la prochaine nuit qui s’annonçait, avec le retour de Paulo, serait tout sauf calme.
Avec Abdel, on passa le reste de la journée à comater, en essayant de récupérer, en vue du retour de Paulo. Dans l’après midi, il fit quand même un saut chez sa mère pour la rassurer et lui souhaiter une bonne année. Vers les 19 heures, Paulo débarqua à l’appart. Je me précipitais sur lui. Longue embrassade. Puis Paulo alla embrasser Abdel qui attendait sagement dans son coin. Dans la foulée, Paulo se mit en slip – comme nous qui l’étions déjà -. Super new look, son slip. Noir et blanc avec plein de découpes partout. Encore un pour la collec !
On réussit à ne pas se sauter dessus tout de suite, même si l’envie nous démangeait terriblement. On se souhaita une bonne année en buvant plusieurs coupes de champagne.
« -Feliz ano novo, Paulo ! » Wow ! Abdel avait bûché son portugais ! Paulo en fut très touché.
Bien évidemment, on lui raconta comment on avait passé la nuit du 31. Il nous envia beaucoup car, lui, il l’avait passé dans l’avion depuis l’autre côté du monde. Il accepta, bien volontiers, le petit souper qu’on lui avait concocté avec Abdel. En face, Paul et Fabrice firent de grands signes à Paulo pour le saluer. Ce qu’il fit en allant sur le balcon – couvert quand même, on est en hiver ! -.
Après le souper, on commença à se câliner doucement dans le canapé. Mais Paulo avait grand faim. De sexe, bien sûr ! Alors, on fila très vite vers le lit. Il nous dit qu’il voulait s’occuper de nous deux, en même temps. Ce qui, de la part de Paulo, n’était nullement présomptueux… Bougies, encens…« - The show must go on ! C’est pas pour me déplaire ! » lança Abdel. En pensant sûrement à Paul et Fabrice, aux premières loges de l’autre côté de la rue. Bien que fort occupés, eux aussi.
Il nous fit nous allonger côte à côte, en gardant nos mini mini slips qui n’arrivaient déjà plus à contenir nos bites dressées. Il commença par nous caresser voluptueusement. Avec Abdel, on le lui rendit bien. Nos mains virevoltaient sur son corps. Lui aussi, avait la bite qui débordait de l’élastique. Puis, il se mit à califourchon au dessus de nos têtes – en 69 en fait – pour nous faire goûter l’odeur de son chibre et sentir l’odeur des nôtres, tout en mordillant les fins tissus de nos slips. On en profita pour passer nos doigts dans TOUTES les échancrures de son drôle de slip.
Excité, Paulo s’affale sur nos visages en se frottant pendant qu’il se met à nous titiller les glands du bout de ses lèvres. Trop bien, continue ! On en profite pour lui baisser légèrement le slip pour avoir un accès libre à sa bite et à sa rondelle. Je m’occupe de lui lécher la rondelle pendant qu’Abdel lui lèche le bout de son gland dégoulinant de mouille, signe de son excitation. J’en profite pour commencer à le doigter légèrement en récupérant de la mouille sur son gland. Lui aussi nous a glissé le slip jusqu’aux genoux. Trop bon de sentir ses lèvres chaudes passer d’une bite à l’autre ! Abdel me fait un clin d’œil en se passant la langue sur ses lèvres pour me signifier que son gland est délicieux ! Paulo a commencé à nous doigter, lui aussi.
Maintenant que nous sommes suffisamment dilatés, il nous passe à chacun un gode bien gélifié. Excellent. Il s’applique à les faire coulisser doucement. Bref, il nous prépare… De mon autre main, je me mets à le branler délicatement du bout de mes doigts. Je sais qu’il adore ça. D’ailleurs, il réagit en allant et venant doucement sous mes doigts. Je sens qu’il va bientôt vouloir inverser les positions, ce qu’il fait. Au passage, il se repositionne quand même à califourchon sur nos deux visages mais de face cette fois pour se faire lécher de partout sur les couilles, la bite… Ce qu’on fait de bonne grâce. Abdel met beaucoup de cœur à l’ouvrage, on sent qu’il aime ça, le sexe. Faut dire que la bite de Paulo ainsi offerte, ça tenterait beaucoup de monde. On se dispute le sucre d’orge.
Maintenant qu’on est tous bien chaud, Paulo va nous fourrer doucement l’un après l’autre. Il commence par moi puis passe à Abdel et ainsi de suite pendant un temps infini qu’on jugea tous les deux comme ayant pu être encore plus long. Au passage, il en profita même pour enfiler sa « love technology » à la base de sa bite – un anneau vibrant - qui nous faisait un agréable chatouillis quand il venait se coller.
« -C’est quand même top de se faire fourrer ainsi, non ?
-A qui le dis tu ! Surtout par un mec aussi beau que Paulo !
-C’est clair ! »Se sentant venir, Paulo demanda à Abdel de le sodomiser pendant qu’il allait jouir en moi. Ce qu’Abdel fit bien volontiers. Mais il se passa encore un sacré bon bout de temps avant que Paulo jouisse en moi à grands flots. Aussitôt, il se retira et se positionna en levrette pour, qu’à son tour, Abdel puisse se déverser en lui plus aisément. Ce qui prit encore de longues minutes. Il ne me restait plus qu’à jouir moi-même mais je préférais me réserver pour le second round.
Le second round, je l’ouvris au cours de la nuit quand je me réveillais inopinément. Ne pouvant retrouver le sommeil rapidement et étant encore sous tension sexuelle, je commençais à caresser doucement le cul de Paulo et celui d’Abdel en même temps, me demandant qui réagirait le premier… J’avais ainsi, sous mes mains deux très beaux spécimens de culs. Aussi bien galbé l’un que l’autre, avec une raie peut être un peu plus large chez Paulo, avec quand même une différence de couleur : mate chez Abdel, chocolat au lait chez Paulo, tous les deux parfaitement lisses de tout poil. Je les effleurais du bout des doigts plus que je ne les caressais, je glissais mon index le long de chaque raie…Je titillais légèrement chaque rondelle….Un peu de gel et j’y retournais. Aucun frémissement… J’essayais de forcer un peu – oh, très peu – le passage… Paulo bougea très légèrement dans son sommeil pendant qu’Abdel remuait légèrement son cul….
Dans la faible clarté des bougies, je vis nettement la bite d’Abdel qui prenait doucement du volume…. Je décidais de changer de zone érogène et d’exciter sa hampe, son frein, son gland… Sous mes doigts légers, elle commençait doucement à prendre du volume… Dormait-il encore ou faisait-il bien semblant ? Ou avait-il ce qu’il croyait être un rêve érotique ? En tous cas, je prenais un malin plaisir à effleurer du bout de mes doigts le dessous de ses couilles, le dessous de sa hampe, son frein, le haut de son gland qui commençait doucement à se décalotter tout seul sous l’augmentation de volume…Maintenant, sa bite atteignait presque la taille que je lui connaissais quand elle était en érection. Son gland commençait à se couvrir de mouille. Je pouvais commencer à le branler du bout de trois de mes doigts. Il semblait toujours dormir. Entre deux, je prenais son gland par le dessus, en pince et le branlais aussi. Trop bien. J’avais les doigts pleins de mouille. Je ne voulais surtout pas le réveiller. Qu’il était beau ainsi plongé dans son sommeil !
Tout cela me donna la terrible envie de le prendre en douceur toutefois. J’abandonnais sa bite et venais présenter la mienne, bien gélifiée, à l’entrée de son trou. Je massais très très lentement sa rondelle avec le bout de mon gland. J’exerçais de très faibles poussées pour ne pas le réveiller. A force de patience, je réussis à passer mon gland. Je m’immobilisais. Et c’est à cet instant précis que je sentis sa main qui m’empoignait la bite avec vigueur pour essayer de l’enfoncer dans son trou, à la manière d’un gode ! Tout en faisant cela, il tourna la tête en souriant, cherchant mes lèvres. Ainsi, il ne dormait donc pas. Je m’enfonçais en lui très facilement. J’y restais sans bouger. J’étais trop bien et je ne voulais pas réveiller Paulo.
J’étais collé à lui, mon ventre contre son dos, peau contre peau, mes mains agaçaient ses tétons, ses abdos, sa ligne de poils, sa bite toute humide. De temps en temps, je bougeais légèrement ma bite en lui. Il devait aimer car il m’attrapait les fesses et me les tirait vers lui pour que je m’enfonce encore plus profondément – j’étais déjà au fond -. On était trop bien ainsi, tous les deux.
Mine de rien, l’envie me tenaillait de jouir à mort en lui. Je me mis à bouger lentement en lui. Il avait tourné sa tête et on se dévorait la bouche tout le temps. J’accélérais très légèrement a cadence de mon va et vient. Est-ce cela qui fit que Paulo émergea ? Peut être…. En tous cas, instantanément, il voulut en être – toujours prêt, Paulo ! -. Il se déplaça pour venir se positionner derrière moi. Avec beaucoup de délicatesse, il finit par me pénétrer. Dès lors, on synchronisa nos mouvements pendant un bon moment de limage mutuel. Abdel était aux anges, moi aussi. Pris des deux côtés en même temps. Au fur et à mesure que je montais en puissance Paulo me faisait la même chose. A un moment, je sentis que j’allais exploser. Je le criais à Abdel et à Paulo ? Je me déversais littéralement en lui. Paulo passa la cinquième pour venir me noyer lui aussi. Fin du deuxième round.
On se rendormit presqu’aussitôt. Le troisième round arriva sur le matin – enfin vers les 10h30, à peu près – quand Abdel émergea. Comme on dormait encore, cette fois c’est lui enclencha les hostilités. Il voulut se lever, ce qui réveilla Paulo. Du coup, tous deux filèrent à la douche et, ce qui devait arriver arriva… Abdel finit par enfiler Paulo, en le collant au mur, sous le jet d’eau brûlant. Non, ce n’était pas un viol ; Paulo était même carrément demandeur ! Il le besogna furieusement, avec toute la fougue de sa jeunesse de très très longues minutes. Ce sont même les râles de plaisir de Paulo qui me réveillèrent. J’arrivais pile au moment où Abdel explosait en lui dans un long cri rauque.
Le reste de la journée fut plus calme. On raccompagna Abdel chez sa mère – sans se montrer – et on rentra tranquille à l’appart. Resto, câlineries, lecture, télé….la journée s’écoula ainsi. J’essayais de profiter au maximum de la présence – trop rare – de Paulo.