Bord de mer, besoin d'humiliation à la chaine. - histoire érotique

Ce jour là, plus que d'habitude, j'avais envie de sexe avec des hommes.
J'ai surement trop repoussé ce besoin, puisque mon coté sombre a pris le dessus, peut-être est-ce de l'auto destruction, mais j'avais besoin d'être humilié, souillé.

Je voulais qu'on utilise mon corps pour assouvir des plaisirs pervers, et tant mieux, si je jouissais en me donnant ainsi.

Quand j'étais dans cet état d'esprit, j'acceptais tout ce que l'on voulais me faire.
J'attend patiemment le début de l'après-midi, pour me rendre en bord de mer.
Après une longue déambulation sur le sentier qui longe la mer, je croise étonnamment beaucoup d'hommes.
Il fait très chaud, la plupart est en short et Tee-shirt.
Au fond d'un chemin boisé, se trouvent deux inconnus qui m'abordent aussitôt.
Ils m'enserrent en me caressant, comme c'est l'été, ils m'ôtent ma chemise à manches courtes.
L'un d'eux fait tomber son short pour m'offrir sa belle queue à sucer.
L'autre défait mon pantalon de toile, qu'il dépose sur le coté et l'imite en ajoutant sa bite à celle de son copain, dans ma bouche.
Je gémis de plaisir en leur offrant tous mes talents buccaux, je passe de longues minutes à les sucer goulument.

J'entend des pas derrière nous, je veux me retourner, mais ceux que je suce m'en empêchent.
Des mains me soulèvent les fesses, des doigts me fouillent l'anus.
Le plus membré des deux hommes que je suce, s'écarte et sort une dose de gel de son short.
Un autre homme le remplace dans ma bouche.
La fraicheur du lubrifiant me surprend, puis la chaleur de la queue d'un homme qui se colle à mon anus, me confirme que je vais être baisé.
L'homme me pénètre lentement, avec douceur. Puis il augmente son rythme profond.

Sa bite est encore meilleure dans mon cul, que dans ma bouche, il commence à me provoquer un gros orgasme qui excite les autres devant moi, et les nouveaux venus.
Nous sommes six à présent, les hommes expérimentés me baisent à tour de rôle, sans être pressés.
Mais trois d'entre eux, m'enculent en se vidant assez rapidement dans ma bouche et mon cul.
Je reste donc avec trois hommes plus endurants, qui me défoncent plus longuement.
Nous sommes rejoint par d'autre arrivants.

Je suis alors enculé par d'autres queues à la chaine, Plus le temps passe et plus les hommes s'accumulent.
Au point ou, de loin, on ne me voit plus au milieu d'eux, seuls mes cris étouffés révèlent ce que je subis.

Certains me tiennent de chaque coté, autour de la taille pour me bloquer pendant qu'un homme se déchaine comme un bourrin, dans mon cul, plein de foutre.
Pendant ce temps, je joui encore et encore sans fin, en me faisant baiser la gorge déjà embuée de gout du sperme des précédents.

J'essaie de compter les hommes, mais cela m'est impossible, par contre, je me souviens encore de cet énorme envie de tous les satisfaire, quoi qu'il m'en coute!
Les orgasmes s'enchainent, les éjaculations sur, et dans mon corps aussi.

Je me sens sali, mais c'est ce que je voulais, j'en avais besoin, et j'en veux encore ! Personne ne doit partir insatisfait !
Je répond à leurs mots crus en réclamant qu'on me défonce et qu'on m'encule comme un vide-couilles.

Le temps parait interminable, les queues se suivent inlassablement, je suis couvert de sperme sur le visage, et le dos.
Mais surtout, je devine une abondance de rejet de foutre entre mes cuisses.
Certains m'essuient l'anus avant de m'enculer à leur tour jusqu'à y ajouter leur dose.
L'endroit sent fortement le sexe, tout le monde est excité comme jamais, moi y compris.
Peu à peu, les hommes quittent l'endroit après leur jouissance.
J'ai la présence d'esprit de demander des kleenex pour m'essuyer après la fin de nos ébats.
Le nombre baisse enfin, jusqu'au dernier qui m'encule comme un forcené et éjacule en grognant son bonheur, dans mon cul.
Je me retrouve seul, je ramasse les trois paquets de mouchoir que certains m'ont donné avant de partir.
Je me nettoie patiemment entre les cuisses, et essuie mon anus.
Je remets mon pantalon, puis je m'essuie comme je peux dans le dos, ce qui n'est pas simple.
C'est quand j'attrape ma chemise que deux hommes me rejoignent.
Je me tourne vers eux, ils découvrent mon visage.
"Eh, tu t'es amusé déjà ! T'as encore du sperme sur ta petite gueule !".
Ils sortent presque en même temps, et ensemble, leurs bites de belle taille.
"Tu vas pas nous laisser comme ça ? Regardes, on commence déjà à bander ! C'est toi qui nous fait ça !".
Ils exercent ensemble une pression sur moi pour me placer devant leurs sexes.
Je reste soumis et je leur offre tous mes talents buccaux, avec mon visage encore souillé de sperme.
L'un d'eux me dit:
"Ohhh, tu suces bien ! Je comprend qu'on t'ai giclé sur la gueule ! ils étaient plusieurs ! Non ?".
"Mmmmm, oui ! Ils étaient beaucoup ! J'ai pas compté !".
L'autre remarque le nombre impressionnant de mouchoirs au sol.
"C'est à cause de toi, tout ces mouchoirs ?".
"Gllllrp ! Mmmmmmmmmmm, oui !".
"Merde ! Jacques ! On a raté une baise à la chaine !".
"Il a raison ?".
"Oui !".
"Putain, quelle pute, viens là !".
L'homme me soulève les fesses et défait ma ceinture, faisant tomber mon vêtement à mes pieds.
Il baisse mon slip, et remarque une tache entre mes fesses.
Il pointe sa belle queue, qui ne tarde pas a s'enfoncer dans mon cul.
Dès les premiers assauts, elle se couvre de sperme.
"Putain ! Jacques, il est plein de foutre ! C'est trop excitant ! je vais lui en remettre une dose !".
Il se déchaine en m'enfonçant la gorge sur la bite de son copain.
Je joui d'un râle étouffé sous ses coups puissants et profonds.
Les insultes se suivent, au rythme de notre plaisir commun.
Puis l'homme se déverse dans mon anus longuement.
Il se retire et vient me tenir pour offrir mon cul à l'autre homme.
Je prend encore deux autres orgasmes, jusqu'à jouir en même temps que l'homme qui m'encule.
Ils me laissent en discutant ensemble du plaisir qu'ils ont connu avec mon cul.
Je me rhabille assez vite, puis je m'enfonce dans le chemin jusqu'à arriver sur une crique peu fréquentée, sauf par des nudistes.
Je plonge dans l'eau pour m'y laver, puis je prend mes vêtements pour m'allonger sur le coté "Tissu" de la plage.
Je tombe dans un sommeil réparateur, bercé par le bruit des vagues, pendant une petite heure.
Quand je sors de mon sommeil, je décide de repasser par ou je suis venu.
J'arrive à l'endroit ou je me suis fait enculer à la chaine.
Une grosse tache humide marque l'endroit précis ou se trouvait mon cul.
On pourrait croire que c'est de l'eau ou de l'urine, mais je sais que c'est l'écoulement des spermes que je rejetai pendant les assauts des hommes qui m'enculaient.
Puis, je suis horrifié par le nombre de mouchoirs au sol.
Je les ramasse, par principe, je n'aime pas polluer la nature.
J'ai du mal à tenir le tout, mais je parviens à les jeter dans une poubelle sur le sentier.
Je suis gagné par une grosse envie d'uriner, je m'enfonce dans un fourré pour arriver dans un espace ou je me suis déjà fait défoncer par plusieurs hommes, quelques mois auparavant.
Je sors ma bite et me soulage de mon besoin.
Comme j'ai ma queue entre les doigts, je commence à me masturber en repensant aux multiples orgasmes que je viens de vivre.
Je ressens encore les sensations de plaisir anal dans mon anus.
Je suis surpris par l'arrivée d'un groupe d'hommes qui m'entreprend très vite.
"Hummm, t'es mignon, toi !".
Ils sont quatre, et mon début de masturbation m'a excité, je me laisse faire et je me retrouve au centre des 4 inconnus en les suçant goulument.
Les choses s'enchainent, et je ne remarque pas l'arrivée d'un dernier, qui lui aussi s'était arrêté pour uriner.
Deux d'entre eux me lèvent le bassin.
Le dernier arrivé me soulage de mes vêtements en dessous de la taille.

"Putain, il a un cul magnifique !".
Je comprend qu'il ouvre une dose de gel, il doit fréquenter les mêmes lieux que moi.
Il me couvre de lubrifiant, puis il enduit sa bite que je ne vois pas.

Je suis toujours bloqué sur les cotés par deux autres, pendant que je suce ceux qui sont devant moi.
Le contact de sa queue me surprend, il a l'air très large, je commence à pousser un râle sous cette pénétration extrême.
On me bloque le visage sur la queue qui est dans ma bouche.

L'inconnu pousse plus fort, sa bite à l'air énorme en largeur.
Je pousse sur mon sphincter pour ouvrir mon anus au maximum, puis après plusieurs essais, son gros pieu s'enfonce en moi.
Il se produit alors un phénomène que je connais rarement.
Comme mon anus a été déjà sursollicité, il est hyper sensible.

Je ressens chaque centimètre de pénétration, le plaisir devient de plus en plus puissant.
Je crie en m'étouffant sur la queue qui me remplit la bouche, puis viens le moment ou il touche le fond de mon cul.
Je suis pris d'un orgasme fulgurant presque instantané.
Je me défait de la bite dans ma gorge et je crie:
"Arrrrrrrrrrrrrrrrhhhhhhhhhhhhhhhh ! Ne bouges plus, c'est trop fort ! Arhhhhhhhhhhhhhhh ! je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!".
"Déjà ?".
"Oui, Arhhhhhhhhhhhhhhh!".
Il attend que je lui demande de bouger, mon orgasme est très long, je suis pris de nombreux spasmes.

Puis enfin, mon cul s'habitue à sa présence.
"Ohhh, ça y est, tu peux bouger ! Encules-moi !".
"Putain, tu m'excites ! Je vais te casser le cul, mec !".
Il entame une serie d'assauts profonds et puissants.

"Arhhhhhhhh ! Je joui encore ! C'est trop fort ! Arhhhhhhhhhh !".
"Je m'arrête ?".
"Arhhhhhhhhh ! Non ! Continues ! Défonces-moi ! Arhhhhhhhhhh!".
L'homme me besogne avec l'aide de ses acolytes.

A chaque retour dans mon cul, il gagne en puissance et profondeur.
Mon orgasme est continu, et interminable. il m'encule depuis plus de 15 minutes déjà.
Le plaisir anal est si fort que je suis surpris par le plaisir de mon éjaculation soudaine sous mon ventre, entre mes jambes.
Je ne l'avais pas senti venir !

"Putain ! Tu le fais gicler sans se toucher !".
"Il a joui ?".
"Ben oui ! Regarde par terre ! C'est plein de sperme !".
"Mais ! Et moi ? J'ai pas joui !".
Je le rassure en lui disant:
"Continues ! C'est toujours aussi bon ! Arhhhhhhhhhhhhh ! Défonces-moi encore !".
"Super ! Merci mec !".
Je joui encore en me questionnant un moment, sur la longueur de sa bite, je ne sens pas son ventre claquer contre mes fesses, quand il cogne au fond de mon cul.
Il s'arrête au fond de mes entrailles en appuyant fortement, je connais ce plaisir particulier et je l'aide en tortillant mes fesses.
On arrive a atteindre ce merveilleux moment ou il trouve le chemin de mes profondeurs anales, et s'enfonce en moi jusqu'aux couilles.
Pendant que je crie encore mon plaisir, les autres manifestent leur excitation de le voir en entier dans mon cul.
"Trop bon ! Il est exceptionnel, ce jeune ! Quel cul !".
"Oh, putain c'est trop bon, il se prend toute ma bite dans le cul ! Arhhh ! Oh, c'est trop bon ! Tenez le bien, je veux lui casser le cul encore !".
Il se lance dans une série d'assauts amples et profonds, de mon œillet, au plus profond de mon cul.
De nouveaux écoulements de mon sperme rejoignent le sol, je joui sans fin.
Je sens le bout de sa bite jusqu'au bas de mes côtes, le plaisir est énorme, pour moi comme pour lui.
Je sais que j'aurai une gêne physique par la suite, mais j'aime trop ce plaisir.
De longues minutes après, il se déverse en moi, son gland de trouve au niveau de mon nombril, je sens son liquide m'inonder par jets puissants dans mon corps.
Nos cris de plaisir se rejoignent.
Un long silence règne, il recule enfin, puis vient devant moi.
"Lèches-moi la bite ! Regarde ce que t'as encaissé mec ! Elle te plait ?".
"Mmmmm ! Oui, je l'ai adoré ! Tu m'as cassé le cul comme personne !".
"Allez ! Suces moi un peu ! Mes potes vont t'arroser et te jouir dans la bouche !".
Je demande à enlever ma chemise, puis je me soumets à leur désir.
Je commence par lécher la grosse queue, qui m'offre ses dernières effluves de sperme encore dans son méat, sous la pression de mes deux mains.
je suis enculé par deux de ses complices, pendant que je m'occupe de lui.
Il me déforme la bouche par sa dimension hors norme.
Je suis excité comme une petite salope, le gout de mon cul et de son sperme, ajouté de la présence des autres qui bandent autour de nous, me baisent et se masturbent en me regardant avec le visage écartelé sur cette énorme bite.
Tout ça me rends dingue, puis après de longues séances de léchage, l'homme se recule et laisse la place à ses amis.
Je les suce à tour de rôle et ensemble à la fois.
Mon anus me rappelle qu'il vient de subir une sodomie extrême, je contiens un besoin d'expulsion.
Je ne veux pas tacher mes vêtements à mes pieds.
Les gémissements s'enchainent et les premiers signes d'éjaculations aussi.
Ils jouissent tous un peu dans ma gorge, puis sur le visage, me couvrant de foutre chaud, jusqu'à couler sur mon torse.
Ils me couvrent de mots crus en éjaculant, c'est à la fois humiliant et admiratif.
Je me sens fier de moi à nouveau.
L'homme au gros sexe me donne sa carte de visite avant de partir avec ses amis.
Je me nettoie encore une fois, puis je rentre chez moi repu de sexe humiliant, comme je le souhaitais, ce n'est pas toujours le cas.
J'ai quelque fois été dans ce besoin d'humiliation, sans être contenté par manque de rencontres.
Je me suis masturbé sous la douche, après avoir laissé mon anus rejeter l'excès de sperme qu'il contenait.
J'ai très vite éjaculé, tant les souvenirs étaient puissants et excitants.
Comme je le craignais, j'ai eu une légère incommodité au niveau du ventre, mais avec un anti douleur, cela passe assez rapidement.
Je recontacterai Paul (c'est son prénom) pour des rencontres chez moi en soirées, mémorables.
Puis comme beaucoup, il a été muté ailleurs, j'ai perdu alors, un de mes meilleurs amants.
Je raconterai plus tard, notre deuxième rencontre à mon appartement.